Lamine Yamal DÉMOLIT Marine Le Pen en seulement 5 secondes – Elle le Regre…
Sous les lumières d’un plateau télé catatal, les projecteurs ne sont pas là pour flatter, ils sont là pour exposer. Ce n’est pas un talk show, ce n’est pas une interview, c’est un face-àface. D’un côté, Marine Le Pen figure française au discours tranché, invitée exceptionnel d’un débat européen sur l’identité et la jeunesse, retransmis en direct depuis Barcelone.
De l’autre, la mine Yamal, 17 ans, crinière bouclé, génie du football espagnol. Mais ce soir, il ne vient pas pour dribler, il vient pour parler. Le décor est sobre. Pas de décorations inutiles. Juste deux fauteuils, une table et un écran derrière eux. Tout le monde sent que ce ne sera pas un échange ordinaire.
Marine Le Pen s’avance la première, robe bleu nuit, expression calculée. Elle salue poliment, s’assoit, croise les jambes, elle contrôle la scène. Du moins, c’est ce qu’elle pense. Mais quand la mine entre, il n’y a ni musique ni effet spécial. Et pourtant, tout le plateau semble changer d’atmosphère. Il ne dit rien. Il s’installe, fixe la table puis regarde droit devant lui.

Is gar là présentatrice tente un lancement neutre, mais Marine n’attend pas. Elle se tourne vers Yamal, sourire discret et lâche calmement. Vous êtes un footballeur talentueux mais peut-être un peu jeune pour donner des leçons à l’Europe. Vous pensez vraiment comprendre ce que traverse notre continent ? Le public retient son souffle.
Le ton est posé mais la pique est claire. Yamal ne sourit pas. Il ne se démonte pas. Il regarde Marine Le Pen et dit “J’ai 17 ans et je n’ai jamais traversé l’Europe. J’ai dû l’affronter.” La phrase est tombée tranchante, silencieuse, irréfutable. Un battement de silence s’installe. Puis il sort de sa poche un petit carnet.
Il le pose doucement sur la table, le regarde et ajoute “Ce carnet, c’est celui de mes souvenirs, pas les meilleurs, ceux que je ne devrais pas avoir à cet âge.” Il l’ouvre, lit une phrase, “Retourne d’où tu viens, une autre : “Tu n’as pas une tête d’espagnol, une troisième”. “Le foot, c’est pas pour les Arabes. Il ferme le carnet puis lentement le pousse vers Marine Le Pen.
Je ne suis peut-être pas politicien, mais chaque ligne de ce carnet est une réalité. Vous pouvez les ignorer, mais elles existent.” Marine Le Pen garde le silence. Légèrement déstabilisé, alors Yama enchaîne. Il appuie sur un bouton. Derrière lui, l’écran s’allume. Une vidéo démarre. On y voit un enfant 8 ans à peine bloqué à la frontière espagnole. En larme.
Ses papiers sont en règle. Mais son nom suscite un doute, juste un doute. La vidéo s’arrête, la mine ne commente pas. Il demande est-ce que ce gamin mérite moins qu’un autre juste parce qu’il ne s’appelle pas Ravière ? Marine Le Pen tente une réponse. Ce n’est pas de la discrimination. C’est une question de sécurité, de cohésion, d’identité nationale. Mais Yamal secoue la tête.
L’identité ne se construit pas sur l’exclusion, elle se construit sur la reconnaissance. Mais il sort alors une photo, une vieille dame en tablier debout devant un immeuble modeste. C’est ma grand-mère. Elle a nettoyé des écoles pendant 30 ans. Elle parlait mal l’espagnol, mais elle a élevé des enfants qui le parlent parfaitement.
Elle n’a jamais vu de médaille. Elle a eu des regards méfiants. Il repose la photo et dit “Les yeux dans les yeux : “Si elle n’est pas espagnole alors qu’il est ?” Marine Le Pen croise les bras, reste droite. Il ne s’agit pas d’individu mais d’un modèle de société, d’une culture. Mais c’est trop tard. Lamine sort une deuxième photo, une salle de classe, des enfants de toutes origines assis côte à côte en train de dessiner un drapeau espagnol.
