À 85 Ans, Jean-Marie Périer, Le Photographe De Johnny Hallyday, S’EN PREND à Laeticia Hallyday !

Johnny a marqué sur un testament que il renie deux de ses gosses. Je le crois pas. Il fait pas ça avec ses gosses. C’est pas possible. Je ne le crois pas. À 79 ans, Jean-Marie Perrier vient de balancer ce que personne n’osait dire. Le photographe légendaire qui a immortalisé Johnny Holiday pendant des décennies, celui qui a capturé les moments les plus intimes du rockur, vient de lâcher une phrase qui a glacé tout le monde.

Jamais il ne s’est dit qu’il allait déshériter ses gosses. Ça, je n’y crois pas. Une déclaration choc qui vise directement le testament qui a exclu David et Laura de l’héritage. Mais attention, Perrier ne s’arrête pas là. Il qualifie toute cette bataille d’héritage de sinistre. Il affirme que Johnny aurait pu arranger ça assez facilement et surtout il sous-entend que quelqu’un d’autre a tiré les ficelles.

Quelqu’un qui avait intérêt à ce que les enfants du premier lit soient écartés. Pour Per Pri Perrier, c’est évident. Johnny a été manipulé dans ces derniers moments et la personne qui en bénéficie le plus, c’est Latitia. Pendant des années, le photographe a gardé le silence par respect pour la mémoire de son ami.

Mais maintenant, il a décidé de parler, de dire ce qu’il sait, de révéler ce qu’il a vu. Et ce qu’il balance sur Latitia Holiday va bien au-delà de ce que vous imaginez. Pour comprendre pourquoi les mots de Jean-Marie Perrier ont autant de poids, il faut saisir qui est vraiment cet homme. On ne parle pas d’un paparazzi opportuniste ou d’un journaliste en quête de buzz.

Jean-Marie Perrier est une légende vivante de la photographie française. Née leer février 1940 à Neï sur scène, il est le fils biologique du chanteur Henry Salvador et de l’actrice Jacqueline Porel, mais élevé par l’acteur François Perrier qu’il a reconnu comme son fils. Une histoire de filiation complexe qui marquera toute sa vie.

À seulement 16 ans, Perrier entre dans le monde de la photographie en devenant l’assistant de Daniel Philippe Aki pour les magazines Marie-Clre Paris Match et Jazz Magazine. C’est le début d’une carrière fulgurante. Quand Philippe Aki lance le magazine Salue les copains en 1962, Jean-Marie Perrier devient le photographe officiel de toute une génération.

Il va immortaliser les plus grandes stars de l’époque Yé, les Beatles, les Rolling Stones, Françoise Hardy, Jacques Dutron, Sylvie Vartan et bien sûr Johnny Holiday. Sa photo la plus célèbre reste celle du 12 avril 1966, la photo du siècle comme on l’appelle aujourd’hui. 46 vedettes françaises réunies sur un seul cliché. Johnny est au centre évidemment.

Autour de lui, Sylvie Vart, François Ardi, Jacques Duon, Eddie Mitchell, Shellila, Claude François, Dick Rivers, toute l’élite du showbiz français. Cette photo est devenue iconique. Elle représente une époque, un moment unique de la culture populaire française et c’est Jean-Marie Perrier qui l’a créé. Mais au-delà des photos, Perrier a développé une vraie relation avec Johnny.

Ce n’était pas juste un sujet qu’il photographiait. C’était un ami. Il partageait les mêmes passions, la même vision du rock, la même folie créative. Perrier a assisté au mariage de Johnny et Sylvie Vartan en tant que témoin. Il les a même accompagné en voyage de noce. C’était hallucinant. Cette vie confiera-t-il des années plus tard ? Une intimité qui dépasse largement le cadre professionnel.

Pendant des décennies, Jean-Marie Perrier a été le témoin privilégié de la vie de Johnny. Il a photographié ses triomphs, ses moments de doute, ses amours, ses enfants. Il a capturé David bébé, Laura adolescente. Il connaissait les coulisses, les moments où les masques tombent. Il savait qui était vraiment Johnny derrière la légende.

Et cette proximité lui donne aujourd’hui une légitimité que personne ne peut contester. Quand Jean-Marie Perrier parle de Johnny, ce n’est pas de la spéculation, c’est du vécu. Le 5 décembre 2017, Johnny Holiday s’éteint dans sa résidence de Marne la coquette. Jean-Marie Perrier, comme des millions de Français, est bouleversé.

Il perd plus qu’un sujet photographique, il perd un ami de toujours. Mais le choc de la mort est rapidement suivi d’un deuxième choc quelques semaines plus tard, le testament. Ce document rédigé en Californie qui exclut totalement David et Laura de l’héritage. Tout va à Latitia, les médias s’emballent, les accusations fusent et Jean-Marie Perrier observe tout ça avec un malaise grandissant.

