Alex Hugo : “J’ai fait revenir Lionnel !”, Samuel le Bihan en dit plus sur l’épisode qu’il vient de réaliser avec le retour de Lionnel Astier

France 3 diffuse ce mardi 4 novembre 2025 une enquête inédite d’Alex Hugo. En plein montage d’un épisode de la série qu’il lui-même réalisé et où il retrouve Lionnel Astier, Samuel le Bihan se confie sur cette expérience intense.

Bourreau de travail et toujours prêt à se frotter à de nouveaux défis, Samuel le Bihan s’est lancé dans un grand projet : réaliser un épisode d’Alex Hugo. Pour l’occasion, l’acteur à l’affiche d’un épisode inédit (Notre avis) diffusé ce mardi 4 novembre 2025 sur France 3, a fait revenir son ancien partenaire de la série, Lionnel Astier, ex-interprète du capitaine bourru au grand cœur, Angelo Batalla, qui avait dit adieu à son personnage pour se consacrer à d’autres projets. Il a accepté de le reprendre son rôle dans la première réalisation de son ami Samuel le Bihan. L’acteur nous parle de ses retrouvailles avec son vieux camarade et de ces premiers pas de réalisateur.

Alex Hugo : “Les choses que je fais, c’est pour le public“, Samuel le Bihan espère que l’épisode qu’il a réalisé plaira aux fans de la série

Est-ce que la reconnaissance du public vous émeut le plus dans votre métier ?
Oui, parce que les choses que je fais, c’est pour le public. J’ai envie de les rendre heureux. C’est comme quand vous racontez une histoire à des copains, vous avez envie de capter leur attention et de leur faire passer un bon moment, de les faire rire, les émouvoir ou leur faire peur. Avec le public, c’est la même chose. Je me dis, tiens, ce soir, j’aimerais qu’ils passent un bon moment. Entre eux et moi, c’est un partage. C’est rare dans une vie d’avoir un succès comme Alex Hugo. Tout d’un coup, vous allez faire quelque chose qui a du succès. C’est une chose qu’on ne maîtrise pas. On ne sait pas pourquoi, mais ça veut dire que vous vous êtes à votre place, au bon endroit, au bon moment, avec les bonnes personnes. Et ça, c’est très rare. Il faut le prendre comme un cadeau. C’est de la chance.

Et du travail !
Bien sûr. Mais le travail, c’est du plaisir aussi. Moi, j’aime travailler. Le métier que je fais, c’est celui que j’ai choisi, c’est celui qui me plaît. Donc, je suis chanceux ! C’est un métier où il y a peu d’échanges et où il faut travailler dur. On doit faire des sacrifices. Mais en vérité, je ne vois pas ce que je pourrais faire d’autre. Je n’aurais pas pu faire autre chose. C’est une passion et aussi une occupation. Le travail, me permet de m’occuper.

On sent beaucoup de générosité et une grande disponibilité dans vos échanges avec la presse et avec le public aussi…
J’essaie mais des fois je n’ai pas le temps. Parfois, je m’en veux quand je suis obligé de couper court par manque de temps. Mais j’essaie toujours de donner des moments à mon public, parce que vraiment, je suis là grâce à eux. Je me dois de leur donner ces instants-là.

Comment se passe la réalisation de votre premier Alex Hugo ?
J’ai la chance et le bonheur d’avoir pu réaliser un épisode d’Alex Hugo oui. L’épisode sortira l’an prochain. Et là, je suis en plein montage. Il y a eu toute la phase de développement et d’écriture. Ensuite, le tournage qui a été très compliqué parce que j’étais devant et derrière la caméra. Et me voilà à la table de montage. C’est parfois dur. Vous constatez qu’il vous manque des plans. Il y a de belles surprises et quelques regrets. Ça ne peut pas être parfait. Même si je connais bien ce métier, on commet tous des erreurs. Il faut savoir l’accepter.

Alex Hugo : “C’est le retour de Lionnel Astier ! “, Samuel le Bihan se réjouit d’avoir fait revenir son ami dans le premier épisode de la série qu’il réalise

Que vouliez-vous raconter sur ce personnage que vous aimez tant ?
En tout cas, j’ai bien travaillé mon sujet. Il y avait pas mal de choses à dire. C’était pour moi une forme de continuité avec ce personnage d’Avec Hugo, une façon d’aller plus loin, d’aller encore chercher à donner un peu plus et à raconter. Cet épisode véhicule des valeurs que je trouve extrêmement intéressantes aujourd’hui et nécessaires. Ça mérite d’aller fouiller un petit peu plus parce que ce personnage est quand même complexe parce qu’il fuit, ou il cherche quelque chose. Il a une espèce de quête mystérieuse. Il a tout quitté pour vivre dans cet état de solitude dans la nature sauvage. Ce n’est pas un hasard. Ça répond à une blessure. Et donc, je trouvais intéressant d’explorer ça. C’est ce que je trouve de plus beau chez ce personnage. Je suis touché par ceux qui cachent leurs blessures. Et puis, il y a aussi cette ivresse chez lui qui m’attire. Il est ivre de quelque chose qui fait partie de ma quête, moi aussi. Mais je ne serais pas capable comme lui d’aller aussi loin.

