Un Journaliste Demande à N’Golo Kanté de Condamner le Mali – Sa Réponse Choque Tout le Monde !
Ce soir-là, la capitale vibrait d’une atmosphère à la fois fébrile et solennelle. Dans les rues, les panneaux d’affichage numérique annonçaient l’émission depuis plusieurs jours la France face à ses vérités au spécial Afrique, un débat en direct qui s’annonçait déjà comme l’un des moments les plus suivis de l’année.
Le plateau installé dans un studio flambant neuf de la chaîne nationale avait été transformé pour l’occasion en véritable arène médiatique, trois tribunes, un cercle central, des gradins remplis de citoyens invités et une équipe technique renforcée pour assurer une diffusion en simultanée sur la télévision, la radio et les plateformes en ligne.
Le présentateur vedette de la chaîne, connu pour ses questions tranchantes et ses provocations mesurées, préparait ce numéro depuis des semaines. Il avait personnellement supervisé le choix des intervenants, des ministres, des chercheurs, des artistes, des journalistes de terrain, mais surtout une surprise de taille.

Engolo Kanté, l’enfant discret de Reu Malmaison devenu champion du monde, respecté sur tous les continents pour sa modestie légendaire, son refus des projecteurs et sa droiture inébranlable. Lorsqu’il fut confirmé que Kanté avait accepté l’invitation, l’équipe de production n’en revenait pas car tout le monde connaissait sa réputation, il ne parlait que rarement en public, encore moins dans des contextes politiques.
Il n’avait jamais exprimé d’opinions polémiques, n’avait jamais cédé à la pression des caméras et encore moins au débats toxique. Mais cette fois, il avait dit oui. Pourquoi ? C’est la question que tout le monde se posait. Certains évoquaient son engagement silencieux auprès d’associations africaines. D’autres parlaient d’un documentaire en préparation sur ses racines.
Mais la vérité était ailleurs. Quant avait accepté parce qu’il sentait que le moment était important, que la voix de la jeunesse issue de l’immigration, silencieuse mais active méritait d’être entendu. Il n’était pas venu pour donner des leçons ni pour défendre un camp. Il était venu en homme avec son histoire, sa pudeur, sa vérité.
À l’entrée du studio, une file impressionnante de journalistes, de photographes et de curieux se pressaient pour apercevoir le joueur. À l’intérieur, les techniciens s’afféraient, les régisseurs couraient d’un poste à l’autre tandis que les invités prenaient place dans les loges. Un parfum d’événements rares planait dans l’air.
On savait tous que quelque chose d’inhabituel allait se produire ce soir-là. Lorsque Engolo Kanté arriva, vêtu simplement d’une chemise claire et d’un pantalon sobre, il n’était accompagné que d’un ami proche et de son attaché de presse. Pas de sécurité visible, pas d’agitation. Il salua les techniciens, serra la main du régisseur principal et se dirigea calmement vers sa loge.
Sur son passage, plusieurs personnalités connues s’interrompirent pour le saluer avec une admiration non feinte. Il répondait toujours avec le même sourire discret, celui d’un homme qui ne se croit jamais supérieur à personne, même en étant champion du monde. Dans les gradins, les spectateurs invités aux jeunes de banlieu étudiants en relations internationales, anciens enseignants, parents d’origine africaine ou française étaient en effervescence.
Tous attendaient avec impatience le moment où il prendraient la parole. Certains, les yeux brillants, tenaient des carnets prêts à être signés. D’autres, plus silencieux, espéraient simplement entendre quelque chose de vrai, loin du bruit médiatique habituel. Quelques minutes avant le début du direct, le présentateur fit un dernier briefing à ses chroniqueurs.
Ce soir, on joue serré. On va sur un terrain glissant, l’Afrique, le Mali, les relations avec la France et surtout on a compté. Il ne faut pas le rater. S’il parle, ce sera historique. Les lumières s’éteignirent, le générique retentit et les projecteur inondèrent le plateau d’une lumière crue. Le direct commença et dans le silence qui suivit l’introduction solennelle du présentateur, Engolo Kanté fit son entrée.
