Un seul mot. Cinq lettres. Prononcé d’une voix calme, presque glaciale, sur un plateau de télévision national. “Joker.” Ce mot, lâché par Sylvie Vartan à 81 ans sur le plateau de “Quelle époque”, n’est pas une simple boutade ou un refus diplomatique de répondre. C’est l’arme la plus violente, la plus méprisante, la plus calculée de la guerre qui déchire le clan Hallyday depuis près d’une décennie. En refusant de prononcer le nom même de Laeticia Hallyday, Sylvie Vartan, la première épouse, l’icône des Yéyé, la mère du premier fils, n’a pas seulement snobé la veuve. Elle l’a effacée.
Ce “Joker” est l’aboutissement d’années de tension, de piques déguisées et de guerre froide. C’est la déclaration publique que, pour Sylvie, Laeticia n’existe pas, ou du moins, qu’elle “ne mérite même pas qu’on prononce son nom”. Pour comprendre comment un mot aussi court peut porter une charge aussi lourde, il faut remonter au 5 décembre 2017.

Ce jour-là, la France perd son “Taulier”. Johnny Hallyday s’éteint, laissant un pays en deuil et une famille au bord de l’implosion. Le choc est immense, mais un “deuxième coup de tonnerre” secoue le pays quelques semaines plus tard : la découverte du testament. Rédigé en Californie, le document exclut totalement les deux premiers enfants du rockeur, David Hallyday (le fils de Sylvie) et Laura Smet (la fille de Nathalie Baye). Tout va à Laeticia et à ses deux filles, Jade et Joy. Pour les aînés : rien.
Pour Sylvie Vartan, c’est l’incompréhensible. “Je ne peux pas imaginer que Johnny a pu renier son propre sang”, déclare-t-elle, la voix brisée. C’est le point de départ d’une conviction qui ne la quittera plus : ce testament n’est pas l’œuvre de l’homme qu’elle a connu et “aimé follement” pendant 15 ans. Elle ne peut “pas croire” qu’il ait pu “réécrire son histoire” de cette manière. Immédiatement, sans jamais la nommer directement, elle accuse implicitement Laeticia Hallyday. Elle invoque la thèse de la manipulation. Pour Sylvie, “quelqu’un d’autre tire les ficelles”, quelqu’un qui avait intérêt à écarter les enfants du premier lit. La guerre est déclarée.
Dès lors, deux clans irréconciliables se forment : d’un côté, Sylvie Vartan, qui devient le porte-parole de son fils David et de Laura Smet ; de l’autre, Laeticia, qui défend bec et ongles les dernières volontés de son mari. La bataille n’est pas seulement juridique, elle est morale, symbolique.
Laeticia contre-attaque en octobre 2018 dans Paris Match. Sa défense est cinglante : “L’homme qu’elle [Sylvie] a connu il y a 40 ans… ce n’était pas celui avec lequel j’ai vécu 23 ans”. Elle sous-entend que Sylvie est dépassée, qu’elle ne connaissait plus le “vrai” Johnny, celui qui avait “changé”. Elle qualifie la théorie de la manipulation d’”absurde” et affirme que Johnny avait protégé ses aînés de son vivant par des donations. La fracture est totale.
Mais la guerre ne se joue pas que sur l’argent. Elle se joue sur l’héritage symbolique, sur la mémoire même de Johnny. En septembre 2021, un hommage est organisé à Bercy, avec l’inauguration d’une statue monumentale : une Harley Davidson sur un manche de guitare. Laeticia supervise tout. David Hallyday est absent. Sylvie, interrogée sur cet hommage, ne cache pas son malaise, voire son dégoût. “Je ne vois pas à quoi ça rime. La moto, certes il les aimait, mais bon…” Sa phrase est courte, mais elle dit tout. Elle trouve la statue “ridicule”. Elle enfonce le clou en affirmant que Johnny lui-même “détestait” les statues, qu’il “trouvait toutes celles qui existaient ratées”.
Par cette critique, Sylvie ne fait pas que donner un avis esthétique. Elle conteste à Laeticia le droit de définir qui était Johnny. Elle oppose le “vrai Johnny”, l’homme authentique qu’elle prétend être la seule à connaître, au Johnny “clinquant” et “spectaculaire” que Laeticia met en scène. C’est une guerre de légitimité.

Cette guerre de légitimité se poursuit sur scène. Lorsque Sylvie Vartan fait ses adieux en janvier 2025, elle met un point d’honneur à rappeler son lien indéfectible avec le rockeur. Elle évoque leur “amour fou”, leur “complicité”. Surtout, elle lance cette phrase, véritable provocation à l’égard de Laeticia : “On ne pourra jamais dissocier ce que l’on a partagé”. Elle rappelle au monde qu’elle fait partie de la légende, que Laeticia ne peut pas “effacer les années Sylvie”.
L’affrontement devient encore plus direct lorsque Laeticia, au nom du “droit moral” de l’artiste, menace d’intenter une action en justice pour empêcher Sylvie de faire sa tournée d’hommage “Avec toi”. L’avocat de Sylvie qualifie la menace de “parfaitement ridicule”. Laeticia doit faire marche arrière, mais son entourage ne peut s’empêcher une pique assassine, sous-entendant que Sylvie “avait du mal à remplir les salles avant le décès de Johnny” et qu’elle profitait donc de sa mort. La réponse de l’avocat de Sylvie est tout aussi violente : “Elle se dit que Laeticia Hallyday fait tout le contraire de ce qu’aurait fait Johnny”, rappelant la générosité de l’artiste.
Sylvie Vartan adopte alors la stratégie du boycott. Elle refuse catégoriquement d’assister aux expositions ou aux hommages supervisés par Laeticia. Elle déclare que ces projets ne l’intéressent pas, qu’elle préfère “de loin le Johnny qu’elle a connu”. À nouveau, elle sous-entend que la version de Laeticia est une version “édulcorée”, “commerciale”, “fausse”.
C’est forte de toutes ces années de bataille, après avoir soutenu son fils jusqu’à l’accord financier trouvé en juillet 2020, que Sylvie Vartan se présente sur le plateau de “Quelle époque”. La guerre juridique est peut-être terminée, mais la guerre morale, elle, ne le sera jamais.

Alors, quand Léa Salamé lui présente la photo de Laeticia Hallyday, le “Joker” qu’elle prononce est l’aboutissement de tout ce combat. C’est le refus ultime. Ce n’est pas de la lâcheté, comme certains critiques ont pu le dire. C’est une arme redoutable, un “effacement pur et simple”. C’est dire à son ennemie : “Vous ne méritez même pas ma colère. Vous ne méritez pas un mot.” C’est une manière de dire que Laeticia, à ses yeux, n’a aucune importance, qu’elle n’est qu’une “parenthèse” dans la grande histoire de Johnny.
À 81 ans, Sylvie Vartan a gagné sa dernière Victoire de la Musique (remise par son fils David), elle a fait ses adieux, et elle a choisi son camp. Elle est du côté des “enfants du premier lit”, du côté du “sang”. Elle ne pardonnera jamais à Laeticia ce qu’elle considère comme la manipulation d’un homme malade et le reniement de sa famille. Le fantôme de Johnny, qui “détestait” voir sa famille se déchirer, se retrouve aujourd’hui au centre de la division la plus profonde. Et Sylvie Vartan, par un simple “Joker”, vient d’y mettre un point final, aussi glacial que définitif.
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