Star Academy 2025 : Michael Goldman sous le choc, après l’évaluation explosive de Victor !

Le 9 décembre 2025 restera gravé comme un jour de basculement dans l’histoire de la Star Academy. Alors que la saison 2025 touche à son apogée, la pression sur les académiciens restants est devenue insoutenable. Il ne s’agit plus seulement de survivre à un prime, mais de décrocher le précieux sésame : la dernière place disponible pour rejoindre Sarah et Ambre sur la tournée officielle. C’est dans cette atmosphère électrique, où chaque note et chaque pas de danse pouvaient sceller un destin, qu’un candidat jusqu’alors discret, Victor, a délivré une performance si époustouflante qu’elle a laissé le directeur, Michael Goldman, en état de choc, lui arrachant un compliment d’une rareté absolue.

Ce mardi était le jour de la dernière et plus cruelle évaluation de la semaine, une épreuve décisive mélangeant technique vocale, expression scénique et choix artistique audacieux. Le parcours vers cette ultime chance avait déjà fait des victimes.

Lundi 8 décembre, l’épreuve de théâtre, jugée par les experts Alain Papi Degis, Manu Paillet et Michael Goldman, avait ouvert le bal des éliminations. Si l’on ne peut douter de la qualité générale des prestations, la mécanique impitoyable de la compétition a rapidement mis fin au marathon pour les moins convaincants, dont Léo. Il faut dire que l’exercice, demandant une vulnérabilité et une authenticité difficiles à feindre, est particulièrement traître.

L’après-midi n’a pas apporté de répit. Devant le jury de danse, composé de Jonathan Jeanvrin et de la très exigeante Malika Bangeloun, la tension a redoublé. La danse, qui exige un lâcher-prise physique total, a vu Jean et Anou, deux candidats pourtant estimés, quitter à leur tour la course. Chaque élimination rapprochait le couperet, resserrant l’étau autour des quatre derniers prétendants au rêve de la tournée : Mélissa, Léa, Bastian, et bien sûr, Victor.

L’enjeu de cette dernière ligne droite n’était pas seulement symbolique. Il s’agissait de l’ultime opportunité de prouver sa valeur aux professeurs avant que le sort des élèves ne soit remis entre les mains du public. Seul un unique élève serait sélectionné directement par le corps professoral pour la tournée. Les sept autres, en fin de compte, seraient soumis au vote du public, avec le risque d’une élimination définitive lors du prime de samedi 13 décembre pour le moins soutenu. Une décision cruciale, synonyme de destin brisé ou de rêve éveillé.

C’est dans ce contexte de survie artistique que Mélissa, Léa, Bastian et Victor se sont présentés devant un jury de prestige : Sopia Morgavi, Marlène Chaf, et Gaëtan Russell. L’heure de l’évaluation chant et scénique avait sonné.

Tandis que certains misaient sur la sécurité ou le charme, Victor a fait le choix de l’explosion pure. Il a opté pour le titre « Bin » du groupe Måneskin. Un choix risqué, car le groupe italien est connu pour son énergie brute, son rock abrasif et sa folie scénique, des caractéristiques loin du registre classique de la variété française souvent privilégié à la Star Academy. Mais Victor, ce mardi, n’est pas venu pour plaire ; il est venu pour marquer l’histoire.

Dès les premières secondes, l’air a vibré. Victor n’a pas seulement chanté la chanson ; il l’a incarnée. Il a capturé l’essence du titre, y injectant une urgence et une intensité qui ont balayé toute la fatigue accumulée et le stress des jours précédents. L’académicien a démontré une maturité vocale et une présence scénique que peu attendaient de lui, transformant l’essai en un véritable coup de maître.

La réaction la plus saisissante est venue de Michael Goldman. Le directeur, connu pour son sens critique aiguisé et son économie de superlatifs, n’a pas pu contenir son enthousiasme. Son visage, habituellement concentré et impassible, a trahi un véritable choc, une surprise sincère. Et puis, les mots sont tombés, d’une lourdeur que seule l’admiration la plus pure peut provoquer.

« Vocalement, j’ai peut-être pris la plus grosse claque depuis le début des évaluations de cette année, » a-t-il lancé, sans détour.

Une « claque » ! Le terme, dans la bouche du directeur, prend une dimension sismique. Il ne s’agit pas d’un simple compliment, mais d’une reconnaissance que cette performance dépasse non seulement les attentes, mais surpasse toutes les tentatives faites par tous les autres élèves au cours de la saison. C’est un moment de vérité brute, où le talent n’a plus besoin de filtre pour être reconnu par la plus haute instance.

Goldman a ensuite déconstruit son éloge, détaillant les éléments qui ont rendu la prestation de Victor si exceptionnelle. « Tu es parti dans des notes incroyables, dans les vibes… il y avait même du rap. » Cette polyvalence est la clé : Victor a prouvé qu’il n’était pas un simple interprète, mais un artiste capable de naviguer entre les registres les plus exigeants, des envolées lyriques du rock aux cadences percutantes du rap, tout en conservant une identité forte.

« On sent que tu t’es fait plaisir, et moi aussi, c’est du très haut niveau, » a-t-il conclu. Un compliment rare et d’autant plus précieux qu’il est personnel et ressenti. Michael Goldman n’a pas seulement jugé, il a été touché. Il s’est laissé emporter par l’onde de choc émotionnelle que Victor a propagée sur scène.

Cette reconnaissance, à un stade aussi avancé de la compétition, pourrait bien être le tournant que personne n’avait vu venir. Victor, souvent considéré comme un talent stable mais pas forcément l’artiste le plus spectaculaire, vient de se positionner en véritable outsider de luxe, voire en favori. En éblouissant le directeur, il a non seulement assuré un moment de télévision mémorable, mais il a probablement influencé de manière significative la délibération des professeurs.

Le choix qu’ils doivent désormais faire est cornélien. Comment ignorer une performance jugée « la plus grosse claque de l’année » ? Ce coup d’éclat place Victor au centre de l’échiquier. Il redistribue les cartes et force les professeurs à réévaluer les potentiels de chacun face à une telle démonstration de génie spontané.

Pour Mélissa, Léa et Bastian, la course devient soudainement plus ardue. Devant une telle excellence, leurs propres prestations, même si elles furent excellentes, pourraient sembler plus sages, plus conventionnelles. Le souvenir de la performance de Victor plane désormais sur le château, telle une ombre écrasante.

La pression est maintenant maximale sur les épaules du corps professoral, qui doit trancher en ne choisissant qu’un seul élève pour la tournée. Et pour les sept autres, il reste l’épreuve du public, cet arbitre souverain et souvent imprévisible. Michael Goldman lui-même l’a annoncé : cette décision « s’annonce déjà cruciale et qui pourrait bien rebattre toutes les cartes ».

Ce que Victor a livré ce mardi est plus qu’une évaluation réussie : c’est une déclaration. C’est la preuve qu’à la Star Academy, même à l’approche de la finale, l’élève peut toujours surprendre le maître. Cette “claque” résonne comme un cri de victoire et nous rappelle que le talent, quand il est brut et inattendu, est la force la plus irrésistible qui soit. Tous les regards sont désormais tournés vers le prime de samedi 13 décembre, où le destin de Victor et de ses camarades sera définitivement scellé. L’onde de choc est passée, l’attente est insoutenable.