Ils Ont Tout Perdu : 25 Acteurs Français Morts dans la Misère
Derrière les lumières éclatantes du cinéma français, lorsque les caméras s’éteignent et que le rideau tombe, de nombreuses destinées autrefois adulé sombre peu à peu dans le silence. Certains visages qui un temps remplissaient les salles obscures, ont fini leur vie dans la solitude, la précarité, oubliée par le temps et le public.
Dans cette vidéo, nous poursuivons notre hommage à ces artistes. 25 acteurs français disparus dans la misère mais qui méritent d’être rappelés avec tout le respect qui leur est dû. Roger Mirmont de son vrai nom Roger Mirmont né le 3 juillet 1946 à Bordeaux en France fut l’une des figures marquantes du cinéma politique et social français des années 1970 avec un jeu puissant, réaliste et d’une grande profondeur.
Le public et la critique se souviennent surtout de lui pour le film La question 1977 qu’il tourne vers l’âge de 31 ans où il incarne un journaliste torturé sur fond de guerre d’Algérie. Un rôle lourd sur le plan émotionnel et fortement empreint de dénonciation. Bien que ses capacités ai été largement reconnues et qu’il ait participé à de nombreuses œuvres de valeur, la carrière de Roger Mirmont s’est peu à peu essoufflé car il refusait de se plier au goût du grand public et fut même considéré comme trop politique dans le choix de ses rôles. Par la suite, il

disparaît presque entièrement des écrans et mène une vie discrète sans tapage ni médiatisation. Il est décédé en 2020 dans une quasi indifférence, une fin silencieuse pour un artiste qui avait pourtant su obliger le cinéma français à l’écouter. Jean Saudry, né le 17 juillet 1928 à Bordeaux en France, est l’un de ses visages familiers du cinéma français, souvent associé à des seconds rôles rugueux, notamment dans la peau de tru ou de personnages en marge de la société.
Il marque les esprits dans le célèbre film Le Grand blond avec une chaussure noire, 1972, alors qu’il a environ 44 ans en incarnant l’un de ses personnages silencieux mais qui apporte une couleur très particulière à l’ensemble. Malgré sa participation à de nombreuses œuvres à succès, Jean Saud n’accède jamais au rang de vedette. On se souvient surtout de lui comme des un visage connu dont on ignore le nom.
Toute sa carrière ressemble à un long parcours persévérant dans l’ombre, sans grand prix ni vaste reconnaissance. Vers la fin de sa vie, il mène une existence discrète, presque totalement oubliée des médias et du public. Jean Saudré s’éteint le 31 août 2002 à Rockbrun Cap Martin à l’âge de 74 ans refermant le destin d’un artiste qui aura servi de toiles de fond à la gloire des autres.
Claude Pierplu, né le 9 mai 1923 à Paris, était un comédien chevrené. Doté d’une voix ro singulière et d’un jeu profondément empreint de satire, il se fait largement connaître du grand public grâce à son rôle de narrateur dans la série animé culte les Shadok, 1968 alors qu’il a environ 45 ans.
Sa voix, à la fois sèche, décalée et pleine d’humour devient emblématique pour toute une génération de téléspectateurs français. Il marque aussi les esprits dans la série comique Palace où il incarne l’homme à la clé d’or. Bien que son talent soit reconnu dans le milieu artistique, Claude Piéplu ne sera jamais vraiment célébré à l’échelle nationale.
On le considère souvent comme un compteur plutôt que comme un grand acteur. Vers la fin de sa vie, il mène une existence discrète et finit par être presque oublié du grand public. Claude Pied plus s’éteint le 24 mai 2006 à Paris après une longue lutte contre la maladie. Une fin silencieuse pour celui qui avait fait rire tout un pays rien qu’avec sa voix.
Jean Sarue né le 11 mai 1945 à Puto en France fut l’un des membres piliers du groupe comique et musical légendaire les Charlot qui a bouleversé le boxoffice dans les années 1970. Il est surtout connu du grand public pour le film Les bididas sans folie 1971 qu’il tourne vers l’âge de 26 ans un rôle qui offre au public des éclats de rire mémorables et lui vaut une immense popularité dans toute la France.

