Après vingt ans de vie commune avec Clotilde Courau, le prince Emmanuel-Philibert de Savoie a entamé une nouvelle idylle avec Adriana Abascal, ancienne Miss Mexique devenue femme d’affaires. Le couple était apparu pour la première fois au Carnaval de Venise en février 2025, avant de multiplier les sorties officielles. En mai dernier, dans Gala, l’héritier du trône d’Italie évoquait cette romance naissante, marquée par la distance : “Avec Adriana, nous nous entendons très bien.

Chacun vit de son côté et nous travaillons beaucoup. Nous sommes très heureux quand nous nous retrouvons, que ce soit à Monaco, en Italie, en Espagne ou à Paris. Peut-être que cette petite séparation entretient la flamme des sentiments”, confiait celui qui mène une croisade judiciaire contre l’État italien pour récupérer les bijoux de sa dynastie.

Adriana Abascal annonce être séparée du prince Emmanuel-Philibert de Savoie

Il y a encore quelques jours, Emmanuel-Philibert de Savoie et Adriana Abascal posaient ensemble, rayonnants, au Yacht Club de Monaco. Mais ce jeudi 11 décembre, l’ancienne Miss a surpris ses abonnés en publiant une story Instagram au ton solennel : “C’est avec le cœur lourd que je vous annonce que, comme il arrive parfois, notre voyage s’achève. Les prochains chapitres restent à écrire, suspendus entre le passé et l’avenir”.

Bien que rapidement supprimé, ce message a fait l’effet d’un choc dans le milieu des têtes couronnées. D’autant que, un mois plus tôt, Adriana Abascal ne tarissait pas d’éloges sur le prince : “Ce que je préfère chez Emmanuel-Philibert de Savoie, ce n’est pas tant son statut de prince, mais son incroyable personnalité. Notre relation fonctionne car

Le cœur sous pression : Emmanuel-Philibert de Savoie face au crash sentimental après une deuxième rupture choc et ultra-médiatisée

Le prince Emmanuel-Philibert de Savoie, figure de proue d’une royauté sans trône, mais toujours sous les feux des projecteurs, continue de défrayer la chronique sentimentale, confirmant que sa vie est tout sauf un long fleuve tranquille. Alors que le monde du gotha peinait à digérer les révélations de sa rupture, longtemps sous-entendue mais enfin officialisée, avec l’actrice française Clotilde Courau, une nouvelle secousse vient ébranler l’image d’un homme en quête d’un « nouvel idéal ». L’idylle récemment débutée avec l’ex-mannequin mexicain et femme d’affaires avisée, Adriana Abascal, serait déjà terminée.

C’est le titre d’une vidéo qui claque, sobre et dévastateur : « C’est fini. Emmanuel-Philibert de Savoie annonce sa séparation avec Adriana Abascal ». Moins d’un an après avoir introduit publiquement cette nouvelle relation dans les médias, le Prince de Venise, connu pour son sens de la communication et sa franchise, aurait une fois de plus mis un terme à un chapitre de sa vie personnelle. Pour celui qui a passé des années à jongler entre la tradition monarchique et les aspirations d’une vie moderne et libérée, cette double annonce en l’espace d’une année dessine le portrait d’un homme qui, malgré son titre, est profondément et humainement à la recherche de son propre bonheur, quitte à enchaîner les déchirements sous l’œil impitoyable du public.

La fin d’un mariage “profondément uni mais séparé”

Pour comprendre la nature et l’impact de cette dernière rupture, il est indispensable de revenir sur le cadre qui a précédé. Pendant plus de deux décennies, Emmanuel-Philibert et Clotilde Courau ont formé un couple fascinant et atypique. Leur mariage, célébré en grande pompe en 2003, unissait un héritier royal à une comédienne au tempérament bien trempé et aux convictions de femme moderne. De leur union sont nées deux filles, Vittoria et Luisa, dont la princesse Vittoria est désormais l’héritière de la Maison de Savoie, un fait en soi révolutionnaire.

Pourtant, au fil des ans, les rumeurs d’éloignement, de vies parallèles et de désaccords profonds sur la vie conjugale se sont multipliées. L’actrice, résolument ancrée dans son statut de « femme libérée », n’a jamais caché que la vie n’était « pas un conte de fées, mais un combat ». Ce qui a longtemps été nié par le couple ou justifié comme une simple « relation atypique » due à leurs vies professionnelles respectives, a finalement été officialisé en mars 2025.

Face aux spéculations incessantes, Emmanuel-Philibert a mis fin au « cinéma » en révélant qu’il était séparé de Clotilde Courau depuis déjà quatre ans. « Nous nous entendons très bien, je la respecte et je l’aime, et elle sera toujours la mère de mes filles, qui sont formidables », avait-il confié au Corriere Della Sera. Une séparation discrète mais assumée, vécue loin de la demeure conjugale : le Prince est à Monaco, tandis que la Princesse vit à Paris. Cette officialisation avait permis de lever l’hypocrisie et la façade d’un couple qui, s’il restait en « excellent terme » pour le bien de leurs filles, avait vu ses « choix de vie trop différents » les éloigner progressivement l’un de l’autre.

