⚖️💥 FLORENTINO DÉTRUIT LAMINE : 14M€ + EXCLU DU MONDIAL 2026 ! 😱🔥
Tu sais ce qui se passe quand le président le plus puissant du football espagnol décide qu’il ne va pas laisser passer une seule fois ? Les bureaux tremblent, les téléphones s’arrête et même les arbitres regardent deux fois avant de parler. Et c’est exactement ce qui vient de se passer. Florentino Perez a donné le coup le plus inattendu et le plus contant de sa présidence.
Officiellement, il a dénoncé la minigamal. Oui, l’enfant prodige du Barça et il l’a fait avec une vitesse qui a laissé tout le football sans voie. Si on retient une chose aujourd’hui, c’est que parler sans réfléchir à des conséquences. Alors, ne te risque pas, laisse ton like, abonne-toi et partage avant que quelqu’un te dénonce pour manque de bon goût footballistique.
Ce qui semblait une simple blague en direct avec Ibéanos s’est transformé en tempête judiciaire avec des répercussions réelles. Selon nos sources confirmées, Florentino n’a pas seulement déposé plainte à la commission antiviolence, il a expressément demandé que la FIFA soit notifiée. Résultat, devastator.
Le juge n’a pas accordé de défense aux joueurs et la sentence est tombée comme un missile. Plus de 14 millions d’euros d’amende pour atteinte à l’image institutionnelle du Real Madrid et incitation à la haine sportive. Et ce n’est pas le pire. La FIFA considère que la minamal est exclu du mondial 2026. L’histoire devient surréaliste.
La mine s’est rendue compte de tout dans les vestiaires du Bernabéu juste après le classico. Imagine la scène. Bruit des douches, téléphone qui vibre, silence glacial. Les vétérans n’osent même pas en parler. Le garçon lit le communiqué se fige. Le reste du vestiaire comprend. Le Real Madrid n’a pas seulement gagné en justice, il a montré un pouvoir effrayant.
Les premières fuites indiquent que Florentino a envoyé ses avocats déposer plainte à peine 24 heures après le live d’Bay. “On ne tolérera pas que l’image du plus grand club du monde soit salie”, aurait-il déclaré en réunion d’urgence. Et quand Florentino dit “On va agir”, le bruit devient silence, le silence devient sentence.
Ce qui surprend, c’est la vitesse du processus. Normalement, une plainte de ce type prend des mois, mais là, c’était différent. Le juge Ravière Montalvar a tranché en un temps record après réception d’un dossier de plus de 200 pages préparé par le département juridique du Real Madrid et le prestigieux cabinet Qatre Casa. Dedans, extrait du live ou la mine entre rire et complicité avec eBay insinue que le Real Madrid vole toujours et on sait comment il gagne les finales.
Des mots qualifiés d’accusation publique, de corruption sportive. Le rapport inclut aussi une analyse de réputation par la consultante anglaise Brand Finance estimant à 4,3 million d’euros le préjudice économique et d’imagalisation du clip. Ce document a été la clé. San pécunière immédiate. La mine devra payer et retirer publiquement ses propos.

Mais le plus grave suit. La plainte est transmise automatiquement à la FIFA via protocole international. Le comité de discipline ouvre un dossier pour étudier si les mots incitent à la haine, proment la défiance institutionnelle ou nuisent à l’intégrité de la compétition. Selon Fuent en Zinza, certains membres exigent une sanction exemplaire.
Exclusion des compétitions internationales pendant un an. Traduction Adieu mondial 2026. Dans le vestiaire Blograna, c’est le cauchemar. Les caméras n’ont rien capté mais plusieurs témoins décrivent l’amine effondrée après avoir lu le communiqué. Lewandowski tente de le calmer mais il reste muet.
4 millions et le mondial répétit la voix basse. Tersteggen s’approche, lui tapote l’épaule et lâche. Bienvenue dans le monde réel gamin. Dans le bus vers l’hôtel, ambiance funèbre. Ency Flic regarde par la fenêtre, visage fermé comme s’il savait que quelque chose de grave venait de débuter. L’apport convoque une réunion d’urgence à l’hôtel.
Tension maximale, cri, reproche, coup sur la table. L’apportat, fidèle à son style, exige une réponse immédiate. On ne peut pas laisser un juge humilier un de nos joueurs pour une blague. C’est de la persécution politique. Mais pas tous sont d’accord. Un cadre influor, Johann, ce n’est pas le moment de jouer les victimes.
