Un chien met au monde un bébé humain – le propriétaire est choqué par sa découverte!

Lucas un fermier vivant en reclu croyait que tout dans sa vie était prévisible mais ce matin-là il fut détrompé en entrant dans sa grange il vit quelque chose qui défiait toute logique sous les chiot nouveau nés de sa fidèle chienne luna se trouvait un bébé humain la petite communauté fut en émoi lorsque la nouvelle se répandit comment une telle chose était-elle possible Lucas connu pour son arrogance et sa froideur n’en croyait pas ses yeux c’était un homme qui fui la compagnie des autres depuis la perte de sa bien-aimée Olivia la

douleur l’avait réduit à l’ombre de lui-même isolé dans sa ferme entouré uniquement de ses animaux et de Grace sa fidèle gouvernante Luna était sur le point de mettre bas et lucasétait assuré qu’elle disposait d’un endroit sûr dans la grange pour donner naissance pourtant en se tenant maintenant devant elle avec ses chiot nouveaunés et ce bébé couchait parmi eux il avait l’impression de sombrer dans un cauchemar il s’agenouilla et oberva le petit-être allongé parmi les boules de poil avec une peau si douce et rosée qu’elle

tranchait nettement avec celle des chiots le bébé bougeit respirait calmement parfaitement vivant l’esprit de Lucas s’emballa était-ce une mauvaise plaisanterie quelqu’un avait-il abandonné l’enfant ici mais qui ferait une chose pareille c’est alors qu’il entendit un bruit venant du fond de la grange un sanglot étouffé instinctivement Lucas attrapa le vieux fusil de chasse appuyé contre le mur et s’adressa d’une voix dure à l’obscurité qui est là un souffle saccadé puis des pas hésitants une jeune femme émergea de

l’ombre ses vêtements tachés de sang le visage livide d’épuisements elle leva les mains une supplique dans le regard s’il vous plaît je voulais juste lui donner une chance sa voix n’était qu’un murmure Lucas la fixa cet enfant est à toi sa voix était rque empreinte d’incrédulité la femme à la tête et se mit à pleurer doucement je je n’avais nulle part où aller mon compagnon il ne voulait pas du bébé il a dit qu’il s’en débarrasserait à la naissance Lucas a senti une colère sourde monter en lui et tu l’as simplement laissé ici avec ma

chienne la femme s’anglotta serrant ses bras autour d’elle je ne savais pas quoi faire elle elle avait l’air si douce j’ai pensé peut-être qu’elle s’occuperait de lui ça se brisa j’avais peur qu’il nous retrouve Lucas serra les mâchoires il n’avait jamais été du genre à se mêler des affaires des autres mais quelque chose dans cette situation le troublait le désespoir dans ses yeux ce bébé sans défense lentement il abaissa son arme et poussa un profond soupir viens avec moi à la maison la femme cligna des yeux déconcertés quoi cette

grange n’est pas un endroit pour toi ni pour ton enfant viens avant que je ne change d’avis hésitante elle fit un pas en avant ses mouvements prudents comme si elle craignait qu’il ne la chasse elle ramassa délicatement le bébé qui dormait paisiblement Lucas l’observa un instant puis se détourna et marcha vers la ferme lorsqu’ils atteignèrent la véranda Grace se tenait dans l’embrasure de la porte ses yeux s’écarquillèrent en voyant Lucas avec l’étrangè et le bébé mais qu’est-ce que je t’expliquerai plus tard Lucas entra et désigna le canapé

assie-toi tu es sur le point de t’effondrer la femme s’y laissa tomber tremblante serrant le bébé contre elle Lucas se tourna vers grâce nous avons besoin d’eau chaude de serviette et si tu as encore des vêtements d’Olivia apporte-les Grace le scruta un instant puis hocha la tête et disparut dans la pièce voisine la jeune femme posa les yeux sur Lucas des larmes scintillants sur ses joues merci Lucas haa l les épaules ne me remercie pas pas encore Amélia n’en revenait pas d’être dans la maison de Lucas cet homme réputé pour sa

froideur et son inaccessibilité l’avait laissé entrer elle une inconnue avec un nouveau nez dans les bras la chaleur de la pièce le crépitement du feu dans l’âtre et l’odeur réconfortante du pain frais préparé par Grace lui semblait irréelle Lucas était assis en face d’elle les bras croisés son regard toujours aussi sévère il l’observait comme s’il cherchait à évaluer la véracité de son récit tu dis que ton compagnon ne voulait pas de l’enfant demanda-t-il enfin d’une voix grave Amélia ha la tête ses doigts caressant

