Le Secret Terrifiant d’un Sugar Daddy à Abidjan… 😱

Schard dit, “Ces cadeaux cachaient un terrible secret. Bienvenue dans French African Folkal.” Nadine avait 21 ans. Elle venait d’avoir son master mais la vie n’était pas facile. Elle avait quitté la maison familiale pour se chercher. Comme on dit en attendant de trouver mieux, elle travaillait comme serveuse dans un grand restaurant d’Abidjan.
Les soirées étaient toujours animées. Les voitures de luxe s’arrêtaient devant le restaurant. Les clients parlaient fort, la musique douce passait en fond. Nadine servait les tables avec le sourire, mais au fond d’elle, elle rêvait d’une vie meilleure. Un soir, alors qu’elle débarrassait une table, un homme bien habillé, la cinquantaine passée, la plat d’un geste.


“Mademoiselle, vous êtes vraiment charmante”, dit-il avec un sourire. “Merci, monsieur, répondit-elle poliment. Ce soir-là, il laissa un pourboir inhabituel, 50000 francs. Nadine resta Boucheb. Elle n’avait jamais vu un client donner autant. Elle se demanda qui était cet homme et pourquoi il s’intéressait autant à elle.
Les jours passaient. Le monsieur revenait souvent manger au restaurant. Nadine le servait avec politesse et lui, il la regardait toujours avec ce même sourire. Un soir, en quittant le service, elle le vit l’attendre devant la porte. Monte”, dit-il. “Je veux te parler.” Nadine n’hésita, mais il ajouta calmement : “Ne t’inquiète pas, je ne veux pas te faire du mal.” Elle monta.
La voiture sentait le parfum cher. L’homme parlait d’une voix posée. “Nadine, je veux une relation sérieuse avec toi. Je peux changer ta vie. Regarde ces filles que tu vois à la télé. Elles ont eu la chance de tomber sur des hommes comme moi. Elles ont accepté, elles ont gagné. Toi aussi, tu peux gagner. Nadine écoutait.
Il parlait d’argent, de voyage, de mariage. Elle ne savait pas quoi penser. Avant de la déposer, il sortit une enveloppe et dit : “Tiens, pour toi, achète ce dont tu as besoin. Ce n’est que le début.” L’enveloppe contenait 100 m000 francs. Nadine resta sans voix. Les jours suivants, l’homme venait souvent la chercher après le travail.
Nadine montait dans la voiture et il parlait toujours avec la même assurance. Un soir, alors qu’il conduisait, Nadine remarqua des documents à l’arrière. Elle en tira indiscrètement. Son cœur battait fort. Sur le papier, il y avait la photo d’une fille à peine 22 ans. Puis une autre feuille, encore une fille 23 ans, toute jeune, toute souriante, toute belle.
Nadine feuille à vite au moins cinq photos de filles différentes. C’est qui toutes ces filles ? Demanda-t-elle la voix tremblante. L’homme jeta un coup d’œil dans le rétroviseur. Ce sont des amis, répondit-il simplement. Des jeunes filles que j’ai aidé. Il sourit comme si de rien n’était.
Mais Nadine sentit un frisson dans son dos. Cette histoire ne lui disait rien de bon. Un soir, le monsieur vint la chercher comme d’habitude. La voiture brillait. L’intérieur sentait toujours ce parfum cher. En route, il parla avec son calme habituel. Nadine, je veux qu’on ait une relation sérieuse, mais je ne veux pas ramener de maladie à ma famille.
Je respecte ma femme et je veux te respecter aussi. Il sortit une enveloppe et la posa sur ses genoux. va faire tous les examens nécessaires. Si tout est bon, on se mettra ensemble. Nadine ouvrit l’enveloppe, 300000 francs. Son cœur battait fort. Elle pensa à ses besoins, à sa famille. Cet homme parlait mariage, argent, voyage.
Et voilà maintenant une grosse somme pour un simple test. Pourquoi autant d’argent pour ça ? Demanda-t-elle doucement. Il répondit d’un ton sérieux. parce que je veux faire les choses bien. Mais à ce moment-là, un malaise s’installa dans le cœur de Nadine. Les jours passé. Nadine avait fait les examens comme demandé.
Tout était normal. Un soir, le monsieur l’invita encore dans sa voiture. Il parlait calmement, mais soudain, sa main descendit doucement vers le pantalon de Nadine. “Qu’est-ce que tu fais ?” demanda-t-elle, surprise. “Je veux juste te caresser, répondit-il. Il insista. Nadine laissa faire mais il s’arrêta brusquement et déclara d’un ton sérieux.
