Biyouna : La vérité qu’elle a cachée jusqu’à son dernier souffle (Choc)
Un silence de plomb s’est abattu sur Alger ce mardi 25 novembre 2025. Il est des nouvelles que l’on redoute mais auxquelles on ne veut jamais vraiment croire tant certaines personnalités semblent sculptées dans le rock éternel et indestructible. Pourtant, en ce début d’après-midi, les murs blancs de l’hôpital Bénimessous, situés sur les hauteurs de la capitale algérienne, ont été témoins de la fin d’un monde.
C’est ici loin des projecteurs et des scènes parisiennes qu’elle a tant aimé que le cœur de Baya Bouzar, notre inoubliable Biyuna, a cessé de battre à l’âge de 73 ans. L’annonce n’a pas été immédiate. Elle a d’abord circulé comme un murmure inquiet dans les couloirs du service de soins intensifs avant de se transformer en une rumeur persistante sur les réseaux sociaux pour finalement éclater comme une vérité brutale et irréversible aux journaux télévisés de 20h.
Lorsque la dépêche officielle est tombée confirmant ce que tout le monde craignait. C’est une véritable onde choc qui a traversé la Méditerranée. D’Alger à Paris de la Casba au quartier populaire de Marseille, le temps s’est comme suspendu. Car perdre Bya, ce n’est pas seulement perdre une actrice, une chanteuse ou une danseuse.

C’est perdre un membre de la famille, une tante, une voisine, cette voix rque et familière qui a bercéit plusieurs générations. Quel était ce lien indéfectible entre deux cultures, entre deux rives souvent déchirées par l’histoire mais réunies par son humour dévastateur ? Dans les cafés d’Alger, les discussions animées se sont eues, laissant place à des regards incrédules.
“Labuna est partie”, répétait-on, comme pour essayer d’intégrer une réalité trop lourde. L’atmosphère devant l’hôpital Benimessous est rapidement devenue électrique et solennelle. Des fans des curieux, mais aussi des figures du milieu artistique algérois ont commencé à affluer, espérant peut-être que tout cela n’était qu’une de ces fake news dont Internet a le secret.
Mais les visages fermés du personnel médical et les larmes discrètes des proches aperçus à l’entrée du pavillon ne laissaient plus aucune place au doute. La reine de la Casba avait tiré sa révérence. Ce moment précis marque une rupture la fin d’une air dorée du Chabi moderne et de la comédie algérienne.
Buna incarnait une forme de résistance par la joie, une liberté de thon qui semblait ne jamais devoir s’éteindre. Sa disparition laisse soudainement le paysage culturel francophone orphelin d’une de ses figures les plus authentiques. Ce mardi noir ne fut pas seulement celui de la mort d’une star, mais celui de la prise de conscience collective d’une absence à venir.
Comment imaginer le cinéma sans sagille ? Comment la musique sans son timbre voilé si particulier ? Alors que le soleil se couchait sur la baie d’Alger, la ville semblait porter le deuil de sa fille la plus rebelle. Mais au milieu de cette tristesse immense, une question brûlait toutes les lèvres, une interrogation douloureuse que l’euphorie de ces apparitions publiques avait réussi à masquer jusqu’à l’ultime seconde.
Comment en est-on arrivé là si vite ? Et pourquoi n’avions-nous rien vu venir ? La réponse à cette interrogation douloureuse réside dans l’un des secrets les mieux gardés du showbsiness méditerranéen. Si le public a été foudroyé par l’annonce, c’est parce que Biyuna avait érigé une forteresse infranchissable autour de sa santé.
La vérité crue et bouleversante a fini par émerger quelques heures seulement après son départ. L’artiste livrait depuis plusieurs années une guerre sans mercie contre un cancer, une longue maladie comme on la nomme pudiquement dans les communiqués officiels qui la rongeaient de l’intérieur. Ce combat, elle a choisi de le mener à huit closement que son image de femme forte et exubérante soit ternie par la pitié ou la compassion malplacée.