Une petite fille en hijab, un garçon noir, un blond, un métisse, tous rit. Voilà votre modèle. Il existe déjà. Vous le niez parce qu’il vous dérange. Le silence s’épaissit. Le public n’applaudit pas. Il écoute. Il absorbe. Yama regarde la caméra. Pas Marine, pas la présentatrice, la caméra et dit “Vous pensez que nous sommes une menace mais nous sommes l’avenir.
Ce n’est pas un avertissement, c’est une promesse.” Il se lève, ne dit plus rien, ne crie pas. Il incline la tête puis sort du plateau. Marine Le Pen reste figée, les yeux ailleurs. Ce soir-là, ce n’était pas un débat, ce n’était pas une défaite, c’était une prise de conscience. Et toute l’Espagne, toute l’Europe l’a entendu.
Ils ont tenté de l’appeler Buzz. Ils ont dit “Ce n’était qu’un moment d’émotion.” Mais au lendemain du choc, personne ne parle d’autre chose. Les vidéos du face-àface explosent sur les réseaux. Le nom de la min Yamal dépasse celui des ministres dans les moteurs de recherche. Dans les lycées, des élèves lisent à voix haute les phrases de son carnet.
Dans les rues, des ados murmurent. Il a parlé pour nous. Marine Le Pen, elle accepte de revenir. Cette fois, entourée de ses conseillers, brief au millimètres. Son objectif est simple, reprendre le contrôle. Revenir sur le terrain des idées, là où elle se sent à l’aise, statistique, référence, rhtorique. Quand elle entre sur le plateau, son visage est plus dur.
Son regard plus aiguisé, Yamal arrive à son tour, toujours seul, toujours calme, veste en jean. Aucune fiche, aucune défense apparente, mais quelque chose dans sa démarche indique qu’il est prêt. La présentatrice ouvre la séance. Ce soir, nous allons parler d’éducation, de culture, de transmission. Marine Le Pen, vous avez la parole.
La candidate saisit l’opportunité. Ce que j’ai vu hier, c’était fort certes, mais l’émotion ne peut pas remplacer la lucidité. Nous avons un problème d’assimilation en Europe. Des quartiers entiers se ferment. Des langues étrangères remplacent l’espagnol, le français. L’école devient un champ de bataille culturelle.
Ce n’est pas de la peur, c’est un constat. Elle se tourne vers Yamal. Vous êtes un symbole de réussite. Mais combien d’enfants dans vos quartiers respectent encore les valeurs du pays ? Yamal ne fronce pas les sourcils. Il ne soupire pas. Il lève lentement les yeux, appuie sur une télécommande, derrière lui une vidéo, une classe de collège à des enfants de tous horizons chantent ensemble l’hymne espagnol.
Sans parole certes, mais avec une intensité palpable. Une fille en fauteuil roulant bat le rythme. Un garçon en doudoune rit en regardant la caméra. Un instant suspendu, il appuie sur pause. Voilà ce que vous appelez un champ de bataille. Un léger frisson traverse le public. Puis Yamal parle. Sa voix ne tremble toujours pas. Vous dites que les langues étrangères envahissent les écoles.
Moi, je dis que les enfants parlent plusieurs langues. C’est une richesse, pas une menace. Il sort une lettre pliée en deux. Froissé. C’est la lettre d’un professeur. Il enseigne l’histoire dans un lycée technique à Valence. Il dit “J’ai dans ma classe des élèves d’origine maghrébine, roumaine, sénégalaise. Ce sont eux qui défendent le plus les valeurs de la République parce qu’ils savent ce que ça coûte.
” Marine Le Pen tente un contrepied. Mais les chiffres ne mentent pas. La délinquence explose dans certains quartiers et elle porte des prénoms que vous ne voulez pas citer. Yamal lève un sourcil. Puis il prend une feuille. En 2023 en Espagne, 68 % des violences sexistes ont été commises par des hommes blancs, espagnols de naissance.
Est-ce que ça veut dire qu’on doit se méfier de tous les Santiago, de tous les Carlos ? Non. Parce que les chiffres sans contexte deviennent des armes. Le plateau est tendu. La présentatrice n’ose plus intervenir. Yamal s’approche un peu. Il parle doucement. On ne construit pas un pays avec des peurs. On le construit avec des ponts, avec des récits communs, avec des rêves partagés.
