Les révélations choquantes d’Alice Weidel sur von der Leyen !

Jamais, dans l’histoire récente du Parlement européen et des institutions allemandes, une attaque n’avait été aussi frontale, aussi dévastatrice, et surtout, aussi chargée de conséquences potentielles. Alors que les élites politiques européennes s’efforcent désespérément de maintenir une façade d’unité face à une succession ininterrompue de crises, une voix s’est élevée avec une violence inouïe depuis le Bundestag à Berlin. Cette voix, celle d’Alice Weidel, figure de proue de l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), n’a pas seulement critiqué une politique : elle a lancé une véritable torpille politique qui menace de faire couler le navire amiral de la Commission européenne et d’ébranler les fondations mêmes de l’Union.
Ce que la co-dirigeante de l’AfD a osé prononcer à l’encontre d’Ursula von der Leyen, la très puissante présidente de la Commission, dépasse l’entendement diplomatique et les codes habituels de la courtoisie parlementaire. Ce n’est plus de l’opposition, c’est une déclaration de guerre totale, une “exécution politique en place publique” qui a transformé la tribune du Bundestag en un tribunal populaire. Le silence assourdissant des médias mainstream, qui tentent de minimiser la portée de ces mots, ne fait qu’amplifier l’écho de cette diatribe foudroyante, qui résonne déjà dans les couloirs feutrés de Strasbourg et de Bruxelles.
Alice Weidel a franchi le Rubicon. Elle a dit l’indiscible. Mais derrière la violence des mots se cache une vérité que des millions d’Européens redoutent de voir exposée au grand jour. La question n’est plus de savoir si von der Leyen répondra, mais si elle pourra survivre politiquement à ce qui vient d’être révélé. L’attaque est structurée autour de trois piliers dévastateurs, chacun visant à remettre en cause non seulement l’efficacité, mais la légitimité même de la présidente : la corruption morale, le sabotage industriel et la trahison souverainiste.
Pillier I : L’Opacité des SMS et l’Accusation d’« Organisation Mafieuse »
Le premier coup de poignard visait l’intégrité personnelle et professionnelle d’Ursula von der Leyen. Alice Weidel a exhumé le dossier que tout Bruxelles tente désespérément d’enterrer : l’affaire des SMS échangés personnellement avec Albert Bourla, le PDG de Pfizer. Ce n’est pas une banale histoire de mauvaise gestion. Nous parlons ici de l’utilisation opaque de 35 milliards d’euros, tirés directement de la poche des contribuables européens.
La leader de l’AfD a martelé l’absurdité des chiffres : la Commission a négocié l’achat d’1,8 milliard de doses de vaccins, soit, un total ahurissant de dix doses par citoyen européen, dans une opacité quasi totale. L’élément le plus accablant, souligné par Weidel, réside dans le refus obstiné et répété de la Commission de fournir le contenu de ces échanges SMS, non seulement aux médias et aux citoyens, mais aussi aux médiateurs européens et à la Cour des comptes.
« Que cachez-vous, Madame ? Si ces contrats étaient honnêtes, pourquoi agissez-vous comme une organisation mafieuse qui efface ses traces ? » En utilisant délibérément le terme incendiaire d’« organisation mafieuse », Alice Weidel a brisé tous les codes de la courtoisie parlementaire, insinuant que la tête de l’Union européenne est profondément compromise par des conflits d’intérêt majeurs. Elle a même évoqué à demi-mot les activités du mari de la présidente, Eiko von der Leyen, dans le secteur des biotechnologies, liant ainsi les décisions publiques à des intérêts privés. Pour Weidel, il ne s’agit pas de négligence administrative, mais bien d’un « pillage organisé » de l’argent public européen, une accusation d’une gravité inédite qui, si elle est prouvée ou simplement acceptée par l’opinion, signerait la fin de toute carrière politique.
Pillier II : Le Green Deal, Un « Morgenthau Plan 2.0 » qui Sabote l’Industrie