Pas une ovation de star, pas un tonner hollywoodien. Non. Un silence respectueux suivi d’un applaudissement lent, sincère et profond montagradins. On applaudissait un homme, pas un produit. Un exemple, pas une marque. Un repère dans un monde de confusion. Quant s’assua doucement les autres invités et fixa calmement le journaliste en face de lui. Le débat pouvait commencer.
Le débat avait commencé avec fluidité. Pendant une vingtaine de minutes, les échanges s’étaient enchaînés autour de sujets vastes mais consensuels. Les liens culturels entre la France et l’Afrique, les trajectoires d’ascension sociale, la place du sport comme moteur d’intégration. Quanté, fidèle à lui-même, répondait peu, mais chaque mot qu’il prononçait était pesé, sobre juste.
Il n’avait ni note ni prompteur, mais sa parole portait justement parce qu’elle était rare. Sur le plateau, les autres invités respectaient son rythme. Même les politiques d’ordinaires enclin aux longues tirades, évitaient de l’interrompre. Un économiste salua son travail discret pour financer des écoles en Afrique de l’Ouest.
Une journaliste rappela qu’il avait toujours refusé de participer à des campagnes sponsorisées douteuses. Et lorsqu’il fut interrogé sur sa vision de la France, il répondit simplement : “C’est le pays où j’ai grandi, qui m’a offert beaucoup, mais je n’oublie jamais d’où viennent mes parents. Je suis à la croisée de deux histoires.
” C’est à ce moment précis que le journaliste vedette, sentant l’attention maximale du public, décida de frapper. Il s’installa un peu plus droit dans son fauteuil, posa ses notes sur la table et prit une voix solennelle presque inquisitrice. Il savait que sa prochaine question allait susciter un électrochoc. Engolo Kanté, vous êtes aujourd’hui une figure exemplaire.
Vous incarnez la réussite, l’intégrité, la fidélité aux valeurs républicaines. Votre parole compte en France comme à l’international. Alors, j’aimerais que vous soyez clair avec nous ce soir. Acceptez-vous de condamner publiquement le régime malien actuel, ses décisions, ses alliance controversé et son tournant autoritaire ? La question lancée comme un javelot traversa l’atmosphère du plateau.
Elle avait été formulée avec soin d’un ton calme, presque respectueux, mais tout le monde sentit immédiatement la violence implicite de cette interpellation. Dans les gradins, des regards surpris se croisèrent, des sourcis se fronçent. Des souffles se suspendirent. Certains invités jetèrent un œil vers Kanté, d’autres vers le présentateur, choqués par la brutalité soudaine de la séquence.
Car ce n’était pas une question anodine. Elle venait rompre le pacte implicite qui entourait la présence de Kanté, celui de ne pas le forcer à entrer dans l’arène des rapports de force diplomatique. Il n’était ni chef d’état, ni analyste géopolitique, encore moins porte-parole d’une idéologie. Il était un homme de paix, de terrain, un sportif investi dans l’humain, pas dans les judes stratégiques.
Mais cette question posée en direct sous les projecteurs était un coup de poker médiatique. Une manière peut-être pour le journaliste de pousser Kanté à choisir un camp, à se positionner publiquement contre un gouvernement africain ou à se taire et passer pour complice. Le piège était clair. S’il condamnait le Mali, il risquait d’être vu comme un instrument de l’ingérence occidentale, un fils d’Afrique reni en ses racines.
S’il refusait, on l’accuserait d’être complaisant envers des régimes jugés, problématiques par certains pays occidentaux. Et s’il éudait, on dirait qu’il fuyait ses responsabilités de modèle public. Le piège était donc parfait. En une seule phrase, on cherchait à opposer en lui la France à l’Afrique, la morale à la prudence, la parole à la loyauté.