Il sort un dessin, un terrain de foot, des enfants de toute couleur. Une phrase au feutre bleu. Ici, on joue tous ensemble. Il lève la tête. C’est un petit garçon qui a dessiné ça. Il s’appelle Ryan. Il a été insulté dans une cour de récré parce qu’il portait un prénom arabe. Il avait 6 ans. Marine Le Pen reste silencieuse.
Elle regarde le dessin longtemps, puis elle murmure, il faut des règles, il faut un cadre. Une nation, ce n’est pas un terrain vague. Il y a maloche la tête. Ce n’est pas un terrain vague. C’est un terrain de jeu. Et les règles justement, c’est de ne laisser personne dehors. Le silence est lourd, il ne pèse pas, il transforme.
Les caméras restent fixes, le public ne bouge pas. Et ce soir-là, pour la deuxième fois, ce n’est pas un débat qu’on a vu. C’est une faille qui s’est ouverte et une lumière qui est dépassée ce soir-là. Personne ne parle de débat. Les rues de Barcelone sont calmes, mais les cœurs eux battent ne plus fort que jamais.
Ce n’est plus une confrontation, s’étonnait, un basculement sur le plateau. Les caméras sont en place. Le décor n’a pas changé, mais l’atmosphère, elle est différente. Électrique, intime, fragile. Marine Le Pen entre la première. Elle semble tendue, pas épuisée, non, mais sur ses gardes, les épaules un peu plus raides, le regard plus furtif.
La mine Yamaal entre ensuite, toujours sans équipe, toujours sans artifice. Mais ce soir, il porte quelque chose de nouveau. Un brassard noir. Il s’assoit, pose le brassard sur la table, ne dit rien, puis il regarde la caméra et commence. Ce matin, j’ai reçu une lettre d’un garçon de 14 ans. Il s’appelle Samy. Il vit à Séville.
Il a tenté de mettre fin à ses jours. Pourquoi ? parce qu’on lui a dit qu’avec un prénom comme le sien, il ne pourrait jamais être pompier. Il lit la lettre sobrement, ligne après ligne. Je voulais être utile. J’ai compris que je n’étais pas le bienvenu. Le plateau devient glacé, pas à cause du froid, à cause de la vérité.
Marine Le Pen tente une réponse. Sa voix est posée. Ce que ce garçon a vécu est terrible, mais ce n’est pas moi. Ce n’est pas ce que je veux. Yamal ne l’interrompt pas. Il l’écoute puis il répond : “Ce ne sont peut-être pas vos mots, mais ce sont les échos. Quand on répète qu’un prénom est un problème, qu’une origine est un danger, il y a toujours quelqu’un qui écoute et qui frappe.
Il appuie sur un bouton. Derrière lui un écran géant, 12 visages, 12 jeûes. Tous morts sous les coups, les insultes, le rejet. Au-dessus de chaque photo, une phrase, toujours la même. “Tu n’es pas d’ici.” Yal ne dit rien. Il laisse les regards parler pour lui, puis il murmure. “Vous croyez que vos discours restent dans les studios, mais il voyage dans les cours de récré, les fils d’attente, les regards, les refus.” Marine Le Pen tente une défense.
Elle parle d’insécurité, de sentiments de déclassement, de français oublié. Elle dit “Ce pays a peur et la peur ne disparaît pas avec des slogans.” Yamaoche la tête et répond calmement. Ce pays a peur, mais la peur ne doit pas devenir une politique. Il sort une dernière feuille, un dessin, encore un, un enfant, un ballon et une phrase je veux jouer avec tout le monde, même ceux qui me ressemblent pas.
Yamal sourit doucement. Tristement, c’est mon petit cousin qui a dessiné ça. Il s’est fait exclure d’un match parce qu’il avait un prénom Berbère. Il a 8 ans et il comprend déjà ce que certains refusent encore de voir. Marine Le Pen baisse les yeux. Elle ne quitte pas le plateau. Elle ne part pas mais quelque chose en elle a changé.
Ce n’est pas une défaite, c’est un doute. Yamal nou le brassard noir autour de son bras lentement, solennellement. Je le porte pour Sami, pour Rayan, pour tous ceux qu’on n pas. Écoutez. Puis il regarde la caméra une dernière fois. Je ne suis pas un politicien, je ne suis pas un héros. Je suis juste un gamin qui refuse que l’indifférence devienne la norme.
