Lors d’une soirée électrisante au Spotify Camp Nou, le FC Barcelone a consolidé son leadership en Liga avec une éclatante victoire 3-1 contre l’Atlético de Madrid, son rival direct invaincu lors de ses sept derniers matchs toutes compétitions confondues.
Le match, disputé le 2 décembre 2025, a non seulement prolongé l’avance du Barça à quatre points sur le Real Madrid, mais a également mis en valeur le génie individuel de Raphinha, l’ailier brésilien qui s’est imposé comme la figure incontestée du match.
Ses buts, son pressing étouffant et son influence constante sur l’attaque culé ont été les catalyseurs d’un retour qui a laissé l’Atlético sans arguments.

Le match a commencé avec un Atlético de Madrid courageux, fidèle au style de Diego Simeone : compact en défense et mortel dans les transitions rapides.
Juste à la 19e minute, Álex Baena, l’un des talents émergents de l’équipe Colchonero, a profité d’une longue passe de Nahuel Molina pour dépasser la ligne haute du Barça et terminer avec un lob exquis sur Joan García, le gardien local qui faisait ses débuts dans un duel de cette ampleur en raison d’absences pour cause de blessure.
Le but, validé après un examen du VAR pour un éventuel hors-jeu, a temporairement fait taire le Camp Nou et mis en difficulté une équipe de Barcelone qui dominait la possession mais était imprécise dans les derniers mètres.

Cependant, la réponse des Blaugrana a été immédiate et dévastatrice. Six minutes plus tard, à la 25e minute, Pedri, de retour de blessure et démontrant pourquoi il est le moteur créatif de l’équipe de Hansi Flick, a filtré une passe précise entre les lignes défensives de l’Atlético.
Raphinha, avec sa vitesse diabolique, s’est échappé sur la gauche, a entouré Jan Oblak d’une feinte magistrale et a poussé le ballon au fond des filets vides. C’était le match nul, et pas seulement un but : c’était le début d’un monologue du Brésilien.
Raphinha, qui n’avait pas marqué depuis septembre, a célébré avec fureur, conscient que son but a injecté du moral à une équipe qui avait raté un penalty quelques minutes auparavant – Robert Lewandowski l’a envoyé par-dessus la barre transversale à la 32e minute après une faute de Pablo Barrios.

