😲Si seulement vous savez ce qui se trouve dans les maquillage…vous n’allez plus jamais l’utiliser

personne n’avait jamais remis en question la beauté d’Adama jusqu’à cette nuit où des cris retentirent depuis son manoir ce soir-là tout le quartier de kevé fut secoué le bruit provenant du vaste domaine d’Adama était différent de tout ce qu’on avait pu entendre auparavant ce n’était pas juste un cri mais une plainte si effrayante que les gens restaient figés chez eux leur cÅ“ur battant de peur on aurait dit que cela venait des profondeurs de la Terre elle-même comme si elle gémissait la ville d’habitude bruillante de voiture
et de murmur lointains tomba soudainement dans un silence de plomb le cri raésonnait dans les rues ricochait sur les haut murs de l’immeuble d’Adama et roulait à travers le quartier laissant derrière lui un calme sinistre Adama était connu de tous pour sa beauté sa peau parfaite ses yeux qui brillaient comme des étoiles dans la nuit et son sourire qui attirait tous les regards elle avait bâti un empire dans cette ville animée sa ligne de maquillage la plus recherchée de la ville attirait des femmes de tout le pays prêtes à voyager
des kilomètres pour apprendre ses secrets et capturer ne serait ce qu’une infime part de sa beauté son manoir au cÅ“ur de la ville se dressait fièrement avec ses jardins luxuriants ses fontaines étincelantes et ses au portail qui tenaient le monde à une distance respectueuse Adama vivait dans le luxe à l’intérieur des Å“uvres d’arcouteuses des canapés en velours doux et des sols en marbr brillant sous la lumière du jour elle avait tout ce qu’elle pouvait désirer et tout semblait parfait bien qu’Adama vive maintenant dans la ville
elle n’avait pas toujours été entourée de richesse et d’admiration elle avait grandi dans un petit village appelé humouolu où la vie était simple et où les gens connaissaient leur racine c’est la kadama avait découvert la vraie beauté sa grand-mère Dagan était une guérisseuse une femme qui connaissait le pouvoir de la terre Dagan lui avait transmis son savoir sur les herbes et les secrets anciens lui murmurant ses leçons précieuses lorsqu’elle était enfant la beauté ce n’est pas juste ce que tu vois disait Dagan c’est un
pouvoir un pouvoir sur les autres mais tu dois être prête à en payer le prix Adama se souvenait bien de ses mots en grandissant et elle fut peu à peu envahie par la peur de perdre sa beauté elle ne pouvait supporter l’idée de voir des rides marquer sa police ou ses cheveux s’affaiblir comme ceux des femmes plus âgées du village elle observait comment les autres femmes vieillissaient comment leur rire éclatant s’assombrissaiit et leur trèsfiier se fanit dans l’ombre de leur passé elle jura que ce sort ne serait jamais le sien alors que les autres jeunes femmes doumolou dansait sous la
lune ou passait du temps près de la rivière Adama restait enfermé pratiquant les rituels interdits que sa grand-mère avait autrefois évooqué lorsqu’elle s’installa en ville Adama réalisa rapidement que la beauté était une monnaie d’échange dans les rues bondé et scintillantes la beauté était un pouvoir et le pouvoir pouvait tout offrir mais elle savait qu’un jour sa beauté s’effacerait elle vieillirait et ne pourrait plus l’utiliser à son avantage elle lança donc une ligne de maquillage en utilisant les herbes secrètes de sa grand-mère comme base pour ses produits
la nouvelle se répandit vite le maquillage ne faisait pas qu’embellir il transformait la peau brillait les rides disparaissaient et les yeux s’illuminaient d’un éclat nouveau la renommée d’Adama grandissait de jour en jour son visage apparaissait sur des panneaux publicitaires dans des magazines et sur les écrans de télévision de toute la ville on l’adorait surtout les hommes il chérissait sa beauté et écoutait chacun de ses mots certains lui envoyaient des cadeaux coûteux tandis que d’autres feraient n’importe quoi pour être proche
d’elle son influence était inégalée beaucoup d’hommes puissants désiraient l’attention d’Adama pensant qu’elle pourrait leur apporter chance succès ou même un peu de sa magie avec sa beauté venait un grand pouvoir et Adama savait comment en tirer profit les autres jeunes femmes l’admirait et voulait être comme elle elle se rassemblait devant son studio de maquillage espérant percevoir son visage radieux ou entendre un mot gentil elle s’inscrivait à ses leçons de maquillage prête à payer de grosses sommes pour apprendre les
secrets de sa peau parfaite et du maquillage qui la rendait si envûtante la richesse d’Adama continuait de croître tout comme sa réputation sa vie semblait parfaite de l’extérieur un compte de fait de succès et de beauté chaque soir Adama s’enfermait dans l’une de ses grandes pièces au mur peint d’un rouge profond et couvert de miroirs l’air rempli du parfum de ses huiles et de ses parfums coûteux c’est là sous la douce lueur des lampes dorées qu’elle effectuait ses rituels nocturnes loin des regards de ses admirateur elle
mélangeait des ingrédients que nul humain n’aurait jamais dû toucher une par une des femmes venaient apprendre d’Adama et des femmes magnifiques disparaissaient certaines leur mémoire embrumée se sentaient affaiblies comme si une partie d’elles-même avait été emporté mais personne ne pouvait expliquer pourquoi on savait seulement qu’après une visite chez Adama quelque chose en elles avait changé cependant une femme ressentit quelque chose d’encore plus fort lorsqu’elle entra dans le studio d’Adama son nom était