Il se lève, s’incline et quitte le plateau. Cette fois, aucun mot ne le suit, juste le silence. Chargé, profond, réparateur, le lendemain, les écoles affichent les visages. Des classes entières observent une minute de silence. Des jeunes dans toute l’Espagne noutent des brassards noirs autour de leurs bras.
Ce n’est plus un buzz, c’est un symbole. Et Marine Le Pen comprend, sans qu’on le lui dise, qu’elle n’a pas seulement perdu un échange, elle a perdu un monopole. Le monopole du récit. Ce soir, l’émission a changé de visage. Le plateau est devenu silencieux avant même l’arrivée des invités. Le public ne murmure plus.
Il observe, il attend car tout le monde a compris. On n’assiste plus à une joute verbale. On assiste à un basculement d’époque. Marine Le Pen revient encore mais quelque chose dans son attitude a changé. Moins assurée, moins campé, plus prudente. Elle ne le dira jamais mais elle sait ce qu’elle affronte ici n’est pas un adversaire, c’est une génération.
La mine a mal entre quelques minutes plus tard. Il ne salue pas la foule. Il regarde le sol puis lève les yeux vers la table et s’assier. La présentatrice hésite à parler puis comme si elle passait le relais, elle murmure simplement : “Monsieur Yamal, vous vouliez commencer.” Il tête et sort un objet. Ce n’est ni une lettre ni un document.
C’est un t-shirt d’enfant taille 6 ans blanc froissé. Sur le cœur au feutre bleu, une phrase écrite par une main maladroite. Ici, je suis chez moi, même si on me le dit pas. Yamal lève lentement le regard. Ce t-shirt, je l’ai reçu ce matin. Il appartenait à une petite fit qui s’appelle Nour. Elle a s été obligée de changer d’école parce qu’un enseignant lui a dit que son prénom posait problème à l’administration.
Le silence tombe, danse, irréel. Marine Le Pen ouvre la bouche mais Yamal l’interrompt. Pas violemment, doucement mais fermement. Ce n’est pas un débat madame, ce n’est plus un débat. Il regarde la caméra, pas Marine, pas le public. La caméra. J’ai 17 ans, je vise ici, je vis pleinement ici. Et pourtant, chaque jour, on me demande d’où tu viens vraiment.
Comme si être d’ici n’était jamais suffisant. Il appuie sur le bouton, l’écran s’allume, on y voit un court extrait d’un vieux meeting politique, une archive. Marine Le Pen y prononce une phrase datée maladroite. On ne peut pas défendre une culture quand on n’en partage pas les codes. Yamal ne sourit pas, il ne commente pas, il pose une seule question.
Et qui décide des codes ? Le plateau reste figé. Marine Le Pen tente de rebondir. Elle parle de règles communes, de tradition, de laïcité. Elle dit “Nous avons construit l’Europe sur une histoire commune et parfois il faut choisir s’intégrer ou s’effacer.” Yamaloche la tête puis répond “Moi, je ne veux ni m’effacer ni dominer. Je veux coexister.” Il sort une dernière photo.
Sa mère assise sur un banc en uniforme d’hôpital fatiguée mais droite, “Ma mère soigne des patients tous les jours. Elle ne leur demande jamais d’où ils viennent. Elle les soigne. C’est ça une valeur. Marine Le Pen reste immobile. Yamal termine. Vous parlez d’effort, de mérite, d’amour du pays.
Mais ceux qui aiment vraiment un pays, ce sont ceux qui veulent qu’il aime tous ses enfants, pas juste les plus dociles. Il se lève. Puis il dit dans un souffle, ce n’est pas l’origine qui menace l’identité, c’est la peur de la diversité. Et il s’en va pas en héros, en témoin. Le public reste debout longtemps après son départ.
Pas pour applaudir, pas pour protester, pour ressentir, pour réfléchir. Dans les jours qui suivent, des enseignants projettent l’eau de l’échange en classe. Des jeunes inscrivent à la CR sur les murs de leur quartier. Ici, je suis chez moi. Marine Le Pen, elle reste, elle revient même à l’antenne. Mais ces mots raisonnent différemment parce que depuis ce jour, la voix de la min Yamale a franchi le seuil du plateau et elle s’est installée dans les consciences.
