Sinon j’étais mort” : Jacques Dutronc évoque la fois où sa compagne Sylvie Duval lui a sauvé la vie.
acques Dutronc est une véritable légende de la chanson française et à 80 ans aujourd’hui, il continue de faire parler de lui. Le 16 novembre prochain sort son autobiographie Et moi, et moi, et moi aux éditions du Cherche midi. Hier, l’artiste était l’invité du portrait de la semaine de Sept à huit et il en a profité pour parler des amours de sa vie, à commencer par Françoise Hardy.
Une femme à qui il a eu du mal à avouer ses sentiments. “J’ai toujours eu du mal à lui dire des mots d’amour, des choses comme ça. J’ai du mal à dire ça. C ‘est pas mon truc, je sais pas. Ça doit se deviner”, explique le crooner aux célèbres lunettes de soleil fumées.
Après Françoise Hardy, sans en être divorcée, le père de Thomas Dutronc s’est mis en couple avec Sylvie Duval, discrète ancienne maquilleuse rencontrée sur le tournage de Place Vendôme. Une histoire qui se poursuit encore aujourd’hui et sur laquelle le chanteur est également revenu. “Françoise (Hardy) a sauvé ma vie et elle, Sylvie, m’a sauvé la vie”, lance-t-il, avant d’en dire plus :
“Sylvie m’a sauvé la vie, ça j’ai des preuves et j’ai même le coupable encore présent ici. Il est noir et blanc et c’est un chat. Il m’a fait valser de tous les escaliers. Je suis tombé et je me suis ouvert de là à là.” Jacques Dutronc tire alors un trait de son arcade jusqu’à son menton pour expliquer la gravité de sa blessure.
Sinon j’étais mort et je n’aurais pas la joie d’être avec vous maintenant
Face à la dangerosité de la situation pour l’artiste, Sylvie Duval prend les choses en main. “C’est elle qui a décidé de m’emmener très rapidement à l’hosto et à l’hosto j’avais un hématome… J’étais noir jusqu’ici”, détaille-t-il en montrant la moitié de son buste. Face à Audrey Crespo-Mara, l’interprète des Cactus poursuit son histoire qui aurait pu tourner au drame : “On m’a mis dans un jet et on m’a amené à la Pitié-Salpêtrière (à Paris, ndlr) et on m’a opéré tout de suite. Sinon j’étais mort et je n’aurais pas la joie d’être avec vous maintenant.”
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Une histoire incroyable et que Jacques Dutronc n’avait jusqu’ici pas encore racontée. Il a également découvert durant cette longue interview que Françoise Hardy a voulu le quitter. “Ha, elle voulait me quitter ? Vous avez bien fait de m’apprendre ça. Je ne m’en rappelle pas…”, a-t-il répondu à son interlocutrice après avoir appris la nouvelle
Jacques Dutronc : entre amour éternel pour Françoise Hardy et reconnaissance infinie envers Sylvie Duval
Icône intemporelle de la chanson française, Jacques Dutronc, aujourd’hui âgé de 80 ans, a récemment ému les téléspectateurs lors de son passage dans l’émission Sept à Huit, diffusée sur TF1. Dans le cadre du traditionnel “portrait de la semaine”, l’artiste s’est livré avec une rare sincérité sur les grandes femmes de sa vie, son rapport aux sentiments, et les épreuves qui l’ont marqué ces dernières années. Un entretien touchant, teinté de nostalgie, de gratitude et d’un humour qui, lui, n’a pas pris une ride.
Au cours de l’interview, le chanteur s’est d’abord exprimé sur son amour légendaire pour Françoise Hardy, avec qui il forma pendant des décennies un couple mythique de la scène musicale française. Malgré leur séparation physique, leurs liens n’ont jamais été totalement rompus. Dutronc parle d’un amour inconditionnel et éternel, presque sacré, pour celle qui fut son épouse et la mère de son fils, Thomas Dutronc.
Il confie cependant qu’il a toujours eu des difficultés à verbaliser ses émotions. “Je ne suis pas très doué pour dire ce que je ressens”, admet-il avec pudeur. Pourtant, ses mots trahissent une affection profonde et durable. “Françoise a sauvé ma vie”, déclare-t-il avec simplicité, une phrase lourde de sens qui évoque une époque révolue, mais dont l’empreinte demeure vive.
La santé de Françoise Hardy reste une source d’inquiétude pour Jacques. Souffrant depuis plusieurs années d’un cancer du pharynx, la chanteuse vit une période difficile. Jacques Dutronc n’a pas caché son chagrin : « Elle ne va pas mieux, et malheureusement, ce n’est pas possible qu’elle aille mieux. » Une lucidité douloureuse qui témoigne de l’angoisse et de l’impuissance de celui qui, malgré les années, continue d’aimer intensément.
Mais la vie de Jacques Dutronc ne s’est pas arrêtée avec la fin de son couple avec Françoise. Depuis plus de vingt ans, il partage sa vie en Corse avec Sylvie Duval, une ancienne maquilleuse restée longtemps dans l’ombre médiatique. Si leur relation est discrète, elle est néanmoins solide et marquée par des épreuves qui ont renforcé leurs liens. Le chanteur a d’ailleurs raconté un épisode marquant qui aurait pu lui coûter la vie : une chute dans les escaliers, alors qu’il se trouvait seul chez lui. Gravement blessé, Dutronc a pu compter sur la réactivité de Sylvie, qui n’a pas hésité une seconde à l’emmener à l’hôpital. Grâce à cette décision rapide, il a pu être opéré en urgence, évitant de justesse une issue tragique.
« Elle m’a sauvé la vie », répète-t-il avec une émotion non dissimulée. Ce moment de fragilité révèle aussi la force du lien qui unit Jacques à Sylvie Duval. Elle n’est pas seulement une compagne, mais un véritable soutien de tous les instants, celle qui veille sur lui dans l’ombre, loin des feux de la rampe. À travers ses mots, on comprend que Sylvie occupe une place essentielle dans sa vie, et qu’il lui doit bien plus que sa survie physique : une stabilité, une paix, peut-être même une seconde chance.
Malgré son âge, Jacques Dutronc apparaît toujours alerte, vif, avec son humour mordant intact. Il plaisante sur le temps qui passe, sur ses petits maux, mais sans jamais sombrer dans l’amertume. Son regard pétillant trahit un homme qui a vécu intensément, et qui continue, à sa manière, à savourer chaque instant que la vie lui offre. Il parle de musique, de ses souvenirs, de ses projets parfois flous, parfois farfelus, mais toujours avec cette désinvolture charmante qui le caractérise depuis les années 60.
Ce portrait télévisé, empreint d’humanité, permet au public de redécouvrir un homme derrière le mythe. Jacques Dutronc, souvent perçu comme un personnage distant, presque cynique, se dévoile ici touchant, lucide et profondément reconnaissant envers les deux femmes qui ont marqué sa vie. Il y a Françoise, l’amour d’hier et d’aujourd’hui, et il y a Sylvie, l’amour du quotidien, discret mais inébranlable.
L’histoire de Jacques Dutronc est celle d’un artiste, bien sûr, mais c’est aussi celle d’un homme qui, malgré la célébrité, a toujours conservé une certaine simplicité. Ses mots sur l’amour, la vieillesse, la maladie et la mort résonnent avec une vérité brute, qui touche au cœur. Il n’idéalise rien, n’exagère rien. Il constate, il raconte, il se confie. Et dans cette authenticité, il rappelle à chacun d’entre nous que les liens humains, quand ils sont vrais, traversent le temps sans jamais s’effacer.
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