Si on met de l’essence, le feu nous dévorera. Madrid a les institutions avec lui. La réunion s’achève à 3h du matin sans consensus. Le Barça publie un communiqué tiède demandant proportionnalité et réflexion institutionnelle sans nommer Florentino ni le Real Madrid. Signe clair qu’on préfère éviter le choc frontal avec le géant blanc.
À Val de Béba, l’ambiance est calme, satisfaite. Le président a fait le bon choix, confie une source interne. Il est temps que tout le monde sache qu’on ne touche pas au Real Madrid impunément. Florentino reçoit la nouvelle dans son bureau avec un sourire à peine perceptible. Maintenant, ils comprendront qu’on ne touche pas au Real Madrid.
Les médias internationaux s’emballent. Times titer Florentino imp la Gazzetta de Sport parle du cas le plus impactant du foot européen depuis 10 ans. En France, l’équipe ironise du terrain au tribunal, le nouveau classico espagnol se joue devant un juge. La FIFA garde le silence public mais les fuites internes sont alarmantes.
Le Suisse Marcus Buchel déclare off the record à un média allemand que de la gravité du cas oblige à agir. Un membre argentin suggère qu’une sanction exemplaire enverrait un message clair aux jeunes joueurs. Le respect n’est pas négociable. La presse espagnole se divise. À Madrid, on célèbre une victoire institutionnelle.
En Catalogne, on crie à la censure et à elle abus de pouvoir. Tous s’accordent sur un point, on n’a jamais vu ça. Le débat dépasse le sport. Jusqu’où une blague en live peut-elle devenir un délit ? Que signifie cela pour la liberté d’expression dans le foot ? Les avocats de la mine plaident l’expression coloquiale sans intention d’offenser ni d’accuser de crimes réel.
Mais la loi ne lit ni emoji ni rire Twitch. Le mal est fait. L’image de la mine, jusqu’ici celle du gamin humble qui bat des records de précocité est terni sur les réseaux. Polarisation totale, victime du système ou irrespectueux envers le plus grand club du monde. Au milieu du chaos, le gamin de 18 ans essaie de dormir. Sachant que le club le plus puissant de la planète l’a traîné en justice.
Florentino, lui semble plus fort que jamais. Ses proches assurent qu’il voi cela comme une leçon pour le foot moderne où réseaux sociaux et micro transforment n’importe quelle phrase en bombe. Ce n’est pas de la vengeance. C’est un signal à tous ceux qui croient que le respect peut se moquer en live et devenir viral.
Ainsi, entre le silence du Bernabéu et le bruit des réseaux, le foot espagnol a franchi une ligne inédite. Ce qui a commencé comme une blague, s’est mué en bras de faire entre pouvoir, jeunesse et réputation. Une guerre froide qui ne fait que commencer. Le Calaminamal passe des pages sport aux infos générales. On ne parle plus de foot, mais de droit, de réputation, de pouvoir.
À la Montcloa, on murmure que le sujet préoccupe jusqu’au président du gouvernement. Ça ne profite à personne, ni au sport ni au pays, confie un conseiller. Mais dans le foot, les émotions pèsent plus que la diplomatie. À Barcelone, ambiance glaciale. L’Apporta arrive au bureau le visage fermé sans saluer la presse. Il n’a pas dormi. Son téléphone n’arrête pas.
avocat, joueur, même un appel direct de la FIFA réclamant des explications formelles. Il veut un communiqué de soutien total mais son équipe juridique le freine. Johann, si on attaque Madrid, le juge pourrait y voir un défi institutionnel. À Val de BBA, silence absolu. Pas un mot officiel, juste un message entre les lignes.

Le Real Madrid n’a pas besoin de se défendre quand la justice est de son côté. Ce silence calculé exaspère les culés. Il nous provoque et reste muet. C’est la stratégie de Florentino et sa marche lâche un dirigeant blograna. La nouvelle dépasse les frontières. En Argentine, on titre Florentino a gagné le classico au tribunal.
En Angleterre, on analyse le pouvoir des clubs sur la justice sportive. La FIFA sous pression médiatique convoque une réunion d’urgence à Azuric. Madrid envoie un rapport de 47 pages au comité d’éthique. Les mots de la mine attaquent l’image globale du club le plus influent et sème la défiance envers arbitre et institution. Au comité division.
Les Européens veulent un précédent pour protéger les institutions. Les Sud-Aricains craignent d’ouvrir une boîte de pandore. Si on punit un gamin pour une blague, demain n’importe quel joueur sera jugé pour un même. Le Barça engage un cabinet suisse spécialisé en droit sportif international pour un recours préventif.
