Veronika Loubry anéantie par la disparition de son compagnon : un adieu bouleversant à l’homme de sa vie

Le 11 décembre 2025 restera comme l’un des jours les plus sombres de la vie de Veronika Loubry. L’animatrice et entrepreneuse, habituellement lumineuse et solaire, a annoncé sur son compte Instagram une nouvelle qui a profondément secoué ses proches, ses amis et sa communauté : la mort de son compagnon depuis dix ans, Gérard Kadoche, après un combat long, injuste et épuisant contre la maladie.

Ce message, empreint d’une sincérité poignante, dévoile toute l’étendue de la douleur d’une femme qui vient de perdre ce qu’elle décrit comme « l’amour de [sa] vie ». Une publication longue, déchirante, presque écrite d’un seul souffle, comme si chaque mot était arraché à un cœur brisé.

Un combat acharné de presque trois ans

Dans son hommage, Veronika révèle que Gérard Kadoche s’est battu pendant deux ans et neuf mois contre une maladie qu’elle ne nomme pas, mais dont elle décrit la violence et la cruauté. Au fil des mois, elle a observé l’homme qu’elle aimait affronter les traitements les plus lourds, notamment 56 chimiothérapies, avec une force qui force l’admiration. Un chiffre presque inimaginable, qui témoigne d’une détermination hors du commun.

« Pendant son combat, mon guerrier a tout donné : sa force, sa dignité, son humour même quand la douleur gagnait du terrain », écrit-elle avec une tendresse mêlée d’admiration.

Malgré la fatigue, la peur, la souffrance, Gérard continuait de sourire. Il rassurait. Il conseillait. Il plaisantait même parfois, comme pour protéger Veronika du pire. Jusqu’au bout, elle l’a vu lutter, avec une ténacité qui la faisait presque croire à l’invincible.

Un amour fusionnel né il y a dix ans

Entre Veronika et Gérard, l’histoire était intense, profonde, entière. Un amour né il y a une décennie, construit avec patience, respect, douceur, mais aussi avec cette évidence qui ne trompe pas : ils s’étaient trouvés.

« C’était mon âme sœur, mon grand amour, mon double », confie-t-elle. Des mots forts, qui décrivent une relation qui allait bien au-delà du quotidien ou des projets partagés. Leur lien relevait du vital. Ils formaient un duo soudé, fusionnel, presque autarcique, comme elle le rappelle : « Nous nous suffisions à nous-mêmes. »

Leur relation, Veronika la qualifie de cocon. Un espace intime où rien ne semblait pouvoir les atteindre, où seule comptait la force de leur amour. Ensemble, ils avaient bâti une vie empreinte de complicité et de rêves communs. Une vie qu’elle pensait poursuivre encore longtemps, certaine que leur union leur permettrait de tout affronter.

Mais la maladie a fini par imposer sa loi, laissant derrière elle un silence immense : « Il est parti cette nuit laissant derrière lui un silence immense. »

Une douleur physique, brutale et omniprésente

Au fil de son message, Veronika ne cache rien de l’intensité de la souffrance qui la traverse depuis plusieurs jours, une douleur presque physique. Elle raconte ce corps qui tremble, cette respiration qui se fait courte, cette incapacité à imaginer un avenir sans lui.

« J’ai mal, si mal », confie-t-elle avec une vulnérabilité bouleversante.

L’absence de Gérard, elle la ressent déjà comme une blessure ouverte. Elle explique devoir désormais apprendre à respirer sans lui, une perspective qu’elle juge « très compliquée ». Pour elle, le monde semble s’être arrêté. Plus rien n’a le même goût, le même sens. L’homme qui partageait son quotidien, qui guidait ses pas, qui illuminait ses journées, n’est plus là.

Une onde de choc pour leurs familles recomposées

La disparition de Gérard ne touche pas uniquement Veronika. Le couple formait une famille recomposée de quatre enfants, auxquels ils étaient tous deux profondément attachés.

« Nos quatre enfants sont dans la souffrance », écrit-elle, révélant la profondeur du chagrin collectif qui les submerge aujourd’hui. Pour ces jeunes dont la vie a souvent été modelée par l’amour du couple, le choc est immense. La perte d’un repère, d’une présence rassurante, d’un homme qui a occupé une place fondamentale dans leur univers.

Une vague de soutien du monde artistique et médiatique

Dès la publication du message, les réactions se sont multipliées. Et parmi elles, de nombreuses personnalités du paysage audiovisuel et artistique français, profondément touchées par cette tragédie.

Karine Le Marchand, très proche du couple, a laissé un message empreint d’émotion :
« Ton mari était un Mensch comme je n’en ai jamais vu. On l’aimait tant notre Gégé. »

Carla Bruni a adressé « [ses] pensées les plus sincères », tandis que Flavie Flament, Sylvie Tellier, Sophie Davant, ou encore Sandra Sisley ont tenu à soutenir Veronika dans ce moment de déchirement absolu.

Les mots de Sandra, « Je t’aime ma Vero », témoignent d’une solidarité chaleureuse à l’égard d’une femme que beaucoup savent profondément meurtrie.

Cette vague de soutien souligne à quel point Gérard était apprécié, respecté, aimé. Et combien le couple qu’il formait avec Veronika avait suscité admiration et tendresse.

Un dernier adieu empreint de lumière et d’amour

Malgré la douleur qui l’écrase, Veronika a tenu à conclure son message avec une déclaration d’amour éternelle. Une manière de dire au revoir, mais aussi de reconnaître que ce lien, si fort, ne disparaîtra jamais vraiment.

« Son absence me transperce déjà mais son amour ne me quittera jamais… Je t’aimerai éternellement mon guerrier. Bon voyage mon amoureux. »

Des mots simples, mais d’une intensité rare. On y lit la détresse, l’injustice, mais aussi une immense gratitude envers l’homme qu’elle a aimé pendant dix ans, envers ce couple qu’ils formaient, si beau, si solide.

Une histoire d’amour qui survivra au temps

La disparition de Gérard Kadoche laisse un vide immense dans la vie de Veronika Loubry. Mais elle laisse aussi l’empreinte indélébile d’un amour véritable, sincère, profond. Un amour qui leur a permis de traverser les plus dures épreuves, et qui, malgré la mort, continue de rayonner dans chaque mot qu’elle lui adresse.

Dans cet adieu bouleversant, Veronika montre qu’au-delà de la douleur, subsiste ce qu’ils ont construit : une histoire rare, forte, précieuse, qui restera à jamais gravée dans son cœur — et dans celui de tous ceux qui ont croisé leur route.