𝐌𝐀 𝐏𝐑𝐎𝐏𝐑𝐄 𝐌È𝐑𝐄, 𝐌𝐎𝐍 𝐏𝐈𝐑𝐄 𝐂𝐀𝐔𝐂𝐇𝐄𝐌𝐀𝐑 !
Sa mère l’oblige à faire le coup de marteau chaque nuit avec elle. Non maman, je suis ton fils. Nous ne pouvons pas faire une telle chose pareille. Ressaisis-toi maman. Mais mon fils, tu dis très bien que je suis ta mère. Faisons juste une petite minute et tu ne seras pas dessus. Je vais très bien te secouer comme on ne te l’a jamais fait.
Je te le promets mon fils. Allons-y. Tu ne vas pas le regretter. Cependant, sa femme était dans un autre pays. Le lendemain, alors qu’il rentrait du travail très fatigué, sa mère était cachée dans un coin de sa chambre. Mon fils !”, dit-elle en le séduisant avec sa mini robe de nuit. “Maman, que fais-tu dans ma chambre ? Je t’ai déjà dit main de fois que je suis ton fils et que nous ne pouvons faire une telle chose pareille.
Maman, je t’en prie pour l’amour que ma femme a pour moi. Sors de cette chambre maintenant, maman. Je ne veux pas avoir de problème.” Mais sa mère l’a plutôt poussé sur le lit. “Tais-toi, mon fils. Je suis ta mère et je connais ce qui est bon et ce qui n’est pas bon pour toi.” Voici où tout a vraiment commencé. Son fils Marau, sachant qu’aujourd’hui était férier et qu’il ne travaillerait pas aujourd’hui, se contentait de jouer sa PlayStation.
Son téléphone a par la suite sonné. C’était sa femme. Oui, mon cœur. J’espère que tu te portes bien là-bas à l’étranger. Oui, oui, mon sucre. Merci de te soucier pour moi, disait-elle. Je vais très bien et les activités aussi. Dis-moi, ta mère est déjà venue comme elle te l’avait dit ? Je reconnais que j’ai déjà trop duré ici et je crains qu’elle amène une autre fille là-bas à la maison.
Comment peux-tu avoir toi aussi d’arrière-pensé bébé ? Ma mère ne ferait une telle chose pareille. D’ailleurs, elle m’a dit qu’elle serait là aujourd’hui d’un moment à l’autre. Sache que je t’aime mon cœur et mon amour pour toi est plus fort que tout. Je sais que c’est le travail qui te retient encore là-bas, mais cela finira bientôt. Ne te stresse plus, bébé.
Avant qu’il n’ur même fini de dialoguer, on sonna. C’était sa mère et une villageoise qu’elle avait ramené du village. Le voyage était long mais elles sont enfin arrivées. Le vigile les a fait entrer à l’intérieur. Mon fils, nous sommes déjà là. Je suis avec une fille que tu vas certainement adorer.
Elle est de notre lignée du village. La villageoise quant à elle se contentait d’admirer la maison. “Waouh, c’est beau ici !” s’écria-t-elle. Je n’ai jamais vu une aussi belle et agréable maison depuis que je suis né. Je vous salue mon frère et j’espère que vous allez bien. Ferme là. Tu appelles qui ton frère ? S’écria-t-il.
Maman, c’est qui ? C’est qui elle ? Mon fils, calme-toi. Calme-toi mon fils. Il y a pas de guerre ici. Tu devrais normalement te réjouir de nous voir tous les deux. En plus, j’ai emmené ton genre de femme. Je sais que tu l’aimes déjà et que tu veux juste faire comme si tu n’étais pas intéressé. Mais maman, tu oublies que je suis un homme marié.
Qu’est-ce qui t’arrive ? Maman ? Ne me pose pas de questions. Mon fils, tu as encore pris de la taille et du poids, hein ? Son fils resta lui choqué pendant des secondes. Il ne comprenait plus rien sur ce qu’était devenue sa mère. Assiè-toi, ma fille, et fais comme chez toi.
Ici, c’est désormais la maison de ton mari. M’as-tu suivi ? Oui, maman, merci. J’aime déjà cette maison. Si tu veux même, tu peux aussi t’allonger. C’est déjà le chez toi ma fille. Tu ne vas pas regretter d’être venu ici avec moi. C’est mon fils et il ne doit pas te faire peur. D’accord. D’accord. Maman. Son fils s’est assis très furieux.
