La mort de Biyouna : les médecins de l’hôpital de Beni Messous à Alger, qui ont pris en charge son corps, ont annoncé une constatation choquante concernant son décès.
Je me suis pas mais là après c’était des films porno mais un bandau. Bonjour à tous triste nouvelle dans la vidéo suivante mort de Buna. Comment une femme qui faisait rire, vibrer et réfléchir des millions de personnes a-t-elle pu s’éteindre dans un silence si lourd et dans des souffrances que personne n’imaginait ? La nouvelle est tombée comme un choc.
Biyuna, icône des deux rives de la Méditerranée, s’est éteinte à 73 ans à l’hôpital Bénimessous d’Alger après des années de lutte loin des caméras. Une disparition injuste, déchirante qui bouleverse le monde du cinéma et de la musique. Merci d’être ici. Prenez un instant. Nous allons revenir ensemble sur les derniers jours de cette légende, sur la vérité derrière son combat silencieux et sur l’empreinte immense qu’elle laisse. Mort de Buna.
Le chanteur est décédé dans d’atroces souffrances à l’hôpital Bénimessous d’Alger. Mais comment cette étoile qui a illuminé les scènes d’Alger comme celle de Paris est-elle devenue l’une des figures les plus respectées du cinéma et de la musique maghrébine ? Pour le comprendre, il faut revenir aux années où Biyuna régnait, libre et flamboyante sur des rôles et des scènes qui ont marqué toute une génération.
Car avant la maladie, avant le retrait et le silence, il y avait une artiste incandescente, une voix puissante, une présence qui ne laissait personne indifférent. Biyuna, c’était un ouragan de talent et de vérité bruté par une carrière commencée bien avant que le public français ne la découvre. Mais une question lourde et douloureuse continue de hanter ceux qui ont aimé Biyuna.

Comment une femme aussi flamboyante, aussi vive, aussi entière a-t-elle pu s’éteindre dans une telle solitude, loin des projecteur qu’il avait porté toute sa vie ? Et surtout, que s’est-il réellement passé dans ces dernières semaines, ces derniers jours, ces dernières heures où son corps s’est mis à lâcher un organe après l’autre tandis que son esprit lui refusait encore de renoncer.
Car derrière l’annonce officielle, derrière les hommages qui se succèdent, derrière les photos qui envahissent les réseaux sociaux, se cache une réalité plus sombre, plus intime, presque insupportable à regarder en face. Ce n’est qu’après sa mort que le monde apprend ce que très peu savre réellement. Biyuna, atinte d’un cancer du poumon avait vécu ces derniers mois dans une douleur extrême presque indicible jusqu’à ce matin du 25 novembre 2025 où son cœur s’est arrêté à l’hôpital de Benimessous.
Le communiqué publié par son ami Rabahalawa quelques heures après son décès, glace le sang. Il y écrit. Selon les médecins, le manque d’oxygène au cerveau a récemment provoqué une dégradation critique de son état. Un mot revient critique, un autre revient manque d’oxygène. Ces mots froid technique disent fait pourtant tout.
Il raconte d’une fin où le corps lutte encore, mais où l’esprit commence à vaciller, où le souffle se fait rare, où chaque inspiration devient un combat. Et au milieu de ce combat, Biyuna était seul, entouré certes de soignants mais privé du tumulte, du rire, de la scène, de la chaleur humaine qui avait toujours été son oxygène à elle.
Ce qui frappe, ce n’est pas seulement la brutalité de son départ, mais la lente dégradation que ses proches décrivent comme une descente presque silencieuse. Pendant des années, on s’était habitué à son absence médiatique, à ses retraits successifs. Beaucoup pensaient qu’elle prenait simplement du repos, qu’elle s’éloignait d’un monde du spectacle qu’elle avait nourri toute sa vie.
Mais en réalité, elle se battait. Elle se battait pour respirer, pour tenir debout, pour préserver un peu de dignité. Ceux qui l’ont aperçu lors de sa dernière apparition publique en février se souviennent d’un visage marqué, presque méconnaissable. Les fans bouleversés parlaient déjà d’inquiétude.