Pendant des mois, il reste silencieux, par respect pour Johnny, par respect pour la famille, mais en février 2019, il décide de parler. Il accorde une interview au journal Suisse le temps et là, il lâche ce qu’il pense vraiment. On imagine que la bataille autour de son héritage doit vous navrer, demande le journaliste.

La réponse de Perrier est sans détour. Il est un peu fautif sur ce coupl-là. Il aurait pu régler les choses avant. Une première critique qui vise Johnny lui-même. Perrier estime que le recœur aurait dû anticiper, clarifier les choses de son vivant pour éviter cette guerre après sa mort. Mais il ne m’écoutait pas.

Tu ne pouvais pas lui demander de gérer le quotidien. C’est sinistre. Il aurait pu arranger ça assez facilement. Le mot sinistre raisonne. Perrier ne parle pas juste d’une situation triste ou regrettable. Il parle de quelque chose de morbide, de malsin. Cette bataille d’héritage abîme la mémoire de Johnny. Elle transforme un deuil national en spectacle sordide et pour Perrier, c’était évitable.

Puis vient la phrase qui fait trembler. Mais jamais il ne s’est dit qu’il allait déshériter ses gosses. Ça, je n’y crois pas. Ces mots sont une bombe. Jean-Marie Perrier, qui connaissait Johnny mieux que personne affirme catégoriquement que le rockur n’a jamais voulu déshériter David et Laura. Jamais. C’est une impossibilité, une aberration.

Johnny aimait ses enfants, tous ses enfants. David était son fils aîné, celui qui marchait dans ses pas. Laura était sa fierté. Comment imaginer qu’il ait consciemment décidé de les rayer de son testament ? Pour Perrier, la réponse est évidente. Johnny n’a pas pris cette décision. Quelqu’un d’autre l’a prise pour lui.

Ou alors on l’a manipulé pour qu’il la prenne. Le photographe ne nomme personne directement. Il reste prudent. Mais tout le monde comprend de qui il parle. qui avait intérêt à ce que David et Laura soient écarté, qui contrôlaient l’environnement de Johnny dans ces derniers mois, qui hérite de tout si les enfants du premier lit sont exclus, Latitia, la réponse s’impose d’elle-même.

Ce qui rend les accusations de Perrier encore plus graves, c’est sa connaissance intime de Johnny. Il l’a côtoyé pendant 50 ans. Il a vu comment le rocker interagissait avec ses enfants. Il a capturé des moments de tendresse entre Johnny et David, entre Johnny et Laura. Il sait ce que personne ne peut inventer. Johnny était un père pas parfait, certes, souvent absent, souvent pris par sa carrière, mais un père qui aimait ses gosses.

Et ce père-là n’aurait jamais écrit un testament qui les exclut complètement. Ma chance, c’est d’être né là-dedans avec mon père François Perrier. J’ai vu tout petit le rôle des courtisans. Cette phrase prononcée dans la même interview éclaire d’un jour nouveau le regard de Perrier sur l’entourage de Johnny.

Fils d’acteur, Perrier a grandi dans le milieu du spectacle. Il connaît les mécanismes du showbiz. Il sait comment les stars sont entourés de gens qui ne recherchent que leur intérêt, des courtisans qui flattent, qui manipulent, qui profitent. Et selon lui, Johnny a été victime de ses courtisans dans ces dernières années.

Je connaissais toutes les attitudes, tous les trucs. Je n’allais certainement pas tomber là-dedans. J’en savais beaucoup plus sur ce qui allait arriver aux futures vedettes des années 1960 qu’elle même. Perrier se présente comme un observateur lucide, quelqu’un qui ne s’est jamais laissé prendre au jeu des apparences. Et c’est avec ce regardisé qu’il analyse la situation de Johnny.

Pour lui, le rocker a été encerclé, isolé, coupé de ses vrais amis. On a créé une bulle autour de lui et dans cette bulle seules certaines voix avaient le droit de se faire entendre. En mars 2022, Jean-Marie Perrier remet le couvert. Dans une interview accordée à Paris Match pour les 5 ans de la mort de Johnny, il réitère ses accusations.

Cette bataille d’héritage abîme l’idée que les gens avaient de lui. Johnny était généreux. Il aimait que les artistes reprennent ses chansons, “Qu’elles vivent ! Tout ce qui se passe aujourd’hui trahit son esprit. Ces mots visent directement Latitia et sa gestion de l’héritage, les blocages sur les projets, les refus d’autoriser certaines reprises, les menace de procès.