adadi adadi était une maquilleuse qui venait tout juste d’arriver à kevé mais elle était différente des autres femmes elle avait une foi solide en Dieu et priait toujours avant de prendre de grandes décisions elle croyait que Dieu lui montrerait le chemin et la protégerait du danger comme tout le monde en ville adadi avait entendu parler d’Adama comme tout le monde en ville adadi avait entendu parler de la beauté et du succès d’Adama mais elle ne se précipita pas avant de faire quoi que ce soit elle
priait Seigneur dit-elle si c’est ici que tu veux que j’aille guide-moi et si ce n’est pas le cas protège-moi adadi avait une confiance totale en Dieu lorsqu’elle décida enfin de suivre des cours pendant un mois au studio d’Adama elle entra avec espoir dans le cÅ“ur mais dès qu’elle passa la porte elle se sentit mal à l’aise la pièce était magnifique avec de grands miroirs et des tables de maquillage brillantes mais quelque chose ne semblait pas correct adadi ne pouvait l’expliquer mais son esprit lui disait que quelque chose
clochait c’était comme si un vent froid avait glissé près d’elle lui faisant battre le cÅ“ur elle se sentait hors de sa place les femmes qui attendaient dans le studio avaient l’air silencieuse et absente comme si elle n’était pas vraiment là adadi les observait attentivement priant silencieusement dans son cÅ“ur Seigneur montre-moi ce qu’est ce sentiment murmura-t-elle aide-moi à comprendre quand Adama apparu enfin elle était aussi belle que d’habitude sa peau brillait ses yeux pétillaient et son sourire était doux comme du miel mais Adad remarqua quelque
chose d’étrange dans le regard d’Adama quelque chose qui la glaça intérieurement Adama la salua chaleureusement tu dois être Adad dit-elle de sa voix douce et parfaite j’ai entendu parler de toi tu veux développer ton entreprise de maquillage n’est-ce pas Adad sourit poliment mais au fond elle ressentait toujours ce froid dans son cÅ“ur elle hocha la tête mais les mots ne venaient pas facilement viens laisse-moi te montrer comment on fait dit Adama en conduisant Adad à une chaise alors qu’elle commençait à parler
de ses techniques de maquillage quelque chose en Adad se troubla son esprit se sentait léger ses pensées floues et elle n’aimait pas du tout cette sensation elle commença à prier de nouveau demandant de la force tandis qu’Adama continuait de parler adadi ressentit quelque chose de sombre dans l’air comme une force invisible dans la pièce quelque chose qui semblait vouloir l’attirer mais la foi d’adadi était forte elle pouvait sentir la protection de Dieu autour d’elle même dans cet endroit glacial soudain Adama s’arrêta
de parler et regarda adadi attentivement son sourire s’effaça un instant et ses yeux semblaent son des lames d’adadi tu es différente murmura Adama doucement presque à voix basse le cÅ“ur d’adadi manqua un battement qu’est-ce que tu veux dire demanda-t-elle même si elle savait déjà qu’Adama avait perçu sa force Adama sourit de nouveau mais cette fois ce n’était plus le sourire chaleureux d’avant c’était autre chose j’ai vu beaucoup de femmes passer par ici mais toi tu n’es pas comme les autres adadi sentit un frisson lui parcourir les chines et pria encore plus fort son cÅ“ur stable grâce à sa foi
Adama expliqua la plupart de ses produits et présenta un programme pour les cours qui commenceraient le lendemain adadi ne dit rien de plus elle se leva remercia poliment Adama et sorti du studio le cÅ“ur battant mais la foi renforcée elle savait que quelque chose n’allait pas du tout avec Adama mais elle ne comprenait pas encore pleinement ce que c’était en sortant du studio et en retrouvant les rues lumineuses de la ville Adad sentit un poids se soulever de ses épaules elle savait qu’elle venait d’être en présence de quelqu

chose de maléfique mais Dieu l’avait protégé adadi continua de suivre ses cours au studio d’Adama mais quelque chose avait changé Adama ne semblait plus ravi de voir Adad dans son studio en fait elle avait l’air mal à l’aise chaque fois qu’adad franchissait la porte la plupart du temps Adama envoyait l’une de ses assistantes pour s’occuper d’elle évitant Adad autant que possible au début Adad essaya d’être patiente mais après quelques jours elle ne put plus rester silencieuse elle avait payé une grosse somme pour être enseignée par
Adama elle-même pas par une assistante un après-midi alors qu’Adama essayait encore d’envoyer son assistante adadi parla calmement mais fermement je ne suis pas venu ici pour être enseigné par quelqu’un d’autre dit-elle je suis venu pour apprendre de toi Adama les yeux d’Adama brillèrent d’irritation mais elle conserva son sourire doux bien sûr dit-elle en s’approchant lentement d’adadi il était clair qu’elle ne voulait pas être près d’elle mais elle ne pouvait pas refuser ouvertement enfin Adama se tinint près d’adadi devant le