Certains murmuraient : “Elle n’a plus sa lumière, quelque chose ne va pas.” Ils ne savirent pas à quel point ils avaient raison. À l’hôpital Benimessous, les soignants qui l’ont accompagné auraient mis de confié qu’elle souffrait énormément. Les nuits étaient longues, les douleurs vives, parfois insoutenables. Pourtant, jamais elle n’aurait rire.
Elle restait droite, digne, presque solennelle. Une femme de théâtre jusqu’au bout, une femme de scène, même dans la souffrance. Et c’est cette image qui bouleverse aujourd’hui ceux qui l’ont aimé, celle d’une artiste qui a tout donné même ces derniers instants, sans jamais chercher la pitié, sans jamais réclamer la lumière.
qu’elle avait pourtant tant contribué à allumer chez les autres. Ses proches parlent aussi d’un secret beaucoup plus profond. La peur qu’elle avait de montrer sa vulnérabilité. Elle aurait refusé de parler de sa maladie, refusé de révéler l’étendue de ses douleurs. Certains disent de qu’elle craignait que son image ne lui échappe, que la maladie n’éclipse une carrière bâtie sur la force, l’audace, l’énergie brute.
D’autres affirment qu’elle ne voulait plus être vue, qu’elle préférait partir lentement, loin des caméras et des commentaires. Mais une chose est sûre, sa fin difficile a été marquée par une solitude tragique, plus tragique encore pour une femme qui avait passé sa vie à offrir des émotions, à habiter les écrans, à remplir les salles de rire et de larmes.
Et alors que les hommages se multiplient, que les artistes des deux rives saluent son talent, une vérité se dessine douloureuse mais nécessaire. Personne n’avait mesuré l’ampleur de sa souffrance. Personne n’avait imaginé qu’elle se battait contre un cancer qui grignotait son souffle, sa voix, son énergie à petit pas, presque invisiblement.
Personne n’avait vraiment vu la femme derrière la légende, la femme derrière les rôles, la femme derrière les éclats de rire. Et aujourd’hui, une question raisonne, troublante, presque accusatrice. Comment une star aussi aimée a-t-elle pu s’éteindre ainsi dans une chambre d’hôpital, loin des regards, dans des douleurs qu’elle n’a jamais avoué ? Ce silence- là, ce silence autour de sa maladie dit peut-être plus de choses que n’importe quel discours officiel.
Il dit la peur, la pudeur, la fatigue. Il dit aussi la force immense d’une femme qui jusqu’à son dernier souffle a refusé de plier. Et l’histoire maintenant demande à être racontée. Pas seulement l’histoire de sa mort, mais celle de sa vie, de sa lumière, de ses combats secrets. Car derrière la souffrance existe aussi un héritage immense, indestructible.
Et c’est là que le récit nous emmène dans ce qui reste d’elle, dans ce qui ne disparaîtra jamais. Mais pour comprendre l’ampleur du drame, il faut revenir à ces dernières semaines où tout a basculé presque imperceptiblement d’abord, puis avec une brutalité que personne n’avait anticipé. Comment une femme qui avait toujours su se relever, qui avait résisté au temps, aux critiques, aux tempêtes médiatiques, a-t-elle pu s’effondrer si vite, si silencieusement ? Cette question aujourd’hui tous ceux qui suivaient son parcours car la vérité qui
apparaît est encore plus bouleversante que ce que les premières annonces laissait entendre. Ce que l’on sait désormais, c’est que l’état de santé de Buna s’était profondément dégradé ces dernières semaines. Une dégradation lente puis rapide, presque fulgurante qui porte la trace d’une lutte bien plus longue qu’elle ne l’avait admis publiquement.
Car si le monde découvre aujourd’hui l’existence de son cancer du poumon, ce combat, elle l’avait entamé dès 2016. 9 ans plus tôt, 9 ans de consultation, de traitement, d’espoir déçu, de rémission fragile. 9 ans de lutte intérieure mené loin des caméras, loin des micros, loin de toute exposition médiatique. La femme flamboyante qu’elle était sur scène devenait dans l’intimité une guerrière silencieuse.