doucement la minuscule main d’Arthur il disait qu’un enfant détruirait tout que je devais m’en débarrasser sa voix se brisa un instant et elle déglutit avec difficulté mais je n’ai pas pu je savais que si je restais il nous ferait du mal à lui et à moi alors j’ai fui Lucas garda le silence pendant un long moment tandis que Grace occupé dans la cuisine jetait régulièrement des regards méfiant en direction d’Amélia finalement il reprit la parole et tu as pensé que c’était une bonne idée de laisser ton enfant dans ma grange je ne savais pas

où aller murmura Amélia d’une voix à peine audible je craignais de le garder près de moi alors que je tenais à peine debout Luna était là si douce avec ses petits j’ai pensé peut-être qu’elle lui apporterait un peu de chaleur le temps que je trouve une solution Lucas laissa échapper un souffle agacé et secoua la tête une fichue mauvaise solution Amélia tressaillit mais grace s’approcha avec un bol de bouillon fumant brisant la tension qui pait sur la pièce tiens mange un peu ma fille tu as l’air sur le point de t’évanouir reconnaissante

Amélia prit le bol et commença à manger lentement la chaleur du bouillon se répandit dans son corps affaibli et ce n’est qu’à cet instant qu’elle réalisa à quel point elle était affamée pendant qu’elle mangeait le regard de Lucas ne cessait de se poser sur Arthur profondément endormi dans ses bras comment s’appelle-t-il demanda Lucas au bout d’un moment sans la regarder directement Arthur répondit Amélia dans un souffle en effleurant tendrement la joue du bébé Lucas hocha simplement la tête son expression impassible mais

grace elle perçut une lueur imperceptible dans ses yeux elle connaissait Lucas depuis tr trop longtemps pour ignorer qu’un combat intérieur faisait rage en lui il se demandait déjà ce qu’il allait bien pouvoir faire de cette femme et de son enfant la nuit tomba sur le ranch Amélia se vit attribuer une petite chambre à l’étage modeste mais propre lorsqu’elle enveloppa Arthur dans une couverture et s’assit sur le lit elle se sentit en sécurité pour la première fois depuis des mois pourtant la peur la rongeait Edgar allait la chercher elle ne pouvait

pas rester ici éternellement lui resta longtemps assis près de la cheminée le regard perdu dans les flammes il n’était pas un homme qui prenait en charge les autres plus maintenant et pourtant il savait qu’Amélia et Arthur étaient en danger il poussa un profond soupir et s’enfonça dans son fauteuil il s’était juré de rester à l’écart du monde mais peut-être était-il temps de remettre ce serment en question le lendemain matin l’atmosphère du rangech était plus calme mais toujours lourde d’incertitude Amélia se

réveill tiré d’un sommeil agité par les faibles gémissements d’Arthur elle caressa doucement son visage avant de se lever prudemment pour ne pas l’effrayer le petit garçon leva les yeux vers elle ses grands iris brillants sous la lumière du matin elle quitta la chambre à la recherche de Grace mais aperçu Lucas dans la cour il était déjà debout manche retroussé vérifiant le bétail Amélia hésita puis s’avança prudemment Lucas la remarqua et lui adressa un simple signe de tête tu a dormi demanda-t-il sans détour un peu répondit Amélia d’une voix

douce Lucas l’observa un instant avant de retourner à sa tâche je vais en ville aujourd’hui pour acheter des provisions tu restes ici grâce veillera sur toi Lucas tenta Amélia mais il l’interrompit d’un regard je n’ai pas envie de discuter reste ici Amélia le regarda s’éloigner elle savait qu’elle aurait dû être reconnaissante mais elle ne pouvait s’empêcher de se sentir comme un fardeau pour pourtant elle n’avait pas le choix arrivé en ville Lucas fit ses emples aussi vite que possible mais alors qu’il s’apprêtait à quitter l’épicerie une

