Nagui : Aya Nakamura cash sur son émission Taratata et elle ne lui convient pas

Malaise entre Aya Nakamura et Nagui

Ce 28 novembre, Aya Nakamura a donné un avis tranchant. La chanteuse n’a pas épargné Taratata, l’émission live de Nagui.

Invitée sur le plateau de Quotidien ce 28 novembre, Aya Nakamura, qui a fait une apparition remarquée à la Star Academy, est revenue avec franchise sur ses envies du moment, notamment depuis qu’elle se produit elle-même son dernier projet. En pleine réflexion sur son avenir artistique, la chanteuse a confié qu’elle ne sait pas encore si ce rôle lui correspond vraiment sur le long terme.

Entre confidences musicales et moments complices, Yann Barthès a également évoqué l’impossibilité pour certains fans d’obtenir des places pour ses trois concerts déjà complets au Stade de France en 2026. Aya Nakamura leur conseille de miser sur ses nombreuses dates en festivals.

Aya Nakamura rêve d’une émission musicale… qui manque en France

Au fil de l’entretien, Yann Barthès a listé ses références culturelles : Rihanna, Lauryn Hill, Cardi B, Michael B. Jordan, Thomas Ngijol… jusqu’à un rêve très précis de la chanteuse : participer au célèbre Tiny Desk Concert de NPR. Un format qu’elle admire pour son côté brut, intimiste et entièrement musical.

La star des JO 2024 Aya Nakamura a alors expliqué pourquoi elle est fascinée par ce concept. “Je trouve que ça manque en France une émission avec des vrais zikos, juste avec un artiste.” Selon elle, le pays ne propose aucun équivalent à ces performances live minimalistes où seule la musique prime. Face à cette remarque, Yann Barthès a cité plusieurs programmes existants, dont Taratata, la référence française du live présentée par Nagui. Une comparaison qui ne l’a pas tout à fait convaincue.

Taratata, c’est…” : Aya Nakamura dit ce qu’elle pense vraiment de l’émission de Nagui

Interrogée sur Taratata, la célèbre émission de Nagui depuis 1993, Aya Nakamura n’a pas exprimé de rejet. Mais elle a été très claire sur ce qui la dérange. “Taratata, c’est beaucoup plus classique.” Pour elle, le dispositif du programme ne correspond pas à ce qu’elle recherche. Un cadre réduit, très intimiste, avec une mise en scène dépouillée qui laisse l’artiste à nu.

Ambre Chalumeau a précisé que Taratata repose sur une production très structurée, contrairement à Tiny Desk qui se déroule dans un “petit cadre”. Ce à quoi Aya Nakamura a aussitôt acquiescé. “Oui, c’est ça. C’est mignon et c’est vraiment artistique. C’est là où on voit le vrai talent de l’artiste.

Le 28 novembre, Aya Nakamura, l’une des stars les plus brillantes de la scène musicale française, a partagé son avis tranché sur l’émission Taratata, un des programmes phares de la télévision française, animé par Nagui. Si la chanteuse est d’ordinaire discrète dans ses critiques publiques, cette fois-ci, elle n’a pas mâché ses mots lorsqu’il s’est agi de cette émission, qu’elle trouve “trop classique” pour ses goûts.

Invitée sur le plateau de Quotidien, Aya Nakamura, connue pour sa musique moderne et son style unique, a évoqué avec franchise son besoin de plus d’authenticité et d’espace artistique. À la question sur les émissions musicales qui lui manquent en France, elle a immédiatement parlé de son admiration pour le Tiny Desk Concert de NPR, un format qu’elle considère comme un véritable modèle. Elle a expliqué que l’émission américaine, qui se déroule dans un cadre intime et épuré, met en avant l’art pur de la musique, sans fioritures, sans artifices. Pour elle, c’est un format “brut”, “artistique” qui permet aux artistes de se montrer sous leur meilleur jour, loin des contraintes d’une production télévisée trop organisée.

“Je trouve que ça manque en France, une émission avec des vrais zikos, juste avec un artiste”, a-t-elle affirmé. Aya Nakamura, qui a récemment fait sensation en étant l’une des figures incontournables des JO 2024, a souligné la différence fondamentale entre des programmes comme Taratata, où la production est bien plus structurée, et des formats comme Tiny Desk, où l’artiste et la musique sont au centre de l’attention, dans un cadre minimaliste et spontané.

Aya Nakamura réagit avec beaucoup d'autodérision aux critiques après son  passage au Téléthon

L’animation de Taratata par Nagui, bien qu’emblématique, semble ne pas correspondre à l’approche que recherche Aya. Selon elle, le cadre de l’émission manque de la liberté créative qu’elle souhaite. “Taratata, c’est beaucoup plus classique”, a-t-elle expliqué, en précisant qu’elle cherche à s’exprimer dans des formats plus modernes et ouverts à la créativité. Elle a ajouté que le concept de Taratata, bien qu’il ait son charme et soit “mignon”, ne lui permet pas de déployer pleinement son art, contrairement à d’autres formats plus épurés et axés sur la pureté de la performance musicale.

Cela ne signifie pas pour autant qu’Aya Nakamura rejette l’idée de participer à des émissions musicales en France. Au contraire, elle a insisté sur son désir de trouver un espace où la musique prime, sans être submergée par des aspects logistiques trop contraignants. Dans un pays où la scène musicale est souvent marquée par des émissions grand public, elle rêve de formats plus authentiques, plus proches de ce qu’elle souhaite offrir à ses fans.

Ses propos ont d’ailleurs ouvert un débat plus large sur l’évolution des émissions musicales en France, souvent jugées trop formatées et éloignées de l’essence même de la musique. Les critiques s’accordent à dire que, malgré le succès indéniable de Taratata et autres programmes similaires, un certain vent de fraîcheur et d’innovation serait bénéfique pour offrir aux artistes une plus grande liberté d’expression.

Téléthon : Aya Nakamura crée le malaise | GQ France

Alors que la scène musicale française évolue et que de nouveaux talents émergent, Aya Nakamura semble incarner cette quête d’un renouveau artistique, où la liberté d’expression prime sur la tradition. Et pour les fans de la chanteuse, c’est un message fort : l’artiste ne veut pas se contenter des formats existants, elle veut révolutionner la manière dont la musique est vécue à la télévision. Tiny Desk n’est peut-être qu’un début, et peut-être qu’à l’avenir, la scène musicale française accueillera des formats aussi novateurs et audacieux que ceux dont rêve Aya Nakamura.