Le plus saisissant, c’est que Biyuna n’avait jamais évoqué sa maladie publiquement. Pas une interview, pas une confidence, pas une allusion. Elle avait choisi le silence. Un silence qui aujourd’hui raisonne comme un acte de courage mais aussi de pudeur extrême. Pour elle, il n’était pas question d’associer son nom à la souffrance ou de créer un récit de victimisation.
Elle voulait que son public garde d’elle l’image d’une femme forte, drôle, indomptable. Pas celle d’une malade, pas celle d’une figure affaiblie par le temps. Selon des sources proches des milieux artistiques algériens, tout a commencé à basculer à la fin du mois d’octobre. des douleurs plus intenses, un souffle plus court, des nuits plus difficiles.
Puis finalement, le 4 novembre, la lutte devient trop dure pour qu’elle continue à la mener seule. Elle est alors hospitalisée à l’hôpital de Parnet à Alger. Ceux qui l’ont aperçu ce jour-là parlent d’une femme fatiguée mais encore lucide, encore digne, encore décidé à se battre, refusant de laisser transparaître la moindre faiblesse.
Pourtant, derrière ce masque de force, les médecins perçoivent une réalité différente. Sa maladie progresse et elle progresse vite. Quelques jours plus tard, face à l’aggravation soudaine de son état, les médecins prennent une décision lourde mais nécessaire : la transférer au service de pneumologie de l’hôpital de Benimesus, mieux équipé pour gérer les complications respiratoires.
Un transfert qui pour beaucoup apparaît comme un signe alarmant. Certains membres du personnel parlent d’une arrivée en urgence, d’autres racontent un transport très surveillé. preuve que les médecins savaient que le temps jouait désormais contre elle. Ce service réservé au cas les plus délicats devient alors son dernier refuge.
C’est là dans ces couloirs où raisonnent les pas prudents du personnel soignant. dans ces chambres où les machines rythment les secondes que Biyuna vit ces derniers jours. Des jours marqués par l’épuisement, par le poids du souffle, par cette sensation étrange de glisser et rentre de monde. Et pourtant, même là, même dans cet espace où la fragilité humaine elle est mise à nu, elle garde une part de sa fierté.
Elle ne demande rien, ne se plaint pas, ne cherche pas à attirer l’attention. Elle reste fidèle à elle-même, discrète, forte, indépendante. Ce qui bouleverse le plus, ce sont les témoignages de ceux qui l’ont vu durant ces dernières heures. Il parle d’une femme consciente de son état, lucide, presque apaisée, même si la douleur, elle ne la quittait plus vraiment.
Comme si avait compris qu’elle arrivait au bout de sa route, mais qu’elle refusait d’y arriver en renonçant à son identité. Elle voulait rester digne jusqu’au bout, disent certains soignants. Et c’est peut-être ce qui émeut le plus, cette capacité à garder la tête haute, même dans les moments où le corps impose sa loi. D’autres détails dévoilés par les médias algériens ajoutent une couche de tristesse à cette histoire.
Dans les jours précédant son décès, Biuna aurait alterné des moments de présence totale et de longues absences, comme si son esprit navigit entre le ici et l’ailleurs. Sa voix, autrefois puissante, charismatique, n’était plus qu’un souffle. sa respiration difficile, ses forces épuisées, le manque d’oxygène au cerveau diagnostiqué tardivement aurait provoquer une détérioration rapide, irréversible, plongeant l’artiste dans un état critique.
Et pourtant, même dans cet état, une chose ne l’a jamais quitté. Sa solitude choisie. Ce silence qu’elle avait imposé autour de sa maladie n’a jamais été rompu. Pas de communiqué, pas de confidence, pas d’apparition pour expliquer. Elle avait décidé de protéger sa vie privée coûte que coûte. Mais ce choix admirable a aussi créé un fossé entre elle et ceux qui l’aimait.