voix familière résonna derrière lui Lucas ça fait un bail lentement Lucas se retourna et croisa le regard d’un vieil ami le shérif devan l’homme l’observa attentivement j’ai entendu dire que tu avais de la compagnie orange une femme avec un bébé le visage de Lucas se ferma instantanément et si c’était le cas le Chérif haussa un sourcil quelqu’un la cherche un homme nommé Edgar il s’est adressé à nous Lucas sentit la colère monté en lui ses points se serrant malgré lui et qu’est-ce qu’il veut il prétend qu’elle est partie avec son

enfant il veut la récupérer Lucas sentit son instinct protecteur s’éveiller Amélia était en danger et il ne laisserait pas Edgar la retrouver il inspira profondément et fixa le shérif du regard elle ne lui appartient pas le shérif l’observa un instant puis hocha lentement la tête fais attention Lucas cet homme ne renoncera pas facilement Lucas le savait déjà et il savait aussi qu’il allait bientôt devoir agir le soleil commençait à peine à se lever sur les vastes plaines du ranch lorsque Lucas le visage fermé se tenait sur la

véranda l’entretien avec le shérif Donovan ne cessait de lui revenir en tête Edgar savait qu’Amélia était ici ce n’était plus qu’une question de temps avant qu’il ne tente de la reprendre à l’intérieur Amélia était assise avec grace à la table de la cuisine une tasse de thé entre les mains Arthur dormait paisiblement dans un berceau improvisé que Grace avait habilement fabriqué à partir d’un vieux panier à linge Amélia avait des cernes marqué sous les yeux et ses doigts tremblaient légèrement en serrant la tasse Lucas le remarqua en

entrant tu as mal dormi constata-t-il d’un ton neutre Amélia hocha silencieusement la tête je n’arrive pas à arrêter d’y penser Edgar n’abandonnera pas il reviendra Lucas tira une chaise et s’installa en face d’elle je ne le laisserai pas te faire du mal ni à toi ni à Arthur elle leva les yeux vers lui dans son regard il y avait de la peur mais aussi une lueur d’espoir mais combien de temps peux-tu tenir il a de l’argent des contacts Lucas s’adossa à sa chaise son regard dur j’ai mes propres moyens de gérer ce genre de

problème grâce qui s’était tue jusque- là sera à la gorge Lucas il faut qu’on soit prudent la ville parle déjà Lucas leva les yeux au ciel la ville parle toujours Amélia poussa un soupir et caressa doucement la joue d’Arthur je ne veux pas que quelqu’un soit en danger à cause de moi peut-être que je devrais juste non la voix de Lucas claqua tranchante tu ne vas nulle part un silence pesant s’installa finalement Gray se leva et d’un geste décidé ouvrit le placard à provision alors il vaut mieux nous préparer Amélia

la regarda intriguée que veux-tu dire Grace eut un sourire fin si cet Edgar revient nous devons être prêt Lucas est fort mais il n’est pas invincible Lucas renifla agacé je sais me défendre peut-être répliqua Grace en commençant à rassembler quelques provisions mais ça ne fait pas de mal de prendre quelques précautions Amélia observa la scène et hocha lentement la tête puis elle tourna a son regard vers Lucas merci de nous protéger Lucas soutint son regard je fais ce qui doit être fait dehors le vent commençait à se lever l’orage

approchait inévitable le lendemain matin Lucas entreprit d’inspecter les environs du ranch il vérifia les clôtures renforça les serrures des écuries et s’assura que les armes étaient apporté de main Amélia l’observait de loin se demandant combien de temps encore elle pouvait être un fardeau pour lui et Grace alors qu’il s’affit un vieil ami fit son apparition Jacob un ancien éleveur installé en ville Lucas j’ai entendu dire que tu avais de la compagnie dit-il prudemment Lucas plissa les yeux arrête avec tes sous-entendus

si tu sais quelque chose dis-le Jacob poussa un soupir edgar est en ville il pose des questions et il est furieux la mâchoire de Lucas se contracta il savait que ce n’était plus qu’une question de temps mais il n’avait pas de se laisser faire pendant ce temps Amélia tentait de se rendre utile elle aidait Grace dans les tâes quotidiennes mais ses pensé la ramena sans cesse à la même question devait-elle fuir avant qu’Edgar n’arrive mais en regardant Arthur elle comprit qu’elle ne pouvait plus courir elle devait affronter cette menace avec Lucas