Mais après ces années de gloire, les projecteurs se sont peu à peu éteints. Les films suivants ne rencontrent plus le même succès. Le groupe se sépare et Jean Saru doit affronter des difficultés financières ainsi que de douloureux échecs professionnels. La vie d’artiste autrefois acclamé sombre alors dans le silence et peu à peu, son nom disparaît de la mémoire du grand public.
Jean Saru s’est éteint le 19 février 2025 à Blelle en France après avoir lutté un certain temps contre un cancer du cerveau, clôturant ainsi la vie d’un artiste qui avait fait rire toute une génération mais qui s’en est allé dans la solitude et la discrétion. Marc Dudikour né le 6 mai 1932 à Amien en France était un comédien chevroné qui a consacré toute sa vie au théâtre, à la télévision et au cinéma.
Il est surtout connu du grand public pour son rôle de flambard dans la série télévisée à succès les nouvelles aventures de Vido 1971 qu’il interprète vers l’âge de 39 ans. Un policier perspicace, froid en apparence mais non dénué d’humour. Malgré un jeu naturel et une forme de charme discret, Marc Dudicour a passé l’essentiel de sa carrière dans l’ombre quantonné au second rôle derrière la gloire des grandes vedettes et se vit rarement offrir l’occasion de briller pleinement.
À l’approche de la fin de sa vie, il est peu à peu oublié par les nouvelles générations. Son nom étant de moins en moins cité et les médias ne s’y intéressant presque plus. Il continue pourtant à servir son art jusqu’au bout sans se plaindre, sans amertume. Marc du cours s’est éteint le 1 mai 2021 à Paris à quelques jours seulement de son 89 anniversaire refermant le parcours d’un artiste discret mais profondément respectable.
Roger Carel de son vrai nom Roger Bancharel né le 14 août 1927 à Paris est l’un des plus grands comédiens de doublage de France. Il est surtout connu pour avoir prêté sa voix à Astérix, à ses trois pots dans Star Wars et à Winnie Lourson des personnages qui ont accompagné l’enfance de millions de spectateurs. Lorsqu’il double le film d’animation Astérix et Cléopâtre 1968, il n’a que 41 ans mais sa voix est déjà en passe de devenir légendaire dans le monde du cinéma français.
Bien qu’il soit très respecté par ses pères, Roger Carel mène une vie modeste apparaissant peu en public, ce qui fait que les jeunes générations finissent peu à peu par l’oublier au cours des dernières années de sa vie. Sans hommage national à la hauteur de son apport, sans lumière des projecteurs pour l’accompagner une dernière fois, il s’éteint discrètement le 11 septembre 2020 à Montefermeille, à l’âge de 93 ans au clôturant le destin d’un artiste qui donna une voix à d’innombrables personnages mais dont la propre existence se déroula dans la

discrétion. Christine Pascal née le 29 novembre 1953 à Lyon en France était une actrice et réalisatrice majeure du cinéma français des années 1970 à 1990. Elle se fit d’abord connaître grâce à un rôle dans Les 400 coups de François Truffaud, puis brilla avec le personnage de Sylvie dans La meilleure façon de marcher, 1976, à seulement 23 ans.
Un rôle audacieux et d’une grande profondeur psychologique qui révéla une artiste particulièrement prometteuse. Pourtant, derrière la lumière des projecteurs, Christine Pascal dut affronter en permanence la dépression et une instabilité intérieure douloureuse. Sa sensibilité extrême et un profond sentiment de solitude la poussèrent peu à peu à se refermer sur elle-même, même si sa carrière fut jalonnée de réussite comme le Petit Prince A dit ou adultère mode d’emploi.
Le 30 août 1996, alors qu’elle était soignée dans un hôpital psychiatrique à Garche, elle mit tragiquement fin à séjour en se jetant d’une fenêtre à 42 ans, laissant le cinéma français brutalement sous le choc. Né le 20 janvier 1926 à Paris, Bernard Lavalette était un acteur, humoriste et chanteur lyrique aimé du public pendant un demi-siècle.
Il s’est fait remarquer dans le rôle du ministre du commerce dans le film Comic Culte, La Belle américaine, 1961, à l’âge de 35 ans ainsi que dans des seconds rôles pleins de charmes comme le grand restaurant ou le petit baigneur. Bien qu’il ait longtemps été un visage familier de la scène et de la télévision, la Valette obtint rarement des premiers rôles.