Beaucoup se sentaient impuissants, ignorants, incapable de comprendre pourquoi elle disparaissait. Ce faossé, c’est aujourd’hui une blessure qui ne s’effacera pas facilement. Car ce que beaucoup découvrent en même temps que sa mort, c’est l’étendue de son combat secret. Un combat long de presque une décennie.
Un combat mené sans réclamer le moindre mage, sans jamais chercher l’attention. Un combat que le public n’a jamais vu. Et une question poignante traverse désormais les mémoires. Si nous avions su, l’aurions-nous aimé différemment ? L’aurions-nous entouré davantage ? Ce doute, cette tristesse, cette impression de n’avoir pas su voir à temp ? ce qui rend son départ si déchirant.
Et dans cette douleur, une vérité s’impose. Buna n’a jamais cessé d’être une artiste même dans la souffrance. Elle est stressée fidèle à elle-même jusqu’au bout. Et maintenant, c’est son histoire silencieuse qui commence enfin à se révéler. Mais pour mesurer l’onde de choc provoquée par sa disparition, il faut revenir à ce qui a fait de Biyuna bien plus qu’une actrice ou qu’une chanteuse.
Une figure majeure de la culture algérienne et franco-magrébine. Une personnalité capable d’unir des publics qui parfois ne partageaient ni les mêmes codes ni les mêmes références. Car avant la maladie, avant le retrait et les souffrances, il y avait une ascension fulgurante, une force créatrice rare, une liberté artistique qui ne se négociait jamais et une question demeure presque vertigine, comment une vie aussi dense peut-elle s’éteindre ainsi sans que le monde n’ait le temps de lui dire adieu ? Né le 13 septembre 1952 dans les
rues vibrantes d’Alger, Baya Bouzar que le monde allait bientôt connaître sous le nom de Biyuna est l’exemple parfait d’une destinée qui refuse les limites. À 17 ans, alors que d’autres cherchant encore leur place, elle fait déjà la sienne sur les scènes enfumées des cabarets algérois. Sa voix, son culot, son rire sonore attiracit les regards.
Elle danse, elle chante, elle joue et surtout elle surprend. Personne ne peut l’ignorer. 2 ans plus tard, à 19 ans, elle rejoint le Copacabana, un nom mythique à Alger. On raconte que dès ses premières apparitions, elle imposait une présence magnétique qui éclipsait tout le reste. Buna ne jouait pas, elle existait.
Mais c’est en 1973 que le destin bascule. À 21 ans, elle incarne Fatma dans la série télévisée La Grande maison. Un rôle qui change tout. L’Algérie découvre une actrice capable de de mêler humour et tragédie, insolence et tendresse, explosivité et pudeur. Le public s’identifie, les femmes se reconnaissent. Biyuna devient une voix, une énergie, une incarnation d’une modernité nouvelle.
Et dès lors, plus rien ne l’arrêtera. Au début des années 2000, elle revient à la musique avec Red Zone, un album qui mélange Rythmes orientaux, influence pop et une liberté créative qui lui ressemble. L’album surprend, dérange parfois, mais séduit surtout. Entre deux tournages, elle retrouve ce rapport au public qui l’avait porté dans sa jeunesse comme si la scène avait toujours été son premier refuge. Puis vient la France.
Là encores, elle n’a rien cherché. Ce sont les rôles qui sont venus vers elle. La source des femmes, Neïi, sa mère, sa mère, les trois frères et surtout le flic de Belleville en 2018 où elle donne la réplique à Omarsci sous la direction de Rachid Bouchareb. À chaque apparition, elle crée un contre-point, une intensité, un relief.
Son visage marqué, sa voix chaude, sa manière unique d’habiter un rôle imposant un style inimitable. Elle ne joue pas des personnages, elle les transforme, les redéfinit, les bouscule. Réputé pour son franc parler, parfois tranchant, parfois drôle, toujours authentique. Elle devient un symbole, un symbole de liberté féminine dans un monde où la parole des femmes n’est pas toujours simple à porter.
Un symbole de résilience pour ceux qui avaient connu l’exil, la rupture, la reconstruction. Un symbole de modernité pour une génération d’artistes algériens qui voyaient en elle une pionnière. Sa carrière est une succession de renaissance. Chaque décennie lui donne un nouveau visage, une nouvelle voix, un nouveau souffle.