miroir adadi la regarda ajuster ses cheveux puis lui jeter un regard sans grand intérêt nous n’avons pas de modèle aujourd’hui dit Adama d’une voix douce mais froide donc il n’y a rien sur quoi nous puissions pratiquer tu devras revenir demain Adad resta assise observant Adama faire semblant d’être occupé à signer des papiers et à sourire à d’autres clientes visiblement satisfaite d’avoir réussi à la repousser pour la journée juste au moment où adadi fixait son téléphone la porte s’ouvrit brusquement et Oni l’ami d’adadi entra
avec un sourire à ieu j’ai appelé mon ami Oni dit à Dadi sa voix calme et ferme nous pouvons pratiquer sur elle le sourire d’Adama se crispa un instant et une déception passa sur son visage elle ne s’attendait pas à ce qu’adadi trouve une solution si rapidement elle avait voulu l’éloigner pour la journée mais maintenant à avait Conni devant elle elle n’avait d’autre choix que de continuer la leçon d’accord dit Adama d’une voix tendue en forçant un sourire commençons Oni s’assis sur la chaise excité à l’idée de participer à la leçon Adama commença à rassembler ses outils de maquillage mais avant de pouvoir
appliquer quoi que ce soit sur le visage d’Oni adadi attrapa discrètement chaque élément et pria silencieusement sur chaque pinceau chaque poudre chaque crème les yeux d’Adama se plissèrent en regardant Adad prier silence mais elle ne dit rien elle se contenta d’attendre son sourire devenant de plus en plus tendu à chaque instant il y avait une tension dans l’air que personne d’autre ne semblait remarquer mais adadi la ressentait enfin le maquillage fut terminé quand Tony se regarda dans le miroir elle poussa un cri d’émerveillement son visage était
parfait presque comme quelqu’un d’autre le maquillage l’avait transformé elle sourit touchant ses joues j’adore s’exclama telle je ne veux pas enlever ça jusqu’à ce que ça disparaisse tout seul Adad sourit heureuse que son ami aime le résultat alors que la leçon prenait fin adadi et Oni ramassèrent leurs affaires pour partir Adama toujours avec son sourire crispé appela adadi alors qu’elle se dirigeait vers la porte la prochaine fois dit Adama d’une voix douce mais avec une étrange insistance tu appliqueras tout ce que tu as appris j’attends que tu me montres ce
que tu sais faire le lendemain matin le téléphone d’adad sonna c’était son ami et sa voix tremblait de peur Adad chuchota TL il s’est passé quelque chose d’étrange la nuit dernière Adad sentit son cÅ“ur battre plus vite qu’est-ce que tu veux dire demanda-t-elle craignant déjà le pire je ne me souviens plus de grand-chose continua TL la voix tremblante c’est comme si un brouillard recouvrait mon esprit je me souviens d’être entré dans ma chambre mais après tout est flou j’ai une drôle de sensation dans la tête et j’ai fait des
cauchemars des cauchemars demanda à Dadi d’une voix ferme mais douce raconte-moi l’ami hésita son souffle lourd dans le téléphone je vois des ombres Adad des silhouettes sombres qui me poursuivent dans une forêt dense et j’ai l’impression que quelque chose essaie de m’attirer dans les ténèbres Adad serra les mâchoires elle en avait entendu assz écoute-moi tu dois prier peu importe ce qui t’arrive nous devons demander de l’aide à Dieu je crois qu’il y a quelque chose de maléfique dans le maquillage d’Adama la voix de son ami n’était plus
qu’un murmure mais comment comment du maquillage peut-il faire ça je ne sais pas encore répondit Adad la voix basse m’est résolue mais je vais découvrir ce qui se passe après l’avoir acccroché Adad pria en silence demandant des conseils puis se prépara pour son cours de maquillage avec Adama en arrivant au studio celui-ci était plein de clients et son modèle était déjà assise prête pour la leçon mais aujourd’hui quelque chose était différent Adama se tenait à ses côtés tenant chaque produit de maquillage elle-même s’assurant qu’adadi
ne touche directement aucun des produits Adama tenait chaque poudre chaque fond de teint chaque tube de maquillage et Adad ne pouvait les appliquer qu’avec un pinceau adadi trouvait cela étrange mais elle essayait de ne pas se laisser distraire elle se concentra sur son travail appliquant le maquillage avec soin sur le visage du modèle cependant au fur et à mesure qu’elle avançait le maquillage refusait de bien se fondre les couleurs semblaient fausses et rien ne s’appliquait correctement sur la peau
elle sentait les yeux des autres élèves dans le studio la regarder chuchotant discrètement entre eux quand Adad eut enfin terminé et pris du recul pour observer son travail elle se f le maquillage était horrible son modèle avait l’air pire que lorsqu’elle avait commencé le fond de teint était irrégulier les couleurs étaient mal assorties et le visage semblait sortir d’un cauchemar le cÅ“ur d’adadi se serra elle avait fait du maquillage pendant des années avant de venir dans cette ville travaillant sur des mariés des
fêtes des événements spéciaux et les gens avaient toujours adorer son travail ce n’était pas dans sa nature de faire une erreur aussi catastrophique elle ne comprenait pas ce qui avait mal tourné Adama se tenait à côté d’elle tenant toujours les produits son sourire serré et maîtrisé ne t’inquiète pas Adad dit-elle doucement d’une voix dégoulinant de fausse douceur il y a toujours de la place pour apprendre je pense que tu as juste oublié d’utiliser l’anticerne Adad la regarda confuse mais j’ai utilisé l’antierne dit-elle la voix basse j’ai utilisé tout ce que tu m’as
