David Hallyday en tournée pour “Requiem pour un fou” en hommage à son père

 

C’est l’heure de faire une place autour de la table à notre invité culture et ce matin on ne va pas bouder notre plaisir. David Alidet est l’invité de Télé Matin. Merci d’ Ah ouais, déjà des frissons ou comment ça va David ? Bah super et vous pleine forme. On est ravi de vous recevoir 100 % cette chanson que vous reprenez sur scène avec la voix de votre père Johnny.

 Vous repartez en tournée là dans dans quelques jours. Ouis. Rouillem tour 6 novembre à Toulon. Il y a une date à Paris aussi dans la foulée et puis dans toute la France jusqu’en 2026 he globalement. Ouais. Fin 2026. Ouais. On va évidemment parler de votre actualité en détail David mais en faisant mes recherches, je me suis rendu compte que vous aviez 1000 passions.

 La musique bien sûr, mais aussi la vitesse, les motos, les sensations fortes. Et j’avais envie de faire une petite interview. Rock and Road. C’est pas Rock and Road, c’est Rock and Road. OK. Donc réponse du tac au tac si vous voulez bien. C’est parti de me réveiller on se réveille en douceur. Pas trop de pression, c’est tranquille.

 La route de vos rêves en moto, ce serait 66. Ah bah oui, bien évidemment, la chanson parfaite pour un road trip. Euh pour un road trip, euh ce serait une chanson un peu cool, je pense. Tranquille, pas trop Crowner un peu. Pas Crowner mais euh Ouais. Ouais. Un peu Empire of the Sun. Ouais, un peu pourquoi pas ce groupe là, j’adore groupe australien.

 Batterie guitare piano si vous pouvez en garder qu’un. Pourquoi un ? Cruauté le son qui vous file encore des frissons alors ? Ouais, c’est tous mais la batterie c’est mon premier instrument. Alors d’accord. Vous préférez le rugissement d’un moteur ou celui d’une foule ? Ah d’une foule quand même. Bien sûr.

 Votre plus belle sensation de vitesse sur un circuit hein. H vous aimez ça ? Si vous pouvez faire un duo musical avec un pilote, ce serait qui ? à un proste. À l’improste. Et quand vous étiez au volant ou à la batterie, qu’est-ce qui vous anime le plus ? L’adrénaline ou l’émotion ? Euh au volant, ben le le le le l’adrénaline et puis l’émotion dans dans tout le reste.

Ouais, merci beaucoup David. Chouette. En tout cas, on a bien compris qu’il y ait un moteur ou une batterie, il faut que ça vibre. Dans le tour, bandeannonce du spectacle. avant la monie m’a plus grand chose libre dans sa tête tu ne m’as pas laissé le temps mais [Musique] Ça donne envie d’aller vous voir en B. Venez, écoutez, je vous dise, ça doit être chaque soir une immense décharge émotionnelle.

 Johnny nous a quitté en 2017. Comment vous la vivez, vous la domptez cette décharge émotionnelle chaque soir ? Ça fait 40 ans que j’ai j’ai des j’ai l’émotion pour ce métier dans ce métier en général. Donc c’est c’est pas c’est pas quelque chose de nouveau. Et c’est vrai que c’est une parenthèse, on va dire un peu spéciale dans ma carrière où j’ai revisité plein de mes titres, ceux de mon père aussi.

 Puis j’en ai fait euh un projet euh à part entière avec deux catalogues qui ne se ressemblent pas musicalement et que j’ai tenté de de de de faire de de d’avoir une une espèce d’unité et puis euh une synergie, on va dire globale sur l’album et sur le cette tournée. Donc ouais, il y a beaucoup d’émotions et c’est un peu particulier, c’est sûr.

Oui. Vous dites “C’est un projet de transmission.” Quoi c’est un projet de transmission ? Ben parce que c’est c’est une des valeurs dans lesquelles j’ai dans laquelle j’ai été euh euh j’ai grandi et éduqué. Euh et c’est quelque chose que j’ai j’ai tenté aussi de de transmettre à à mes propres enfants.

 Donc c’est quelque chose d’important. Je pense qu’il faut en parler. L’album 100 % que j’avais fait pour lui parler de transmission. Donc c’est un petit peu la continuité de de ce qu’on a commencé euh tous les deux. Donc c’est il y a il y a il y a forcément une charge émotionnelle qui est grande et mais j’ai j’ai mis un petit peu toute la famille dans dans dans ce show.