Qui est-elle ? Maman ? Je n’admets aucune étrangère ici chez moi. C’est ma maison ici et c’est moi qui l’ai bâti. Que ça soit la toute dernière fois que tu dis que je suis son mari. Moi, je suis déjà marié et ma femme, elle est à l’étranger. Dis-lui de se lever maintenant et d’enlever ces sales fesses là sur mon fauteuil et de sortir immédiatement.
Hey ! Hey ! Tu ne me parles comme ça mon petit. D’accord ? Que ça soit la toute dernière fois, je te rappelle que je suis ta mère. Que ça soit aussi la toute dernière fois que tu parles à cette fille comme ça. Je te rappelle que c’est ta femme que je suis allé chercher au village. Et toi, tu te comportes comment comme ça devant elle ? Toi, ta femme est là-bas à l’étranger et je suis sûr qu’elle te trompe avec Balthazar et tu n’es même pas au courant.
Elle, c’est une bonne petite que j’ai ramené du village pour toi. C’est ta femme à compté d’aujourd’hui. Ce que j’attends de toi et que tu me dois maintenant. c’est que cette nuit vous vous entrechoquez comme ça j’aurai mes petits fils et mes petites filles, c’est tout mon problème. Mais il se moquait plutôt. Tu me fais rire la maman.

Tu dis quoi ? Tu es vraiment si drôle maman. C’est une blague n’est ce pas ? Tu sais très bien que je suis pas une comédienne. Je ne blague pas mon fils et je ne sais pas pourquoi tu ris comme ça. Je le répète encore si tu n’as pas bien suivi ce que j’ai dit. Cette jeune fille est désormais ta femme. Si c’est pour la dote, tu n’as pas à te faire.
Elle est désormais à toi. Toi, ton travail à toi est de mettre ton noutou et son nousou à elle au travail pour que je puisse avoir mes petits fils et mes petit filles. Tu dois plaisanter maman, j’en suis sûr. Mais au cas où ça ne serait pas une blague. Prends ta villageoise, 7 moins que rien et ramène-la au village sinon elle risque m’envahir la maison avec les pou. Je n’aime pas ça, maman.
Je suis mariée, je te le rappelle. Va t’asseoir immédiatement. Je suis ta mère et tu n’as pas le droit de montrer du doigt. J’ai dit c’est ta femme et tu n’as pas de choix que de t’entrechoquer avec elle. Je veux mes petits enfants. Ta femme qui est à l’étranger est incapable de mettre au monde même une mouche.
Mais moi, je me souci de toi et tu te mets à crier sur moi. Va t’asseoir immédiatement comme je te parle. C’est ta femme du mariage désormais que j’ai emmené. Elle est d’ailleurs plus belle que ta misérable femme là. Comment peux-tu me dire cela ? Maman ? Moi je t’ai déjà dit que j’ai une femme avec qui je me suis mariée.
J’ai signé Monogamie pour la vie. Maman, mon frère, ferme-la comme ta maman te parle. Elle t’a déjà dit que je suis ta nouvelle femme et tu n’as plus de choix. Tu dois oublier ton étrangère de femme là à l’étranger. Moi, je suis désormais ta femme et on aura certainement 10 enfants avant le mois prochain, crois-moi.
Je vais bien te secouer plus que ta femme ne l’a jamais fait. Ta mère est là, elle se soucie de toi en t’apportant une belle femme comme moi. Mais toi, tu joues les durs. Je te rappelle que dans mon village, les hommes se disputent pour moi, hein. Moi, j’ai refusé tous ces hommes parce que ta mère m’a parlé de toi et je suis venu ici en ville pour former une chair avec toi.
Alors, ne m’énerve pas. Depuis que je suis assise ici, je ne fais que te regarder. Tu vois ça ? Maman, c’est à cause de toi, elle me parle comme ça. Ramène-la au village. Elle ne doit pas passer la nuit ici. Regarde-moi bien, mon ami. Regarde ma corpulence. Une belle femme rare comme moi.
