MACRON IMPOSE LA RÉFORME DES RETRAITES DE FORCE ET SOUILLOT APPELLE LE PEUPLE À LA RÉVOLTE !
Un silence de plomb s’abat sur le bureau oval de elle Élysée. Emmanuel Macron tient encore le téléphone à la main, mais son regard s’est figé sur la fenêtre qui donne sur les jardins. Le Premier ministre Sébastien Lecornu vient de l’informer que la manifestation a dépassé toutes les prévisions.000 personnes dans les rues du jamais vu depuis 1995.
La voix de Frédéric Souot raisonne encore dans tous les médias. Nous ne reculerons pas. Cette fois-ci, c’est le peuple qui décidera. Macron repose le combiné. Sa décision est prise. Je ne suspendrai pas cette réforme. Qu’importe les conséquences. Macron impose la réforme des retraites de force et souot appelle le peuple à la révolte.
Le deux octobre, ce qui devait être une simple manifestation contre le projet de budget s’est transformé en l’un des plus grand bras de faire politique de l’histoire récente de la France. Cette journée marque l’escalade d’une tension qui couvait depuis des mois autour de la réforme des retraites de 2023, imposé sans vote par le 49.3 et promulgué dans la nuit par Emmanuel Macron.
Le gouvernement pensait que cette affaire était derrière lui, comment Sophie Lagarde, politologue à sciences pot. Mais la suspension promise n’a jamais été réellement entérinée et la colère populaire n’a fait que s’amplifier. Tout a basculé début septembre 2025. Alors que le gouvernement prépare son projet de budget pour la question de la réforme des retraites revient au centre des débats. Les syndicats demandent sa suspension immédiate.
Conditions sinéqu pour apaiser les tensions sociales. Le 18 septembre, une première journée de mobilisation rassemble plus de 500000 manifestants selon le ministère de l’intérieur, près d’un million selon les syndicats. le début d’une séquence qui va progressivement paralyser le pays.

Ce jour-là, nous avons senti que quelque chose était différent, raconte Laurent Berger, ancien secrétaire général de la CFDT. Il n’y avait pas que des syndiqués dans les cortèges, des retraités, des jeunes, des familles entières. La contestation dépassait largement le cadre habituel. Suite à cette mobilisation massive, Sébastien Lecornu, premier ministre en poste depuis peu et déjà fragilisé politiquement, reçoit l’intersyndical à Matignon le 24 septembre.
La réunion dure plus de deux heures et demi. Le premier ministre n’a apporté aucune réponse claire aux attentes des travailleurs et des travailleuses déclare alors Marie-Lise Léon, secrétaire général de la CFDT, à la sortie de l’entrevue.
Dans la foulée, l’intersyndical annonce une nouvelle journée de grève et de manifestation pour le 2 octobre. Frédéric Souillot, secrétaire général de force ouvrière depuis juin 2022, prend alors la parole devant les journalistes. Face à l’absence de réponse concrète, nous n’avons d’autre choix que d’amplifier le mouvement. Si le gouvernement reste sourd, c’est toute la France qui s’arrêtera.
Pendant ce temps, au sommet de l’État, le malaise est palpable. Des désaccords profonds opposent le président Macron et son premier ministre sur la stratégie à adopter. Plusieurs témoins rapportent des échanges tendus lors d’un conseil des ministres particulièrement agité le 25 septembre. Le cornu était favorable à un compromis sur la réforme des retraites confi un conseiller présent ce jour-là.
Il voulait annoncer sa suspension temporaire pour désamorcer la crise, mais Macron s’y opposait fermement, estimant que ce serait un aveu de faiblesse. Ce désaccord au sommet ne échappe pas aux observateurs. Le 26 septembre, le monde publie un article qui fait l’effet d’une bombe. Crise politique. Macron et le cornu en désaccord sur la réforme des retraites.
C était une erreur stratégique majeure de la part de l’Élysée. analyse Philippe Martinez, ancien leader de la CGT. Cette division au sommet a montré que le pouvoir était fragilisé, ce qui a renforcé la détermination des opposants à la réforme. La tension monte d’un cran le 30 septembre lorsqu’un sondage ifOP pour le journal du dimanche révèle que 68 % des Français soutiennent le mouvement social et 72 % sont favorables à une suspension de la réforme des retraites.
Frédéric Souillot lui monte au créneau dans les médias. Le premier octobre, veille de la grande manifestation, il est l’invité du 20 de France I. Son intervention marquera les esprits. Frédéric Souyot était particulièrement combatif ce soir-là, se souvient la journaliste qui l’avait interviewé.
Quand je lui ai demandé s’il n’allait pas trop loin en appelant à la révolte, il a fixé la caméra et a prononcé cette phrase qui est devenue virale. Macron, ça suffit. Ces trois mots prononcés avec une rage à peine contenue font le tour des réseaux sociaux en quelques heures. Dès le lendemain matin, il s’affiche en une de plusieurs journaux.

