Star Academy 2025 : Michael Goldman recadre Jeanne après son évaluation manquée et lui attribue un nouveau surnom

À mesure que les semaines passent, la tension grimpe entre les murs du célèbre château de Star Academy 2025. Mardi 2 décembre, l’ambiance s’est faite particulièrement lourde pour Jeanne, l’une des académiciennes dont le parcours suscite à la fois intérêt et inquiétude. La jeune chanteuse, déjà fragilisée par une première nomination, voit son aventure se compliquer encore davantage après une évaluation jugée insuffisante par le directeur, Michael Goldman.

Une semaine sous haute pression

Cette semaine, les élèves doivent relever un défi crucial : préparer une prestation inspirée de l’univers de la comédie musicale, en lien direct avec le grand tableau du prochain prime, prévu le vendredi 5 décembre. Un exercice déterminant à plus d’un titre, puisqu’il conditionne non seulement leur progression artistique, mais aussi leur visibilité lors du prime.

La règle est simple, mais implacable : les trois candidats nommés à l’issue des évaluations seront exclus du tableau principal du prime. Une absence lourde de conséquences, tant le prime représente pour les académiciens une occasion précieuse de montrer leur potentiel à un large public. Perdre cette opportunité revient presque à faire un pas en arrière dans la compétition.

Avant d’annoncer les résultats, Michael Goldman a d’ailleurs pris le temps de rappeler l’importance de cet exercice. Avec son franc-parler habituel, il a souligné que cette semaine révélait « encore un peu plus sur le niveau de Shakaille », tout en rappelant que le travail restait intense pour chacun.

Jeanne choisit “Speed” de Zazie… mais la magie n’opère pas

Pour défendre sa place, Jeanne a misé sur Speed de Zazie, un titre dont l’univers lui colle particulièrement à la peau. Une chanson dynamique, expressive, sensible : un choix qui semblait parfaitement raisonnable, et même prometteur sur le papier. Pourtant, malgré son attachement à ce morceau, la jeune candidate n’a pas réussi à en tirer la force nécessaire pour impressionner le jury cette fois-ci.

Lucide, elle avait pourtant perçu les failles de sa prestation. Avant même le verdict, elle confiait :
« Je me suis sentie bien, mais je sais que c’est loin d’être sauvé pour ma peau. »
Une intuition malheureusement juste : en fin de quotidienne, Michael Goldman lui annonce qu’elle fait partie des trois nommés pour la deuxième semaine consécutive.

Pour Jeanne, c’est un coup dur. Être nommée n’est jamais anodin, mais l’être deux fois de suite devient un véritable signal d’alarme. À ce stade de la compétition, l’académicienne n’a plus le droit à l’erreur.

Le directeur, entre fermeté et volonté d’encourager

Bien que conscient de la déception de la jeune chanteuse, Michael Goldman a tenté de désamorcer la pression, rappelant que la nomination n’équivalait pas nécessairement à une prestation ratée :
« Ça ne veut pas dire que vous avez raté votre prestation. Ça veut juste dire que les autres ont fait mieux. »

Un message destiné à apaiser, mais rapidement suivi d’un retour plus cash — comme Goldman sait les faire. Cette fois, le directeur se montre plus incisif concernant la performance de Jeanne, qu’il juge « trop moyenne » pour les exigences de l’aventure.
Il détaille :
« L’univers de Zazie lui va très bien, mais il y a encore des problèmes de précision, des faussetés pénalisantes. Je ne suis pas complètement embarqué par l’histoire ni par l’acting. »

Ces critiques, sans détour, soulignent plusieurs axes de travail pour la candidate : justesse vocale, interprétation, cohérence émotionnelle. Autant de points où, selon le directeur, Jeanne n’a pas encore atteint le niveau attendu.

Jeanne recadrée… et renommée

Le ton de Michael Goldman prouve à quel point la compétition se resserre. Pour Jeanne, il ne s’agit plus uniquement de progresser, mais de remonter la pente de manière urgente si elle veut espérer continuer à vivre son rêve au sein de l’Académie.

Dans un moment qui a marqué les téléspectateurs, Goldman va même jusqu’à la renommer — un geste symbolique, mais fort, qui illustre à la fois sa volonté de la secouer et de la pousser à se dépasser. Cette sorte de “recadrage baptême”, typique du directeur, sert aussi à créer un électrochoc, une façon de rappeler à Jeanne qu’elle doit reprendre le contrôle et retrouver l’étincelle qui avait commencé à séduire le public.

Une évaluation qui révèle une fragilité… mais aussi un potentiel

Si l’on peut percevoir dans les propos de Goldman une frustration réelle, c’est qu’il voit également en Jeanne un potentiel encore sous-exploité. L’univers qu’elle a choisi, celui de Zazie, lui correspond bien ; il lui permet de déployer sa sensibilité et de s’inscrire dans une ligne artistique qui lui ressemble. Mais l’artistique ne suffit pas : la technique doit suivre.

L’évaluation ratée montre que Jeanne possède des bases mais peine encore à maintenir un niveau constant. Ses faussetés, son manque de précision et son acting jugé insuffisant brouillent l’émotion qu’elle souhaite transmettre. L’interprétation, cœur de ce genre d’exercice, n’a pas assez touché ou surpris.

Une nomination qui change les cartes pour la suite

Cette deuxième nomination met Jeanne face à un choix : se laisser submerger par la pression, ou se battre pour prouver qu’elle mérite pleinement sa place. Pour les téléspectateurs et les fans, cette situation crée une forme de suspense supplémentaire : assistera-t-on à la naissance d’un rebond spectaculaire ou à une élimination précoce d’une candidate pourtant prometteuse ?

Le prime du vendredi 5 décembre s’annonce décisif, d’autant plus que les nommés n’auront pas la chance de briller dans le grand tableau musical. Ils devront donc tout miser sur leur prestation individuelle pour convaincre les professeurs… mais aussi le public, arbitre ultime du destin de chaque élève.

Une leçon pour tous les élèves de l’Académie

Au-delà de la situation personnelle de Jeanne, cet épisode rappelle à tous les académiciens que rien n’est jamais acquis à la Star Academy. Chaque semaine peut faire basculer un parcours ; chaque évaluation peut révéler des forces insoupçonnées ou des fragilités inquiétantes.

Michael Goldman, fidèle à son rôle de directeur exigeant, ne laisse passer aucun détail. Pour lui, l’objectif est clair : pousser chaque talent à révéler sa meilleure version, quitte à froisser ou déstabiliser. Et dans cette démarche, Jeanne apparaît comme un exemple : talentueuse mais encore instable, émotive mais parfois trop prudente, capable mais pas toujours prête.

Vers un sursaut salvateur ?

Alors que s’ouvre une nouvelle période d’incertitude pour Jeanne, son avenir repose désormais sur sa capacité à transformer cette critique en force. Le public attend un signe, les professeurs espèrent un déclic, et elle-même semble consciente que le moment est venu de s’affirmer.

La compétition se durcit, mais les plus belles histoires de la Star Academy sont souvent celles des candidats qui se sont relevés après un échec. Reste à voir si Jeanne saura écrire la sienne.