Avec le temps, les feux de la rampe s’éteignirent et son nom tomba à peu dans l’oubli face à la nouvelle génération d’artistes. Il vivait simplement loin du tumulte du showbsiness, regrettant parfois que le public ne se souvienne que des rires, pas de ceux qui les font naître. Il est décédé paisiblement le 14 décembre 2019 à Paris à 93 ans, clôturant la vie d’un artiste talentueux parti dans le silence.
Patrice Cherot né le 2 novembre 1944 à Lesésigné en France était un metteur en scène de théâtre, cinéaste et acteur à la vision exigeante et profondément moderne. Il se fait connaître du grand public international en incarnant le général Montcalme dans le succès hollywoodien The Last of the Moikan, 1992 vers l’âge de 48 ans, un rôle bref mais chargé de densité historique et d’émotion.
En France, toutefois, sa carrière reste surtout liée à des œuvres théâtrales et filmiques marquées par la tragédie, la passion et une violence psychologique parfois jugé difficile d’accès, ce qui lui vaut l’admiration des critiques plus que l’adhésion du grand public. Sa trajectoire ressemble à une longue marche artistique, solitaire mais déterminée, où chaque mise en scène apparaît comme une tentative de pousser plus loin les limites du langage scénique et du cinéma.
Patrice Cheromur le 7 octobre 2013 à Clich des suites d’un cancer du poumon à 68 ans laissant derrière lui une œuvre intense et durable. Jean-Marc et Thiba né le 24 août 1923 à Saint-Brilvine dans Lyonne en France débute sa carrière d’acteur avec une sobriété et une présence scénique remarquable. Il est surtout connu du grand public pour son rôle de George Boissier dans la série télévisée à Succès Maggie 1985 qui interprète vers l’âge de 62 ans incarnant un mari doux et bienveillant au sein d’un foyer bourgeois typique. Bien qu’il ait
conquis le cœur du public pendant les années fastes de la télévision française, Thbo c’est peu à peu retrouvé cantonné à des seconds rôles rarement sollicités pour des personnages novateurs et finit par être presque oublié par les générations suivantes. Les projecteurs s’éteignent tandis que son nom demeure dans la mémoire de quelque nostalgique.
Jean-Marc Thba s’est éteint le 28 mai 2017 à Marseille des suites du grand âge à 93 ans clôturant la vie d’un comédien fidèle à son art mais qui ne fut jamais tout à fait placé au centre de la lumière qu’il méritait. Maria Schneder né le 27 mars 1952 à Paris en France est devenu mondialement célèbre pour son rôle de Jeanne dans le dernier tango à Paris 1972 au côté de Marlon Brando à seulement 20 ans.
Un film controversé mélant sexualité et pouvoir. Si ce rôle lui apporte d’emblé la gloire et de grandes attentes, il marque aussi le début d’un profond traumatisme. Schneeder subit en effet les conséquences psychologiques d’une scène emblématique dite à la margarine qu’elle révéla plus tard ne pas avoir été prévenue à l’avance et qu’elle vécut comme une véritable violation émotionnelle.
Réduite malgré elle au statut de symbole érotique, elle peine ensuite à trouver des rôles, les réalisateurs hésitant à l’engager tandis que le public l’oublie à peu. Sa santé se dégrade au fil des ans. Maria Schneeder s’est éteinte le 3 février 2011 à Paris. Des suites d’un cancer du sein, à l’âge de 58 ans laissant derrière elle la trace d’une comédienne aussi lumineuse que brisée, a jamais lié à un scandale qu’elle n’avait pas choisi.
Patrick de Wer, né le 26 janvier 1947 à Saint-Brieux en France fut l’un des acteurs les plus talentueux et prometteurs du cinéma français des années 1970. Il accède à la célébrité grâce à son rôle dans les Valseuses, 1974 à l’âge de 27 ans où il incarne Jean, un jeune homme révolté au côté de Gérard Pardieu. Ce film devient emblématique d’une génération libre et provoquante, tout en révélant un acteur d’une intensité rare.
Mais derrière cette réussite se cache une existence tourmentée. Patrick de Wer lutte contre la dépression, la dépendance et un profond sentiment d’abandon alors que sa carrière s’essouffle et que les grands rôles se font plus rare. Esprit hypersensible, tiraillé entre le génie et l’autodestruction, il finit par mettre fin à ses jours le 16 juillet 1982 à Paris à seulement 35 ans.
