Il était brut et macho” : Anny Duperey sans filtre en évoquant Jean-Paul Belmondo
Bientôt aux côtés de Jean Dujardin dans Les Chemins de Pierre, Anny Duperey fait des confessions dans Chez Jordan sur l’une des icônes du cinéma français, Jean-Paul Belmondo.
Entre Jean-Paul Belmondo et Anny Duperey, le courant ne passe toujours pas. Il y a quelques semaines, l’actrice connue pour son rôle de Catherine Beaumont dans Une famille formidable n’avait pas vraiment été de main morte en évoquant l’icône du cinéma français, Jean-Paul Belmondo.
Elle expliquait alors qu’elle devait sans doute “faire peur” au comédien décédé il y a un an : “je crois que j’étais le type de femme qui devait lui faire peur”, explique-t-elle dans un entretien accordé à Jordan De Luxe pour son émission Chez Jordan.
Un acteur “macho” et “brut”
“Il aimait bien les p*tes, il faut bien le dire”, démarre une Anny Duperey, visiblement très en forme, assurant même n’avoir “rien pris du tout”. Hilare après cette déclaration, celle qui est aussi comédienne de théâtre assume : “Alors effectivement, à la fin du film [elle a joué avec Belmondo dans Stavisky, ndlr],
il y a eu quelques petites tensions, c’était vraiment pas agréable (…) un jour il est venu au théâtre, je lui ai tendu la main, je lui ai dit ‘j’ai failli t’écrire’ et puis il est venu voir toutes mes pièces, et on a déjeuné ensemble. Il m’a dit ‘oui, qu’est-ce que tu veux, la maladie m’a rendu gentil’, c’est extraordinaire.” L’acteur a en effet été victime de plusieurs accidents cardio-vasculaires, avant qu’il nous quitte le 6 septembre 2021 à 88 ans. Mais pour Anny Duperey, Jean-Paul Belmondo n’était “pas méchant” : “il était brut, macho.”
Depuis plusieurs semaines, les confidences d’Annie Dupérey sur Jean-Paul Belmondo ne cessent de susciter des réactions. Invitée sur le plateau de l’émission Chez Jordan, l’actrice emblématique de Une famille formidable est revenue sans détour sur sa relation compliquée avec la légende du cinéma français. Et ses mots ont surpris, voire choqué certains admirateurs de Bébel.
Dans une atmosphère à la fois détendue et franche, Annie Dupérey a d’abord admis que quelque chose n’avait jamais vraiment fonctionné entre elle et Jean-Paul Belmondo. Selon ses propos, elle représentait peut-être un type de femme qui ne convenait pas à l’acteur. « Je crois que j’étais le genre de femme qui devait lui faire peur », a-t-elle déclaré avec un sourire énigmatique. Une phrase lourde de sens qui en dit long sur la perception qu’elle avait de leurs rapports.
Tout remonte au tournage du film Stavisky dans les années 1970, où les deux comédiens avaient partagé l’affiche. Annie Dupérey se souvient de tensions palpables, d’une atmosphère pesante. Elle confie que leur collaboration n’avait rien de chaleureux, bien au contraire. « Ce n’était pas très agréable », résume-t-elle sobrement. Un constat étonnant, quand on connaît le charisme et la popularité de Jean-Paul Belmondo à l’époque.
Pourtant, des années plus tard, les chemins des deux artistes se sont recroisés. Belmondo, affaibli par la maladie, aurait alors montré un autre visage. Il serait venu assister à plusieurs pièces de théâtre jouées par Annie Dupérey, et un déjeuner aurait même eu lieu entre eux. Lors de cette rencontre, l’acteur lui aurait glissé ces mots : « La maladie m’a rendu gentil. » Une déclaration touchante, presque désarmante, qui montre combien les épreuves peuvent transformer un être.
Malgré tout, Annie Dupérey n’a pas mâché ses mots. Elle a décrit Jean-Paul Belmondo comme « brut » et « macho », ajoutant qu’il n’était pas méchant, mais simplement très marqué par une certaine culture virile. Ces propos, bien que nuancés, ont provoqué un certain malaise chez les fans de l’acteur, qui gardent de lui le souvenir d’un homme généreux, drôle, et profondément humain.
Si certains considèrent ces déclarations comme une forme de règlement de comptes tardif, d’autres y voient le témoignage sincère d’une femme qui n’a jamais cherché à se conformer aux attentes. Annie Dupérey, fidèle à elle-même, assume ses ressentis et ne cherche pas à embellir la réalité.
Ce qui ressort de cette interview, c’est la complexité des rapports humains, même entre deux figures célèbres du cinéma français. Derrière les projecteurs, les tensions, les malentendus, les silences pèsent souvent plus lourd que les images idéalisées. Et peut-être qu’au fond, cette distance entre Jean-Paul Belmondo et Annie Dupérey n’était qu’un reflet de deux sensibilités profondément différentes, deux mondes qui ne se sont jamais vraiment rejoints.
En évoquant ces souvenirs avec franchise et émotion, Annie Dupérey nous rappelle que les grands noms du cinéma sont avant tout des êtres humains, avec leurs forces, leurs failles, et leurs vérités.
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