donné le modèle qui avait attendu patiemment se précipita maintenant aux toilettes visiblement contrarié Adad pouvait entendre l’au coulé alors que la femme essayait de se démaquiller l’esprit d’adadi tournait à toute allure elle avait suivi chaque étape utiliser chaque produit qu’Adama lui avait donné et pourtant le résultat était pire que tout ce qu’elle avait jamais fait elle se tourna vers Adama la voix pleine de frustration je ne comprends pas ce qui s’est mal passé je sais que je peux faire mieux que que ça laisse-moi essayer le maquillage sur moi-même pour te le prouver le sourire d’Adama se
criss pas encore davantage et elle secoua la tête oh Adad j’ai bien peur que ton temps soit écoulé pour aujourd’hui j’ai d’autres élèves à m’occuper et je ne peux pas rester plus longtemps mais j’ai besoin de m’entraîner protesta adadi je peux m’asseoir toute seule et pratiquer sur mon propre visage donne-moi juste quelques minutes je nettoierai tout après Adam dira secouant la tête de nouveau ce n’est pas ça adadit le studio est très occupé aujourd’hui et je dois m’assurer que tout se passe bien tu peux revenir demain et nous continuerons Adad sentit
une vague de frustration l’envahir mais il n’y avait rien de plus qu’elle pouvait dire elle sentait qu’Adama la repoussait intentionnellement quelque chose n’allait pas mais elle n’avait pas encore les réponses elle hocha lentement la tête et rangea ses affaires l’esprit rempli de questions en qui le studio alors qu’elle sortait elle ne pouvait s’empêcher de penser à quel point tout cela semblait étrange comment son maquillage avait-il pu tourner aussi mal alors qu’elle avait suivi exactement les instructions d’Adama adadi avait une impression persistante qu’il se passait
quelque chose de bien plus grand mais elle ne savait pas encore quoi tout ce qu’elle savait c’est qu’elle ne pouvait pas abandonner elle devait découvrir la vérité ce scénario se répétait chaque jour Adama se tenant à ses côtés veillant à ce qu’elle ne t jamais directement au maquillage seulement au pinceau chaque produit chaque élément Adama le tenait elle-même quand adadi termina le maquillage sur son modèle son cÅ“ur se serra c’était aussi terrible que la veille les couleurs étaient fausses le fond de teint irrégulier et le visage
du modèle ressemblait à celui de quelqu’un qui n’avait jamais tenu un pinceau de sa vie Adama la regarda avec ce même sourire serré qui n’atteignait jamais ses yeux ne t’inquiète pas Adad dit-elle doucement tu t’amélioreras il y a toujours de la place pour apprendre puis elle s’éloigna pour aider d’autres clients adadi décida de rester et d’observer les autres élèves l’un après l’autre les autres étudiants échouaient également leur modèle avaient l’air terrible tout comme ceux d’adadi personne n’arrivait à réussir le maquillage cela continua pendant plusieurs jours chaque fois qu’adadi
revenait c’était la même histoire elle faisait de son mieux mais le maquillage ressortait toujours mal peu importe à quel point elle suivait soigneusement les instructions d’Adama Adama quant à elle créait toujours des résultat parfait la dernière semaine d’adadi quelque chose d’inattendu se produisit alors qu’adadi pratiquait sur le visage d’un nouveau modèle deux femmes firent irruption dans le studio le visage rouge de colère elles se dirigèrent vers Adama en jetant des produits de maquillage sur la table regarde ça cria l’une des femmes montrant sa cliente dont le
visage éta é horrible mal étalé et irrégulier aucun de ces produits ne fonctionne regarde ma cliente son visage est ruiné Adama posa rapidement le fond de teint qu’elle tenait pour adadi et se précipita vers les femmes en colère son sourire ne faiblit jamais alors qu’elle les regardait calmement ne vous inquiétez pas dit-elle d’une voix douce elle tendit une lingette démaquillante à la femme qu’ l’utilisa rapidement pour enlever le maquillage désastreux du visage de sa cliente pendant qu’Adama touchait le maquillage la colère de la cliente s’apaisa à chaque coup de pinceau le visage de la cliente commença
à s’illuminer se transformant de quelque chose de terrible en une vision de perfection la cliente qui était furieuse quelques instants plus tôt resta boucheb waouh murmurat-elle les yeux écarquillés de stupéfaction Adama sourit satisfaite de son travail et acheva en disant voilà comment le maquillage est censé être fait elle recula pour le visage impeccable qu’elle venait de créer la cliente désormais apaisée murmura le regard adouci je suis désolé Adama peut-être que le maquillage n’est simplement pas fait pour moi je n’arrive pas à le réussir Adama aessa souriant
toujours ce n’est pas pour tout le monde tu trouveras autre chose dans lequel tu es doué mais avant qu’Adama ne savoure sa victoire Adad s’avança le visage couvert du maquillage qu’elle venait d’appliquer sur elle-même Adama dit adadi d’une voix ferme regarde mon visage Adama se tourna et se figea le maquillage d’adadi était encore pire que sur les modèles précédents des couleurs vives étalé partout le fond de teint craquelé et irrégulier mais Adad s’en fichait enlève ça tout de suite cria Adama sa voix soudainement tranchante et remplie de panique sa douce et calme voix habituelle avait disparu et elle