Et c’est là que réside toute la beauté de son parcours. Biyuna n’a jamais cessé de se réinventer. Danseuse, comédienne, chanteuse, icône populaire, actrice de cinéma d’auteur, humoriste. Elle a embrassé toutes les formes d’art sans jamais perdre son identité. une identité complexe, parfois rugueuse mais profondément humaine. Et aujourd’hui, alors qu’elle n’est plus, cette capacité à renaître prend un sens nouveau, presque philosophique.
On comprend que ces renaissances successives n’étaient pas seulement des choix de carrière, mais une vision du monde. La conviction que rien n’est figé, que la vie avance, que l’on peut toujours recommencer même depuis les ruines. Face à la mort, cette idée raisonne différemment. Elle devient une leçon.
La disparition de Biyuna invite à regarder la vie autrement. Non pas comme une ligne droite, mais comme un chemin fait de détour, de chute, de reprise. Elle nous rappelle qu’une existence n’est jamais définie par ses épreuves, mais par la manière dont on les traverse. Elle montre qu’une femme peut se réinventer à 20 ans, à 40 ans, à 60 ans et même au bord de la maladie.
Et peut-être que c’est cela véritable empreinte qu’elle laisse. Une invitation à la liberté, à la résistance, à l’audace de rester soi-même, à accepter la fragilité sans renoncer à la force, à comprendre que rien ne dure mais que tout compte. Entre ses origines algéroises, ses succès français, sa personnalité flamboyante et son courage silencieux face à la maladie, laisse une œuvre qui n’appartient à personne et à tout le monde à la fois.
Une œuvre qui traverse les frontières comme elle traversait les genres, sans jamais s’excuser d’exister. Et alors que les projecteurs s’éteignent pour elle, une chose demeure. La lumière qu’elle a laissé ne faiblira pas. Son histoire continue dans les voix de ceux qui l’ont admiré, dans les films qu’elle a il a marqué, dans les chansons qu’elle a l’aorté, dans les vies qu’elle a inspiré et dans cette capacité rare à accepter même la fin comme une forme de continuité.
Mais au moment même où l’on croit avoir compris l’itinéraire de cette femme hors du commun, un autre pan de son histoire se dévoile. Plus trouble, plus inattendu, presque dérangeant. Les zones d’ombre. Car la fin de vie de Biyuna, tout comme certaines étapes clés de sa carrière, porte en elle des mystères que personne n’avait encore vraiment éclairé.
Et c’est là que le récit prend une dimension nouvelle, presque cinématographique où se melte secret, regrets, rumeurs étouffé et vérité jamais dites. On le sait désormais. Buna avait toujours préféré le silence à l’aveu, surtout lorsqu’il s’agissait de ses faiblesses. Mais cette discrétion farouche a aussi laissé des questions en suspend.
Pourquoi avoir caché une maladie diagnostiquée dès 2016 ? Pourquoi avoir disparu soudainement de certaines productions sans explication officielle ? Pourquoi certains proches affirment-il aujourd’hui qu’elle avait prédit sa propre fin comme si elle avait pressenti que quelque chose de plus grave menaçait son corps ? Des sources anonymes proches des milieux artistiques d’Alger affirment qu’elle aurait traversé ces dernières années une succession d’incidents médicaux passé sous silence dont un malaise sévère en coulisse lors d’un tournage en 2020. “Ce
jour-là, disent-il, elle aurait demandé à ce qu’aucune image ne fuite, aucun témoin ne parle, aucun journaliste ne s’approche. Une actrice s’est confiée récemment. Elle pleurait mais pas de douleur. Elle pleurait parce qu’elle savait que quelque chose se brisait en elle. En Mimiantine, ces fragments de vérité donnent à son histoire une aura presque mystique, comme si Biuna avait orchestré sa sortie du monde public, laissant derrière elle une série de signes que personne n’avait su interpréter à temps. Dans plusieurs
interviews, bien avant que sa maladie ne soit révélée, elle faisait allusion à Foxon la fatigue de l’âme à une lumière qui baisse mais ne s’éteint jamais. des phrases qui semblaient poétiques mais qui sonnent aujourd’hui comme des avertissements voilés. Puis il y a ce détail troublant. Juste avant son hospitalisation à Parnet, elle aurait insisté pour régler certains dossiers personnels, appeler des amis qu’elle n’avait pas vu depuis longtemps, écrire quelques lettres qu’elle n’a jamais envoyé comme si elle savait, comme si
elle sentait que la scène allait se refermer plus vite que ce que les médecins eux-mêmes imaginaient. Certains membres du personnel hospitalier confient qu’à son arrivée, Biyuna semblait déjà cchelur comme détaché du monde absorbé par une forme de lucidité douloureuse. Il parle d’ d’un regard étrange, profond, clair, comme si elle observait le monde depuis un lieu intérieur inaccessible.