Pour elle, la maladie était une affaire privée, une épreuve intime qui ne devait en aucun cas empiéter sur sa mission première divertir. Ce choix du silence en dit long sur la trampe de cette femme d’exception. Alors que les tabloïdes traquent habituellement la moindre faiblesse des stars, a réussi l’exploit de cacher la gravité de son état jusqu’au dénouement final.
Imaginez un instant le courage qu’il a fallu pour continuer à sourire, à donner des interviews, voire à envisager des projets alors que son corps luttait quotidiennement contre l’épuisement et la douleur. Ses proches, une garde rapprochée fidèle et hermétique, ont respecté ce vœu de discrétion absolue formant un bouclier protecteur autour d’elle.
À l’hôpital Benny Messus, le personnel soignant a été témoin de cette dignité remarquable. Loin de la diva capricieuse, c’est une patiente lucide. et courageuse qu’ils ont accompagné une femme qui regardait la mort en face avec la même insolence qu’elle avait affiché face à la vie. Les derniers jours furent particulièrement éprouvants.
La maladie insidieuse avait gagné du terrain rendant chaque souffle plus difficile. Pourtant, ceux qui ont eu le privilège de la voir durant cette période ultime racontent qu’elle n’a jamais perdu cette lueur unique dans le regard, ce mélange de défis et de tendresse. Elle savait que l’issue était fatale, mais elle refusait de s’effondrer.
Cette réalité médicale tranche violemment avec les souvenirs que nous avons tous d’elle. une force de la nature, une voix tonitruante capable de faire terre une assemblée d’un seul mot. Découvrir aujourd’hui qu’elle souffrait le martyre pendant que nous ries répliques cultes ajoute une dimension tragique à son œuvre.
C’est le sacrifice ultime de l’artiste brûler ses dernières réserves d’énergie pour maintenir l’illusion pour que le spectacle continue coûte que coûte. Ce secret médical n’était pas un mensonge mais une ultime politesse, une dernière élégance envers son public. Buna ne voulait pas qu’on se souvienne d’elle dans un lit d’hôpital affaibli et dépendante.
Elle voulait rester cette figure maternelle et indomtable, cette reine de la fête qui ne baisse jamais les bras. En cachant son agonie, elle nous a offert le cadeau de conserver une image intacte de sa puissance vitale. C’est seulement maintenant, alors que le rideau est tombé définitivement, que nous mesurons l’ampleur de sa force de caractère.
Elle n’était pas seulement une actrice comique. Elle était une tragédienne de sa propre vie, jouant le rôle de la femme en bonne santé avec une conviction bouleversante jusqu’à ce que le corps ne puisse plus suivre la volonté de l’esprit. Ce paradoxe entre l’image publique et la réalité privée est sans doute ce qui rend son départ si difficile à accepter aujourd’hui.
Il y a quelque chose de vertigineux à réaliser que le rire cette arme massive qu’elle a manié avec tant de dextérité tout au long de sa carrière était devenu sur la fin son ultime rempart un bouclier contre la fatalité. Bona incarna l’archétype de l’artiste total, celle pour qui la scène agit comme une drogue puissante capable de suspendre temporairement la souffrance physique.
C’est le syndrome du clown triste, poussé ici à son paroxysme. Plus la douleur intérieure est vive, plus l’éclat de rire extérieur doit être bruyant pour la couvrir. Nous avons tous en tête ces dernières apparitions, ses interviews où elle lançait ses piques légendaires avec une verve intacte. Qui aurait pu deviner en la voyant ainsi que chaque déplacement lui coûtait une énergie surhumaine ? Il faut imaginer l’envers du décor ces coulisses que personne ne voyait.
Une fois les projecteurs éteints, une fois le maquillage retiré la lionne redevenait une femme vulnérable rattrapée par la fatigue de la chimiothérapie et les assauts de la maladie. C’est une dualité déchirante. D’un côté, Biyuna star, l’icône celle qui ne se plaint jamais et qui porte sur ses épaules le moral de tout un peuple.