Mais ce que le journaliste ne savait pas, c’est que Engolo Kanté ne réagit jamais comme on l’attend. Il ne joue pas selon les règles de ceux qui aiment les clashes ou les grandes déclarations. Il ne répond pas avec des slogans ni avec des silences embarrassés. Il répond avec conscience, avec une force tranquille, celle qui découle de la sagesse et du vécu.
Et à cet instant précis, tout le monde sur le plateau du régisseur en coulisse jusqu’au public suspendu à ses lèvres attendait de voir comment il allait sortir de ce guetapan tendu en direct. Le plateau venait de basculer dans une autre dimension. Après la question du journaliste, le temps sembla se suspendre. Le tumulte des caméras, les mouvements constants des techniciens en arrière-plan, les petits toutsautements dans le public, tout disparut dans un silence d’une densité presque surnaturelle.
Et au milieu de ce calme soudain, il y avait Engolo Kanté. Assis sur sa chaise, le regard posait avec calme sur celui qui venait de l’interpeller. Aucun frémissement dans ses sourcils, aucun signe d’agacement, pas un seul mot précipité. Il ne détourna pas les yeux, il ne baissa pas la tête, il ne se défendit pas, il se contenta de regarder profondément, longuement.
Ce regard silencieux et chargé d’intelligence était plus éloquent que 1000 discours. Il ne criait pas, il n’évitait pas, il interrogeait, il renvoyait la question à son expéditeur sans hostilité mais avec une lucidité désarmante. Le journaliste, face à cette réaction inattendue, se sentit légèrement mal à l’aise. Lui qui s’attendait à un refus rapide ou à une déclaration expéditive voyait son plan s’effriter.
car ce qu’il avait sous-estimé, c’était la puissance d’un silence habité. Et chez Kanté, ce silence-l n’était pas vide. Il était chargé de mémoire, de respect, de retenue, mais aussi de fermeté. Dans le public, on percevait les réactions physiques. Des visages se tournaient lentement les uns vers les autres, cherchant à comprendre ce qui était en train de se passer.
Des jeunes, dans les premiers rangs, se penchait en avant, captivés. Des anciens au fond croisaient les bras soudainement graves. Une femme murmura à sa voisine, “Il va répondre mais à sa manière.” Le réalisateur en régie hésita à couper l’antenne pour lancer un reportage de secours. Mais quelqu’un l’arrêta, ne coupe rien. Ce qu’on vit là, c’est de l’histoire.
Quanté, lui, ne semblait pas pressé. Il laissait l’attention monter non pas par stratégie mais parce qu’il était profondément en train de réfléchir. Il ne voulait pas parler à la hâte. Il savait que chaque mot qu’il allait dire serait repris, décortiqué, interprété et il refusait de se prêter à ce jeu sans y mettre toute sa conscience, toute sa vérité.
Après une trentaine de secondes qui parurent une éternité, il bougea enfin. Lentement, il joignit ses mains sur ses genoux. Il inspira doucement et il redressa le buste non pas comme un politicien sur le point d’aranguer la foule, mais comme un homme qui s’apprête à dire quelque chose d’important pour lui-même, pour les autres et peut-être même pour l’époque.
À ce moment précis, les caméras sur son visage. Il était paisible mais résolu. Son regard ne brillait pas de colère ni de provocation. Il était clair, ancré, traversé d’une forme de gravité rare dans les médias. Puis enfin, il prit la parole. Mais ce que Kanté allait dire ne serait pas une réponse attendue. Ce ne serait pas un oui, ce ne serait pas un non, ce serait une élévation.
Sa voix s’éleva enfin, d’abord douce, presque murmurée, comme s’il parlait d’abord pour lui-même. Mais chaque syllabe était d’une clarté saisissante, comme si en quelques secondes, tout le bruit du monde s’était effacé pour laisser place à une parole rare, pesée, essentielle. Je vous remercie pour votre question.
Il fit une courte pause, pas pour dramatiser, mais parce qu’il prenait soin de ne jamais parler à la légère. Puis il continua : “Mais permettez-moi de poser une autre question avant de vous répondre. Pourquoi me demande-t-on à moi, Engolo, Kanté, footballeur, fils d’un immigré ouvrier, de condamner publiquement un pays africain tout entier ? Un pays qui lutte, qui doute, qui se cherche comme tant d’autres ?” Le plateau reste affigé.
