Hervé Vilard, l’homme à la voix tendre et aux refrains éternels, a toujours chanté l’amour, mais sans jamais dévoiler le sien. Pendant plus de 50 ans, il a protégé une histoire intime, profonde, loin des projecteurs. Aujourd’hui, pour la première fois, il évoque ce secret : un amour silencieux, discret, mais total.
Il ne donne pas de nom, ni de détails. Il parle simplement d’un être qu’il appelait parfois “ma lumière”, d’un engagement pris dans une petite église perdue dans les montagnes. Pas de robe blanche, pas de témoins. Seulement deux âmes, un regard échangé, une main prise et ces mots : « Je suis à toi » – « Moi aussi. » Un mariage sans papier ni religion, mais chargé d’authenticité. Cet amour n’a jamais été crié, mais il a imprégné chaque note de ses chansons, chaque soupir murmuré dans ses textes. Aujourd’hui, Hervé ouvre cette porte non pour choquer, mais pour transmettre, comme on confie un trésor trop longtemps gardé.
Il ne cherche ni pitié ni gloire. Il raconte parce que certaines vérités méritent d’être partagées avant qu’elles ne s’effacent. Et même si la personne aimée n’est plus là physiquement, elle vit encore à travers lui : dans ses silences, ses habitudes, sa voix. Ce n’était pas une histoire de passion passagère, mais de respiration profonde. Hervé Vilard ne chante plus seulement pour le public. Il chante pour lui, pour eux deux, pour que cet amour existe encore – même dans la mémoire.
Il appelait ce carnet « les lettres qu’on ne poste jamais ». Des pages pleines de souvenirs, de petites choses, de grandes douleurs. Une recette de tarte faite un dimanche d’août, la couleur exacte du ciel ce jour-là, mais aussi des secrets lourds, des regrets qu’on n’ose dire à personne. Un jour, il l’a confié à une amie très chère : « Si je perds la mémoire, lis-le-moi. Même si je ne comprends plus, lis-le. »
Hervé Vilard n’est pas né Hervé. Il s’appelait René. René Vilard. Un nom d’enfant oublié dans un couloir d’assistance, un prénom qu’on ne prononçait jamais avec tendresse. À cinq ans, il comprenait déjà l’absence. Pas les mots. Pas « pupille de la Nation ». Mais le vide, oui. L’absence d’une main, d’une voix, d’une mère.
Elle s’appelait Blanche. On disait qu’elle était malade. Lui, il voulait juste une odeur de savon, une chanson du soir, une robe d’été à reconnaître. Elle ne venait jamais. Alors il s’est inventé une famille. Il appelait des femmes « tata », offrait des fleurs à ses musiciens, décorait chaque maison comme un refuge pour son passé.
Derrière les refrains fredonnés, il y avait cet enfant blessé, debout malgré tout. Il aurait pu sombrer. Il a choisi de chanter. D’aimer. D’habiter la vie avec cette tendresse fragile qu’on apprend quand on a manqué de tout.
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