Tu n’as pas les poils. Pourquoi ? Nadine, un peu gênée, expliqua : “Moi, j’aime quand c’est rasé.” Il secoua la tête. “Non, moi j’aime quand la femme garde tout. Ne rase plus.” Nadine resta silencieuse. Ce n’était pas normal. Dès ce jour-là, il commença à vérifier chaque fois. Il ne voulait rien faire tant que les poils n’étaient pas longs.
Cette obsession faisait froid dans le dos. Nadine n’était pas à l’aise avec cette histoire. Elle se sentait observée, piégée. Alors, un jour, elle rasa tout. Elle voulait reprendre le contrôle de son corps. Le soir, le monsieur vint la chercher. Comme d’habitude, il parla peu au début. Puis il posa sa main doucement.


Tu as tout rasé”, demanda-t-il d’une voix grave. “Oui, je préfère comme ça”, répondit-elle. Son visage changea immédiatement. Ses yeux devinent rouges, ses mains tremblaient. “Pourquoi tu m’as désobéi ?” cria-t-il. Nadie n’ut peur. Elle se recula. “Mais ce ne sont que des poils, dit-elle. Il tapa sur le volant.
“Sors”, ordonna-t-il d’une voix glaciale. Il la déposa seule dans la nuit. furieux. Cette nuit-là, Nadine ne dormait pas bien. Son cœur battait encore fort à cause de la colère du monsieur. Vers 3h du matin, elle fit un rêve étrange. Elle se voyait allongée, les yeux fermés comme si une caméra entrait dans son ventre. À l’intérieur, elle voyait du sang, des taches rouges partout.
Elle se réveilla en sursaut, tremblante. “Seigneur, c’était quoi ça ?” murmura-t-elle. Le lendemain, elle en parla à sa mère. Sa maman, une femme de prière, frança les sourcils et dit : “Ma fille, il y a quelque chose de mauvais derrière cet homme. Fais attention.” Nadine resta silencieuse. Ce rêve ne quittait plus ses pensées.
Le matin, Nadine raconta encore son rêve à sa mère. Elle tremblait un peu en parlant. Sa mère, une femme qui priait beaucoup, posa la main sur sa tête et dit d’une voix grave : “Ma fille, je sens que cet homme n’est pas normal. On veut te piéger. On veut prendre ton sang.” Nadine ouvrit grand les yeux. “Mon sang ! Mais pourquoi ?” Sa mère soupira longuement.
Ces histoires de rituels, de sacrifices. Beaucoup d’hommes font ça aujourd’hui pour avoir de l’argent. Si tu couches avec lui, il peut t’utiliser. Nadine sentit la peur montée dans sa poitrine. Alors, je dois faire quoi ? Demanda-t-elle. Coupe tout contact avec lui. Ma fille, prie, protège-toi. Nadie nocha la tête mais au fond d’elle, elle savait que l’homme n’allait pas la lâcher si facilement.
Quelques jours plus tard, le téléphone de Nadine sonna. C’était le monsieur. Sa voix tremblait. Nadine, ma mère est à l’hôpital. Elle est entre la vie et la mort. Viens vite, j’ai besoin de toi. Nadine hésita. Sa mère lui avait dit de couper tout contact, mais elle pensa : “Et si c’était vrai ?” et si cet homme avait vraiment besoin d’aide.
Elle monta dans un taxi et se rendit à l’hôpital. Devant le bâtiment, elle le vit. Il semblait fatigué, inquiet. Elle est dans une chambre là-bas, dit-il en montrant l’étage. Il s’assirent dans sa voiture quelques minutes. Nadine s’attendait à parler de la malade. Mais soudain, il déclara : “Nadine, avant tout, je veux qu’on fasse l’amour.
” Nadine se tourna vers lui, choqué. “Quoi ici ? Alors que ta mère est en train de mourir ?” Il insista, le regard sombre. Dans la voiture, Nadine secoua la tête. Non, ce n’est pas possible. Pas ici, pas maintenant, dit-elle d’une voix ferme. Le monsieur insista. Nadine, juste une fois, laisse-moi faire quelque chose. Je ne te demande pas tout, juste une chose.