 Il y a mes enfants, il y a il y a ils écrivent pour vous par exemple vos enfants écrivent pour moi ouais des des paroles des des textes ce qu’ils vous proposent des chansons Non ils font ils font Non ils font pas ça mais ils font autre chose. Ils font il y a il y a cette espèce de d’ADN qu’on a transmis dans notre famille.

 On est une famille un peu particulière si vous ne l’aveiez pas compris. Juste au sa qu’il est tôt ce matin mais mais non parce qu’on s’arrête forcément à mes parents et ça mais il y a il y a il y a mes grands-parents, il y a il y a toute une génération, il y a il y a il y a trois quatre générations d’artistes chez nous qu’on connaît pas et euh c’est pour eux aussi.

 Voilà, c’est et ça arrive jusqu’à votre fils Cameron qui joue dans le clip 100 %. Euh la la boucle est bouclée en quelque sorte avec lui. Si jamais bouclé mais euh mais euh oui, on va dire que bah c’était important parce que 100 % à le clip a commencé euh dans dans cette salle de billard, il fallait il fallait euh continuer dans cette salle de billard avec euh avec euh ben euh Carol qui voilà, pardon mais on a dû le vous le dire 100 fois, on le voit ici sur les photos.

Quelle ressemblance avec vous et avec Johnny aussi. Euh bah écoutez, oui, je pense qu’on prend c’est un petit peu pour tout le monde pareil hein. Je pense qu’on prend de nos parents, nos grands-parents. Des fois ça saute des générations et c’est vrai qu’il c’est vrai qu’il ressemble il ressemble beaucoup. Ouais.

On va parler un petit peu des titres dans ce show exceptionnel. On a vu dans les images, c’est très spectaculaire. Est-ce qu’il y a par exemple ce titre raconter des histoire aussi entre Oui oui oui, il y a une histoire sur ce titre aussi. Ouais ouais bien sûr. Oui, il y est. Ouais. Un autre on écoute. Allez.

Ouais. Il y a celui-là aussi. S’il y est pas, il vous arrêter de bricole. Ah, je pense que si j’avais pas mis celui-là, je un dernier. Allez, allez. Il y a celui-là aussi. Où est-ce que vous prenez du plaisir dans quel titre ? Tous les titres peut-être, mais il y en a un en particulier qui vous prend par les tripes.

Ouais, ben tous je veux dire, je les ai choisis parce que il y a il y a une histoire derrière, il y a il y a un vécu. C’est comme sur mes titres à moi, il y a il y a il y a ce mélange qui fait que ben encore une fois il y a il y a cette charge émotionnelle qui qui est grande.

 Puis tout tous ces titres à lui, ce sont ceux enfin ceux que j’ai pas composé sont vécu avec petit, donc font partie de mon ADN aussi. Donc euh donc c’est il y a a y a il y a un truc de spécial forcément. Ouais, je trouve que c’est un projet assez particulier dans un sens. J’imagine qu’il y a eu un ben non mais il y a eu un choix j’imagine éditorial et et de réflexion de qu’est-ce que je choisis, qu’est-ce que je mets dedans, comment j’articule tout ça et puis tous les soirs vous jouez sur scène.

 Donc on peut avoir des idées puis ensuite il faut le faire. Oui, c’est ça. Oui, c’est c’est une chose d’avoir de en fait moi j’ai j’ai pas eu d’idée en fait. c’est j’ai fait en fait j’ai commencé à reprendre mes mes anciens titres à moi et puis je me suis dit tiens pourquoi pas reprendre des chansons que j’ai composé pour lui donc pour le meilleur 100 % des chansons comme ça et puis pourquoi pas plus de de de mon répertoire et pourquoi pas plus du sien et en fait j’en ai à force de faire j’en ai fait j’ai fait ce projet

en fait et c’est vrai que c’est c’était casse- guueule vous auriez pu totalement Non mais tout est casse-guele finalement donc bon c’est pas graveou oui mais quand on s’attaque même si c’est votre père à une icône on a toutes les raisons de se planter et Non seulement vous ne vous êtes pas planté et ça fait un carton en plus et aussi parce que vous arrivez à à avoir du monde autour de vous, notamment Santa par exemple lors de la date à Paris qui est venu chanter avec vous en duo. Laura aussi Laura Smet qui est venu

performer. Est-ce que sur les prochaines dates, il va y avoir d’autres guests, d’autres surprises ? Peut-être hein, peut-être. Oui. Oui. Moi, je suis je fais des trucs un peu à l’arrage en fait. J’ai pas énormément de stratégie sur les guests. Ça va ? Qu’est-ce que tu fais ? Tu veux venir chanter ? Ça t’amuse ou pas ? Avec qui vous aimeriez chanter ? Tiens, si vous aviez le choix là avec bah tous ceux qui chantent en fait.