La première mi-temps s’est terminée avec Barcelone supérieur en possession (environ 65%) mais avec l’Atlético résistant grâce aux interventions d’Oblak et à la solidité de José Giménez et David Hancko au centre de la défense.
Les Colchoneros, avec Julián Álvarez et Giuliano Simeone comme attaquants, ont tenté de contre-attaquer, mais l’haute pression du Barça, menée précisément par Raphinha, a neutralisé toute tentative de sortie nette.
Le Brésilien n’a pas seulement marqué ; Il récupérait des ballons sur le terrain adverse, provoquait des fautes et générait des déséquilibres constants sur l’aile gauche, s’associant avec Alejandro Balde dans un partenariat qui démantela Matteo Ruggeri.
En seconde période, la domination des culés s’est accentuée.
Dani Olmo, un autre héros silencieux, a prolongé l’avance à la 65e minute avec un but opportuniste : un tir serré contre le poteau après un rebond dans la surface, indirectement aidé par le chaos généré par Raphinha lors d’un jeu précédent.
L’ailier avait forcé un corner d’un dribble diabolique qui a laissé deux défenseurs rouge et blanc au sol. Flick, depuis le banc, a applaudi l’intensité de son équipe, qui n’a pas cédé d’un pouce.
L’Atlético a tenté de réagir avec des changements : Alexander Sørloth et Thiago Almada ont remplacé Baena (blessé) et Simeone Jr., à la recherche de plus de profondeur. Mais le Barça a clôturé le match dans le temps additionnel, à la 96e minute, avec Ferran Torres scellant le score 3-1.
Balde, assistant du gauche après une récupération de Raphinha, a mis le ballon sur une plaque pour que le “Requin” termine avec un tir croisé.
C’était la touche finale d’une soirée parfaite pour les locaux, qui ont remporté leur sixième victoire consécutive en Liga depuis la défaite face au Real Madrid fin octobre.
Raphinha, avec son but, une passe implicite dans plusieurs jeux et un pressing qui a accumulé plus de 10 récupérations dans le terrain rival selon les statistiques d’Opta, a été nommé Homme du Match par la Liga.
Ses chiffres parlent d’eux-mêmes : 85% de précision de passe, 4 dribbles réussis, 3 occasions créées et un apport défensif que Simeone a salué en conférence de presse : “J’adore ça. Il fait tout : il joue sur l’aile, en flanc, au milieu, il marque, il presse…
Je ne comprends pas pourquoi il n’a pas gagné le Ballon d’Or. Chacun choisit ce qu’il veut, je le choisis. Le ‘Cholo’ n’a pas lésiné sur les éloges, reconnaissant que le Brésilien était le bourreau de son équipe.
Et voici la déclaration de Julián Álvarez, l’attaquant argentin de l’Atlético qui, malgré ses efforts (il s’est créé deux occasions claires et a délivré une passe décisive sur le but de Baena), n’a pas pu contrer le vent blaugrana. En zone mixte, Álvarez a rendu hommage au « coupable » de la défaite : Raphinha.
“Depuis mon arrivée à l’Atlético, je n’ai jamais affronté un joueur aussi talentueux que lui. Il nous a causé d’innombrables problèmes ; même si nous avons fait de notre mieux, il ne nous a laissé aucune chance de gagner.”Ce n’était pas Lamine Yamal, le jeune prodige qui brillait de flashs mais était contenu par Molina ; Dani Olmo non plus, auteur du deuxième but. C’était Raphinha, l’infatigable, celle qui à 28 ans vit une seconde jeunesse sous Flick.
Cette action n’est pas isolée. Raphinha a joué un rôle clé dans la saison du Barça : leader des passes décisives (plus de 10 en Liga), buteur opportun et élément clé du système 4-2-3-1 de Flick.
Sa polyvalence – il peut jouer sur les deux ailes ou même comme faux neuf – fait de lui une arme mortelle. Au Camp Nou, devant 85 000 spectateurs, il a montré pourquoi le Barça avait rejeté les offres d’un million de dollars qui lui avaient été proposées cet été.
Son pressing haut, inspiré du style de l’entraîneur allemand, oblige les rivaux à commettre des erreurs constantes, comme celle qui a conduit au troisième but.
Pour l’Atlético, la défaite brise une séquence impressionnante et le laisse en quatrième position avec 31 points, à six du leader. Simeone, philosophe, a reconnu : “Ils ont été supérieurs en seconde période. Nous avons eu des occasions, mais nous ne les avons pas concrétisées”.
Oblak, avec plusieurs arrêts clés, a évité une défaite majeure, mais n’a pas pu résister à l’inspiration culé. Álvarez, pour sa part, ajoute un autre chapitre à son adaptation à Madrid : il est arrivé de Manchester City en tant que star, mais fait face à la dure réalité de la Liga, où des talents comme Raphinha élèvent le niveau.
Barcelone, avec 37 points, attend avec impatience. Prochains défis : Real Betis en Ligue et Eintracht Francfort en Ligue des Champions. Flick a félicité son équipe : “C’était l’un de nos meilleurs matchs cette saison. La réaction après 0-1 a été essentielle.”
Pedri, avec trois occasions créées, et Balde, passeur sur la troisième, complètent un onze qui mélange jeunesse et expérience.
En bref, 3-1 n’ajoute pas seulement trois points ; envoie un message au Real Madrid et au reste des poursuivants. Raphinha, honoré même par le rival, est le symbole d’un Barça qui monte. Álvarez l’a dit clairement : contre lui, il n’y a aucune opportunité.
Et dans une Ligue aussi compétitive, cela peut valoir un titre.
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