Adriana Abascal : L’éphémère “nouvel idéal”

C’est dans ce contexte de liberté retrouvée, mais assumée dans la douleur, qu’est apparue Adriana Abascal. Ancienne Miss Mexique, femme d’affaires riche et entrepreneure reconnue, elle est une figure de la jet-set internationale, surnommée parfois « La tigresse » par certains. Le Prince de Venise avait révélé publiquement sa relation sentimentale avec elle en janvier 2025. L’idylle avait rapidement fait les gros titres, posant la question de l’avenir de son statut royal et de son image.

L’article qui détaillait cette relation évoquait l’audace du Prince, qui, selon certaines sources, aurait même été aperçu en compagnie de sa maîtresse, montrant une volonté d’assumer publiquement ce nouveau chapitre, contrairement à la discrétion qui avait entouré l’éloignement d’avec Clotilde Courau. Cette relation avec Abascal semblait incarner, de l’extérieur, l’affirmation d’une vie enfin vécue pleinement, sans les contraintes formelles du protocole, un « nouvel idéal » d’existence, sans doute plus passionnel, après la longue période de compromis avec Clotilde Courau.

Malheureusement, selon la dernière annonce, ce rêve de renouveau aura été de courte durée. La vidéo, qui circule sur les réseaux et sur YouTube, annonce le nouvel échec sentimental avec une concision brutale. Si le Prince n’a pas donné de détails précis sur les raisons de cette rupture, l’extrait vidéo rapporte une déclaration générale et mélancolique : « C’est avec le cœur lourd que je vous annonce que, comme il arrive parfois, notre voyage s’achève ». Cette phrase, bien que généraliste, résonne d’une tristesse palpable. Elle confirme que, même pour un prince, la recherche de l’amour et de la stabilité après un mariage de longue durée est un parcours semé d’embûches.

La Malédiction de la vie publique

Cet enchaînement de ruptures, et surtout la rapidité de la fin de l’idylle avec Adriana Abascal, soulignent la pression monumentale exercée sur les personnalités publiques. Alors que le mariage du Prince avec Clotilde Courau a été une longue danse de façade pour maintenir les apparences royales, sa nouvelle relation a été une immersion immédiate et passionnelle dans une vie “pleinement comme il l’entend”.

Or, cette quête de liberté s’est heurtée à une réalité implacable : la célébrité ne pardonne pas l’échec sentimental. Chaque pas est scruté, analysé, et chaque séparation devient un titre choc, exposant l’intimité et la fragilité du cœur. Le Prince de Venise, connu pour ses diverses activités, de la restauration à la télévision, a toujours embrassé son rôle de « citoyen » médiatique, mais cette médiatisation, qu’il a souvent favorisée, se retourne aujourd’hui contre son besoin de stabilité.

Le contraste est frappant : l’ancienne relation, bien que séparée depuis quatre ans, a tenu bon pendant plus de deux décennies, ne serait-ce que formellement. La nouvelle relation, libre de tout protocole, s’est consumée en quelques mois. Ce scénario soulève des interrogations sur la possibilité de construire une histoire d’amour solide loin du cadre protecteur, même factice, d’un engagement matrimonial long. La vie de Prince moderne, faite de voyages constants, de projets divers et d’un exil doré entre Paris et Monaco, est-elle compatible avec une relation stable ?

L’avenir du Prince de Venise

Aujourd’hui, Emmanuel-Philibert de Savoie se retrouve à un tournant. L’échec de son « nouvel idéal » est un rappel cinglant que l’amour, même pour un prince, ne se décrète pas. Il est un homme seul, mais un père dévoué, comme en témoignent ses relations maintenues avec ses deux filles et son ex-épouse.

L’histoire d’amour entre lui et Clotilde Courau, bien que non conventionnelle et officiellement terminée, semble avoir laissé un legs indestructible : un respect mutuel et une famille unie. L’idylle avec Adriana Abascal, elle, aura été un coup de semonce, un éclair de courte intensité.

Le Prince de Venise continuera sans doute de chercher son chemin, de débattre entre sa vie d’homme public et son besoin de vie privée. Cette dernière rupture, si rapide après la révélation de la précédente, pourrait le pousser à une introspection plus profonde, loin des flashes et des gros titres. Son voyage sentimental s’achève, mais la quête d’un Prince pour le bonheur, elle, est éternelle, et les prochains chapitres de sa vie sont plus que jamais attendus par un public toujours aussi fasciné par les drames et les joies du gotha.