Une infirmière a décrit un moment bouleversant. Elle m’a pris la main et m’a dit “Tout est déjà écrit, ma fille. Tout est déjà écrit.” Des mots simples mais dont la portée raisonne encore aujourd’hui. C’est là que l’histoire touche à son point le plus intense. Lorsqu’elle est transféré à l’hôpital de Benimessou, son état empire brutalement.
Les médecins évoquent une dégradation fulgurante, presque incompréhensible au regard de la journée précédente. Soudain, le manque d’oxygène au cerveau provoque des épisodes de confusion, des absences, des silences qui se prolongent. Mais dans ces instants, raconte un proche, elle aurait prononcé quelques mots qui entent encore ceux qui les ont entendu.
Je ne veux pas partir, mais je suis déjà sur le chemin. Comment expliquer cette lucidité ? Comment comprendre cette acceptation mélangée à une peur immense ? Est-ce une façon de protéger ce qu’elle aimait ou le signe d’une conscience aigue de la fin imminente ? Et puis, il y a cette scène relatée par une source médicale restée longtemps confidentielle.
La veille de sa mort, alors qu’elle respirait difficilement, elle aurait demandé que l’on ouvre légèrement la fenêtre de sa chambre malgré le froid. Elle voulait sentir l’air d’Alger. Elle aurait murmuré : “Je veux rentrer chez moi, même si ce n’est qu’avec le vent.” Ces mots incroyablement poétiques, ressemblent à un adieu.
Un adieu choisi, assumé, offert à la ville qui l’a vu naître, s’élever, tomber et se relever tant de fois. Ce détail ajoute une dimension presque métaphysique à sa fin. le sentiment qu’elle n’est pas morte dans la solitude d’une chambre d’hôpital, mais dans un dialogue intime avec la ville, avec son passé, avec sa propre légende.
Comme si même à l’ultime seconde demeurait une actrice, une poétesse, une femme qui transforme tout, même la mort en scène à sa mesure. Et pendant que les médecins tentent encore d’apaiser sa souffrance, pendant que ses proches se préparent à ce qu’il redoutaient, quelque chose se produit, une forme de sérénité. Plusieurs soignants affirment qu’elle s’est apaisée brusquement comme si une décision intérieure venait d’être prise, pas une résignation, une acceptation, une forme de paix inattendue qui contraste brutalement avec les jours de
lutte qui ont précédé. C’est ce moment précis, ce basculement, cette respiration plus lente, plus douce qui marque le véritable climax de son histoire. Non pas l’agonie, mais la transition. La transition d’une vie terrestre flamboyante et tumultueuse vers quelque chose que personne ne pourra jamais raconter à sa place.
Et c’est là, dans cette minute suspendue, que le récit prépare sa dernière montée avant que le rideau ne tombe. Dans le silence qui suit son départ, une évidence demeure. Certaines vies brillent encore longtemps après que la lumière s’est éteinte. Buna laisse derrière elle une force, une vérité, une liberté qui continueront d’inspirer.
Si son histoire vous a touché, n’hésitez pas à laisser un mot, à liker ou à vous abonner. Ensemble, nous faisons vivre sa mémoire douce et indomptable. Yeah.
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