Elle français. Quelle chose ? Demanda-t-elle, méfiante. Il hésita quelques secondes, puis parla plus bas. Laisse-moi mettre un petit objet à l’intérieur. C’est juste pour me protéger. Nadine recula brusquement. Te protéger de quoi ? Cria-t-elle. Il fit un sourire étrange. Nadine, fais-moi confiance. Elle ouvrit la portière et sortit de la voiture. Non, ce n’est pas normal.
Il la regarda partir sans rien dire. Mais ses yeux semblaient plein de colère. Le lendemain matin, le téléphone de Nadine sonna encore. C’était le monsieur. Sa voix était froide, différente. “Ma mère est morte”, dit-il simplement. Nadine resta silencieuse quelques secondes. “Je suis, je suis désolé”, répondit-elle.
Il raccrochasitôt, plus aucun mot. Nadine sentit un frisson lui traverser le corps. Elle repensa à tout. L’argent qu’il donnait, ses demandes étranges, ce fameux objet qu’il voulait mettre à l’intérieur d’elle. Et maintenant, sa mère morte, juste après qu’elle avait refusé. Son cœur battait vite.
Et si et si quelqu’un devait mourir à sa place ? Pendant des mois, Nadine n’eut plus aucune nouvelle de lui. Elle avait repris sa vie, travaillait toujours au restaurant, essayait d’oublier cette histoire. Mais un soir, son téléphone sonna. Un numéro inconnu. Elle répondit : “Allô, une voix familière répondit : “Nadine, c’est moi.” Son cœur fit un bon.
“Toi, mais pourquoi tu m’appelles après tout ce temps ?” demanda-telle d’une voix tremblante. Il eut un petit rire. Tu travailles toujours au restaurant ? Nadine sentit un frisson. Oui, pourquoi ? On doit se voir. J’ai des choses à te dire, dit-il calmement. Elle hésita longtemps. Quelque chose lui disait que ce retour n’annonçait rien de bon.
Nadine accepta finalement de le rencontrer. Ils se retrouvèrent dans un petit café d’Abidjan. L’homme avait l’air fatigué, mais son regard était toujours aussi froid. “Nadine, tu ne comprends pas ?” dit-il en baissant la voix. “comprendre quoi ?” demanda-t-elle. Il soupira et la regarda droit dans les yeux.
“Ce jour-là, si tu avais accepté, ce n’est pas ma mère qui serait morte.” Nadine sentit son cœur s’arrêter. “Quoi ? Tu es en train de dire que que c’était moi qui ?” Il hocha la tête lentement. J’avais besoin d’un sacrifice, une vie pour une autre. Tu as refusé. Alors, c’est ma mère qui est partie.
Nadine se leva d’un bon, les larmes aux yeux. Elle tremblait de tout son corps. Le puzzle venait de s’assembler. En sortant du café, Nadine n’arrivait plus à respirer correctement. Les mots de cet homme raisonnaient encore dans sa tête. Si tu avais accepté, ce n’est pas ma mère qui serait morte. Sur le chemin du retour, elle repensa aux photos qu’elle avait vu dans sa voiture la première fois, toutes ces jeunes filles jolies, souriantes.
Elle se souvint alors d’une conversation qu’il avait eu avec un autre homme une nuit devant le restaurant. Elle n’avait pas bien écouté à l’époque, mais maintenant tout avait du sens. “Oui, j’en ai déjà trouvé une autre”, avait-il dit à cet homme. “Une autre.” Donc elle n’était pas la seule. Peut-être même qu’avant elle, d’autres filles avaient déjà payé le prix.
Le cœur de Nadine se serra. Cet homme vivait de sacrific et elle avait échappé de peu. Après cette rencontre, Nadine ne revit plus jamais cet homme. Mais chaque fois qu’elle repensait à cette histoire, son cœur battait vite. Elle se disait qu’elle avait frôé la mort sans le savoir. Elle comprit une chose, les belles paroles, les grosses sommes d’argent, les promesses de mariage, tout ça peut cacher des pièges terribles.
Elle répéta à ses amis : “Cherchez votre propre argent. Ne laissez personne acheter votre vie avec des cadeaux parce que certains hommes sont prêts à tout, même à offrir le sang de quelqu’un pour leur richesse.” Et maintenant, toi qui écoute cette histoire, si tu étais à la place de Nadine, qu’aurais-tu fait ? Abonne-toi, commente, partage cette histoire pour que d’autres filles ouvrent les yeux. M.