Si l’accusation de corruption a provoqué un choc moral, c’est l’analyse économique qui a fait trembler les murs du Bundestag. Alice Weidel a qualifié le Pacte Vert (Green Deal) d’Ursula von der Leyen de « Morgenthau Plan 2.0 ». Cette référence historique est lourde de sens, rappelant le plan visant à désindustrialiser l’Allemagne après la Seconde Guerre mondiale. L’accusation est claire : Bruxelles chercherait à transformer l’Allemagne, le moteur économique de l’Europe, en un « terrain vague agricole dépourvu d’industrie ».
S’appuyant sur des données effrayantes, Weidel a dressé un portrait alarmant de l’économie nationale, citant la chute libre de la production industrielle allemande, qui a dégringolé de 5 % en une seule année, et une fuite des capitaux sans précédent. Elle a nommé sans détour les victimes de cette politique : BASF, le géant de la chimie, qui délocalise sa production vers la Chine, et Volkswagen, le fleuron national, qui envisage pour la première fois de son histoire de fermer des usines sur le sol allemand, menaçant des dizaines de milliers d’emplois.
« Votre interdiction des moteurs thermiques pour 2035 n’est pas une mesure écologique », a rugi Weidel, « c’est un cadeau offert sur un plateau d’argent à Pékin et à Tesla. » Elle a désigné von der Leyen comme la principale responsable de l’explosion des coûts de l’énergie en Europe, l’accusant d’avoir sacrifié le gaz bon marché et le nucléaire sur l’autel d’une « idéologie verte punitive » qui asphixie impitoyablement les classes moyennes et met à genoux les Petites et Moyennes Entreprises (PME) allemandes. L’idée est percutante : le programme phare de la Commission n’est pas un projet de progrès, mais un véritable programme de démantèlement national, orchestré depuis Bruxelles au bénéfice de puissances étrangères concurrentes.
Pillier III : La Trahison Souverainiste et l’Accusation de « Sang sur les Mains »
Enfin, Alice Weidel a attaqué Ursula von der Leyen sur le terrain le plus explosif : celui de la souveraineté nationale et de la sécurité. Elle a dépeint la présidente non pas comme une arbitre des nations, mais comme une « gouvernante impériale » qui méprise ouvertement les votes nationaux et impose ses vues aux peuples.
La cible principale fut le nouveau pacte sur la migration et l’asile, que Weidel a qualifié de « mécanisme de submersion forcée ». En citant les chiffres records des demandes d’asile et l’augmentation corrélative de la criminalité dans les grandes métropoles allemandes, elle a dramatiquement accentué son propos. Faisant référence aux récentes attaques au couteau qui ont traumatisé l’opinion publique allemande, Weidel a lancé une accusation d’une violence morale inouïe, affirmant que la Commission avait, par son laxisme idéologique, du « sang sur les mains ».
« Pendant que vous donnez des leçons d’état de droit à la Hongrie ou à la Pologne, nos rues deviennent des zones de guerre », a-t-elle déclaré, soulignant un deux poids deux mesures financier insoutenable. Des milliards d’euros ont été trouvés en un claquement de doigts pour l’Ukraine, un pays hors de l’UE et notoirement réputé pour sa corruption endémique, alors que les agriculteurs allemands voient leurs subventions vitales sur le diesel supprimées. Le résumé de Weidel, taillé pour devenir un slogan de campagne, fut lapidaire : « Vous financez une guerre étrangère avec la faillite de nos fermiers. » Ce point a permis de fédérer le mécontentement des classes populaires et des professionnels de la terre contre une technocratie perçue comme arrogante et déconnectée de leurs réalités.
Un Tournant Historique : La Fin de l’Immunité Politique
Ce qui rend ce discours absolument inimaginable, ce n’est pas seulement le contenu des accusations, mais sa conclusion radicale. Alice Weidel ne s’est pas contentée de la critique politique habituelle. Elle a « criminalisé » l’action d’Ursula von der Leyen, allant jusqu’à évoquer la possibilité de poursuites judiciaires internationales pour « mise en danger de la prospérité des peuples européens ».
En brisant le cordon sanitaire, Weidel envoie un signal clair : l’AfD ne cherche plus à négocier, elle cherche à renverser le système. Elle a décrit une Ursula von der Leyen isolée, flottant dans une bulle technocratique dorée, tandis que le continent sombre sous le poids des crises qu’elle a, selon l’AfD, elle-même provoquées ou aggravées.
Ce discours marque un véritable tournant. Il est la fin d’une forme d’immunité politique dont jouissaient traditionnellement les dirigeants de Bruxelles. Les allégations d’Alice Weidel ne sont pas de celles que l’on peut balayer d’un revers de main ou étouffer sous un communiqué de presse aseptisé. Elles ont ouvert une brèche béante dans la crédibilité des institutions européennes.
Au-delà du choc immédiat, la question obsédante qui demeure est celle-ci : sommes-nous témoins d’un simple coup d’éclat populiste habilement orchestré, ou des prémisses d’un véritable effondrement systémique ? Le silence assourdissant de la Commission face à ces attaques frontales est-il un signe de sérénité hautaine ou de panique silencieuse ? Si les allégations de Weidel sur l’opacité des contrats et la responsabilité dans la débâcle industrielle et sécuritaire parviennent à convaincre une majorité d’électeurs en colère, l’architecture politique de l’Europe pourrait bien s’effondrer comme un château de cartes.

Nous sommes clairement à la croisée des chemins. D’un côté, une élite bruxelloise qui s’accroche désespérément à son récit de progrès et d’unité forcée. De l’autre, une vague de fond nationaliste, portée par des figures comme Weidel, Meloni ou Orban, qui voit en Ursula von der Leyen non pas une présidente, mais l’ennemi à abattre, la figure emblématique d’une technocratie jugée mortifère. L’histoire nous a appris que les empires ne meurent pas toujours dans le bruit des canons, mais souvent sous le poids de leurs propres contradictions et de la défiance croissante de leur peuple. Alice Weidel est-elle une démagogue dangereuse qui joue avec le feu, ou est-elle la seule à oser dire tout haut ce que l’histoire retiendra comme la vérité sur le déclin de l’Europe ? Le verdict final ne sera pas prononcé dans les tribunaux, mais dans les urnes lors des prochaines élections, où les peuples seront invités à choisir entre deux visions irréconciliables de l’avenir du continent. Êtes-vous prêt pour le monde d’après ?
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