De l’autre, Ba la femme confrontée à la fragilité de son propre corps. Cette dichotomie n’était pas une forme de duplicité, mais une exigence professionnelle et morale qu’elle s’imposait. Elle appartenait à cette génération d’artistes à l’ancienne pour qui montrer sa faiblesse au public, s’apparente à une faute grave, un manque de respect envers ceux qui ont payé leurs billets pour oublier leurs propres soucis.
Cette attitude héroïque soulève une question profonde sur la solitude de l’idole. Être biya, c’était être une force de la nature en permanence. Elle était le pilier la mam nationale vers qui l’on se tourne pour trouver du réconfort. Mais vers qui pouvait-elle se tourner quand le corps lâchait ? En choisissant de rire sur scène tout en pleurant peut-être en coulisse, elle a porté un fardeau émotionnel immense.
Elle a transformé ses angoisse de mort en van ilarante, sublimant sa propre tragédie pour en faire de la comédie. C’est là que réside le véritable génie de Biyuna. Bien au-delà de ses talents d’actrice, elle a utilisé son art comme une thérapie non seulement pour elle-même, mais pour nous tous, refusant jusqu’au bout de devenir un objet de pitié.
Aujourd’hui, en revoyant ses sketchs ou ses rôles au cinéma avec ce nouveau prisme de lecture, chaque sourire prend une autre dimension. On y décelle une urgence, une intensité particulière. C’était le rire de la survie. Elle nous a donné tout ce qu’elle avait puisant dans ses dernières ressources vitales pour ne pas briser le myth.
Ce double visage, loin d’être une trahison, est la preuve ultime de son amour pour son public. Elle a préféré nous laisser le souvenir d’une femme debout bruyante et vivante plutôt que celui d’une malade allitée. Elle a soigner sa sortie avec la même minutie qu’elle préparait ses entrées en scène veillant à ce que la dernière image imprimée sur nos rétines soit celle de la joie et non celle de la fa.
Pour comprendre d’où venait cette résilience inouie face à la maladie, il faut remonter aux origines du mythe, plongé dans les ruelles d’Alger qui l’ont vu naître et grandir. Bayabou n’a pas été fabriqué dans les écoles de théâtre asceptisé ni façonné par des agents artistiques calculateurs. Elle est une enfant du peuple, une fleur sauvage poussée sur le bitume brûlant de Bellcour, ce quartier populaire d’Alger où la vie se croque à pleine dent malgré les difficultés.
Dès ses débuts, bien avant de devenir l’icône Biyuna, elle portait déjà en elle cette rage de vivre. Danseuse dans les mariage, chanteuse de cabaret à la voix rque et enivrante, elle a appris son métier sur le terrain au contact direct d’un public exigeant qui ne pardonne pas la médiocrité. C’est là dans la fumée des salles de fête et l’effervescence des nuits algéroises qu’elle a forgé cette carapace qui allait lui servir toute sa vie.

Son ascension est celle d’une anomalie magnifique. Dans une société souvent conservatrice, Biuna a osé être libre, bruyante, fumeuse, buveuse sans jamais s’excuser d’exister. Elle est devenue la voix de celle qui n’en avitent pas incarnant à l’écran comme à la ville, la femme algérienne moderne, complexe et insoumise.
Le véritable tournant s’opère avec la site culte NAS Mla City. Soudain, elle s’invite dans tous les salons du pays. Elle devient la mère, la tante, la voisine que tout le monde connaît. Elle fait rire une Algérie qui sortait à peine d’une décennie noire traumatisante, agissant comme un pansement sur une plaie nationale. Mais son talent était trop vaste pour rester confiné à une seule rive de la Méditerranée.
Le cinéma d’auteur sous l’œil bienveillant de réalisateur comme Nadir Moknesch ouvert les portes de l’international révélant une profondeur dramatique insoupçonné derrière la pitrerie. L’arrivée en France a marqué la deuxième naissance de Buna. Ce n’était pas gagné d’avance combien d’artistes stars dans leur pays se cassent les dents en essayant de conquérir Paris.