Il laisse derrière lui une œuvre bouleversante et la mémoire d’un comédien incandescent dont le talent fut aussi éclatant que tragiquement consumé. Corine Lucher, née le 11 février 1921 à Paris fut l’une des étoiles montantes du cinéma français à la fin des années 1930. Elle se fait connaître du grand public grâce à son rôle de Nellide en prison sans barreau 1938 à seulement 17 ans.
Un personnage qui lui vaut d’être salué comme la garbo française. Doté d’une beauté fière et d’un jeu d’une grande spontanéité, Corine devient rapidement une icône de l’écran et un symbole d’élégance. Mais cette ascension fulgurante s’interrompt brutalement. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle est compromise par les activités de son père, un homme politique accusé de collaboration avec l’Allemagne nazie, ce qui entraîne la ruine de sa carrière.
Déchu de sa nationalité et rejetée par la société, elle vit ces dernières années dans la misère et la maladie. Atteinte d’une grave tuberculose, Corine Lucher meurt à Paris le 22 janvier 1950. À l’âge de 28 ans, un destin brisé marqué par l’éclat, la guerre et une solitude irréversible. Mousse Diouf, né le 28 octobre 1964 à Dakar au Sénégal est devenu célèbre grâce à son rôle de l’inspecteur Numa dans la série télévisée Julie Lesco qu’il interprète dès l’âge d’environ 28 ans.
Ce personnage à la fois drôle, attachant et humain lui a valu une grande popularité auprès du public français. Pourtant, derrière cette réussite se cache un parcours difficile. Après le succès, Mousse Diouf doit affronter la fatigue, la maladie et le poids d’une carrière dans laquelle il se sent enfermé dans une image comique, rarement reconnu comme un acteur dramatique à part entière.
En 2009, il est victime de deux accidents vasculaires cérébraux successifs qui le laissent gravement diminuer et mettent un terme à son activité artistique. Malgré le soutien du public et de ses proches, il ne parvient pas à se rétablir complètement. Mousf s’éteint le 7 juillet 2012 à Marseille à l’âge de 47 ans, emportant avec lui la mémoire d’un artiste talentueux, populaire et profondément humain, trop tôt disparu.
Bernadette Lafond, née le 28 octobre 1938 animes, en France, s’impose comme l’une des figures emblématiques du cinéma français des années 1960. Elle se révèle au grand public dans les bonnes femmes 1960 à 22 ans en incarnant J une jeune femme libre et rêveuse au cœur d’une société en mutation. Ce rôle fondateur porté par la nouvelle vague fait d’elle un symbole de modernité et de féminité insolente.
Tout au long de sa carrière, elle tourne avec les plus grands cinéastes. Mais derrière cette réussite se cache une vie marquée par la douleur. En 1988, la mort tragique de sa fille Pauline la plonge dans un chagrin profond dont elle ne se remettra jamais complètement. Plus tard, elle affronte la solitude et le passage du temps avec pudeur et dignité.
Bernadette Lafon s’éteint le 25 juillet 2013 anime à 74 ans des suites d’une insuffisance cardiaque laissant plus de 12 films et le souvenir d’une actrice libre passionnée et inoubliable. Pauline Lafond née le 6 avril 1963 à Nî en France s’est révélé au grand public grâce à son rôle de lila dans l’été en pente douce 1987 qu’elle interprète à seulement 24 ans.
Ce personnage fragile et lumineux lui vaut d’être salué comme l’une des actrices les plus prometteuses de sa génération. Derrière son regard à la fois joyeux et mélancolique, Pauline laissait transparaître une sensibilité rare, une intensité qui touchait profondément le spectateur. Mais sa vie, marquée par la pression du nom qu’elle portait celui de sa mère, la comédienne Bernadette Lafond fut aussi faite d’ombre et de doute.
Le destin en décide tragiquement autrement. Le 11 août 1988, lors d’une randonnée à Bardé Séven en Lauser, elle fait une chute mortelle d’une falaise. Elle avait 25 ans. Sa disparition brutale bouleverse le cinéma français et laisse l’image d’une étoile fulgurante, aussi belle qu’éphémère, emporté au seuil de la maturité artistique.
