Real Madrid : l’avenir de Xabi Alonso tranché dans une réunion à l’aube, Arbeloa surgit comme un candidat inattendu

Xabi Alonso menacé, réunion d'urgence à Madrid !

La défaite 0-2 face au Celta Vigo, sur la pelouse du Santiago-Bernabéu, a agi comme un séisme au sein du Real Madrid. Un revers brutal, humiliant même, devant un adversaire historiquement dominé.

Mais plus que le résultat, c’est la manière – désorganisée, fébrile, presque résignée – qui a déclenchedans la capitale espagnole une réunion d’urgence tenue à l’aube, selon plusieurs sources internes du club madridista.

Et derrière les portes closes de Valdebebas, un nom a surgi comme le candidat n°1 pour la succession éventuelle de Xabi Alonso : Álvaro Arbeloa, ancien défenseur du club et actuel entraîneur des jeunes. Un choix qui, selon nos informations, a surpris jusqu’à certains membres du comité sportif.

Et surtout, un choix qui n’a rien à voir avec la piste Zidane, pourtant évoquée depuis plusieurs semaines.

Une crise de résultats… et de vestiaireỞ tuổi 34, Alvaro Arbeloa chính thức dừng lại - Báo Quảng Ninh điện tử

L’ombre de la crise planait depuis plusieurs semaines, mais la défaite contre le Celta Vigo a fait exploser les tensions accumulées. Avec les expulsions de Fran García et d’Álvaro Carreras, le Real a achevé la rencontre à neuf, laissant l’image d’un collectif désarticulé, incapable de contrôler le moindre tempo.

Pire encore : un jeune attaquant presque inconnu du grand public, Williot Swedberg, a inscrit un doublé dans une indifférence défensive glaçante.

Selon des sources recueillies par Relevo, plusieurs cadres du vestiaire estiment que “l’équipe a perdu ses repères depuis l’arrivée d’Alonso”. Une phrase que personne n’aurait osé prononcer il y a quelques mois, quand le Basque arrivait auréolé de son travail spectaculaire au Bayer Leverkusen.

Mais à Madrid, l’aura ne vaut que ce que prouvent les résultats.

La réunion secrète à Valdebebas : un verdict dur, mais pas définitif

À 4 h 45 du matin, Florentino Pérez, José Ángel Sánchez et plusieurs directeurs sportifs se seraient réunis dans une salle interne du centre d’entraînement. L’objectif : évaluer les conséquences du naufrage et définir une ligne de conduite avant le choc face à Manchester City.

Selon des témoins présents dans les couloirs, l’atmosphère était “glaciale”, avec un Pérez très tendu, conscient que la dynamique actuelle rapproche dangereusement le Real Madrid d’une rupture sportive.

Le verdict : – Xabi Alonso reste en place… mais le match contre Manchester City sera son examen final. – La liste des remplaçants potentiels est réduite à trois noms. Et le premier de cette liste n’est ni Zidane, ni Klopp, ni un autre géant européen.

C’est Álvaro Arbeloa, un pur produit maison.

Arbeloa, le choix de la continuité et de la culture Real

Pourquoi Arbeloa ? Selon une source interne citée par El Chiringuito, “il représente la culture du club : discipline, unité, hiérarchie, identité”.

Son travail avec les jeunes de la Castilla, notamment son exigence tactique et sa capacité à imposer un cadre strict, a séduit plusieurs dirigeants excédés par ce qu’ils perçoivent comme un “vestiaire trop permissif” sous Alonso.

Un membre du staff aurait déclaré : “Arbeloa connaît Valdebebas mieux que personne. Il peut remettre de l’ordre en deux semaines.”

Ce choix surprenant révèle deux tendances :

Le Real cherche un profil interne, capable de stabiliser l’environnement sans révolutionner l’effectif.

Le club ne croit plus, pour l’instant, au retour de Zidane. Le Français, selon The Athletic, resterait focalisé sur son projet de prendre la tête de l’équipe nationale après la Coupe du monde 2026.

Une tension exacerbée par les moqueries venues de Barcelone

Dans ce contexte fragile, le Real a dû encaisser une nouvelle pique venue de Catalogne. Lamine Yamal, interrogé après l’entraînement à Sant Joan Despí, a lâché une phrase devenue virale : “Barça remercie Xabi Alonso, depuis qu’il est là, tout est plus facile.”

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Une déclaration mielleuse en apparence, mais tranchante dans le fond. Elle a fait réagir Dani Carvajal, qui a répondu depuis Valdebebas d’une seule phrase : “Qu’il se rappelle qui a gagné le dernier Clásico.” Un rappel violent, sec, destiné à faire redescendre l’euphorie du jeune ailier barcelonais.

Selon plusieurs journalistes, la réaction de Carvajal a été perçue à l’interne comme un signe : malgré la crise, le vestiaire reste soudé autour de certains principes identitaires, même si l’adhésion totale à Alonso est désormais mise en doute.

Manchester City, l’obstacle final d’Alonso

Le calendrier ne laisse aucun répit : le Real Madrid affrontera Manchester City, l’équipe la plus méthodique et exigeante du continent. Pour Alonso, c’est presque un jugement. Pour Pérez, c’est un moyen d’évaluer si le Basque peut encore renverser la tendance.

Pour Arbeloa, c’est une opportunité silencieuse : celle de se tenir prêt, dans l’ombre, si la mission d’Alonso tourne court.

Les absences – Militão, Carvajal, Camavinga – compliquent davantage la situation. Mais dans un club comme Madrid, les excuses ne durent pas longtemps.

Conclusion : une fin d’ère ou un sursaut ?

L’avenir de Xabi Alonso repose désormais sur 90 minutes face à Guardiola. Une victoire pourrait calmer la tempête. Une défaite, en revanche, ouvrirait la porte à l’avènement d’Arbeloa et à une restructuration rapide de l’institution.

À Madrid, les cycles peuvent basculer en une nuit. Et cette nuit-là pourrait bien être… celle qui arrive.