Ce jour-là, plus personne ne parle d’un duel. Les écoles retransmettent l’émission. Les professeurs n’organisent plus de cours d’histoire. Ils organisent des cercles de paroles. À l’entrée du plateau, une file de jeunes tous âges confondus attendent dans le froid. Non, pas pour acclamer, pour témoigner. La sécurité a doublé. La régie est en tension.
La présentatrice lit ses fiches mais les oublie presque aussitôt. Elle sait que ce soir, elle ne contrôle rien. Marine Le Pen entre. Elle a changé de ton. Sa posture est plus sobre. Son visage est fermé presque lasse. Elle ne vient plus pour gagner. Elle vient pour survivre à la séquence. Lamine. Yamal entre quelques minutes plus tard.
Cette fois, il tient un objet simple à la main, un petit cadre noir. Il s’alue d’un hochement de tête, s’installe, pose le cadre sur la table face à y est la caméra. Dedans, une photo, celle de Sami, 14 ans, le garçon de Séville et une phrase en bas gravée dans le verre, même invisible. On me voyait de travers. Le public se tait.
Pas de soupire, pas de murmure, Yamal prend une grande inspiration. Aujourd’hui, j’ai reçu 600 lettres de lycéens, de parents, de professeur, de policiers même. La plupart disent merci mais certains disent aussi “Je n’avais jamais compris.” Il marque une pause puis sort un petit cahier, il le montre. Il est usé, jauny, taché.
C’est le carnet de mon père. Il l’utilisait pour apprendre l’espagnol quand il est arrivé à Mataro. Il écrivait tous les mots qu’il ne comprenait pas. Il ne s’est jamais plaint. Il a juste appris. Mot par mot, il le pose à côté du cadre. Puis il dit “Vous parlez souvent de méritocratie, madame Le Pen, mais ce que vous oubliez, c’est que certains commencent la course sans chaussures et qu’il court quand même.” Marine Le Pen baisse les yeux.
Elle ne réagit pas. Yamal continue. Vous avez dit hier, on ne peut pas défendre une culture quand on n’en partage pas les codes. Moi, je vous dis qu’il n’y a pas de culture figée. Une culture, c’est une rivière. Elle bouge, elle s’enrichit. Il appuie sur un bouton. L’écran derrière lui affiche une fresque.
Peinte sur un mur d’école à Madrid des visages mêlés, des enfants, des adultes, des prénoms différents. Un drapeau espagnol réinventé, fait de mosaïque en haut, une inscription, ensemble, on est le pays. Yamal ne sourit pas, mais il est calme, fièrement calme. Ce n’est pas un rêve naïf, c’est déjà là. Ce que vous appelez menace, madame, ce sont nos visages, nos mains, nos voix. Marine Le Pen sert ses notes.
Elle ne répond pas. Pas encore, Yamal se lève, il prend le brassard noir et l’attache à son bras lentement, solennellement. Aujourd’hui, je le porte pour Sami, demain, je le porterai pour d’autres. Car tant que l’on restera silencieux face à la haine, on en deviendra complice. Puis il regarde la caméra, pas un mot de plus, juste un regard, un appel silencieux.
Marine Le Pen finit par murmurer. Vous avez raison sur une chose ? Il disent à des blessures que je n’avais pas vu ou pas voulu voir. Elle s’interrom. Mais je vous demande aussi de comprendre ceci. Il y a en France, en Europe, des gens qui ont peur parce qu’ils ne reconnaissent plus leur pays, parce qu’ils se sentent oubliés, il y a maloche la tête, je les entends.
Mais on ne soigne pas une peur par une exclusion, on la soigne par une rencontre. Le public est suspendu à chaque mot. Il y a mal conclu. Je suis venu avec des lettres, des dessins, des souvenirs. Je repars avec une mission. Continuer à parler pour que personne ne soit plus jamais invisible. Puis il dépose le cadre au centre de la table.

Il ne le reprend pas, il s’en va. Le plateau reste figé. La caméra zoome lentement sur la photo de Samie. Et ce soir-là, dans tout le pays, dans les rues, les écoles, les gymnases, on accroche des brassards noirs. Pas pour pleurer, pour rappeler. On pensait que tout avait été dit, qu’après 5 jours, cinq séquences, cinq secousses, il ne resterait que le silence.