Anemon, né le 9 août 1950 à Paris en France, reste dans la mémoire du public grâce à son rôle de Thérèse dans le célèbre film comique Le Père Noël est une ordure. 1982. À environ 32 ans, elle y incarnait un personnage à la fois naïf et malicieusement décalé devenu une véritable icône de la comédie française. Pourtant, derrière les éclats de rire se cachaient des années de tourment.
Anemon a lutté contre la maladie, contre le sentiment d’être peu à peu oublié du public au fil du temps et contre l’impression que les artistes comme elle n’étaient pas à leur juste place dans le paysage du divertissement moderne. Elle s’est éteinte le 30 avril 2019 à Poitier. Des suites d’un cancer du poumon, à l’âge de 68 ans, une fin discrète pour celle qui avaiit autrefois fait retentir les salles de cinéma de rire, mais qui a finalement dû porter le poids de la solitude derrière les projecteurs. Marie Dubois, né le 12
janvier 1937 à Paris en France, s’est fait largement connaître grâce à son rôle de Lena dans le film tiré sur le pianiste 1960 alors qu’elle n’avait qu’environ 23 ans entrant sous les projecteurs avec l’audace et le style caractéristique de la nouvelle vague. Malgré un talent d’actrice puissant et une filmographie de plus de 120 œuvres, la vie de Marie Dubois n’a pas échappé au tournant sombre.
Elle fut diagnostiquée assez tôt d’une sclérose en plaque, une maladie qui freina lourdement sa carrière et la poussa à se retirer progressivement du grand écran alors qu’elle était encore jeune. Marie du Bois est décédée le 15 octobre 2014 à l’escar dans les Pyrénées Atlantiques. Des suites de complications liées à sa maladie à l’âge de 77 ans.
Son parcours de jeune étoile prometteuse à des années marquées par la souffrance et le silence demeure un rappel poignant du prix du talent, du temps et de ses aspiration qui ne s’éteignent jamais. Anisé Alvina né le 28 janvier 1953 à Boulogne Bill en cours en France a marqué les esprits grâce à son rôle de Michel dans le film International Friends 1971 alors qu’elle n’avait qu’environ 18 ans apportant une image à la fois jeune libre va audacieuse.
Malgré des débuts prometteurs portés par sa beauté et son talent, Anisé fut rapidement enfermé dans l’étiquette de Nymête séduisante. Un cadre imposé par le milieu du cinéma qui la cantonna à des rôles simplifiés et l’empêcha d’atteindre le sommet que le public avait un temps entrevu pour elle.
Sa vie fut empreinte d’un silence discret derrière les projecteurs. Les rôles principaux se firent de plus en plus rares. Son nom s’effaça peu à peu finit par disparaître alors qu’elle était encore trop jeune. Anissé Alvina est décédée le 11 novembre 2006 à Paris des suites d’un cancer du poumon à seulement 53 ans mettant un terme à la trajectoire d’une artiste qui avait brillé puis s’était éteinte trop vite, laissant dans le cœur du public à la fois tristesse et tendresse.
Jean-François Stevenin né le 23 avril 1944 à Lonier dans le Jura en France est largement connu pour son rôle de Jean-François Richet dans le film L’argent de poche 1976 alors qu’il a une trentaine d’années où il incarne une âme à la fois jeune et incisive au cœur de l’univers scolaire français du XX siècle.
Bien qu’il ait marqué plus de 150 projets en tant qu’acteur, sa carrière est restée en grande partie reléguée à l’ombre des seconds rôles. Stevenin était un visage familier sans jamais se voir confier les responsabilités les plus en vues, si bien que son nom s’est peu à peuompé aux yeux du public des nouvelles générations.
Il est décédé le 27 juillet 2021 à Neï sur scène après une longue lutte contre la maladie à l’âge de 77 ans. Le parcours de Jean-François Stévenin des feux de la rampe aux jours éloignés de la gloire demeure un puissant rappel que le génie ne s’accompagne pas toujours de la reconnaissance et du triomphe. Harletti de son vrai nom Léoni Marie Julie Batia né le 15 mai 1898 à Courbevoie en France fut une icône du grand écran français des années 1930 à 1940 rendue célèbre par son interprétation de garance dans le chef-dœuvre cinématographique Les
enfants du paradis 1945 alors qu’elle avait environ 47 ans. Sa beauté singulière et son allure distante long hisée au rang de star mais sa vie est aussi marquée par une tâche indélébile. sa liaison avec un officier allemand pendant la seconde guerre mondiale lui valut d’être condamné comme collaboratrice, emprisonnée et presque totalement rejeté par le milieu artistique.