Même le journaliste, pourtant habitué à garder le contrôle, ne put masquer une certaine surprise. Il n’avait pas prévu que Kanté retournerait le miroir aussi lucidement. Quanté poursuivit son ton devenant plus ferme, mais toujours sans jamais hausser la voix. Il parlait lentement pour que chaque mot traverse les filtres idéologiques et atteigne l’humanité de ceux qui l’écoutaient.
Je ne suis ni politicien, ni juge international, ni porte-parole de quelque chancellerie que ce soit. Je suis un homme qui connaît la valeur du silence, la difficulté de la dignité quand on a peu. Je sais ce que c’est que de grandir dans un monde où l’on vous demande de prouver que vous méritez votre place.
Et vous voudriez que je condamne un pays frère, le Mali, assis ici confortablement à des milliers de kilomètres ? Un murmure parcourut le public. Certains enchaient la tête, d’autres avaient les yeux humides. Car dans ces mots, il y avait quelque chose de rare à la télévision, de la mémoire, de la nuance, de l’empathie.
Si vous me demandiez de parler des souffrances, oui, je pourrais vous dire que je les entends. Des injustices, je sais qu’il y en a. Mais qui suis-je pour me lever ici et frapper du doigt un peuple entier ? Qui suis-je pour ignorer le contexte, l’histoire, les blessures, les humiliations qui ont mené à ce point ? Il fit une nouvelle pause.
Cette fois, le silence était religieux. On aurait pu entendre tomber une aiguille. Puis Quanté fit basculer le débat d’une manière encore plus inattendue. Il regarda le journaliste dans les yeux, sans défi, mais avec une intensité bouleversante. Vous savez, on me demande rarement de condamner d’autres puissances, même quand elles bombardent, même quand elles oppriment.
On ne m’a jamais demandé de condamner ceux qui ont colonisé mes ancêtres, ni ceux qui ont fermé la porte à mes parents quand ils cherchaient du travail. Mais aujourd’hui, ici, on me demande de condamner le Mali. Pourquoi ? Il n’y avait ni colère ni rancune dans sa voix, juste une vérité nue qui s’imposait par sa clarté.
Moi, je préfère tendre la main, aider, comprendre, dialoguer. J’ai toujours cru que le respect commence là où s’arrête le jugement. Si le Mali traverse une crise, ce n’est pas un condamné qu’il lui faut, c’est un frère, un allié, un soutien. Il baissa légèrement les yeux comme pour conclure, puis ajouta avec une simplicité déconcertante : “Et si je peux faire quelque chose, je préfère construire une école à Bamaako que critiquer son gouvernement à Paris.
” Ce fut le point final. Et pourtant, tout le monde savait que quelque chose d’immense venait de se dire, pas un discours, pas une posture, mais une élévation morale. Le journaliste Mua reprit timidement ses fiches. Les autres invités restaient immobiles, saisis. Sur les réseaux sociaux, des extraits circulaient déjà. On entendait les notifications vibrer jusque dans le public.
Mais sur le plateau, il n’y avait plus de bruit. Juste le silence laissé par une parole vraie. À peine les derniers mots de Kanté prononcés, un silence sidérant enveloppa le plateau, plus lourd encore que celui qui avait précédé sa prise de parole. C’était un silence de stupeur, mais pas celui qui accompagne la gêne ou la colère.
Non, c’était celui qui n’est quand la vérité, la vraie vient d’être dite sans éclat ni colère, mais avec une telle évidence qu’elle rend toute contradiction inutile. Et soudain, les applaudissements éclatèrent. Pas des applaudissements programmés, pas des réactions tièdes ni polies. De vrais applaudissements sincères, débordants, irrépressibles.