Objectif : éviter un verdict FIFA définitif. Mais la mine, lui, ne sait plus où il en est. Il évite les réseaux, parle peu, semble distrait à l’entraînement. Certains coéquipiers ne le défendent plus. Des vétérans lassés des polémiques estiment que le club pit trop cher son immaturité. L’un d’eux, selon Mundo Deportivo, ce n’est pas un adulte qui parle, c’est un gosse à qui personne n’a mis de limite.
Florentino, lui continue de compiler déclarations et commentaires postri. Ce n’est pas fini. Quiconque nuit à l’image du Real Madrid sera poursuivi aurait-il dit en privé. Une menace plus qu’une promesse. Ex-joueurs et vétérans réagissent. Iker Cassias tweeté. Les mots pèsent surtout quand des millions regardent.
Piqué ironise, si je dis que le sable du Bernabéu est moche, vous me dénoncez aussi. Son tweet explose en minutes. Les sponsors du Barça s’agitent. Une marque allemande exige une réunion d’urgence pour évaluer l’impact réputationnel. L’agent de la mine, Roré Mendz lui intime de se taire. Chaque mot peut te coûter des millions. À Madrid, on répète, Florentino n’a pas seulement gagné au tribunal, il a remis de l’ordre dans le foot espagnol.
En Catalogne, dictature blanche, représaille institutionnelle, silence complice de la Fédération. Pedro Rocha, président de l’ARFEF, est coincé. Pression de Madrid, du gouvernement et obligation réglementaire de se prononcer. S’il juge que les propos nuisent à l’image du foot espagnol, dossier disciplinair supplémentaire possible.
Plus de sanctions, plus de complications. Louise de la Fuenté, sélectionneur doit annoncer sa préliste pour les amicaux prémondial dans deux semaines. Inclure Rathil la mine, la Fédération lui conseille d’attendre. Spéculation, boycott, punition politique, véu déguisé à Laarora. La mine s’entraîne en silence, évite les caméras.
Il semble plus sérieux, contenu, presque effrayé. Un journaliste de sport, il est passé du gamin du futur au garçon que personne n’ose regarder dans les yeux. Florentino garde un silence qui vaut 1000 conférences. En privé, ce n’est pas une punition, c’est une alerte. Le foot a besoin de limite et Madrid va les poser.
Rumeur, la FIFA annoncera son verdict sous 48. Selon des sources proches du comité, suspension possible de 12 mois en compétition internationales. Adieux mondial, amicau. Qualification. Coup historique à Val de Béba, on s’entraîne avec un orgueil silencieux. Florentino a fait justice sans ballon et le jour j’y arrive. Communiqué officiel FIFA, la minimal suspendu 1 an de toute compétition internationale.
Pas de sélection espagnole, pas d’amicau, pas de mondial 2026 sauf miracle juridique. Décision dure, historique, clivante. La FIFA Arg, propos constitutif d’une faute grave de respect envers une institution historique faumentant un climat hostile entre supporters. En clair, ce n’était pas une blague, c’était un manque d’éducation.
Et oui, on peut le dire sans peur, la FIFA a fait le bon choix. Ce n’était pas un simple commentaire juvénil. C’était la preuve que la gloire a trahi un gosse qui n’a pas appris à mesurer ses mots. À 18 ans, on ne peut pas tout dire, tout moquer, tout cracher sur un rival sans respect. L’amine a du talent, rapide, démoniaque, courageux.
Mais le problème n’est pas son foot, c’est son attitude. Il a confondu confiance et arrogance, audace et irrespect. Personne dans son entourage ne l’a arrêté à temps. Ni le club, ni les conseillers, ni la famille. On l’a laissé croître sous les applaudissements, les unees grandioses, les réseaux qui le vendaient comme le nouveau Messi. Et il l’a cru.
Maintenant, la réalité le frappe. Il se sent victime mais cette sanction est une chance, un électrochoc qui pourrait sauver sa carrière. Car dans le foot, les joueurs passent, les clubs restent. Attaquer publiquement le Real Madrid, c’est craché en l’air. Ça finit par te retomber dessus.
Florentino l’a compris dès le départ. Ce n’est pas de la revanche, c’est un principe, le respect. Quand un joueur, quel que soit son âge, ridicule son adversaire, il montre non seulement son immaturité, mais son ignorance du sport qu’il a rendu célèbre. Le foot ne vit pas que de talent, il vit de valeur. La mine n’est pas le premier à déraper.