à ses côtés les heures s’égrenaient lentement tandis que Lucas sécurisait le ranch Amélia passait du temps avec Grace lui confiant des bribes de son passé l’angoisse la peur constante les menaces d’Edgar Gress l’écoutait en silence puis posa une main sur son épaule tu es plus forte que tu ne le crois ma fille et tu n’es plus seule cette nuit-là Lucas resta éveillé longtemps ses pensées tournaient en boucle il avait pris des dispositions repéré des voies de fuite envisager des alliés possibles il savait qu’un affrontement direct était risqué

mais Edgar ne disparaîtrait pas de lui-même puis il l’ endit un moteur au loin sa main glissa instinctivement vers l’arme à son ceinturon Edgar était proche Lucas se précipita sur la véranda et scruta l’obscurité le faisceau des phares d’un véhicule perçait la nuit Amélia qui venait de sortir de sa chambre s’arrêta net ses yeux s’agrandirent de peur il est là murmura-t-elle le visage de Lucas se durcit rentre dans la maison verrouille la porte mais Amélia ne bougea pas grâ sortit de la CU et aperçu elle aussi la lumière des

phardes elle attrapa le bras d’Amélia viens ma fille Lucas dégaina son arme et descendit de la véranda pour s’avancer dans la cour le véhicule s’arrêta brusquement soulevant un nuage de poussière un instant de silence s’installa puis une portière s’ouvrit et une silhouette sombre apparut Lucas dit une voix traînante Lucas se tendit Edgar tu n’as rien à faire ici un sourire glacial effleora les lèvres d’Edgar tu as quelque chose qui m’appartient Lucas resta immobile elle n’est pas un objet Edgar et tu vas quitter ces terr

immédiatement Edgar eu un petit rire et si je refuse Lucas leva légèrement son arme alors tu n’en sortiras pas vivant Edgar fit un pas en avant tu es prêt à mourir pour une femme que tu connais à peine le regard de Lucas se fit glacial je suis prêt à tout pour la protéger la nuit était silencieuse l’instant de la décision flottait dans l’air puis Edgar sortit son arme l’air froid de la nuit pesait sur le rench alors que Lucas faisait face à Edgar les muscles tendus la lumière des phares projetait de longues ombres sur le sol poussiéreux

derrière la fenêtre Amélia et Grace observaient la scène le cœur battant à tout rompre Edgar tenait son revolver en main son expression impassible mais ses yeux brillaient d’une colère contenue tu crois vraiment que tu peux la protéger de moi sa voix était dangereusement basse Luc a Fermi sa posture je le sais son propre revolver restait braqué sur Edgar prêt à réagir au moindre faux pas Amélia sentit son souffle se bloquer elle ne pouvait pas laisser la situation dégénérer davantage les mains tremblantes elle ouvrit la porte et

s’avança Edgar s’il te plaît pars Edgar éclata d’un rire froid c’est ça ta solution me supplier de disparaître tu m’appartiens Amélia et tu viens avec moi Lucas fit un pas en avant sa voix tranchante et posée le temps où tu pouvais lui donner des ordres est révolu Edgar secoua lentement la tête tu n’as aucune idée de qui tu défies il fit glisser son doigt sur la détente comme pour la tester je pourrais te faire disparaître sur le champ alors fais-le répliqua Lucas sens Siller son regard resta fixer sur Edgar mais sache que je

ne suis pas seul soudain une voix ferme s’éleva dans la nuit ar ma le chérif Donovan surgit de l’obscurité accompagné de deux adjoints lâchez votre arme et reculez Edgar se figea ses yeux passèrent de Lucas à Amélia puis au shérif il n’avait pas prévu que la loi s’em mêlerait son visage se crispa de rage ce n’est pas fini gronda-t-il avant de baisser lentement son arme les adjoints s’avancèrent et le maîtrisèrent s rapidement Amélia sentit ses jambes flancher sous elle alors que la tension retombait lucasut immédiatement à ses

côtés la soutenant avant qu’elle ne s’effondre c’est fini murmura-t-il doucement le shérif Donovan s’approcha et adressa un regard approbateur à Lucas beau travail nous cherchions une occasion de coincer Edgar depuis longtemps maintenant nous l’avons Amélia peinaait à y croire c’était vraiment terminé des larmes lui montèrent aux yeux tandis qu’elle regardait Arthur paisiblement endormi à l’intérieur elle était enfin libre Luc lui sentit quelque chose changer en lui pour la première fois depuis longtemps il ne se sentait