Mais Biyuna avait cette magie rare de l’universalité. De Délice Paloma à la source des femmes, en passant par ses collaborations avec la nouvelle scène comique française, elle a imposé son style unique. Elle ne jouait pas la comédie, elle était la comédie. Elle a apporté au cinéma français une authenticité brute. Une guille qui rappelait les grandes figures du passé comme Harletti mais avec une saveur épicée purement maghrébine.
Voir son nom briller en lettre rouge sur la façade de l’Olympia où monter les marches du festival de Cann n’était pas une simple réussite personnelle. C’était la revanche d’une femme partie de rien qui a traversé les frontières culturelles et sociales sans jamais trahir ses racines. Ce parcours hors norme de la case au tapis rouge parisien force le respect par sa cohérence.
À aucun moment, Biuna n’a cherché à se lisser pour plaire à l’establissement de Parisien. Elle a gardé son accent, ses expressions, sa franchise déconcertante. C’est précisément cette intégrité qui a fasciné le public et les critiques. Elle était le pont vivant entre deux pays prouvant que l’art pouvait transcender les tensions politiques et les cicatrices de l’histoire.
Elle a réussi l’impossible être revendiquée avec la même ferveur par les Algériens et par les Français. En regardant en arrière, on réalise que son succès n’était pas un hasard, mais le résultat d’une alchimie parfaite entre un talent iné et une personnalité débordante d’humanité. Une combinaison qui ne se produit qu’une fois par génération.
Aujourd’hui, alors que la nouvelle de sa disparition se répand comme une traînée de poudre, c’est tout un pan de l’industrie du spectacle qui va sur ses base. La réaction du monde artistique est à la mesure du vide qu’elle laisse immense, immédiate et viscérale. Sur les réseaux sociaux, les hommages ne se contentent pas d’être polis ou convenus.
Ils sont imprégnés d’une douleur réelle palpable. Des réalisateurs qui l’ont dirigé aux jeunes humoristes qui l’ont prise pour modèle tous semblent sonner par la brutalité de l’annonce. C’est comme si soudainement la lumière s’était éteinte dans une pièce où l’on se sentait bien. Les messages affluent de partout brisant les barrières habituel entre les générations et les genres artistiques.
On voit des icônes du cinéma d’auteur français pleurer la même femme que les stars du rail algérien, preuve ultime de son impact transcendental. Certains témoignages sont particulièrement poignants, révélant la nature maternelle et protectrice de Biyuna en coulisse. Des acteurs raconte comment, entre deux prises, elle leur préparait à manger, les conseiller sur leur peine de cœur ou les remettait à leur place avec une affection bourrue.
“Elle était notre maman à tous”, peut-on lire récurrentement. Ces anecdotes qui sortent aujourd’hui de l’ombre dessinent le portrait d’une femme d’une générosité sans borne. Elle ne se contentait pas d’être une collègue de travail. Elle créait une famille partout. où elle passait.
Pour beaucoup de jeunes talents issus de l’immigration, elle était une boussole la preuve vivante qu’on pouvait réussir sans renier qui l’on est. Sa perte raisonne donc doublement, c’est la fin d’une artiste majeure, mais aussi celle d’une figure tutellaire irremplaçable. Les médias français et algériens, habituellement prompent à souligner leurs différences, s’unissent aujourd’hui dans une même tristesse.
Les chaînes de télévision bousculent leur programme pour rediffuser ces films et ses spectacles transformant le petit écran en un mémorial géant. C’est dans ces moments de deuil collectif que l’on mesure la véritable stature d’une personnalité. Billiona n’était pas juste populaire. Elle était aimée d’un amour profond et sincère qui dépasse la simple admiration professionnelle.
Elle avait ce don rare de faire sentir à chaque spectateur qu’il la connaissait personnellement, qu’elle faisait partie de son quotidien. Sa voix éraillée faisait partie de la bande son de nos vies, de nos fêtes de famille, de nos moments de déprime qu’elle savait si bien dissiper. La tristesse est d’autant plus lourde que beaucoup réalisent maintenant qu’ils n’ont pas eu l’occasion de lui dire au revoir ni merci.