Il y a quelques mois, il lançait déjà des phrases ambigues sur les arbitres et les favoritismes. À l’entraînement, son caractère rebelle causait des tensions. Des coéquipiers demandaient au coach de le recadrer. Sa notoriété commençait à peser plus que ses performances. La sanction FIFA est dure, oui, mais juste. C’est le genre de coup qui peut changer une vie.
Peut-être que la mine ne le voit pas encore. Peut-être qu’il pense que tout le monde est contre lui. Mais s’il est intelligent, vraiment intelligent, pas juste techniquement. Il comprendra que ce n’est pas une attaque, c’est une alerte. Combien de prodiges ont disparu par manque d’humilité ? Des dizaines.
Aucun talent ne résiste quand l’ego pousse plus fort que le ballon. Même au Barça, on commence à le reconnaître. Des formateurs de la Masia qui le suivent depuis ses 12 ans admettent qu’il s’est monté la tête trop vite. Comment ne pas le faire quand on te vend comme le futur du foot espagnol avant même la majorité ? Mais personne ne lui a appris que le respect envers l’adversaire est intouchable.
Et c’est là qu’intervient Florentino Perez, l’homme qui a osé ce que peu aurait fait, poser une limite dans un foot sans limite. On le critique, on le craint, mais il a tracé une ligne qui protège non seulement le Real Madrid mais le foot tout entier. Car si on laisse passer une accusation de corruption déguisée en blague, demain n’importe quel joueur pourra insulter sans conséquence.
Le respect, passe du sport, deviendra fumé. Cette sanction est nécessaire. Même si elle fait mal, même si on crie à la censure, ce n’est pas de la censure, c’est de l’éducation. L’amine a vécu entourée d’applaudissements et de likes. Personne ne lui a montré que le silence peut être élégant, que la maturité ne se mesure pas en même, mais en respect.
À 18 ans, il affronte sa première vraie leçon, pas celle de l’école, mais celle de la vie. Chaque mot a un prix et il a payé 4 millions d’euros et un mondial perdu. prise élevée mais peut-être le seul capable de le réveiller à Valde Béba, calme olympien. Florentino ne célèbre pas, ne fanfaronne pas. Il observait ses proches savent ce qu’ marquen avant après.
Le Real Madrid a défendu son image avec la loi sans excès, sans cri. Le pouvoir se montre en silence et là-dessus Florentino est maître. Au Barça, confusion totale. La porte à ce ta. Flic tente d’éteindre l’incendie. Les vétérans regardent la mine avec un mélange de peine et d’avertissement. Certains ne s’approchent même plus, d’autres murmurent.
C’est fini de parler pour lui. Lui, à l’entraînement ce matin semblait différent, plus réservé, plus calme. Peut-être qu’il commence à mesurer l’ampleur du problème qu’il a lui-même créé. Beaucoup pensent que ce genre de sanction détruit une carrière. Moi, je pense l’inverse. Parfois, tout perdre un instant est la seule façon de comprendre ce qu’on a.
Si l’amine apprend, s’il mûit, s’il retrouve l’humilité, cette histoire pourrait non pas le couler mais le sauver. Mais s’il se laisse emporter par l’amertume, s’il se convainc le monde est contre lui, ce ne sera que le début de la fin. Car le talent sans respect finit toujours mal. En définitive, ce n’est pas une tragédie sportive, c’est un choix moral.
Le foot a besoin de limites, de repères, de joueurs qui comprennent que la gloire n’excuse pas l’insolence. Si ce coup d’arrêt fait réfléchir le prochain la mine avant de moquer un rival, il aura rempli sa mission. Le foot n’a pas besoin de plus de génies arrogants. Il a besoin de joueurs qui savent que respecter l’adversaire n’est pas une faiblesse, c’est une grandeur.
Et peut-être quand la mine comprendra ça, il pourra revenir sur un terrain la tête haute. Mais d’ici là, il doit observer, écouter, apprendre. Car le respect quand on le perd coûte cher, très cher. Alors oui, certains y voient une injustice. Moi, j’y vois un acte de justice. Pas contre la mine, mais pour le foot.
Car le talent, c’est le corps, le respect c’est l’âme. Et sans âme, aucun joueur ne va loin. Et toi, Kepé Encesto, sanction excessive ou enfin quelqu’un a remis de l’ordre dans le foot moderne ? Je te lis en commentaire. Et si tu veux suivre comment le pouvoir bouge dans l’ombre du foot, reste sur la chaîne.
Ce qui vient est encore plus gros.
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