Vous parliez du fait d’être à la fois devant et derrière la caméra, cela doit être assez vertigineux ? C’est un énorme défi. Il y avait l’équipe qui était là avec moi et qui m’a porté. C’était assez émouvant. Les mêmes techniciens travaillent chaque année sur la série donc on a plaisir à se retrouver, on se connaît et on se respecte énormément et du coup, il y avait une envie commune. Ils avaient envie que j’y arrive. C’était chouette. Jouer Alex Hugo dans un épisode que je réalise, c’est une façon de chercher à le comprendre. Et ce faisant, de mieux me comprendre moi aussi. Donc c’est une aventure intéressante. Ça va au-delà d’une simple série. On n’est pas comédien par hasard. On utilise les personnages pour mieux se connaître soi-même. Je trouve que c’est une forme d’aventure de chercher qui on est à travers l’exploration de ce qu’est la nature humaine : la quête, les fragilités, les contradictions. C’est ça qui m’intéresse.

Avez-vous le sentiment d’avoir réalisé l’épisode que vous vouliez faire ?
Alors, non, parce que celui que je voulais faire, il a été réalisé par Pierre Isoard. Il a vraiment réalisé des épisodes que j’adore et que je rêvais de faire et qu’on a tournés ensemble. C’est pour ça que c’est avec lui que j’ai créé la série Carpe Diem. Il a fait des épisodes incroyables d’Alex Hugo que j’ai adorés, qui sont des vrais westerns. Sur ces épisodes, on s’est régalé, on s’est fait plaisir. Et moi, dans cet épisode, j’explore autre chose : l’amitié, et aussi quelque chose de plus sombre. L’épisode parle de femmes qui disparaissent. C’est un vrai thriller. C’est une ambiance particulière, un peu lourde et mystérieuse. Alex vient aider son pote Angelo. C’est le retour de Lionnel ! Il était parti et je l’ai fait revenir à cette occasion. Je cherchais une histoire qui permette qu’il revienne. Dans cet épisode, il me demande mon aide et je viens le soutenir et puis voilà, on commence l’enquête ensemble. Lionnel est formidable. On a retravaillé ensemble et ça va être super !

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Et du travail !
Bien sûr. Mais le travail, c’est du plaisir aussi. Moi, j’aime travailler. Le métier que je fais, c’est celui que j’ai choisi, c’est celui qui me plaît. Donc, je suis chanceux ! C’est un métier où il y a peu d’échanges et où il faut travailler dur. On doit faire des sacrifices. Mais en vérité, je ne vois pas ce que je pourrais faire d’autre. Je n’aurais pas pu faire autre chose. C’est une passion et aussi une occupation. Le travail, me permet de m’occuper.

On sent beaucoup de générosité et une grande disponibilité dans vos échanges avec la presse et avec le public aussi…
J’essaie mais des fois je n’ai pas le temps. Parfois, je m’en veux quand je suis obligé de couper court par manque de temps. Mais j’essaie toujours de donner des moments à mon public, parce que vraiment, je suis là grâce à eux. Je me dois de leur donner ces instants-là.

Comment se passe la réalisation de votre premier Alex Hugo ?
J’ai la chance et le bonheur d’avoir pu réaliser un épisode d’Alex Hugo oui. L’épisode sortira l’an prochain. Et là, je suis en plein montage. Il y a eu toute la phase de développement et d’écriture. Ensuite, le tournage qui a été très compliqué parce que j’étais devant et derrière la caméra. Et me voilà à la table de montage. C’est parfois dur. Vous constatez qu’il vous manque des plans. Il y a de belles surprises et quelques regrets. Ça ne peut pas être parfait. Même si je connais bien ce métier, on commet tous des erreurs. Il faut savoir l’accepter.

Alex Hugo : “C’est le retour de Lionnel Astier ! “, Samuel le Bihan se réjouit d’avoir fait revenir son ami dans le premier épisode de la série qu’il réalise

Que vouliez-vous raconter sur ce personnage que vous aimez tant ?
En tout cas, j’ai bien travaillé mon sujet. Il y avait pas mal de choses à dire. C’était pour moi une forme de continuité avec ce personnage d’Avec Hugo, une façon d’aller plus loin, d’aller encore chercher à donner un peu plus et à raconter. Cet épisode véhicule des valeurs que je trouve extrêmement intéressantes aujourd’hui et nécessaires. Ça mérite d’aller fouiller un petit peu plus parce que ce personnage est quand même complexe parce qu’il fuit, ou il cherche quelque chose. Il a une espèce de quête mystérieuse. Il a tout quitté pour vivre dans cet état de solitude dans la nature sauvage. Ce n’est pas un hasard. Ça répond à une blessure. Et donc, je trouvais intéressant d’explorer ça. C’est ce que je trouve de plus beau chez ce personnage. Je suis touché par ceux qui cachent leurs blessures. Et puis, il y a aussi cette ivresse chez lui qui m’attire. Il est ivre de quelque chose qui fait partie de ma quête, moi aussi. Mais je ne serais pas capable comme lui d’aller aussi loin.