Pour Per Pri Perrier, tout ça ne correspond pas à l’homme qui l’a connu. Johnny voulait que sa musique vive. Il était content quand des artistes s’appropriaient ses tubes. Il n’aurait jamais voulu que tout soit contrôlé, verrouillé, monétisé à l’extrême. Mais aujourd’hui, c’est exactement ce qui se passe et Perrier ne peut pas se taire face à ce détournement.

Il estime avoir une responsabilité. celle de témoigner, de dire ce qu’était vraiment Johnny pour que la vérité ne soit pas effacée par une version officielle qui arrange certains intérêts. Il y a aussi une dimension personnelle dans la révolte de Perrier. Il a assisté à l’inauguration de plusieurs expositions consacrées à Johnny.

Il a vu les objets exposés, les photos montrées, la mise en scène et il a été choqué pas par les objets eux-mêmes, mais par la manière dont ils étaient présentés. Comme des reliques, comme un musée, Johnny détestait ça. Il n’aimait pas les statues. Il trouvait toutes celles qui existaient raté confie Perrier.

Et pourtant, on lui en a érigé une monumentale devant Bery, une Harley Davidson posée sur un manche de guitare. Perrier, comme Eddie Mitchell d’ailleurs, trouve cette statue ridicule. Pour lui, tous ces hommages tapent à l’œil trahissent l’esprit de Johnny. Le rockur était un homme simple dans l’intimité. Il n’avait pas besoin de clinquant.

Ce qu’il voulait, c’était chanter, être sur scène, toucher son public, pas devenir une statue de bronze ou une exposition payante. Mais Latitia a choisi une autre voix, celle de la monumentalisation, transformer Johnny en myth en icône commercialisable. Et ça, Perrier ne peut pas l’accepter. Il y a d’ailleurs une anecdote révélatrice.

En 2002, Perrier a organisé une grande exposition de ses photos au Grand Palais. Johnny était venu avec Latitia. Ils avaient passé du temps ensemble, discuter, ri. Latitia semblait apprécier le travail de Perrier. Elle comprenait l’importance de ses image pour l’histoire de Johnny. Mais après la mort du rockur, plus rien.

Perrier n’a jamais été consulté pour les projets d’exposition organisés par Latitia. Comme si son témoignage, son regard, son travail de 50 ans n’avait plus aucune valeur. Cette mise à l’écart blesse périer, pas dans son ego, mais dans sa volonté de préserver la vérité. Il possède des milliers de photos de Johnny, des clichés intimes, rares, qui racontent une histoire que personne d’autre ne peut raconter.

Mais ces images ne sont pas utilisées dans les officiels. Pourquoi ? Parce qu’elle ne correspondent pas à la version que Latitia veut présenter. Parce qu’elle montre un Johnny différent de celui qu’elle essaie de vendre, Perrier ne le dit pas explicitement, mais le sous-entendu est clair. Il y a une volonté de contrôler le narratif, de décider quelle image de Johnny doit être montrée.

Et dans cette stratégie, les témoins gênants sont écartés, ce qui pourrait dire des choses qui dérangent. ceux qui connaissaient trop bien Johnny pour accepter les mensonges. En 2024, à ans, il a quitté Paris, le showbiz la frénésie des shootings. Il écrit, il se souvient, il témoigne. Et de temps en temps, quand on l’interroge sur Johnny, il répète la même chose.

Jamais il ne s’est dit qu’il allait déshériter ses gosses. Ça, je n’y crois pas. Une phrase devenue un mantra, une vérité qu’il martelle inlassablement. Certains pourraient penser que Perrier est amère, qu’il règle des comptes, qu’il profitent de la notoriété de Johnny pour se remettre en lumière. Mais ceux qui le connaissent savent que c’est faux.

Perrier n’a pas besoin de ça. Il est déjà une légende. Sa carrière parle pour lui. S’il parle aujourd’hui, c’est par conviction. Par Sorgi estime avoir une dette envers Johnny, celle de dire la vérité. Même si cette vérité est inconfortable, même si elle accuse implicitement Latitia. Car c’est bien de ça qu’il s’agit.

Quand Perrier dit que Johnny n’a jamais voulu déshériter ses enfants, il accuse forcément quelqu’un d’autre. Quelqu’un qui a profité de la faiblesse du rockur, quelqu’un qui l’a manipulé, quelqu’un qui a falsifié sa volonté. Et cette personne, c’est Latitia. Perrier ne le dit pas frontalement. Il reste dans le sous-entendu, dans l’insinuation.

Mais le message est limpide. Il y a aussi une dimension morale dans le témoignage de Perrier. Pour lui, ce qui s’est passé est une injustice. David et Laura ont été dépouillés, non pas de l’argent, ça c’est secondaire, mais de leur lien avec leur père. On leur a volé le droit d’être reconnu comme les enfants de Johnny.