regardait adadi avec des yeux écarquillés de colère non répond dit adadi en secouant la tête Adad enlève-le Adama était presque en train de hurler maintenant sa voix tremblante alors qu’elle essayait de garder son calme mais quelque chose en elle semblait se briser la belle et sereine Adama que tout le monde connaissait commençait à se fissuré son regard devenant désespéré ses yeux regardant partout autour sans un mot de plus adadi se retourna et couru hors du studio son horrible maquillage toujours sur son visage Adama
l’a poursuivi sa voix montant jusqu’à un cri reviens ici Adad tout le monde dans le studio était choqué personne n’avait jamais vu Adam à perdre son sang-froid de cette façon elle était toujours calme toujours parfaite mais maintenant elle se comportait comme une folle tout cela parce cadadi avait refusé d’enlever son maquillage les élèves et les clientes échangèrent des regards confut en observant les deux femmes courir dans le complexe la grâce et l’élégance habituelle d’Adama avaient disparu remplacé par une énergie frénétique elle
avait l’air déchaîner criant à Adad de s’arrêter mais Adad continuait de courir dehors dans les rub bondé les gens regardaient Adad passer avec son maquillage barbouillé et ses yeux écarquillés elle avait l’air étrange comme un clown qui courait dans la ville mais Adad ne s’en souciait pas elle n’était pas gênée par les regards ni les murmures quelque chose en elle lui disait que ce maquillage ce visage horrible et barbouillé détenait la clé de la vérité Adama perdit Hadad dans la foule Hal temp les cheveux parfait maintenant en désordre elle regarda autour d’elle désespérément mais adadi
avait disparu pendant ce temps adadi marchait dans les rues ignorant les regards curieux des passants elle se sentait étrange mais elle n’avait pas peur elle savait qu’elle devait rentrer chez elle elle devait comprendre ce qui se passait et elle n’allait pas s’arrêter tant qu’elle n’aurait pas trouvé quand adadi atteignit enfin sa maison elle était épuisée elle se dirigea directement vers sa chambre portant toujours le maquillage horrible sur son visage elle ne prit même pas la peine de l’enlever elle s’assit sur son lit l’esprit rempli de question soudain
elle se retrouva debout au milieu d’une sombre forêt épaisse l’air était glaciale et les arbres grands et ombragés se dressaient autour d’elle le sol sous ses pieds était mou mais en baissant les yeux son cÅ“ur se serra elle marchait sur des squelettes les os craquait sous ses chaussures à chaque pas mais elle ne pouvait pas s’arrêter de marcher le chemin dans la forêt devant elle semblait étrangement dégagé comme s’il était emprunté chaque jour mais il était sinistre et silencieux à part son propre souffle et le craquement des oses sous ses pieds elle continuait d’avancer ses jambes devenant lourdes
comme si elle traînait ses pieds dans de la boue épaisse soudain une silhouette sombre apparut devant elle d’abord la silhouette resta immobile souriant comme si elle venait de trouver une nouvelle proie le sourire était tordu anormal et empreint d’une joie malveillante mais au fur et à mesure qu’adadi avançait l’expression de la silhouette changea son sourire s’effaça pour se transformer en un rictus et ses yeux se remplirent de colère la silhouette poussa un cri terrifiant sa voix résonnant dans la forêt sombre qui es-tu demanda-t-elle
essayant de s’approcher ses ongles longs et assez rétendus pour toucher à Dadi mais quelque chose d’étrange se is la silhouette ne parvenait pas à l’atteindre elle griffait et déchirait l’air essayant d’arracher la peau d’adadi mais chaque fois qu’elle s’approchait elle semblait être arrêtée par une force invisible qui es-tu hurla encore la silhouette frustrée de ne pouvoir la toucher elle gémissait et se débattait dans l’air mais Adad continuait de marcher le cÅ“ur battant de peur elle murmura une prière à voix basse sachant que Dieu était avec elle
même dans cet endroit sombre les cris de la silhouette se faisaient de plus en plus fort et chérique alors qu’adadi s’éloignait laissant cette dernière hurler derrière elle elle continua sur le chemin bien que ses pieds se fassent de plus en plus lourds à chaque pas comme si quelque chose essayait de la retenir rendant chaque mouvement plus difficile mais elle ne s’arrêta pas elle continua même si ses jambes traînaient sur le sol de la forêt en avançant plus loin dans la forêt adadi remarqua des morceaux de chair pendus aux branches
des arbres ils étaient grands et ensanglantés comme s’ils avaient été laissés là pour un but sinistre la vue lui donna la nausée mais elle savait qu’elle devait continuer les hurlement derrière elle se faisait plus fort et elle avait l’impression qu’une foule entière criait résonnant à travers les arbres sombres Adad ferma les yeux et pria à chaque branche qu’elle passait murmurant doucement au nom de Jésus alors qu’elle priait quelque chose d’incroyable commença à se produire la chair suspendue se mit à brûler des
