Laurent Delahousse révèle enfin la vérité sur sa relation secrète avec Florence Kieffer

 

[Musique] Il y a des histoires Kant qu’on croit terminées, des amours qu’on pense effacer et pourtant elle continue de vivre dans le silence. Pour Laurent de Laousse, ce silence porte un nom. Florence Kifor. Derrière le sourire du présentateur du vainur, derrière l’image lisse de l’homme public, se cache un lien invisible, une tendresse qui n’a jamais vraiment disparu.

 Leur histoire s’est achevée il y a plus de 10 ans, mais un fil discret relie encore ces deux destins. Profession, famille, souvenir. Tout semble les ramener l’un vers l’autre malgré le temps, malgré les chemins différents. Et ce soir, pour la première fois, Laurent de Laous brise le silence et révèle la vérité sur cette relation secrète qui contre toute attente continue d’exister.

 Mais qui est vraiment l’homme derrière le sourire du 20h ? Celui que des millions de Français voi chaque weekend sans jamais vraiment le connaître. Laurent de Laousse, symbole d’élégance et de rigueur, vivait alors les plus belles années de sa carrière sous les projecteur de France I Dost. Mais derrière cette image parfaite de l’homme calme et du journaliste mesuré se cache une histoire plus fragile, plus humaine, presque douloureuse.

 Car si Laurent de Laousse a su conquérir la confiance du public français, son cœur, lui a longtemps vécu dans l’ombre d’une relation qu’il n’a jamais vraiment oublié. Florence Kiffer. Ce nom prononcé à voix basse réveille tout un pan de sa vie que peu connaissent vraiment. Une histoire commencée loin des caméras dans l’intimité feutrée des rédactions de France I.

Deux journalistes passionnés, deux esprits brillants, deux âmes qui se sont reconnues dans le tumulte d’une profession exigeante. Ensemble, ils ont bâti un équilibre fragile, fait de complicité, de nuit blanche, de discussions sans fin sur le monde et sur les hommes. Puis peu à peu, la notoriété de Laurent s’est imposée le propulsant sous les projecteurs alors que Florence, plus discrète a choisi l’ombre, préférant le fond au spectacle, la vérité au paraître.

Laurent Delahousse : son ex Florence Kieffer toujours dans sa vie, ce lien  discret qui perdure - Voici.fr

 C’est là que la distance a commencé à s’installer insidieuse, presque invisible. Le public voyait un homme épanoui, sûr de lui, élégant. Mais derrière ce sourire, il y avait la fatigue, les doutes et cette question lancinante : “Peut-on concilier l’amour et la lumière, la carrière et la tendresse ? Leur séparation en 2013 a été vécu comme un séisme silencieux.

Aucun scandale, aucune déclaration, juste deux êtres qui s’éloignent avec dignité, laissant derrière eux des années de souvenirs et deux enfants témoins d’un amour qui, malgré tout ne s’est jamais éteint. Car Florence n’a jamais disparu de la vie de Laurent. Elle en fait encore partie autrement. Leur lien s’est transformé, s’est adouci.

Il n’est plus celui de la passion, mais celui d’un respect profond, d’une tendresse mature, d’une confiance rare. Ensemble, ils continuent à échanger, à collaborer, à se croiser dans les couloirs du service public sans éclat, sans nostalgie excessive, mais avec cette conscience du passé partagé. Pourtant, derrière cette sérénité apparente, il y a une blessure que Laurent a longtemps caché, celle d’un homme partagé entre deux mondes.

 Celui qu’il montre au public et celui qu’il garde pour lui. Dans ses rares confidences, il laisse parfois échapper une mélancolie subtile, un mot, un silence qui en dit long. Ses proches racontent ce qu’ils n’aiment pas revenir sur cette période. Il parlent peu de lui, encore moins de ce qu’il a perdu. Certains disent qu’il s’est muré dans le travail comme pour éviter de sentir le vide laissé par Florence.