Je ne te plais pas ? Je suis la beauté en voie de disparition de mon village. 1. Tu as intérêt à vite présenter tes excuses devant ta maman parce que tu ne sais pas la chance que tu rates mon ami. Regardez-moi cette villageoise là qui me parle. Sais-tu qui je suis ? Au lieu de te marier avec les marabous de ton village, toi tu es là. Tu viens parler ? Quel chinois dans ma maison comme ça ? Que ça soit la toute dernière fois que tu t’adresses à moi comme ça, hein ? Je ne suis pas ton égal encore, moi, ton ami ou ton frère.
Ramène-la au village maintenant, maman. Bonne à rien. Moi, je me casse. Non, non, mon fils, attends, attends, je t’en prie. Comment peux-tu me demander d’épouser cette chose ? Maman ? Comment ? Calme-toi, mon fils, et comprends-moi aussi. La seule chose que moi, ta mère, je demande, c’est que c’est que tu puisses la féconder afin que moi aussi j’ai mes petits fils et petites filles.
Tu sais, au village là-bas, c’est moi seul qui n’a pas de petits fils. Toutes mes copines, elle elles ont des petits enfants en abondance. Aïe pitié de moi, ta mère mon fils, et arrête sa main. Vous partez vous ambiancer dans la chambre maintenant. On ne sait jamais. Elle t’a confirmé qu’avant le mois prochain, elle peut te donner plus de 10 enfants. Allez-y maintenant, mon fils.
Allez-y. Maman. Ne me mets pas en colère, je t’en prie. Je ne l’aime pas. Non, maman, ne laisse pas ton fils partir comme ça. Je suis venu ici rien que pour lui. Va le parler, maman. Il n’a pas ce droit de nous tourner le dos. Tu dois lui parler maman. Calme-toi ma fille. Nous vivons dans la même maison et il est déjà à toi, je te dis.
Maintenant, il est temps que nous allons à la cuisine pour préparer, car moi, j’ai la dalle, ma petite. Nous devons préparer un très bon repas redoutable. Allons maintenant. Tu vas découvrir aussi la cuisine, ma fille. Cependant, voici son fils qui était traumatisé dans sa chambre.
C’est quelle foutaise ça ? Comment peut-elle amener chez moi une villageoise de merde et me dire que c’est mon épouse ? Nous sommes au 21e siècle là. Je ne comprends pas vraiment ma mère et je ne sais pas pourquoi elle est devenue comme ça. En bas, la villageoise découpait et apprêtait les condiments pour le repas que elle et sa soi-disante belle-mère allaient préparer.
Elle le faisait avec amour en chantant avec vergogne. Elle se mettait même aussi à danser. Voici maman Shinedzi qui est entrée en acclamant, toute joyeuse la voyant danser et chanter ainsi. Oui, ma fille célèbre, célèbre ton mariage célèbre. Mon fils est désormais à toi et tu es libre de faire comme chez toi. Maman, je n’arrive pas à croire.
Votre fils votre fils, il a sauvagement d’argent, hein ? Comment a-t-il fait pour avoir tout cet argent et construire une aussi grande villa ? Je suis si heureuse aujourd’hui. Je ne l’ai Je ne l’ai jamais été toute ma vie. Que Dieu bénisse mon mari qui est ton fils. Je dois aussi connaître le bonheur et ce qu’ont la belle vie de luxe.
Maman, tu connaîtras plus que ce qu’on appelle la vie de luxe dans cette maison, ma fille. Je suis si fière et si joyeuse que tu es aussi dans l’allégresse. Je me sens déjà comme une grande femme au foyer ici, s’écria la villageoise Anita. J’ai dit “Détends-toi ma fille. Cette maison, elle t’appartient.
Comme tu es là, je crois que cette maison ne sera plus jamais calme. Je veux aussi des enfants, ma fille. Il faut que bientôt tu commences à dormir dans la même chambre que ton mari, ma fille. Oui. Oui. Maman, vous avez raison. S’é la villageoise Anita. Continuons à préparer. Voilà que le soir est arrivé. Elles avaient enfin fini de cuisiner.