Le 2 octobre à l’aube, alors que les premiers manifestants commencent à se rassembler aux quatre coins de France, l’atmosphère est électrique. Des blocages spontanés apparaissent dans plusieurs régions. Des dépôts de carburant sont bloqués en Normandie. Des barrages filtrants sont installés aux abords de plusieurs grandes villes.
À Paris, le cortège qui cesse sance de la place d’Italie à 14h est impressionnant. Au milieu de la foule, Frédéric Souillot marche en tête, entouré des autres leaders syndicaux, des banderoles. Macron, ça suffit, flotte au-dessus de la marée humaine. Ce jour-là, tous les records de mobilisation ont été battus, raconte Sophie Binet, secrétaire général de la CGT. Les chiffres sont sans appel.
Manifestants à Paris selon la police, mil selon les syndicat et près de 600000 dans toute la France. Mais le gouvernement reste inflexible à 18h. Le porte-parole de l’exécutif s’exprime brièvement. Le président de la République et le gouvernement entendent les préoccupations exprimées aujourd’hui mais restent convaincu que la réforme des retraite est nécessaire pour elle équilibre de notre système social. Cette déclaration met le feu aux poudres.
Dans plusieurs villes, des incidents éclatent en fin de journée. À Marseille, des manifestants tentent de forcer l’entrée de la préfecture. À Nant, des affrontements opposent forces de l’ordre et protestent à terrent jusque tard dans la nuit. L’intersyndical se réunit en urgence à 20h au siège de la CFDT. Les discussions sont houleuses.
Certains syndicats comme la CFDT préconisent encore la voix du dialogue. D’autres comme Force Ouvrière et la CGT appellent à des actions plus radicales. Il y avait un vrai débat entre nous sur la stratégie à adopter reconnaît Marie-Lise Léon. Mais face à l’intransigence du gouvernement, même les plus modérés d’entre nous commençaient à durcir leur position.
À deux, un communiqué commun est publié. Face au mépris affichés par le gouvernement, l’intersyndical appelle à la grève reconductible dans les secteurs stratégiques à partir du 7 octobre et à une nouvelle journée de mobilisation nationale le 10 octobre. Mais c’est Frédéric Souot qui une fois de plus va plus loin que ses homologues.
À la sortie de la réunion, il s’attarde devant les journalistes qui l’attendent. Les caméras se braquant sur lui, les micros tendent. Ce n’est plus une simple grève que nous appelons lancent-t-il d’une voix forte. C’est un soulèvement populaire contre un pouvoir qui méprise les travailleurs et piétine la démocratie.
Emmanuel Macron a franchi la ligne rouge. Nous sommes entrés dans une phase de résistance sociale. Ces déclarations font la une de tous les journaux télévisés. Dans la nuit du 2 au 3 octobre, les réseaux sociaux s’embrasent. Des appels à la grève générale se multiplient. Les premières perturbations dans les transports et elles énergies commencent à se faire sentir.
Le 3 octobre, une réunion de crise est organisée à elle. Élsée Emmanuel Macron convoque ses plus proches conseillers ainsi que le premier ministre et plusieurs ministres clés. L’ambiance étendue. Nous avions tous conscience que nous entrions dans une zone de turbulence majeure, raconte Roland l’escure, ministre de Économie. Les services de renseignement faisaient remonter des informations préoccupantes sur l’ampleur du mouvement qui se préparait.
Ce jour-là, contre toute attente, Sébastien Lecnu prend la parole lors d’une conférence de presse impromptue. Il annonce qu’il proposera au Parlement dès cet automne de suspendre la réforme des retraites jusqu’à élection présidentielle de 2027. Aucun relèvement de l’âge n’interviendra à partir de maintenant jusque à janvier 2028 comme l’avait précisément demandé la CFDT, précise-t-il.
En complément, la durée d’assurance sera elle aussi suspendue et restera à trimestres jusqu’à janvier 2028. Cette annonce provoque un séisme politique. Les marchés financiers réagissent immédiatement, le CAC 40 perdant près de 2 % en une journée. Les députés de la majorité présidentielle sont pris de cours, beaucoup découvrant la nouvelle en direct. Et surtout, la question que tout le monde se pose, le Premier ministre a-t-il obtenu l’aval du président pour cette annonce ? Des rumeurs contradictoires circulent. Certains affirment que Macron aurait finalement cédé face à l’ampleur de la
contestation. D’autres évoquent une initiative personnel de Lecornu pour sauver son gouvernement menacé de censure. Les jours qui suivent sont marqués par une confusion politique sans précédent. Le octobre, Sébastien Lecornu présente officiellement son gouvernement remagier, incluant la suspension de la réforme des retraites dans son programme.