D’autres évoquent sa por sa peur de ne plus jamais retrouver un équilibre aussi sincère car pour la première fois il avait trouvé en elle un miroir. Florence comprenait ses exigences, sa pudeur, son besoin de silence après les projecteurs. Et quand ce lien s’est brisé, quelque chose s’est fissuré en lui.

 C’est sans doute ce qui explique cette douceur nouvelle dans sa manière. d’être à l’antenne cette gravité apaisée qui transparaît dans son regard comme si chaque mot, chaque reportage portait une part de lui-même de ce qu’il n’a jamais osé dire tout haut. Aujourd’hui, alors qu’il partage sa vie avec l’actrice Alista Gloni et qu’il est père de quatre enfants, Laurent de Lausse semble apaisé.

 Mais il suffit d’observer certains gestes, certaines attentions discrètes pour comprendre que Florence n’est jamais vraiment loin. Une photo d’enfance posée sur un bureau, une phrase glissée dans une interview, un remerciement à demi mots. Ce lien invisible mais bien réel, perdure, indestructible. Il appartient à cette catégorie de relation que le temps ne détruit pas, qu’il transforme simplement.

Entre eux, il n’y a plus de promesse, plus d’attente, mais une reconnaissance mutuelle. Elle l’a vu devenir ce qu’il est aujourd’hui. Lui sait ce qu’il lui doit. Et même s’ils ne s’affichent plus ensemble, même si leur vies ont pris des chemins différents, quelque chose continue de les unir comme une fidélité silencieuse à ce qu’ils ont été.

 Car certaines histoires ne se terminent jamais vraiment. Elles changent de forme, se glissent pendant les gestes du quotidien, dans les regards échangés, au détour d’un couloir, dans les souvenirs qu’on garde précieusement. Et quand Laurent de Lausse parle aujourd’hui, de vérité, ce n’est pas seulement celle des phases ou de l’actualité qu’il évoque.

C’est une vérité plus intime, plus nue, celle d’un homme qui, après avoir aimé dans la lumière a appris à préserver dans l’ombre ce qu’il a de plus précieux, le respect et la tendresse pour celle qui a partagé sa vie. Mais pour comprendre ce lien indestructible entre Laurent de Lausse et Florence Kiffer, il faut remonter aux origines à ce moment où tout a commencé.

Nous sommes à la fin des années 1990. Laurent, jeune journaliste ambitieux offici, cette élégance naturelle qui séduit autant les téléspectateurs que ses collègues. C’est là dans les couloirs animés de la rédaction qu’il croise pour la première fois Florence Kiffer. Elle aussi est journaliste. vive d’esprit, discrète, dotée d’une intelligence affutée, héritée d’une famille profondément ancrée dans le monde des médias.

 Fille du publicitaire Jacques Kiefer et sœur de la journaliste Tina Kiffer. Florence connaît les codes du milieu mais elle s’en protège. Elle n’aime pas les lumières, préfère le terrain, les reportages, le réel. Son regard capte les nuances du monde que d’autres ne voient pas et c’est peut-être cela qui attire le rang. Entre eux, l’alchimie est immédiate.

 Une complicité née d’un même idéal, celui d’informer, de comprendre, de raconter la vérité. Ensemble, ils forment un duo puissant et harmonieux. Sur les plateaux comme dans la vie, ils se soutiennent, se complètent. Florence réalise alors des reportages pour zones interdites et le droit de savoir, des émissions exigeantes, parfois dangereuses mais profondément humaine.

 Elle admire chez Laurent son calme, sa rigueur, sa capacité à incarner l’information sans la trahir. lui voit en elle une force tranquille, une femme libre, courageuse, capable de tout comprendre sans qu’il ait besoin de parler. Leur amour grandit à l’abri du tumulte médiatique dans cette rare bulle d’équilibre entre deux carrières brillantes et deux personnalités entières.