Dans le public, des gens se levèrent spontanément. Certains tapaient dans leurs mains avec une intensité presque émotive. D’autres se contentaient d’un léger sourire bouleversé, incapable de formuler ce qu’il ressentait. Une jeune femme, étudiante en relations internationales, les larmes aux yeux, murmura à sa voisine : “C’est la première fois que j’entends quelqu’un parler de l’Afrique avec autant de justesse, sans haine, sans peur, juste avec dignité.
Un homme d’une cinquantaine d’années, ancien ouvrier malien, assis au fond du studio essuya furtivement une larme sur sa joue. Pour lui, ses mots raisonnaient comme une reconnaissance tardive, comme si enfin quelqu’un de ce monde médiatique avait compris ce que tant d’Africains ressentent. Le besoin de respect, pas de pitié, d’écoute, pas de condamnation.
Sur le plateau, le journaliste qui avait posé la question restait figé. son stylo dans les mains, il baissa les yeux sur ses fiches comme s’il cherchait en vain une réplique. Mais il n’y en avait pas. Quant n’avait pas répondu à la question, il l’avait transcendé. Il n’avait pas argumenté, il avait éveillé.
Les autres invités prirent conscience de la portée de l’instant. Une politicienne connue pour ses interventions musclées, d’ordinaire pront à couper la parole, se contenta de hocher la tête avec gravité. Même le présentateur, pourtant habitué au rebondissement, semblait avoir perdu momentanément son fil conducteur. Dans son oreillette, la régie lui soufflait : “Laisse la magie opérer, ne coupe pas, laisse respirer.
” Et pendant ce temps-là, les réseaux sociaux explosaient. Le passage venait à peine de se terminer, qu’il était déjà découpé, sous-titré, commenté, relayé. des hashtags comme hashtag canté hashtag respect pour le Mali hashtags silence de vérité ou encore hashag je suis pas un jeu je suis un frère prenez d’assaut les tendances des personnalités du monde entier partageaient l’extrait avec des commentaires bouleversés footballeurs, journalistes, artistes, enseignants, des anonymes aussi, des maliens, des sénégalais, des burkinabés, des
français, des jeunes issus de la diaspora, des vieux qui avaient vu 1000 débats sans jamais entendre une telle parole. À Bamo, dans un café du quartier de Soonico, un groupe d’hommes regardait l’émission en direct sur un petit écran. Quand Kanté prononça les mots, “Si je peux faire quelque chose, je préfère construire une école à Bamako.
” L’un d’eux frappa doucement sur la table et dit : “Lui, c’est un vrai, pas un donneur de leçon, un frère.” Et ailleurs dans une école de Saint-Sindis, le lendemain matin, un professeur de géographie montra l’extrait à ses élèves de 4e. À la fin, un jeune garçon d’origine malienne leva la main et dit : “Il a dit exactement ce que je ressens quand on me demande de renier mes origines.
” Pendant ce temps, dans les chaînes d’information, les éditorialistes restaient prudents. Certains tentaient d’analyser ce qui venait de se passer. D’autres, surpris par l’adhésion massive du public, reculaient devant la tentation de la polémique car il était difficile d’attaquer Kanté sans se heurter à une évidence.
Il n’avait pas pris partie pour un pouvoir, il avait pris partie pour la dignité, pour la fraternité, pour la compréhension. Et dans l’émission elle-même, l’émotion était telle qu’il fallut quelques minutes de silence et de réajustement avant que le présentateur ne puisse reprendre le fil du débat. Mais même après ça, plus rien ne serait comme avant sur ce plateau.
Quanté n’avait pas seulement répondu à une question, il avait changé la nature même de la discussion. Quand l’émission toucha à sa fin, l’ambiance sur le plateau avait radicalement changé. Le programme, prévu pour 2 heures de débats animé et de confrontation verbale, avait pris un virage inattendu. Il ne s’agissait plus d’un plateau télé.
C’était devenu un lieu de conscience, un moment suspendu dans le rythme habituel du bruit médiatique et tout le monde en était conscient. Le présentateur d’ordinaire pront à relancer sur des sujets brûlants conclut simplement. Merci monsieur Kanté. Ce soir, vous n’avez pas seulement parlé, vous avez élevé la discussion.
