Depuis le début de cette saison, Isabelle, 53 ans, s’est démarquée parmi les prétendantes de Jean-Louis, 67 ans, un agriculteur à la recherche d’une relation simple et sincère. Connue du public pour sa spontanéité et sa douceur, Isabelle avait déjà touché les téléspectateurs lors de son passage dans la onzième saison de L’Amour est dans le pré, durant lequel elle était venue pour Bernard.

Dans l’épisode tourné à la ferme de Jean-Louis, elle a, à nouveau, fait parler d’elle en faisant une confidence intime à son hôte. Après plusieurs jours passés ensemble, Isabelle a senti le besoin d’aborder un sujet qu’elle n’avait pas évoqué dans sa lettre de présentation : ses tatouages. Un choix mûrement réfléchi, qu’elle explique par pudeur et par peur d’être jugée trop vite.

“C’est ma façon à moi de faire mon deuil”

Autour d’une conversation tranquille, Isabelle s’est confiée à Jean-Louis : Il y a quelque chose que je voulais t’expliquer, que je n’ai pas écrit dans ma lettre…, débute-t-elle avant de passer aux aveux : Il faut que je te dise que je suis tatouée. Loin d’un simple choix esthétique, ces dessins sont pour elle un moyen de garder près d’elle ceux qu’elle a aimés et perdus.”

La raison, c’est que c’était thérapeutique, raconte la prétendante de Jean-Louis, en passant sa main sur ses tatouages situés sur l’avant-bras droit. “Tu sais que je suis proche des animaux, j’ai perdu mon premier chat et, quand il est parti, je lui ai promis que je le garderai, ensuite c’est mon chaton et l’autre, c’est ma famille. Une annonce qui semble laisser Jean-Louis indifférent. Toutefois, elle insiste sur le fait qu’elle serait prête à les “faire enlever” si ça le gêne.

La réaction bienveillante de Jean-Louis

La réaction de Jean-Louis a alors été à l’image du moment : bienveillante et apaisée. L’agriculteur a écouté attentivement, avant de répondre avec simplicité qu’il n’avait aucun problème avec cela. “Moi, ça ne me dérange pas. J’ai quand même de l’âge donc si je veux retrouver une bonne personne, il faut savoir être modulable, a expliqué l’agriculteur. Une réponse qui a permis à Isabelle de pousser un ouf de soulagement.