De cet amour naîtront deux filles, Liveline et Sacha, venu compléter une famille déjà unie puisque Florence était déjà mère d’un garçon, Raphaël. Ensemble, ils forment un cocon solide, tendre, fait de rire d’enfants, de voyages improvisés, de soirées simples loin des caméras. C’est une période lumineuse presque suspendue, mais avec la lumière vient aussi l’ombre.

 Au fil des années, la notoriété de Laurence s’amplifie. France I lui ouvre ses portes. Le 20h devient son royaume. L’attention médiatique, la pression du direct, les sollicitations, tout cela pèse sur leur équilibre. Florence, fidèle à son tempérament discret, continue à travailler dans l’ombre, à raconter des histoires vraies sans phare.

 Pourtant, peu à peu, leurs univers se désynchronisent. Les horaires décalés, les weekends de travail, les absences répétées. Le journal de 20h, cette vitrine tant convoitée, devient aussi une frontière invisible entre eux. Laurence consacre corps et âmes sans mesurer tout de suite ce qu’il sacrifie. Florence, de son côté garde le cap, assume le quotidien, les enfants, les doutes.

 Elle comprend sans reprocher, observe, sans juger. C’est une femme forte, mais la fatigue s’installe, la distance aussi. Et puis vient ce moment, celui qu’on ne nomme jamais, où l’amour se transforme, où la tendresse remplace la passion. En 2013, après des mois de silence intérieur, il décide de se séparer sans cri, sans guerre.

 Juste la conscience lucide que quelque chose s’est perdu, que leurs chemins doivent désormais se poursuivre autrement. Pour Laurent, cette décision est un choc. Derrière le journaliste sûr de lui, c’est l’homme qui vaille. Pendant longtemps, il n’en parlera pas, préférant enfouir la douleur derrière son regard calme et ses phrases mesurées.

 Mais ceux qui le connaissent savent, ils ont vu cette mélancolie s’installer dans ses yeux, cette gravité nouvelle qui rend son visage plus profond, plus vrai. Dans ses interviews, dans sa façon d’écouter, il y a depuis ce jour une empathie différente, celle d’un homme qui a connu la perte, le doute, le poids des choix. Florence, elle s’efface doucement de la lumière.

Elle ne donne pas d’interview, ne cherche ni justification ni attention. Elle continue à travailler, à vivre, à protéger ses enfants. Pourtant, même séparés, ils n’ont jamais couper les ponts. Leur lien, plus fort que la rupture, s’est transformé en une complicité silencieuse. Ils se parlent encore, et changent des nouvelles, se croisent parfois dans les couloirs de France Télévision.

 Il y a dans leur regard une reconnaissance tranquille, presque tendre. Le respect d’une histoire qui, malgré les blessures, n’a jamais été souillée par l’amertume. Et puis il y a les enfants, ces deux filles Liv Helen et Sacha qui grandissent entre deux univers entourés de bienveillance. Laurent ne cache jamais sa fierté de père.

 Lorsqu’il évoque sa famille, sa voix se fait plus douce, son regard s’apaise. C’est là que l’on perçoit toute la complexité de cet homme. Un professionnel irréprochable, mais aussi un père attentif, marqué par les séparations et les renaissances. Au fond, peut-être que cette expérience l’a transformé plus qu’aucune autre, car derrière le présentateur du JT, il y a un homme qui a appris à aimer autrement, sans éclat, sans promesse, mais avec sincérité.

Un homme qui, après avoir connu la passion et la perte, a choisi la paix plutôt que le regret. Et c’est peut-être cela véritable révélation. Comprendre que certaines vérités ne se disdotent pas à l’écran, qu’elles se lisent dans les silences, dans la façon d’être, dans la pudeur des gestes. Florence Kiffer n’est plus la compagne de Laurent de Lausse, mais elle reste une présence indélébile dans son histoire.