Maman, je n’aime pas ça. Ton fils sait très bien que nous avons fini de préparer et pourquoi il ne descend pas manger ? J’ai crié son nom fatigué et il n’est pas sorti de sa chambre. Calme-toi ma fille ! S’écria maman Shinzi. Je t’ai dit qu’il va bientôt t’appeler sa femme. C’est question de temps, toi aussi.
Mais ce n’est pas comme ça que tu devrais normalement te comporter envers lui. Tu devrais aller plutôt vers sa chambre et frapper avec une voix douce en disant “Mon chéri, mon roi, le repas que j’ai fait avec amour pour toi est déjà prêt. Bébé, sors de ta chambre et viens me tenir la main afin que nous allons manger ensemble tous les deux.
” Jamais maman. Moi, je ne pourrais pas le faire. Il se prend pour un prince, lui ? Pendant qu’elles parlèrent encore, voilà baro le fils qui est descendu. Mon fils vient manger, nous sommes déjà à table. C’est que toi que nous attendons comme ça. Je vous ai demandé de me laisser tranquille, maman.
Toi et ta villageoise de fille, collez-moi la paix. Je ne mangerai plus jamais dans cette maison tant qu’elle sera présente ici. D’ailleurs, je sors. Mais comment peux-tu sortir à cette heure de la nuit, mon fils ? C’est comme ça tu vises ici en ville ? Le dehors est mauvais, mon fils. Allons nous asseoir et manger. Je ne suis plus un enfant, maman, je m’en vais.
Mon frère vient t’asseoir ici et manger rapidement. Tu es même quel genre d’homme qui refuse les bons repas comme ceci. Regarde bien ces morceaux de poulet, ce riz doré et cette bouteille de champagne. Ta mère et moi, nous l’avons fait avec amour pour toi. Donc je t’en prie, amène tes fesses ici pour manger. Je t’assure, tu vas aimer.
Viens manger. Viens manger, mon chichi. Allez, viens manger, je t’aime. E écoute-moi maintenant très bien. J’ai l’impression que tu penses que nous sommes de la même catégorie, toi et moi. Apparemment, tu ne sais pas encore réellement qui je suis. La prochaine fois que tu m’appelles encore comme ça ou que tu me parles de la sorte, je vais te donner une bonne gifle qui va te renvoyer dans ton village, toi et toutes tes affaires pour que tu puisses aller rencontrer tes ancêtres.
De là, tu leur diras que tous les hommes ne sont pas les mêmes. Puis il est parti. J’ai très mal maman. Je veux pleurer. Non fille, sois forte. Je t’ai dit qu’il t’aime déjà. Il fait juste comme s’il était jaloux de ta beauté parce que tu es plus belle que sa femme. Assiette-toi avec moi et dégustons notre bon repas. Pardon ma fille, tout ira bien.
Je n’ai plus d’appétit. Maman ! Ton fils m’a brisé le cœur ce soir. Le voici avec son ami en boîte de nuit. Hey mec, à la maison, c’est grave chez moi. Je suis en train de te dire que ma mère vient de se présenter chez moi avec une villageoise disant que c’est ma femme qu’elle a déjà doté pour moi.
Tu blagues là ? S’é son ami. Je ne blague pas, mon frère. J’étais scandalisé toute la journée dans ma chambre et ce n’est que maintenant que je suis sorti comme tu me vois là avec toi. Une villageoise ? Oui, bien sûr. Une villageoise, frère. Si jamais tu pouvais voir à quoi elle ressemble, elle est d’abord sale plus qu’un porort et elle se permet de croire que je suis dans sa catégorie d’homme.
Écoute-moi mec, s’écrit son ami. Je sais que parfois nos mamans africaines perdent souvent la tête mais là elle a poussé le bouchon très loin. Nous sommes au 20e siècle et ce n’est plus à elle de choisir ta femme. D’ailleurs, tu es présentement marié. Comment peut-elle amener une autre sachant que tu es déjà mariée ? Je ne sais vraiment pas pourquoi ma mère fait cela.
Pourtant, elle avait assisté au jour de mon mariage et elle était la première à apporter des présents à ma femme. J’ai eu à discuter avec ma femme ce matin et après quelques heures, elle m’a laissé un message pour me dire qu’elle sera de retour au pays ce mois si jamais elle apprenait cette nouvelle. Comment va-t-elle réagit mec ? Ma mère m’a mis dans de sérieux problèmes, je t’assure.