flammes apparuent d’abord petite et faible puis ell prirent de l’ampleur se propageant aux branches le feu rugissait brûlant les arbres et tout ce qui pendait la forêt autour d’adadi était maintenant en feu les flammes léchant les ténèbres éclairant les bois autrefois bragés adadi essaya de fuir les flammes mais la même silhouette sombre qu’il avait auparavant hurlé dessus était maintenant prise dans le feu hurlant et criant son corps se tordait et brûlait tandis qu’elle tendait une dernière fois le bras pour attraper adadi par les jambes la tirant
vers les flammes Adad se sentait piégée la chaleur montant autour d’elle les ongles de la silhouette s’enfonçant dans sa peau alors qu’elle attirait de plus en plus près du feu Jésus Jésus Jésus cria à dad en donnant un coup de pied à la silhouette pour la repousser dans les flammes sa voix se brisant de peur et de désespoir elle sentait le feu se rapprocher la poigne de la silhouette se resserrant autour de ses jambes alors qu’elle poussait un hurlement terrifiant soudain Adad se réveilla en sur le cÅ“ur battant le sont des cris résonnant encore dans ses oreilles le corps d’adadi était trempé de sueur son
cÅ“ur battant violemment dans sa poitrine elle se redressa rapidement Hal tente une main sur la poitrine c’était un rêve murmura-t-elle pour elle-même d’une voix tremblante elle regarda autour d’elle les lieux familiers de sa chambre l’apaisant peu à peu mais le souvenir de la forêt sombre et de la silhouette hurlante restait avec elle cette même nuit un cri perça le de K c’était le genre de cri qui reste gravé en vous qui s’insinue dans votre esprit et refuse de vous quitter le genre de cri qui vous
fait vous demander quel cauchemar a bien pu causer un tel son tout le monde savait qu’il venait du manoir d’Adama la grande maison qui se dressait elle une nombre au milieu du quartier mais personne n’osait en parler ouvertement la peur flottait dans l’air épaisse et muette comme si chacun savait que quelque chose de terrible s’était produit sans vouloir y croire mais ce qu’adad ignorait c’est éétait que le cri celui qui avait raisonné dans le voisinage n’était pas qu’un simple son il était lié à son rêve la silhouette
qu’elle avait vu dans le feu cette figure laide et terrifiante était réelle elle brûlait hurlant tandis qu’elle était consumée par les flammes le lendemain adadi se rendit de nouveau au studio d’Adama mais cette dernière était en retard les élèves attendaient leur visage empli de curiosité et d’impatience quand Adama apparut enfin tout le monde se tourna vers elle elle était vêtue étrangement ce jour-là son visage couvert d’un hijab et de grandes lunettes de soleil qui cachait la majeure partie de ses traits les yeux d’adadi se plissèrent en observant Adama
quelque chose en elle semblait différent en passant Adama laissa derrière elle une étrange odeur re et putride comme de la viande pourrie ou pire encore les élèves se pincèrent le nez leur visage se tordant de dégoût qu’est-ce que c’est que cette odeur demanda l’une des lève sa voix étouffée par sa main ça sent comme un animal mort tout le monde se regarda puis leurs yeux se tournèrent lentement vers Adama qui ignora les murmures et entra dans la pièce qui passe en premier aujourd’hui demanda-t-elle sa voix calme m distante
mais personne ne bougea l’odeur était si forte si horrible que personne ne voulait s’approcher d’elle même adadi ressentait un profond malaise quelque chose n’allait vraiment pas et maintenant les autres élèves le ressentaient aussi un par un ils commencèrent à rassembler leurs affaires et quittèrent le studio incapable de supporter l’odeur plus longtemps les yeux d’Adama étincelèrent de frustration mais elle ne dit rien tandis que ses élèves partaient même adadi décida de partir mais alors qu’elle s’éloignait du studio Adama l’a saisi par le bras je
sais ce que tu as fait et tu vas payer pour ça adadi ne comprenait pas de quoi parlait Adama elle repoussa fermement la main d’Adama et s’en all les semaines passèrent et le studio d’Adama resta fermé le lieu autrefois animé où les femmes venaient apprendre l’art de la beauté était devenu silencieux les volets étaient baissés les portes verrouillées et personne n’avait vu Adama depuis une éternité les gens murmuraient à propos de sa disparition mais personne n’osait poser trop de questions il y avait quelque chose d’inquiétant dans l’air quelque
chose que personne ne voulait aborder mais Adad ne pouvait se défaire de impression que quelque chose restait inachevé elle devait se rendre au manoir d’Adama elle devait découvrir ce qui se passait après s’être renseigné et avoir passé quelques appels adadi parvint enfin à obtenir l’adresse d’Adama le manoir n’était pas loin de chez elle mais il lui semblait à des kilomètres en s’approchant de la maison adadi ressentit un étrange sentiment de peur comme si l’air autour d’elle devenait plus lourd plus sombre les grandes grilles étaient fermées la maison silencieuse mais adadi sentait quelque
chose l’attirer quelque chose de sombre et puissant finalement adadi poussa les grilles et emprunta l’allé elle pouvait sentir que quelque chose n’allait pas le manoir se dressait devant elle ses fenêtres sombres comme des yeux l’observant approché lorsquadad atteignit la porte elle hésita un instant mais avant qu’elle puisse frapper la porte s’ouvrit en grinçant comme si elle attendait elle entra le cÅ“ur battant ses prières apaisant son esprit l’intérieur du manoir était étrangement silencieux mais l’odeur