Puis le générique se lança. Les projecteurs baissèrent doucement d’intensité. Dans le public, personne ne se précipita vers la sortie. Beaucoup restèrent assis comme pour prolonger un peu plus la profondeur du moment vécu. Quelques jeunes descendirent timidement de la tribune pour tenter de saluer Kanté. Il les accueillit avec la même humilité que sur le terrain.
Un sourire simple, une poignée de main franche, parfois inacolade. Il prit le temps de répondre à chacun. Mais pendant ce temps-là, dehors, le monde s’était déjà emparé de l’instant. Dans les minutes qui suivirent, les réactions s’étendirent bien au-delà des réseaux sociaux. Des journalistes internationaux saluèrent la prise de position du joueur français, la qualifiant de discours d’équilibre et de sagesse rare dans le monde du sport.

Des intellectuels maliens remercièrent publiquement Kanté pour avoir refusé l’humiliation et préféré la main tendue à la stigmatisation. Le président d’une grande ONG africaine déclara dans un communiqué : “Ce que Engolo Kanté a dit ce soir-là, c’est ce que nos peuples attendent depuis des décennies.
qu’on parle de nous sans nous juger, qu’on comprenne nos luttes avant de nous accuser. Des élèves dans plusieurs lycées d’Île-de-France reprirent ces mots en cours de citoyenneté. Des professeurs s’en servirent pour aborder la question des relations franco-africaines mais aussi du rôle des personnalités publiques dans la construction d’un récit commun.
Des philosophes analysèrent son silence initial comme un acte politique en soi, une manière de suspendre la parole pour faire naître une vérité plus haute que le débat. Et dans certaines rédactions parisiennes, on entendait des journalistes avoués. On pensait que ce serait un passage anecdotique. En fait, c’est devenu un moment historique.
Même du côté politique, les réactions fusèrent. À gauche comme à droite, chacun tenta de commenter l’événement. Certains avec sincérité, d’autres avec opportunisme. Mais au fond, personne ne pouvait récupérer ce qu’avait fait, car ce qu’il avait dit venait d’un lieu de silence intérieur que la politique ne peut pas atteindre.
Pendant ce temps à Bamo, une vidéo virale circulait déjà dans les quartiers populaires. On y voyait assis sur le plateau dire cette phrase devenue virale. Si je peux faire quelque chose, je préfère construire une école à Bamaako que critiquer son gouvernement à Paris. Cette simple phrase fit l’effet du n de choc. Dans les radios locales, on la répétait.
Des jeunes l’écrivaient à la peinture sur les murs. Des rappeurs commencèrent à la citer dans leur texte et une école primaire en périphérie de la capitale malienne lança une pétition pour être rebaptisée école Engolo Kanté au fraternité et respect. Et lui pendant ce temps reprit le train comme toujours loin du bruit, loin de l’agitation.
Il refusa toutes les demandes d’interview, les sollicitations de plateau. Il ne voulait pas faire tourner cet instant en boucle. Ce qu’il avait dit, il l’avait dit une fois. C’était suffisant. Il rentra chez lui dans son quartier tranquille, salua ses voisins comme chaque jour, fit ses courses dans la petite épicerie d’Axé et rentra chez lui comme si rien ne s’était passé.
Mais dans le cœur de millions de personnes, quelque chose avait bel et bien changé. Ce soir-là, Engolo Kanté n’avait ni crié, ni accusé, ni flatté. Il avait simplement rappelé que parfois dire “Je ne condamne pas”, c’est choisir la paix au lieu de l’orgueil. C’est préférer la fraternité à l’arrogance.
Et dans un monde qui divise, ce choix-là peut tout changer. L’histoire que vous avez entendu est 100 % fictive. Elle a été imaginée dans un but de divertissement uniquement. Aucune des situations, réplique ou interaction décrite dans cette vidéo n’est inspirée de faits réels. Toute ressemblance avec des événements ou des personnes existantes seraient purement fortuites.
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