On a nié leur filiation symbolique. Et ça pour Pierrier, c’est impardonnable. Un père ne fait pas ça à ses gosses jamais. Cette conviction est d’autant plus forte chez Perrier qu’il a lui-même vécu une histoire de filiation compliquée. Fils biologique d’Henry Salvador, mais élevé par François Perrier, il sait ce que c’est que d’être pris entre deux pères.

Il sait la douleur de ne pas être reconnu. Salvador l’a rejeté, lui et ses enfants. Cette blessure ne s’est jamais refermée. Pour cela, je le maudis et je ne lui pardonnerai jamais”, dira-t-il à propos de Salvador. Alors, quand il voit David et Laura rejeté par leur père, même poste, ça lui rappelle son propre trauma et ça le révolte.

D’ailleurs, certaines rumeurs circulent dans le milieu. Des rumeurs que Perrier n’a jamais confirmé publiquement mais qui alimentent les discussions. Certains proche de Johnny auraient confié au photographe que le rocker dans ces derniers mois n’était plus vraiment lui-même, qu’il était sous l’influence de médicaments puissants à cause de son cancer, que ses capacités de jugement étaient altérées et que dans cet état, on aurait pu lui faire signer n’importe quoi.

Ce ne sont que des rumeurs. Bien sûr, Perrier n’a jamais apporté de preuves, mais ses bruits de couloir renforcent sa conviction. Johnny a été manipulé. Il y aurait aussi eu des témoins de scènes troublantes, des amis de Johnny qui auraient été écartés dans ces derniers mois, des appels qui ne passaient plus, des visites refusées, un mur construit autour du rockur.

Perrier lui-même aurait essayé de prendre des nouvelles et se serait heurté à ce mur. Encore une fois, ce ne sont que des rumeurs, mais elles correspondent au récit de nombreux proches. Pascal Obispo parle de messages sans réponse. Eddie Mitchell évoque un Johnny gouroutisé. Sylvie Vartan affirme ne pas avoir pu lui parler.

Tous racontent la même histoire, un isolement progressif, une bulle hermétique. Et au centre de cette bulle, Latitia, pour Jean-Marie Perrier, cette stratégie d’isolement avait un but. Couper Johnny de tous ceux qui auraient pu s’opposer au testament, de tous ceux qui auraient pu lui dire “Non, Johnny, tu ne peux pas faire ça à tes enfants.

” Si Eddie Mitchell avait été là, il aurait protesté. Si Pascal Obispo avait su, il aurait intervenu. Si Sylvie Vartan avait eu accès à Johnny, elle l’aurait raisonné. Mais on les a tous tenu à distance. Et dans ce vide, dans ce silence, le testament a pu être signé. À 84 ans aujourd’hui, Jean-Marie Perrier n’a plus peur de rien.

Il a vécu une vie extraordinaire. Il a photographié les plus grandes stars du 20e siècle. Il a connu le succès, l’échec, l’amour, la trahison. Il a quitté la photographie pour le cinéma, puis la pub, puis est revenu à la photo. Il a vécu à Paris, à Los Angeles, maintenant en Avon. Il a tout vu, tout vécu et maintenant il veut juste dire la vérité, sa vérité, celle qu’il porte en lui depuis la mort de Johnny.

Jamais il ne s’est dit qu’il allait déshériter ses gosses. Ces mots resteront. Ils sont gravés dans le marbre des témoignages. Personne ne pourra les effacer. Personne ne pourra faire comme si Perrier n’avait rien dit. Son témoignage a du poids et il continuera de peser dans la balance longtemps après sa mort parce que Jean-Marie Perrier n’était pas n’importe qui.

C’était un témoin privilégié, un ami fidèle, un homme qui a consacré sa vie à immortaliser Johnny. Alors oui, à 79 ans, en 2019, quand il a fait cette déclaration, Jean-Marie Perrier s’en est pris à Latitia Holiday. Pas frontalement, pas avec violence, mais avec une détermination tranquille, une conviction inébranlable. Johnny n’a pas déshérité ses enfants.

Quelqu’un l’a fait à sa place et ce quelqu’un c’est Latitia. Perrier ne le dit jamais explicitement mais il n’en a pas besoin. Ces mots parlent pour lui et ils continueront de raisonner tant que cette affaire ne sera pas élucidée. Tant que la vérité sur les derniers mois de Johnny ne sera pas connue, tant que David et Laura n’auront pas obtenu justice.

Jean-Marie Perrier a choisi son camp. celui de la vérité, celui des enfants, celui de Johnny et il ne changera jamais.