 Une trace douce, discrète mais essentielle, celle d’un amour qui, sans faire de bruit, continue d’habiter la mémoire d’un homme que la France croit connaître, mais qui au fond garde encore bien des secrets. Et pourtant, l’histoire entre Laurent de Laousse et Florence Kiffer ne s’est jamais vraiment achevée. Elle a simplement changé de visage.

Aujourd’hui, elle s’écrit autrement avec plus de douceur, de distance, mais aussi avec cette maturité que seuls les cœurs apaisés connaissent. Car malgré les années, malgré les chemins qui se sont séparés, Florence continue à marcher à ses côtés discrètement mais sûrement et ce l’intimité d’un couple, mais dans la complicité d’une collaboration professionnelle rare, presque exemplaire.

Le destin parfois a le sens de l’ironie. Qui aurait cru que ces deux anciens amants après avoir tout partagé se retrouveraient à nouveau lié par leur passion commune ? Racontez le monde. Aujourd’hui, Florence Kiffer travaille comme productrice au sein de la société Beau Travail, une structure spécialisée dans les magazines de découverte et les documentaires engagés.

 Elle y aim tout ce qu’elle est, sa sensibilité, sa rigueur, son goût pour l’humain et régulièrement, elle retrouve sur sa route celui qu’elle a tant aimé. Car Beau Travail produit plusieurs documentaires pour pour 13h15 le samedi et 13h15 le dimanche. Ces émissions si chè au cœur de Laurent de Lausse. Des programmes que lui présentent à l’écran tandis qu’elle dans l’ombre veille à ce que chaque image, chaque mot porte du sens.

 Deux trajectoires qui se croisent à nouveau dans un autre équilibre, celui du respect et de la reconnaissance. Ce lien professionnel, loin d’être un simple hasard semble être devenu une forme d’évidence. Travailler ensemble sans s’appartenir, se comprendre sans se parler, se retrouver sans se perdre. Voilà peut-être la plus belle forme d’amour, celle qui ne cherche plus à posséder mais à accompagner.

Pour Laurent, cette collaboration est aussi une manière de boucler la boucle, de transformer une douleur passée en une force tranquille. L’homme qui autrefois avait du mal à concilier vie privée et carrière semble aujourd’hui avoir trouvé une paix nouvelle. Entre la passion de l’information et la douceur de la vie familiale, il a appris à accepter la complexité de l’existence.

Et c’est dans cette complexité qu’il puisse désormais sa justesse, cette manière unique de raconter les histoires des autres sans jamais trahir la sienne. Car au fond, ce que Laurent de Lausse incarne aujourd’hui à l’écran, ce mélange d’élégance, de gravité et d’empathie, vient sans doute de là, de ce long chemin intérieur qu’il a parcouru pour réconcilier l’homme et le journaliste.

Chaque documentaire qu’il présente, chaque reportage qu’il introduit porte en filigrane cette expérience intime, celle d’un homme qui a appris que la vérité ne se trouve pas seulement dans les faits, mais dans la façon dont on les regarde. Florence, elle continue à œuvrer dans l’ombre. Elle n’apparaît jamais à l’écran, ne revendique rien.

Mais ceux qui travaillent avec elle parlent d’une femme d’une grande humanité, exigeante et bienveillante, capable de sentir ce que d’autres ne perçoivent pas. Entre eux, la confiance est intacte. Pas besoin de long discours, un regard suffit, une note sur un reportage, une intuition partagée. C’est comme si au-delà de leur histoire, quelque chose de plus grand les reliait.

Une forme de respect en silencieux, une fidélité à la vérité, à l’essentiel. Et dans ce lien, il y a quelque chose de profondément apaisé, presque philosophique. Laurent de la housse a souvent dit dans de rares confidences que la vie ne se résume pas à des ruptures, mais à des transformations. Peut-être est ce cela qu’il vit aujourd’hui, non pas une rupture, mais une continuité sous une autre forme.