cette odeur affreuse était de retour elle était plus forte maintenant remplissant l’air d’une senteur de décomposition Hadad se couvrit le nez essayant de ne pas vomir mais elle continua à d’avancé suivant l’odeur et pénétrant plus profondément dans la maison ses pas raisonnait dans les couloirs vides finalement adadi arriva devant une grande pièce au bout du couloir la porte était légèrement entrouverte et l’odeur était à son maximum ici elle poussa la porte et entra les yeux s’écarquillant de choc
devant ce qu’elle voyait la pièce était faiblement éclairé par des bougies leurs flammes vacillantes projetant de longues ombres sur les murs au centre de la pièce se tenait Adama mais elle ne ressemblait en rien à la femme cadad avait autrefois connu son visage était P et vieux ses yeux enfoncés et sa peau autrefois parfaite était craquelé et écaillé comme de la vieille peinture s’effritant d’un mur elle ne portait plus de maquillage impeccable ni de vêtements élégants elle se tenait là vêtue d’une robe en lambau ses mains
tremblantes tenant un petit mortier noir où elle écrasait quelque chose sans arrêt lorsquadadi s’approcha la tête d’Adama se releva brusquement ses yeux fous de peur et de colère toi Adad savoir r tu essaies de me détruire n’est-ce pas Adad secoua la tête non Adama j’essaie de comprendre qu’est-ce que sa qu’as-tu fait Adama laissa échapper un rire amère un son tordu et douloureux tu ne comprendrais pas ma beauté mon pouvoir ils n’ont jamais été les miens j’ai dû les prendre les voler aux autres les yeux d’adad s’écquillèr les volet à qui le visage d’Adama se
tordit de colère elle baissa les yeux vers le mortier noir dans ses mains serrant son point autour de lui je les ai pris des femmes des femmes qui ont disparu la silhouette du rêve d’adadi n’était pas juste un cauchemar c’était un esprit une créature kadama avait invoqué par son miroir par des champs et des rituels transmis par sa grand-mère Dagan Dagan avait toujours connu le pouvoir de la beauté et la magie des anciennes pratiques mais elle n’avait jamais franchi la ligne vers les ténèbres Adama cependant était allé bien
plus loin que sa grand-mère n’aurait jamais osé elle avait appris à voler la beauté des autres des femmes 100 fois solides des femmes qui disparaissaient après être venu dans son studio ces femmes ne quittaient jamais kvé vivante grâce au miroir dans sa pièce privée Adama invoquait les esprits et la silhouette du feu lui apportait ce dont elle avait besoin les peau sèches et senvie des femmes victimes de son maquillage ces femmes disparues n’étaient que des âmes oubliées sacrifiées leur beauté volé leur vie utilisée pour conserver la
jeunesse d’Adama elle prenait leur peau desséché et la réduisait en fine poudre elle la mélangeait son maquillage l’incorporant dans le fond de teint le blush les poudres qu’elle utilisait sur ses clientes et sur elle-même une partie de la peau était brûlé en cendre et ces cendres devenaient partie de la poudre qu’elle utilisait elle seule pouvait transformer les apparences c’était son secret une beauté volée aux autres une beauté qui avait un prix mais maintenant tout s’effondrait la silhouette dans le feu avait été détruite et avec elle le
pouvoir d’Adama elle n’avait plus les prie pour la protéger plus la force secrète qui maintenait sa beauté en vie le cÅ“ur d’adadi se serra en réalisant ce qu’Adama venait de lui dire tu as pris leur beauté adamaocha la tête des larmes coulant sur ses joues craclées c’était le seul moyen ma grand-mère me l’a appris mais j’ai été trop loin j’ai utilisé les esprits pour prendre ce qui n’était pas à moi elle leva le mortier ça c’est tout ce qu’il reste mais maintenant il viennent pour moi les esprits veulent reprendre ce que j’ai pris et je ne peux pas les arrêter
l’estomac d’adadi se serra alors qu’elle fixait le mortier dans les mains d’Adama réalisant que ce qu’il contenait n’était autre que la peau écrasée de la chair séchée qu’elle avait vu dans ses rêves la vérité était bien pire que tout ce qu’elle avait imaginé le manoir craquait comme s’il était lui-même alourdi par la culpabilité d’Adama et le sombre pouvoir qu’elle avait invoqué adadi pouvait sentir l’esprit dans l’air agité en colère réclamant ce qui lui avait été volé adadi se tenait devant Adama le cÅ“ur lourd de tristesse elle pouvait
voir la peur et le regret dans les yeux d’Adama mais elle voyait aussi l’obstination la voix d’adadi était calme et ferme Adama je ne suis pas là pour te juger dit-elle doucement mais tu dois confesser tu dois te libérer de cette obscurité si tu confesses et demande pardon tu peux être sauvé il n’est pas trop tard les mains d’Adama trembla serrant le mortier contenant la poudre de peau écrasée comme si c’était la seule chose qui a maintenait en vie son visage était pâle et craquelé mais la pensée de tout perdre sa réputation son pouvoir la vie qu’elle avait