 Je sais pas, il y en a plein. Je vais mettre une porge. Choisisse la chanson. Génial. Parlons-nous de du dispositif sur scène. Il y a des musiciens autour de vous. Vous êtes un excellent musicien. Vous avez des amis autour de vous. C’est un c’est un projet familial et avec des copains ou c’est plus ou moins toujours les mêmes et dans l’équipe technique aussi.

 Ben en fait, on est on est sur la route pendant longtemps, donc on se on se fait en fait des des des familles, c’est comme dans le cinéma ou dans d’autres dans dans d’autres métiers comme ça où on part sur la route. Donc c’est c’est plus ou moins tout tous les mêmes et pour plusieurs raisons parce qu’on s’entend bien euh on est souvent loin de chez nous puis musicalement on s’entend bien.

 On a pas besoin de se de de passer du temps de gaspiller du temps sur des choses sur des choses un peu futile et vous vous jouez de tous vos instruments, vu que vous êtes vous jouez de plusieurs instruments. Vous sur scène, on vous voit à la batterie à la guitare au piano Ouais. Ouais. Ça m’amuse. Ça donne encore plus envie. Non mais bien le challenge de tout faire.

Non pas tout. Non non non. Joue pas de violon. Pas de Est-ce que faire vivre cet héritage de Johnny ça va devenir votre mission, votre vie maintenant ? vous allez très vite revenir à vos projets plus personnels. Ouais. Ouais. Non, je vais c’est c’est c’est une parenthèse bien sûr, c’est une parenthèse qui était importante pour moi, pour ma famille et j’ai d’abord voulu créer quelque chose qui pouvait rester chez moi en fait euh sur la descendance.

 Je je trouvais que c’était c’est c’est noble de parler de descendance et de de ce qu’on laisse aussi à ce qu’on aime et et qui et qui qui arrivent et qui vont arriver. Donc c’est pour ça. Mais euh je suis quand même compositeur à la base, donc euh j’aime bien faire des reprises. C’est euh j’en ai pas fait beaucoup dans ma vie.

 Donc ce 40 ans de carrière, c’est ça n’est que 2 ans, mais c’est 2 ans qui ont été euh qui sont fortes en émotion. Et je vais revenir à à ce que j’aime le plus, c’estàdire composer, raconter des histoires. Écoutez, à chaque fois qu’on a des invités sur notre plateau, on a envie de vous faire des petites surprises et c’est très doux, c’est très sympa.

Est-ce que ce monsieur vous dit quelque chose ? Regardez. Ça veut dire quoi ? Alors, Seth Rick, c’est un c’est euh un professeur de champ aux États-Unis parce que j’ai vécu là-bas très longtemps et euh j’ai commencé mon métier là-bas et tout. Donc c’est lui qui m’a formé, on va dire.

 C’était un un troisème papa, on va dire. Ah ou et donc je passais beaucoup de temps dans son dans son studio et ça fait très longtemps que j’avais pas vu. Ça fait plaisir de le voir. Merci pour la surprise. Ouais. Non d’avoir une première surprise. On en a une deuxième. Ah oui. Regardez, c’est pour vous encore une fois. Est-ce qu’on l’ David ? Bravo d’abord pour ta forme ce matin.

 Tu es champion de Call of Duty. Ce jeu en ligne qui quelquefois te fait avoir des nuits très courtes. Je voulais dire aux téléspectateurs que à 20 ans, tu as été un grand artiste américain avant d’être ce grand artiste français que tu es. Tu avais créé un groupe qui s’appelait Nova Kane qui cartonnait dans toutes les salles américaines.

 Je t’ai toujours admiré pour ça. Tu ne devais ça qu’à ton talent et pas à ton nom. Voilà. Bravo David. Tu admires ta force physique, morale, ta sérénité et tes valeurs aussi. Ah là ! Bah écoute, c’est gentil hein. Je vais revenir demain. Vous faites quoi ? C’est génial comme émission. On était aux États-Unis, on continue avec des archives.