Florence et lui ont su transformer ce qui aurait pu devenir une blessure en une œuvre commune, en une alliance discrète où l’amour d’hier nourrit la confiance d’aujourd’hui. C’est une forme de renaissance à la fois intime et professionnelle et c’est là que réside la véritable leçon. Il est possible d’aimer encore autrement, de continuer à partager même après la fin, de trouver la paix non pas dans l’oubli, mais dans l’acceptation.

Dans ce monde où tout semble devoir s’effacer, eux ont choisi de garder, de transmettre, de sublimer. Quand Laurent apparaît à l’écran, élégant, mesuré, un brun mélancolique, on devine que cette sagesse ne vient pas de nulle part. Elle est le fruit d’une vie vécue pleinement de blessures assumées, de liens préservés.

 C’est un homme qui a aimé, perdu, compris et qui aujourd’hui avance fort de cette expérience. Travailler encore avec Florence, c’est pour lui une manière de dire : “Rien n’est jamais vraiment fini tant que le respect demeure. Car au fond, ceux qui les unit dépassent l’amour et la séparation. C’est une complicité forgée dans le temps, dans la vérité, dans le travail bien fait.

 Et dans chaque reportage qu’il signe ensemble, dans chaque image diffusée le samedi ou le dimanche à 13h15, il y a un peu de leur histoire, deux voix qui continuent à dialoguer même si le monde ne l’entend plus. Peut-être cela la plus belle preuve de maturité. Savoir rester lié sans s’enchaîner. Savoir collaborer sans se confondre.

Savoir aimer sans posséder. Dans le silence de leurs échanges professionnels, dans les regards croisés entre deux tournages se lie une évidence. Certaines histoires d’amour ne meurent pas, elles changent de langage. Celle de Laurent de Laous et Florence Kiefer parlent désormais le langage du respect, de la confiance et de la gratitude.

Cette forme d’amour qui lorsqu’elle survit autant devient tout simplement humaine. Au fond, l’histoire de Laurent de Laousse et de Florence Kiffer nous rappelle que la vie n’est pas faite de ligne droite, mais de chemins qui se croise, se perdent et parfois se retrouvent. Rien n’est jamais totalement effacé, surtout quand il s’agit d’un amour sincère.

Ce qui a été vécu, ce qui a été construit ensemble demeure même sous d’autres formes. Entre eux, il n’y a plus la passion des débuts, mais une affection silencieuse, une compréhension mutuelle qui dépasse les mots. Ce respect là rare et précieux devient une leçon de vie pour chacun de nous parce qu’il faut du courage pour aimer mais encore plus pour laisser partir sans rancune pour transformer la douleur en paix. Le passé en force.

Aujourd’hui, Laurent de Laousse avance entouré des siens fort de ce qu’il a appris. que l’élégance ne se trouve pas seulement dans la manière de parler, mais dans la manière de se taire, de préserver, de respecter. Et peut-être que c’est cette sagesse tranquille qui fait de lui l’un des visages les plus aimés du journalisme français.

 Dans un monde où tout s’oublie vite, il choisit la fidélité. Dans un univers d’ego, il choisit la discrétion. Et dans l’agitation de la vie, il choisit la douceur, une douceur héritée sans doute de cette histoire qu’il partage encore à demi avec Florence Kiffer. Une histoire d’humanité avant tout, car aimé c’est aussi savoir rester lié, même autrement.

Et peut-être que le plus bel hommage qu’on puisse rendre à cette histoire, c’est de se souvenir qu’au-delà des lumières, il existe toujours des vérités simples. La sincérité, la bienveillance et le respect du passé. Si cette histoire vous a touché, si elle vous a rappelé qu’il n’y a pas de fin à l’amour lorsqu’il est vrai, alors laissez un commentaire, partagez vos émotions, abonnez-vous pour découvrir d’autres récits humains sincères où la vie se raconte sans phare.

 Se raconte parce que parfois derrière les visages que l’on croit connaître se cachent les plus belles leçons de vie. M.