plus seul il regarda Amélia et sut que ce n’était que le début pour eux deux le soleil du matin baignait le ranch d’une lumière dorée tandis qu’Amélia se tenait sur la véranda avec Arthur la brise fraîche caressait son visage et pour la première fois depuis longtemps elle se sentait totalement en sécurité Edgar était arrêté et les ombres du passé commençaient à s’effacer Lucas s’approcha d’elle les mains posées sur les hanches tu sembles plus sereine remarqua-t-il Amélia hocha la tête avec un léger sourire j’ai l’impression de

pouvoir enfin respirer elle baissa les yeux vers Arthur qui tendait ses petites mains vers le soleil matinal il grandira sans Peur Lucas l’observa un instant puis acquessa lentement tu as ta place ici Amélia si tu veux rester ses yeux s’agrandirent légèrement tu es sérieux il s’adossa à la rambarde et laissa échapper un petit rire amusé je ne suis pas un homme de grand discours mais je sais quand quelque chose sonne juste toi Arthur moi on a quelque chose qui mérite d’être préservé le cœur d’Amélia s’accéléra jamais je n’aurais cru

pouvoir trouver un avenir dans un endroit comme celui-ci Lucas posa une main sur son épaule parfois la vie suit son propre chemin les semaines passèrent et Amélia commença à s’intégrer à la vie du ranch elle aidait Grace en cuisine s’occupait des animaux et veillait sur Arthur qui grandissait jour après jour Lucas était toujours près d’elle attentif protecteur et de plus en plus souvent elle surprenait dans son regard quelque chose qui dépassait la simple bienveillance un soir alors que les étoiles scintillaient au-dessus du ranch

ils étaient assis ensemble sur la véranda Arthur dormait déjà et le silence entre eux n’était pas pesant il était empli de complicité Lucas murmura Amélia tu crois qu’on peut vraiment y arrivrié former une véritable famille il se tourna vers elle le regard sérieux je sais qu’on le peut il ne faut pas de liens de sang pour être une famille il suffit d’être là les uns pour les autres elle le fixa un instant puis glissa sa main dans la sienne alors tentons notre chance un sourire doux éclaira le visage de Lucas il serra sa main et Amélia

comprit qu’elle était enfin arrivée pas seulement sur ce rangech mais dans une vie qu’elle n’aurait jamais osé rêver le ranch autrefois simple refuge pour Lucas était devenu leur foyer commun un nouveau départ bâti sur l’espoir la confiance et un amour naissant mais indéniable les jours s’écoulèrent et à chaque levé de soleil leur lien se renforçait Amélia ne se sentait plus étrangère ici mais bien partie intégrante de cet endroit grâce lui apprenait à faire du pain à utiliser les herbes médicinales et à comprendre la

valeur de la patience Lucas lui lui montrait comment s’occuper des chevaux réparer les clôtures et appréhender la terre un jour alors que Lucas sorait de l’écurie avec Arthur dans les bras Amélia réalisa à quel point elle avait avancé Arthur poussa un petit cri joyeux et tendit ses mains vers le visage de Lucas ce dernier rit doucement et embrassa le front de l’enfant ce spectacle réchauffa le cœur d’Amélia c’est beau de le voir si heureux murmura-t-elle lorsque Lucas s’approcha il a une famille qu’il aime c’est ça qui

fait la différence Amélia leva les yeux vers lui et moi Lucas resta silencieux un instant puis il lui releva doucement le menton tu es ma famille Amélia toi et Arthur vous êtes devenus mon foyer des larmes lui montèrent aux yeux mais cette fois c’était des larmes de bonheur elle sentit Lucas prendre ses mains et les serrer doucement comme pour lui assurer qu’il ne la laisserait jamais partir je t’aime Amélia déclara enfin d’une voix ferme un léger rire s’échappa de ses lèvres avant qu’elle ne réponde je t’aime aussi Lucas à cet instant Amélia

sut qu’elle était exactement là où elle devait être sur ce rangech avec Lucas et Arthur en famille le passé ne pouvait plus la hanter elle avait entamé une nouvelle vie une vie emplie d’amour de chaleur et de sérénité le vent souffla doucement sur les champs tandis que tous trois rentraient dans la maison prêt à savourer pleinement leur nouveau bonheur