Star Academy 2025 : Michèle Laroque dévoile la blague “Team Bastiaan” de ses proches

Le Château de la Star Academy est un lieu où la pression est une invitée permanente, une ombre qui plane au-dessus des rêves et des ambitions de ses jeunes occupants. Cependant, au milieu des répétitions exténuantes, des évaluations impitoyables et de l’enjeu colossal de la « Semaine Spéciale Tournée », un rayon de soleil inattendu a fendu les murs ancestraux pour offrir un moment de grâce, d’hilarité et d’une humanité déconcertante. C’est dans ce contexte de tension maximale que l’irruption de deux monuments du cinéma et de la comédie française, Michèle Laroque et Kad Merad, a non seulement bouleversé le cours de théâtre, mais a aussi engendré un instant culte, dont les répercussions émotionnelles continueront de vibrer bien après la fin de la saison.

Ce jeudi 11 décembre, une journée déjà éprouvante pour les académiciens, allait basculer dans l’inoubliable. Après un cours de chant intensif avec Sopia Morgavi, les élèves se dirigeaient vers l’antre du jeu et de l’expression corporelle, le cours de théâtre habituellement mené par Alain Deg, dit Papi. L’atmosphère était lourde ; chaque mouvement, chaque mot, chaque rire est analysé sous le prisme de l’évaluation et de l’élimination imminente. Ils s’attendaient à un travail sur la justesse, sur l’émotion contenue, sur la technique. Ce qu’ils ont trouvé en pénétrant dans la salle, c’était une onde de choc bienveillante : la présence imposante et chaleureuse de Kad Merad et la vitalité pétillante de Michèle Laroque.

Deux « monstres sacrés » de la comédie, qui n’étaient pas là pour juger, mais pour partager, improviser, et surtout, injecter une dose salvatrice de lâcher-prise. L’atelier improvisé qu’ils ont proposé s’est transformé en un véritable feu d’artifice émotionnel. Les comédiens avaient préparé deux petites scènes, des canevas pour permettre aux élèves de s’affranchir du stress et de laisser libre cours à leur créativité. Les rires ont fusé, l’improvisation a créé des ponts inattendus entre les élèves et leurs prestigieux professeurs d’un jour. L’ambiance, d’abord teintée de respect et de timidité, est rapidement devenue électrique, libérant une énergie palpable qui a rappelé à tous pourquoi ils étaient là : pour l’art, pour le spectacle, pour l’émotion brute. Les yeux des élèves, « émerveillés », ne mentaient pas ; ils vivaient une expérience unique, un cadeau qui valait plus que toutes les notes possibles.

Il faut dire que cette semaine, plus que toute autre, nécessitait une telle bouffée d’oxygène. La « Semaine Spéciale Tournée » est le point de non-retour, le moment où le rêve se concrétise pour certains et s’écroule pour d’autres. Le programme a été un véritable marathon : des répétitions ininterrompues, des évaluations dignes des plus grands castings, le tout ponctué par les visites et les conseils affûtés d’invités de marque tels que Manu Paillet, Malik Benjeloun, ou encore l’auteur-compositeur-interprète Gaëtan Roussell. L’enjeu était simple, mais brutal : décrocher l’une des précieuses places pour la tournée événement de 2026.

Le verdict, implacable, était tombé avant cette parenthèse théâtrale. Bastian, le jeune académicien dont l’évolution n’a cessé d’impressionner, avait réussi l’exploit de sécuriser sa place. Il rejoignait ainsi Ambre et Sarah, déjà immunisées. Pour les sept autres élèves, le couperet était tombé : ils étaient en danger et devront se surpasser lors du Prime exceptionnel de samedi pour ne pas voir l’aventure s’achever définitivement. Le stress est monté d’un cran supplémentaire avec le dévoilement, mercredi, par Jonathan Jeanvrin, du bus officiel de la tournée, matérialisant un rêve qui n’est plus qu’à portée de main. Une carotte géante, mais aussi un rappel de ce qu’ils pourraient perdre, rendant la pression sur leurs épaules presque insoutenable.

