EnjoyPhœnix : les coulisses douloureuses de sa participation à “Danse avec les stars”

Derrière les paillettes et les projecteurs, certaines expériences télévisuelles laissent des cicatrices invisibles. C’est ce que révèle aujourd’hui Marie Lopez, plus connue sous le nom d’EnjoyPhœnix, en revenant sur sa participation à l’émission Danse avec les stars en 2015. Dix ans plus tard, l’influenceuse brise le silence sur les épreuves qu’elle a traversées avant et pendant la compétition, notamment à cause d’un régime drastique qui a profondément marqué son équilibre physique et mental.

Une invitation qui semblait un rêve

Lorsqu’elle est contactée par TF1 pour participer à la sixième saison de Danse avec les stars, Marie Lopez est au sommet de sa notoriété. Révélée en 2011 grâce à ses vidéos beauté et lifestyle sur YouTube, elle fait partie des pionnières du contenu digital en France, aux côtés de créatrices comme Julie Loves Mac 07. À seulement 20 ans, c’est une véritable consécration pour la jeune femme, qui voit dans ce programme l’opportunité de relever un défi de taille.

Mais derrière l’excitation des répétitions et des tenues de scène, la préparation en amont s’avère bien plus éprouvante que prévu.

Un régime extrême pour entrer dans le moule

Dans un épisode récent de son podcast, EnjoyPhœnix a confié s’être soumise à un régime extrêmement strict avant même le début du programme. Sur les conseils d’une coach engagée pour l’aider à se préparer, elle a suivi pendant six mois un protocole nutritionnel basé sur la cétose.

« Une femme m’avait coachée et elle m’a mise en cétose pendant six mois avant DALS. J’avais perdu 15 kilos. En gros, ce régime, c’est une alimentation riche en lipides et très pauvre en glucides », explique-t-elle.

Si ce type de régime peut donner des résultats rapides en termes de perte de poids, il n’est pas sans conséquences, surtout lorsqu’il est suivi sans encadrement médical adapté.

Les séquelles invisibles de la compétition

Très rapidement, ce changement alimentaire radical a déclenché chez la jeune femme des troubles du comportement alimentaire (TCA), une réalité qu’elle n’avait pas pleinement anticipée à l’époque. « Vous le savez si vous me suivez, j’ai souffert de TCA pendant plusieurs années. Je reviens de très loin, et j’en garde encore des séquelles », confie-t-elle avec sincérité.

Cette pression autour de l’apparence, déjà omniprésente dans le monde de l’influence, s’est intensifiée à l’approche de l’émission, où l’exposition médiatique et le regard du public peuvent se révéler implacables.

Un long chemin vers la reconstruction

Malgré les difficultés rencontrées à l’époque, EnjoyPhœnix affiche aujourd’hui une forme de résilience. Si elle évoque publiquement cette période seulement dix ans après les faits, c’est aussi parce qu’elle a réussi à faire la paix avec son corps et à déconstruire certaines croyances toxiques.

Sur Instagram, elle partage désormais un message positif : « Je ne me suis jamais aussi bien sentie dans mon corps qu’aujourd’hui. Et ça, c’est grâce au coaching qui m’a ouvert les yeux sur les comportements et modes de vie qu’on m’a conseillés auparavant ».

Une parole nécessaire

Le témoignage d’EnjoyPhœnix est précieux. Il met en lumière les conséquences parfois graves des injonctions à la minceur et du culte de la performance, notamment dans le cadre d’émissions à forte audience comme Danse avec les stars. Il rappelle également qu’un accompagnement bienveillant et respectueux du corps est essentiel, quel que soit l’objectif visé.

En partageant son histoire, Marie Lopez invite à repenser nos standards et à redonner la priorité à la santé mentale et physique, loin des diktats imposés par la société du paraître.

La mort d’Émile Soleil : Le père d’Émile Soleil révèle qu’il est le principal suspect dans l’affaire

La disparition du petit Émile Soleil, âgé de seulement deux ans, survenue en juillet 2023 dans le paisible village du Haut-Vernet, a profondément bouleversé la France entière. Ce drame tragique a débuté un après-midi d’été alors que la famille d’Émile se reposait tranquillement dans le jardin. En l’espace de quelques minutes, l’enfant s’est volatilisé, sans laisser de traces.

Malgré une mobilisation massive des secours, impliquant bénévoles, forces de l’ordre et même l’armée, aucune piste sérieuse n’avait pu être suivie pendant des mois. Les recherches intenses, étendues à toutes les zones alentour — forêts, champs, falaises —, n’avaient donné aucun résultat. L’angoisse de la famille, mêlée à l’incompréhension de la communauté, grandissait chaque jour, renforcée par l’absence d’indices et la peur d’un enlèvement.

Ce n’est qu’en avril 2024, neuf mois après la disparition, qu’un tournant dramatique est survenu. Un randonneur a découvert des restes humains non loin du village. Les analyses ont rapidement confirmé qu’il s’agissait de ceux du petit Émile. Cette révélation a provoqué une onde de choc dans tout le pays, mettant fin aux espoirs fragiles de revoir l’enfant vivant. Mais la découverte ne s’est pas arrêtée à la tristesse : elle a ouvert un nouveau chapitre, encore plus sombre. Les circonstances entourant la mort de l’enfant restaient floues, et les soupçons ont commencé à peser sur son entourage.

Très rapidement, la justice a décidé d’agir. Quatre personnes, dont les grands-parents d’Émile et deux de leurs enfants, ont été arrêtées. Cette nouvelle a profondément choqué l’opinion publique : comment les proches supposés protéger l’enfant pouvaient-ils être impliqués ?

Des tensions familiales, jusqu’ici tenues secrètes, ont été révélées par le père d’Émile dans une interview bouleversante. Il a exprimé sa douleur face à la possibilité que des conflits internes aient conduit à la disparition tragique de son fils. Ces révélations ont suscité une remise en question de ce que l’on croit être la sécurité naturelle d’un cadre familial.

Alors que l’enquête suit son cours, de nombreuses questions demeurent. S’agit-il d’un accident tragique dissimulé ? Ou d’un acte volontaire maquillé en disparition ? La vérité reste enfouie sous les douleurs et les non-dits familiaux. Pour la famille d’Émile et toute la communauté, une seule chose compte désormais : que justice soit rendue.

Cette affaire, au-delà de la tragédie personnelle, souligne l’importance de veiller sur les plus vulnérables et interroge les silences parfois lourds de conséquences au sein des familles. En attendant des réponses, c’est tout un pays qui espère qu’Émile reposera en paix, et que la lumière sera enfin faite sur son destin brisé.