Sans jamais exprimer de remords public, elle déclara un jour avec amertume : “Mon cœur est français mais mon corps est à moi.” À la fin de sa vie, Harletti vécut dans la solitude, presque aveugle et loin des feux de la rampe. Elle s’est éteinte le 23 juillet 1992 à Paris, clôturant une existence où la gloire se mêlait au scandale dans le même silence discret que les dernières années qu’elle avait traversé.
Dominique d’avr née le 27 janvier 1919 à Paris en France est resté dans la mémoire du public grâce à son rôle de Julie dans le film Casque d’or 1952 qu’elle interprète à environ 33 ans incarnant une femme au cœur du récit aussi bien sur scène qu’à l’écran. Bien qu’elle ait participé à de nombreux films célèbres tels que les espions, Cléo de 5 à 7 ou encore les tontons flingueurs, la carrière de Dominique demeura cantonné au second rôle.
Les rôles principaux furent rares et son nom s’effaça progressivement au fur et à mesure que les années passaient. Derrière les projecteurs se déroulèrent des décennies plus ternes marqué par des rôles discrets et un intérêt médiatique presque absent. Dominique d’Avr est décédé le 16 août 1998 à Paris à l’âge de 79 ans clôturant le parcours d’une artiste dévouée que l’histoire du cinéma et le temps ont laissé glisser dans un quasi oubli.
Romy Schneder, né le 23 septembre 1938 à Vienne en Autriche fut l’une des actrices les plus marquantes du cinéma européen du XX siècle. Elle accéda très tôt à la célébrité grâce à son rôle d’Élisabeth de Bavière dans la trilogie Sissi 1955 qu’elle interpréta à seulement 17 ans. Son incarnation délicate et lumineuse de la jeune impératrice conquit un public immense.
Mais cette image idéalisée devint aussi un piège dont elle eut beaucoup de mal à s’éloigner. Derrière l’apparence d’une vie brillante, Romy traversa de nombreuses épreuves : pression médiatique, relation sentimentales tourmentée et lutte permanente pour se libérer du rôle qui avait façonné sa renommée.
Le drame le plus dévastateur de son existence fut la mort accidentelle de son fils en 1981, événement qu’il anéantit profondément. Affaibli par le chagrin et la dépression, elle vécut ces dernières années dans une grande fragilité. Romy Schneeder est décédé le 29 mai 1982 à Paris, laissant l’héritage bouleversant d’une étoile à la fois éclatante et tragique.
Marie Trintignan née le 21 janvier 1962 à Boulogne Bill en cours en France est la fille du légendaire acteur Jean-Louis Trintignan. Très tôt, elle révèle un talent remarquable et devient l’une des comédiennes les plus respectées du cinéma français. Elle se fait largement connaître grâce à son rôle dans série noire 1979 alors qu’elle n’a que 17 ans.
Puis s’illustre avec éclat d’emby 1992 et de nombreux autres films d’auteur où elle apporte toujours une intense profondeur intérieure à ses personnages. Pourtant, sa vie est tragiquement assombrie par le drame. En 2003, alors qu’elle tourne un film en Lituanie, Marie est violemment agressée par son compagnon, le chanteur Bertrand Kanta, subissant de graves blessures qui la plongent dans le coma.
Malgré son transfert à Paris pour y être soigné, Marie Trintignan meurt le 1 août 2003 à l’âge de 41 ans. Sa disparition provoque une onde choc en France, laissant un immense chagrin à sa famille comme au monde du cinéma et scellant le destin brisé d’un immense talent fauché trop tôt par la violence. Ces noms se sont peut-être effacés des affiches lumineuses, mais l’empreinte qu’ils ont laissé dans le cœur des spectateurs ne s’effacera jamais.
Raconter à nouveau leur histoire, ce n’est pas raviver la tragédie, mais leur redonner un peu de lumière, un peu de mémoire qu’il mérite pleinement. Si cette vidéo vous a touché, n’hésitez pas à laisser un commentaire, à la partager autour de vous et à vous abonner pour ne pas manquer les prochaines histoires vraies derrière le rideau du grand écran. M.
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