Exactement. On reste aux États-Unis. Vous êtes installé très jeune dans votre ville de cœur Los Angeles. On a retrouvé quelques images. Regardez. Bonjour, ici David en direct d’une gigille Los Angeles. David, vous le savez vit aussi bien à Paris qu’ici à Los Angeles. Comme pour les NL, nous nous sommes dit qu’allait lui rendre visite là-bas était une giga idée.

 D’autant plus qu’il était en pleine répétition de sa série de concerts en France. [Musique] La classe à l’américaine, elle adore. Belle bagnole palmier. Ça a toujours été une source d’inspiration pour vous les États-Unis ? Bah, j’ai commencé mon métier là-bas et et j’ai j’ai été formé là-bas. Donc oui, forcément, on est formé par son environnement.

 Donc ouais par beaucoup de choses. Alors, justement, vous allez peut-être pas trop m’apprécier avec cette anecdote, mais l’une des premières scènes à Los Angeles, peut pas être merveilleux. Si vous voyez où je veux en venir, regardez, je vous donne un petit indice en image. Los Angeles by Night, 17 ans avec le groupe Blind Fish.

 Première scène ça ? C’est pas bon ça. Dans un club de strip, il me semble votre première scène. Ah ouais, cette émission des villes très vite. J’adore, j’adore. On est en after pratiquement. Et justement, on termine avec ce petit extrait des blind fish puisque c’était un de vos premiers groupes à Los Angeles, c’est ça.

Et bien, on termine, c’était en 1994 là. [Musique] [Applaudissements] [Musique] [Applaudissements] Ouais ouais déjà très rock and roll là on adore hein. Très sympa c’était une période merveilleuse c’est tu es libre de pouvoir tout faire s’exprimer de de Non non non c’était c’était vraiment génial. Juste David on a fait comme si tout était normal mais vous avez donc joué pour la première fois dans un club de striptias.

 Ah bon ? J’insiste parce que comment c’est possible de se retrouver dans cette situation là ? Ah bah c’est justement ouais c’est ça je me pose la question comment est-ce qu’on en est arrivé là et vous étiez mineur que ne raconte pas c’est que vous aviez 15 ans. On ouvre le les souvenirs l’album souvenir avec vous Adrien ? Oui absolument j’avais envie de replonger dans quelques dates de votre vie.

 Vous me direz évidemment ce qu’elle vous inspire. souvenirs. Voilà souvenir souvenir. On commence en 1966, c’est votre année de naissance. La presse s’en souvient puisque cette naissance, elle a été hyper médiatisée. Il y a eu cette phrase de votre mère, c’est du Vartan qui dit “J’espère qu’il ne deviendra jamais une idole.” Bon, c’est raté puisque vous êtes je quand même une idole.

 Je je sais pas, je suis un musicien après, j’en sais rien. Mais mais oui oui, bah elle avait pas tort, hein. Elle avait pas tort. Mais à postériori, cet accouchement hyper médiatique, comment vous le Moi, je m’en souviens plus, hein. Bien sûr, mais comment de votre âge adulte, vous le jugez aujourd’hui ? Est-ce que vous vous dites “OK, c’était une bonne idée, franchement, il faut pas montrer les bébés quand il” Comment vous le jugez aujourd’hui ? Non, mais on vit une une période différente aujourd’hui.

 Moi, je pense que toute manière, c’est l’instinct euh paternel et maternel de de parents, on va dire. c’est c’est de de de de pas exposer ses enfants en fait. Euh je pense qu’il y a un truc privé euh qui qui il faut il faut que ça ça reste dans le privé. C’est pas une Mais après euh après il y a des choses euh c’était une autre époque non c’est une autre B.

 Non mais aujourd’hui aussi hein on montre plus facilement ses enfants aujourd’hui. Alors sans juger moi de de mon côté quand mes enfants sont nés j’avais pas envie de de les exposer et d’avoir la presse à la maternité. Je pense que c’est un choix personnel d’être exposé en fait. C’est quand c’est tu fais un métier où tu dis voilà c’est c’est toi en tant qu’adulte qui décide si tu veux t’exposer.

 Mais d’exposer des des jeunes, moi c’est enfin moi c’était c’est pas mon truc. Après c’était inévitable je pense à l’époque hein. Je pense que où qu’ils allaient ils étaient épiés. Euh donc bon il pouvaiit pas y faire grandchose. Justement cette surexposition on la retrouve aussi en 1980. C’est l’année de la séparation, c’est l’année du divorce.