C’est fou mec. C’est vraiment fou ça. De toutes les façons, nous allons réfléchir et je t’aiderai à trouver une solution. Je savais que je pouvais compter sur toi, mon frère. Merci. T’inquiète, il y a pas de quoi. On va trouver une solution ensemble. Le lendemain, son fils était déjà prêt pour aller au travail.
Je dois urgemment aller au travail, maman. Je suis en retard. Vous êtes vraiment très beau et très bien vêtu, monsieur, s’écria la villageoise Anita en baissant sa tête. Ta femme t’apprécie et toi tu ne réponds pas, s’écria sa mère. Maman ! Maman ! Disait son fils, je crois avoir clarifié les choses depuis hier. Alors ne faites pas que je sois de mauvaise humeur encore aujourd’hui.
D’accord, il y a pas de problème, mon fils. Tu sais, lorsqu’on dote déjà une fille dans notre village, elle devient l’ombre de son mari. Ta femme que voici, elle s’est déjà apprêtée. Elle doit aller au travail aussi avec toi. Comme ça, vous allez bien travailler et tes portes financières vont encore plus s’ouvrir. Quoi ? S’érie à son fils.
Oui, mon fils, elle doit aller avec toi. Ne vois-tu pas comment elle est déjà prête avec son sac ? Arrête sa main et allez-y ensemble. D’ailleurs, moi je voyage tout à l’heure et je rentrerai d’ici quelques jours. Allez-y ensemble, mes enfants. Maman, ce n’est pas parce que tu voyage que moi je vais prendre soin d’elle. Nous ne sommes liés d’aucun point, ni A ni B.

Si tu voyages, va-en avec elle, car elle ne fout rien dans cette maison. Et d’ailleurs, personne n’a son temps ici. Elle ne fait que plutôt accentuer les mauvaises odeurs ici. Si jamais elle reste ici à mon retour, je risque lui faire quelque chose d’inimaginable. C’est mieux pour elle de faire ses affaires et de partir avec toi. D’ailleurs, elle n’a même pas de vêtements en dehors de ce qu’elle porte là.
Emmène-la avec toi, maman, j’en ai terminé. Au revoir et bonne journée. Non, non, tu ne peux pas me dire ça. Je sais que tu m’aimes, Mbarau. Moi aussi, je t’aime, disait-elle. Enlève rapidement tes sales mains là sur moi. Qui t’a dit que je t’aime ? Je peux aimer une laide et sale fille comme toi ? Enlève rapidement tes mains sur moi, sinon je te ferai un mawashiigeri que tu n’oublierais jamais toute ta vie.
Puis il est parti. Toi aussi, il fallait le suivre, ma fille. Tu es même quel genre d’enfant comme ça ? Il fallait le poursuivre. Comme ça, lorsqu’il monte dans le véhicule, toi aussi tu montes. Dans tous les cas, moi je dois partir. Je dois déjà voyager. S’il y a quoi que ce soit ou bien une difficulté ou un souci que tu rencontres dans cette maison, appelle-moi au téléphone.
Le téléphone se trouve à l’étagère du couloir si tu ne le sais pas. Mon numéro est sur le cahier posé sur la table là-bas. On se dit à bientôt ma petite Non, qui m’a même envoyé dans cette maison. Si je savais mon Dieu. Si si je savais. Je fais tout pour cet homme mais il ne voit pas. Qu’est-ce qu’il veut au juste ? De toutes les façons, je ne baisse pas mes gardes.
Je ne quitterai pas cette maison. Je ne quitterai pas. Je ne bouge pas d’ici. Il va sauf que m’aimer et marcher comme je veux. Cependant, Shinezi dans son bureau venait d’arriver. Il était surpris de voir ce bouquet de fleurs avec une lettre dessus. “Mais qui a pu bien me faire une telle surprise, mon dieu ?” s’écria-t-il.
Son téléphone a par la suite sonné et il a décroché. C’était sa femme à l’étranger. “Je t’aime mon amour”, disait-elle. “C’est moi qui est organisé pour que tu ais cette surprise agréable, mon cœur. Dis-moi, ma surprise, elle te plaît ?” Bien sûr que oui, chérie. Je me demandais qui avait pu bien faire une telle chose pareille. Je ne pouvais imaginer que je compte autant pour toi de la sorte.