C’est dans cet ouragan d’émotions, où chaque élève jongle entre l’espoir et la peur, que le moment le plus inattendu et le plus touchant s’est produit, impliquant Michèle Laroque et Bastian. La comédienne, dont on savait l’intérêt pour l’émission, a révélé n’être pas une simple invitée de passage. Elle est une véritable fan assumée de la Star Academy, une spectatrice assidue qui connaît les moindres détails, les moindres péripéties de cette saison. Et c’est en voyant Bastian qu’elle n’a pu résister à lui partager un petit secret, une anecdote personnelle qui a immédiatement détendu l’atmosphère et fait exploser de rire toute la promotion.

« Bastian, tu sais que tout le monde s’est moqué de moi », a-t-elle lancé avec un sourire complice. Une phrase qui, venant d’une actrice de son calibre, a dû résonner étrangement dans l’esprit du jeune homme et de ses camarades. Mais la suite était d’une simplicité et d’un humour désarmants. Elle a continué sa confession, racontant l’histoire d’un début d’orgelet, cette petite inflammation de la paupière, et la réaction immédiate de son entourage : « On m’a dit ‘Oh, Team Bastian.’ Mais il est parti ».

Cette simple phrase est une référence directe au fameux orgelet qui avait, quelques semaines auparavant, causé un léger désagrément à Bastian, le transformant involontairement en mème affectueux ou en sujet de conversation au sein du public. La portée de cette anecdote est immense. Elle révèle non seulement la légèreté et l’autodérision de Michèle Laroque, mais elle établit surtout un pont instantané, une connexion humaine et inattendue entre la star acclamée et l’élève sous les feux des projecteurs. C’est la preuve tangible que, derrière les caméras, les évaluations et les partitions, le public, et même les célébrités, s’attachent aux détails les plus humains, les plus fragiles, de leur quotidien.

Ce fut un « moment de complicité inattendue qui a fait fondre les élèves ». En quelques secondes, le mythe de la star s’est estompé pour laisser place à la fan, à l’humoriste, à l’être humain qui a ri d’une mésaventure physique similaire. Pour Bastian, déjà au sommet de la vague après avoir sécurisé sa tournée, c’était une validation supplémentaire de son impact sur le public, une reconnaissance qui transcende les notes de chant ou les pas de danse. C’était le rappel que son humanité et ses petites imperfections sont aussi ce qui le rend attachant et mémorable. L’explosion de rires qui a suivi a balayé, l’espace d’un instant, la peur des nominations et le poids de l’enjeu. C’était un moment de pure légèreté, un antidote bienvenu à l’atmosphère étouffante de la compétition.

Alors que la pression se resserre en vue du Prime, où chaque élève nommé devra partager un duo avec un artiste invité — Jeanne chantera avec Pomme, Victor avec Calum Scott, Léa avec Gaëtan Roussell —, cette parenthèse enchantée fut une bouffée d’air frais essentielle. Les répétitions de chant, les chorégraphies millimétrées et les rendez-vous avec les professeurs surchargent les journées. Ce moment de rire avec Kad Merad et Michèle Laroque a servi de soupape de sécurité psychologique, un rappel que même dans la compétition la plus féroce, l’humour et la camaraderie restent les piliers. La justesse de l’intervention de l’actrice, au-delà de son rôle d’invitée, a permis aux académiciens de se recentrer sur l’essentiel : la joie de partager et d’apprendre, même sous les regards de millions de téléspectateurs.

L’anecdote de l’orgelet, désormais gravée dans l’histoire de cette saison, est le témoignage parfait de la magie de la Star Academy : un mélange de talent brut, d’émotions intenses, et de moments de vie ordinaires qui, exposés à la lumière, deviennent extraordinaires et universels. Michèle Laroque est repartie, laissant derrière elle non seulement l’écho de rires sincères, mais aussi le sentiment qu’ils sont tous dans la même équipe, la « Team Humanité ». Et pour les fans, c’est la certitude que même les plus grandes stars regardent et s’amusent des mêmes petits drames que nous. Ce moment est la preuve que même une inflammation de la paupière peut devenir une passerelle émotionnelle entre un artiste confirmé et son public. Un moment culte qui, comme le promet le rapport, « fera certainement rire les téléspectateurs » pour les années à venir. Le Château a repris son cours, mais le souvenir de cette complicité inattendue restera le talisman de cette promotion, un rappel lumineux de l’importance de l’authenticité face aux caméras et au destin de la tournée 2026.