construite la terrifiait plus que les esprits qu’ la hantaient non murmura Adama secouant la tête ses yeux grands ouverts emplis de désespoir je ne peux pas ne comprends-tu pas mon nom mon entreprise les hommes qui m’aiment les voitures l’argent c’est tout ce qu’il me reste si je confesse je perdrai tout personne ne voudra de moi personne ne m’aimera s’il savent ce que j’ai fait adadi s’approcha tendant la main vers elle ces choses ne sont pas réelles Adama elles n’ont pas d’importance mais ton âme oui tu peux encore te libérer de
tout ça sors cria-t-elle sa voix tremblante sors de chez moi adadi n’insista pas et quitta la pièce en silence elle savait qu’Adama avait fait son choix en se tournant pour partir elle murmura une prière à voix basse demandant à Dieu d’aider Adama à trouver la paix même si elle ne pouvait pas laavir pour l’instant elle quitta le manoir laissant Adama seul avec son monde qui s’effondrait dès ce jour Adama sentait les murs de sa maison se refermer sur elle comme si le manoir lui-même la rendait folle elle avait
besoin de fuir de trouver un meilleur endroit quelque chose qui convenait à sa grande réputation son empire de beauté s’effondrait et la seule chose en laquelle elle pensait pouvoir compter son charme sur les hommes lui échappait Adam a pris son téléphone et appela certains des hommes influents qui avaient autrefois été à ses pieds elle pensait pouvoir encore les contrôler qu’ l’aiderait comme il avait toujours fait mais cette fois quelque chose avait changé elle refusait que quiconque vienne chez elle de peur qu’il ne découvre l’odeur terrible qui s’accrochait à elle au lieu de cela elle
proposa de les rencontrer dans des restaurants chics ou des hôtels Adama se baignait dans de puissants parfums espérant couvrir la puanteur mais peu importe la quantité de fragrance qu’elle utilisait l’odeur ne partait jamais c’était la même odeur de pourriture provenant des peau séché qu’elle avait autrefois broyé et utilisé dans son maquillage un rappel de son sombre secret lorsqu’elle retrouvait les hommes espérant les charmer encore une fois il ne la regardait même plus la puanteur était insupportable il fronçait
le nez et trouvait des excuses pour partir personne ne voulait être près d’elle même au milieu d’un restaurant bondé les gens murmuraient et s’éloignaient d’elle leur visage déformé par le dégoût la puanteur la suivait partout une malédiction dont elle ne pouvait se libérer chaque nuit Adama rentrait dans son manoir l’odeur devenant de plus en plus forte la poussant plus profondément dans la folie la grande maison autrefois symbole de son pouvoir ressemblait maintenant à une prison la célèbre experte en beauté
n’était plus connue pour sa peau impeccable ou son maquillage parfait elle était désormais célèbre pour la terrible odeur qui l’entourait les journalistes les blogueurs et les réseaux sociaux débordaient de Ragot des rumeurs couraiient que c’était son maquillage qui causait cette odeur et tout ceux qui possédait ses produits s’en débarrassèrent rapidement l’empire de beauté d’Adama s’effondra du jour au lendemain les semaines devinrent des mois et plus elle restait dans le manoir plus son esprit s’égarait elle se perdait dans les ténèbres qu’elle avait
créé un jour Adama n’en pouvait plus elle quitta le manoir er rant dans les rues sans but précis elle ne se cachait plus derrière son foulard ou ses lunettes de soleil elle érait en ville son visage nu sa peau autrefois belle maintenant ridée et abîmée ses cheveux en désordre et l’odeur oh cette odeur la suivait toujours personne ne la reconnaissait plus celle qui avait été une femme glamour et puissante n’était plus qu’une vieille folle errant dans les rues les gens la croisaient en se bouchant le nez et en secouant la tête
certains murmuraient que lui est-il arrivé où est sa famille mais personne ne connaissait la vérité la chute d’Adama la célèbre experte en beauté devint une sensation éphémère un sujet de discussion vite oublié keV reprit son cours normal mais quelque chose avait changé les femmes autrefois passionné de maquillage l’évitait désormais craignant ce qu’il pourrait leur faire elle murmurait sur malédiction d’Adama craignant que si elle mettait du maquillage elle finirait par sentir mauvais ou vieillir rapidement comme elle ce qu’elles ignoraient c’est
qu’Adama n’avait pas vieilli du jour au lendemain elle avait pris la beauté et la vie d’autres femmes pour rester jeune et parfaite chaque ride chaque bribe de jeunesse qu’elle avait gardé pour elle-même avait été volée adadi ne pouvait dire à personne ce qui s’était passé qui la croirait si elle racontait la vérité sur Adama les sombres secrets qu’elle Ava avait découvert les crianté la beauté étrange et maudite tout cela ne semblait pas réel si elle racontait à quelqu’un ce qu’elle avait vu on la prendrait pour une folle comment expliquer que la beauté d’Adama venait
de quelque chose d’aussi maléfique d’aussi tordu non adadi devait garder cette histoire pour elle elle portait le poids de cette vérité dans son cÅ“ur sachant que même si elle parlait personne ne comprendrait le monde ne croirait jamais que la glamoureuse Adama était tombée à cause de rituel sombre de beauté volé et d’esprit en quête de vengeance adadi ne pouvait qu’espérer que la vérité ne serait jamais nécessaire et que les habitants de Kev resteraient à l’abri de l’obscurité qui se cachait autrefois derrière le visage
parfait d’Adama
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