Merci mon amour. Je t’aime chérie. Moi aussi je t’aime et tu le sais. Dis-moi bébé, j’ai eu à faire un mauvais rêve dernièrement. J’ai rêvé que ta mère avait amené une autre femme à la maison. Dans ce rêve, je voyais comment elle mal parlait de moi en disant que je ne pourrais jamais te donner d’enfant et que je te trompe depuis que je suis arrivée ici à l’étranger.
Dis-moi si c’est ce qui se passe là-bas à la maison. J’ai des mauvais pressentiments pour notre foyer depuis ces derniers jours. Toi aussi, mon cœur, ce n’est qu’un rêve. Toi aussi, je te garantis que rien de cela ne se passe dans notre maison. Mon cœur, ce n’est pas vrai, crois-moi. Au contraire, la maison n’attend plus que toi et elle s’ennuie.
Moi aussi, je m’ennuie, bébé. Lorsque tu n’es pas à mes côtés, j’ai si mal. Merci de me rassurer cela, mon trésor. Je t’aime. Je serai de retour au pays ce mois et tu le sais. On va bien s’amuser comme jamais bébé. Porte-toi bien et bisous. Je suis foutu, mon Dieu. Ma mère, ma mère, ma mère m’a foutu. Sûrement, c’est Dieu tout-puissant qui l’a révélé cela.
Je dois trouver une solution. D’ici quelques semaines, elle sera de retour. Je ne veux pas qu’elle croise cette villageoise à la maison. Elle doit sortir. Oui, elle elle doit sortir. Je je dois trouver une solution avant qu’elle n’arrive. La nuit arrivée, il était déjà 3h du matin et tout le monde dormait sauf Anita. Baro est rentré du boulot fatigué et dormait paisiblement dans sa chambre.
Anita, la villageoise est entrée discrètement et se mettait à faufiler ses doigts sur le corps de Mbaro. Elle avait envie de lui. “Mbaro, disait-elle. Je je veux te donner des enfants. Lève-toi et prouve-moi que tu es un homme. Je n’ai pas mis de sous-vêtements en bas. Lève-toi, je suis prête. Il a sursauté et s’est réveillé.
Seigneur Jésus-Christ, que fais-tu dans ma chambre et comment es-tu entré ? Fais-moi l’amour, mon homme. J’ai besoin de toi, chérie. Je je suis en chaleur. Es-tu folle ? S’écria-t-il. Dégage avec ta sale bouche qui dégage les oignons de merde là. Mets-toi dehors comme je te parle maintenant. Mets-toi dehors. Qu’est-ce qui t’arrive ? On t’a envoyé me pourrir la vie ? J’ai envie de te goûter, chérie. Écoute-moi aussi.
Je t’aime et je sais que tu m’aimes aussi. Mais toi dehors, je ne t’aime pas. Et arrête de m’appeler chérie, je ne te connais pas. Voilà qu’il se retrouvait maintenant à l’extérieur vers les escaliers. Il l’a mise à la porte de force. Je te demande de bouger. Je ne veux plus te voir au 5 m de ma porte, encore moins dans ma chambre.
Moi, je t’aime. Qu’est que tu ne comprends pas dans je t’aime ? Je suis folle amoureuse de toi. J’ai envie de toi. Il se fait très tard. Allons faire notre travail de couple. Allons consommer la dote que ta mère a déjà payé. Mon corps chauffe et je veux de toi. Cette chambre n’est plus à toi seule, mais aussi la mienne.
C’est la nôtre désormais. Tu es mon mari et je suis ta femme. Eh, méfie-toi. Je vais te pousser. Oh, je vais te pousser. Va-ten. Je n’irai nulle part. C’est toi mon mari, on va sauf que faire l’amour là aujourd’hui. Voilà qu’il l’a poussé et elle est tombée. Anita, Annie ! Anita, dis-moi que tu blagues.
Tu blagues, n’est-ce pas ? Réveille-toi, je t’en supplie, Anita, je ne voulais pas te pousser. Réveille-toi, Anita, je t’en supplie. Suite de ce film uniquement si la population YouTube revendique massivement une deuxième partie. M.
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