Mais ce matin-là, les plateaux de télé s’installent l’ plus tôt. Les hashtags recommencent à monter. Et dans certaines écoles, des professeurs laissent les élèves écrire sur les murs ce qu’ils ont ressenti. Une phrase revient partout. On ne veut plus être invisible. Sur le plateau, la lumière est amisée. Pas par esthétisme, par respectant.
Les caméras sont prêtes. Mais cette fois, elle ne cherche pas le clash. Elle cherche la vérité. Marine Le Pen entre, le visage tiré, le regard tendu. Mais il n’y a plus de défi dans ses yeux. Seulement une forme de résistance fatiguée comme une ligne qu’elle veut tenir même si elle sait qu’elle vacille. La minamal arrive quelques instants plus tard.
Il ne tient rien, aucun document, aucun carnet. Juste lui-même, il s’installe et dit “Ce soir, je ne viens pas pour convaincre, je viens pour transmettre.” La présentatrice lui fait étin signe. “Il peut parler, alors il commence. J’ai lu des lettres.” Écouter des récits, reçu des centaines de témoignages. Beaucoup venèrent de jeunes qui me disaient : “Merci d’avoir dit ce que je n’ai jamais pu dire.
” Mais certains venaient d’adultes, des parents, des enseignants, même des policiers. et eux disaient autre chose. Je n’avais jamais entendu ça de cette manière. Il marque une pause puis regarde Marine Le Pen. Et c’est là que j’ai compris. Ce combat n’est pas contre vous. Il est contre ce que vos mots peuvent produire quand ils sortent de votre bouche et qu’il tombent dans les mauvaises oreilles.
Il appuie sur un bouton, l’écran s’allume. Ce n’est pas une vidéo cette fois, c’est une fresque numérique, un mur de message réel, coloré, écrit par des enfants. Je m’appelle Lina et j’ai le droit de rêver. Je suis Carlos et mon meilleur ami s’appelle Ryan. Moi c’est type et j’aime ce pays même s’il ne m’aime pas toujours.
Puis Yamal se lève et dit une société ne s’effondre pas quand elle devient diverse. Elle s’effondre quand elle cesse d’écouter. Marine Le Pen reste droite. Elle tente une dernière réponse. Vous avez donné une voix à une partie du pays. Mais moi aussi je porte une voix. Celle de gens qui ont peur, peur de disparaître, peur d’être balayé.
Yamal ne la contredit pas. Il répond simplement, “Je n’ai jamais voulu faire taire qui que ce soit, mais je refuse de me taire parce que mon prénom dérange. Il sort un dernier objet, un ballon pas doré, pas signé, un ballon usé de quartier avec une phrase écrite dessus au marqueur noir : “Je veux jouer, pas justifier mon existence”.
Il le pose sur la table puis regarde la caméra. “Si vous me demandez ce que je veux pour ce pays, c’est simple. Je veux que plus aucun enfant n’ait à s’excuser d’exister.” Un silence pas tendu, pas agressif. Un silence d’écoute marine. Le Pen baisse les yeux puis relève la tête et dit “Peut-être qu’on ne s’est pas compris.
Peut-être qu’on ne voulait même pas se comprendre. Mais ce que vous avez dit, ce que vous avez montré, je ne peux plus l’ignorer. Il y a mal incline la tête. Il ne s’agit pas d’avoir raison, il s’agit de réparer.” La présentatrice conclut ce soir, il n’y a pas eu de débat, il y a eu une transmission. Les caméras s’éteignent mais tout le monde sait ce n’est pas la fin, c’est un début.
Ce soir-là, dans des gymnases, des collèges, des bibliothèques, on expose les dessins d’enfants, on lit des lettres, on écoute ceux qu’on écoutait pas et la min Yamal avec un ballon, un brassard noir et quelques mots calmes n’a pas simplement marqué un but, il a ouvert une porte et cette fois personne ne pourra la refermer.
L’histoire que vous avez entendu est 100 % fictive. Elle elle a été imaginée dans un but de divertissement uniquement. Aucune des situations, répliques ou interactions décrites dans cette vidéo n’est inspirée de fait réel. Toute ressemblance avec des événements ou des personnes existantes seraient purement forites.
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