Les hommages postumes ont toujours ce goût amer du regret. On regrette de ne pas l’avoir assez célébré de son vivant, de ne pas avoir su lire la fatigue derrière le maquillage. Mais au-delà des larmes, ce qui domine dans cette pluie d’hommage, c’est la reconnaissance. Merci Buna d’avoir été cette tempête de vie.
Merci d’avoir osé dire tout haut ce que tout le monde pensait tout bas. Le showbsiness continuera certes car la machine ne s’arrête jamais mais il y aura désormais un avant et un après. Une couleur unique a disparu de la palette et le tableau général semble soudainement beaucoup plus terne sans son éclat flamboyant. Maintenant que le tumulte des premiers instants s’apaise doucement laissant place au recueillement, il est temps de regarder au-delà de la perte immédiate.
Biyuna a tiré sa révérence. Mais que nous laisse-elle vraiment une fois les lumières éteintes ? Son héritage dépasse largement la somme de ses filmographies et de ses discographies. Ce qu’elle lue aux générations futures, c’est une philosophie de vie, une posture de résistance face à la morosité et aux interdits.
Biyuna n’était pas une militante politique au sens classique du terme. Elle ne brandissait pas de slogans, mais son existence même était à un acte politique. En refusant de rentrer dans les cases, en assumant ses excès, sa voix grave et sa liberté de ton, elle a dynamité les carcans qui pèent souvent sur les femmes dans nos sociétés méditerranéenne.
Elle laisse derrière elle le sillage lumineux d’une femme qui a su rester libre jusqu’au bout. C’est peut-être cela son l’aigle le plus précieux avoir prouvé qu’on peut être une femme maghrébine populaire, traditionnelle et moderne à la fois sans jamais demander la permission à personne. Pour des milliers de jeunes filles qui rêvent d’art et d’émancipation, Biyuna restera ce phare dans la nuit la preuve vivante que l’authenticité est la plus grande des forces.
Elle a ouvert des portes qui, espérons-le, ne se refermeront jamais derrière elle. Son audace a permis à une nouvelle vague d’humoriste et d’actrices d’oser être elles-même, de parler fort de rire gras et de prendre toute la place qui leur revient. Son départ marque aussi la fin d’une certaine époque, celle d’une proximité charnelle entre l’artiste et son public, loin des filtres Instagram et des communications asceptisées.
Buna était vraie avec ses failles et ses génies. Elle emporte avec elle un bout de notre innocence cette époque où l’on pouvait rire de tout ensemble sans arrière-pensée. Mais si la tristesse est légitime, elle ne doit pas occulter la gratitude. Nous avons eu la chance immense d’être ces contemporains, de vivre à l’heure de Bona.
Ces répliques cultes continueront de raisonner dans les conversations. Ces chansons continueront d’animer les fêtes de mariage et son visage continuera d’illuminer nos écrans. Au moment de lui dire adieu, il ne faut pas imaginer Biyuna triste. Il faut l’imaginer retrouvant là-haut les autres légendes qui l’ont précédé.
Peut-être en train d’organiser une fête grandiose, une cigarette à la main et un bon mote aux lèvres. Elle n’aurait pas voulu de nos larmes ou alors juste le temps d’un hommage avant que la musique ne reprenne. Elle nous laisse une consigne muette mais claire. Vivez et riz et surtout ne laissez jamais personne vous dire qui vous devez être.
Bayabou s’est éteinte à l’hôpital Benimessous, mais elle est devenue immortelle. Elle ne repose pas en paix. Elle repose en gloire dans le cœur de millions de gens qu’elle a su rendre un peu plus heureux, un peu plus léger. Adieu l’artiste et merci pour ce voyage extraordinaire. Le rideau tombe, mais les applaudissements eux ne cesseront jamais.
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