Vous vous êtes ados. Comment quand on est ados ? Et que on a pour parents le couple le plus médiatique de France, si ce n’est peut-être même du monde à cette époque-là, comment on le vit ? Comment on le vit quand ses parents se séparent comme n’importe quel autre gamin ? Ça arrive à plein de gens. Ben, c’est ce que j’allais dire.

 Ouais, comme tout le monde, je pense. Ouais, ouais, ouais. Alors, mais vous le vivez forcément différemment, vous ? Oui, bah c’est c’est toujours bah moi en fait ça a pas été traumatique chez moi, donc déjà c’est une bonne chose. Mais donc je l’ai vécu comme quelque chose voilà comme la vie, comme quelque chose qui peut arriver et et voilà ça m’a pas ça m’a pas meurtri pour autant on va dire.

Non. Autre année 99. Alors là, c’est une année particulièrement heureuse puisque non seulement il y a l’album 100 % que vous composez pour Johnny et puis il y a votre tube à vous, on ne m’a pas laissé le temps, il sort à ce moment-là. Est-ce que c’est pour vous l’année professionnelle la plus successful ? Ben une une des plus Ouais, parce que j’ai fait pas mal de trucs avant quand même.

 C’est incroyable 100 % c’est 2 millions plus de 2 millions d’albums he quand même. C’est ouf. Ouais. Ouais. Non, mais c’est c’est il y a eu, on va dire 3 années très prolifiques et où tout toutes les planètes étaient alignées, mais forcément parce que ça touche à la famille, donc il y a forcément quelque chose de qui qui est fort là-dedans.

 Et j’ai eu pour moi, pour ma part, d’autres d’autres périodes avant aussi qui qui qui étaient très fortes, différentes, mais aussi les les débuts quand on a la chance d’avoir un premier succès, de de vivre ça, puis c’était aux États-Unis aussi. Donc c’était il y avait quelque chose de merveilleux, un espèce de rêve qui qui devenait réalité.

Et euh et à cette époque-là, jamais je pensais que ce rêve pouvait devenir réalité pour moi en fait. Donc donc il y a eu plein plein de choses mais c’est c’est sûr que 99 jusqu’à 2002 2003 c’était des années euh assez assez dingue. Ouais ouais ouais. Il y a une phrase que vous avez prononcé que je trouve assez émouvante.

 Vous dites “La célébrité donne des privilèges mais ce dont elle vous dépossède vaut au moins le triple. C’est dur d’être célèbre et il y a une année évidemment 2017 on ne peut pas ne pas y revenir. C’est l’année de la dieu à votre père. Est-ce que c’est l’année la plus triste de votre vie ? une question d’appréciation en fait, le truc de de célébrité en fait parce que chacun il y a des gens qui qui qui rêvent de ça, il y a pas de mal à ça, je pense.

 Puis il y a des gens qui s’en écartent et qui font la part des choses. Moi, pour ma part, je suis né là-dedans, donc c’est toujours quelque chose qui qui a fait partie de mon quotidien, mais pas pour moi quand j’étais jeune. Euh pour mes parents donc c’est pas la même chose. Donc quand c’est arrivé pour moi euh c’était différent.

 Je me suis toujours dit que quand j’aurai des enfants, je ferai la part des choses. C’estàdire quand quand je vais bosser euh forcément il y a il y a il y a un aspect où euh où on se montre où on doit mais mais dans ce qu’on fait, pas nécessairement dans sa vie privée, vous voyez. Donc c’est voilà, puis c’est bien de garder un petit peu de de de Ouais.

pénard aussi c’est que c’est c’est quand même c’est quand même cool. Mais justement, on va vous laisser peénard parce que on a très Non, c’était hyper intéressant et très généreux de votre part parce qu’on vous a posé des questions assez intimes et et merci beaucoup de de d’avoir joué le jeu.

 Je rappelle que vous repartez en tournée avec le Requè Tour à partir du 6 novembre à à Toulon à vous avez des sacrés pec sur sur laaffiche de la tournée pardon de poser des questions mais enfin c’est quand même mais c’est c’est des vrais sont des vrais non c’est et l’album que ça me montré évidemment en rappel voilà l’album qui accompagne la tournée.

 Merci beaucoup David d’avoir été avec nous. Merci beaucoup.