Adriana aime souvent évoquer ces instants magiques où Marc, son compagnon, et leur fille Nira se retrouvent pour des échanges pleins de tendresse et de poésie. Il ne s’agit pas simplement de discussions du quotidien, mais de véritables parenthèses enchantées, suspendues dans le temps, où la simplicité devient une œuvre d’art. Ces moments figurent parmi ses plus précieux souvenirs, ceux qu’elle chérit et adore partager, comme des trésors qu’on dévoile avec pudeur et émerveillement.

Complices et amoureux sur le tapis rouge : Adriana Karembeu et Marc Lavoine  s'embrassent devant les photographes - midilibre.fr

Tout commence souvent sur le perron de leur maison, quand le soleil décline et que l’ombre des cyprès dessine de longues arabesques sur le sol. Nira, vêtue de sa robe préférée, la robe aux motifs de pap

Nira réfléchit, sérieuse, une mèche de cheveux tombant sur son front. “Je demanderais que les étoiles restent allumées toute la nuit et que les rêves

Une fois la nuit tombée, l’échange reprend autour d’une tasse de lait chaud. Nira, posée sur les genoux de son père, sirotant avec plaisir, confie ses découvertes de la journée — un papillon trouvé au parc, un copain de classe qui a partagé ses goûters, la chanson nouvelle qu’elle a apprise. Marc répond avec bien

Ce duo père-fille est tissé d’une complicité rare. Adriana raconte parfois comment, juste après, Marc et Nira improvisent une danse silencieuse dans le salon, sur une petite musique aux accents de piano, tendre et légère. Elle les voit tournoyer, complices, créant leur propre langage, celui de deux êtres qui s’aiment et qui savent se parler sans masque. Et, dans ces instants, elle reste immobile, comme une spectatrice enchantée, le souffle suspendu, capturée par leur grâce mutuelle.

Adriana Karembeu et Marc Lavoine escapade familiale à Deauville !

Adriana aime aussi partager les petites confidences qu’ils échangent à la tombée de la nuit, lorsque Marc pose doucement Nira dans son lit. Elle lui raconte ses peurs — le noir, les bruits étranges dehors —, et il répond toujours avec la même douceur : “Je suis là, ma toute petite. Je veille sur toi.” Puis il reste quelques instants à l’écouter respirer, à admirer la régularité de son sommeil naissant. Et parfois, il s’agenouille juste à côté, effleure un baiser sur ses cheveux, puis sort, refermant la porte dans un dernier soupir d’amour. Adriana, dans l’ombre, capte ce souffle, ce moment d’abandon, et c’est elle qu’il enveloppe d’une chaleur profonde.

Ces instantanés, elle les capture aussi en images

Dans certaines de ses publications,

Parfois, elle va plus loin, invente des dialogues. Elle imagine que Marc, chuchotant à l’oreille de Nira : “Tu es mon étoile”, et Nira répond en soupirant : “Et toi, tu es mon ciel.” Ces mots, peut-être inventés, mais tellement vrais à

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Tout cela compose un récit d’amour familial qu’Adriana adore partager : celui d’un père attentif et d’une fille rayonnante. Elle sait que la transparence de ce lien peut sembler naïve ou trop douce par les temps qui courent — c’est peut-être là qu’elle puise la force de le montrer. Parce qu’il faut du courage pour exposer ce qu’on a de plus pur, de plus fragile. Et c’est peut-être cela, en fin de compte, qu’elle souhaite transmettre : qu’aimer, vraiment aimer, c’est faire de chaque petit mot, de chaque regard, de chaque geste, une promesse silencieuse — celle d’un bien-être partagé et persistant.