Mais le 9 octobre, coup de théâtre, le président Emmanuel Macron s’exprime dans une interview au Figaro. Sans contredire ouvertement son premier ministre, il émet de sérieuses réserves. La suspension de la réforme ne peut être envisagée qu’avec des garanties solides sur la pérennité de notre système de retraite.
Nous ne pouvons pas léguer aux générations futures une dette sociale insoutenable. Cette sortie est perçue comme un désaveux à peine voilé de Sébastien Lecornu. Les marchés s’affolent à nouveau. L’agence de notation moudise place la France sous surveillance négative, évoquant l’incertitude politique et l’incapacité à mener des réformes structurelles.
Des Le 10 octobre, alors que les manifestations se poursuivent dans tout le pays, le chef du gouvernement est rappelé d’urgence à Élsée. La rencontre dure plus de 3 heures. Aucune communication officielle n’en sort, mais les visages fermés des participants en disent long. Et était une réunion extrêmement tendue, confiera plus tard un participant sous couvert d’anonymat.
Le président a reproché à le cornu d’avoir outrepassé ses prérogatives. Le premier ministre a menacé de démissionner. On était au bord de la crise constitutionnelle. Le même jour, Frédéric Souillot tient une conférence de presse au siège de force ouvrière. Face aux journalistes, il dénonce le double jeu du pouvoir. Cette suspension n’est qu’une manœuvre pour gagner du temps, affirme-t-il.
D’un côté, le Premier ministre nous fait des promesses. De l’autre, le président les aborde. Nous ne sommes pas dupe. Seule l’abrogation définitive de cette réforme injuste pourra mettre fin au conflit. Il termine son intervention par ces mots qui vont marquer les esprits.
Le président de la République doit comprendre une chose : sa réforme ne passera pas. Et s’il s’obstine, c’est lui qui ne passera pas l’hiver. Et cette déclaration fait l’effet d’une bombe. Elle, Élysée, dénonce des propos inadmissibles et menaçants. Des voies à droite demandent des poursuites judiciaires pour haut appel à la sédition. Mais dans les cortèges qui défilent partout en France, beaucoup reprennent la formule.
Le 12 octobre, le ministre de l’intérieur Gérald Darmanen alerte sur des risques sérieux de débordement dans les prochains jours. Des renforts policiers sont déployés dans les grandes villes. À Paris, les commerces des Champs-Élysées commencent à se barricader.
Le 13 octobre, au soir d’une nouvelle journée de mobilisation, des rumeurs circulent sur une possible démission de Sébastien le cornu après moins de deux semaines à la tête de son gouvernement remagé. Le premier ministre dément formellement mais le mal est fait. Le octobre, jour de discours de politique général, Sébastien Lecornu se présente devant l’Assemblée nationale dans une atmosphère électrique.
Sous la pression du président, il modifie sa position sur la réforme des retraites. Il ne parle plus de suspension totale mais de modification paramétrique et d’une conférence sociale sans engagement ferme. À la tribune, le premier ministre est fréquemment interrompu par les U de l’opposition.
Dans les tribunes, des spectateurs scand Macron d’émission avant être évacués par la sécurité. À l’extérieur du palais Bourbon, plusieurs milliers de manifestants se sont rassemblés spontanément. Parmi eux, on reconnaît Frédéric Souillot qui s’adresse à la foule à l’aide d’un mégaphone. Ils nous ont menti, ils se moquent de nous, mais nous ne cèderons pas. Le peuple est plus fort que le président. La révolte ne fait que commencer. La situation est explosive.
Les forces de l’ordre sont en alerte maximale. À l’intérieur de l’assemblée, le discours s’achève sous les uet. Dans les couloirs, on évoque déjà le dépôt imminent d’une motion de censure. En fin d’après-midi, Emmanuel Macron réunit d’urgence un conseil de défense à elle Élysée.
Selon plusieurs sources, il envisage des mesures exceptionnelles pour faire face à la contestation grandissante. La nuit du 14 octobre s’annonce longue. Personne ne sait encore ce que le lendemain réserve à la France, mais tous ont conscience que le pays se trouve à un tournant historique. Ils ne comprennent toujours pas ce qui se passe dans ce pays”, soupire Frédéric Souot en refermant son téléphone.
L’homme à la moustache caractéristique vient de recevoir un SMS d’un contact ALÉsée. Le président refuse catégoriquement toute nouvelle concession sur les retraites. Assis dans son bureau au siège de force ouvrière, le secrétaire général du syndicat observe par la fenêtre les premières lueurs de l’aube du 14 octobre.
après une nuit blanche à coordonner les actions de son organisation, il sait que cette journée sera décisive. En face de lui, son directeur de cabinet prépare déjà des notes pour la conférence de presse prévue à 11h. Que va-t-on dire aux camarades si le cornu revient sur sa promesse de suspendre la réforme ? Demande ce dernier. Souyo se lève lentement, les traits tirés par la fatigue, mais le regard déterminé. On leur dira la vérité.
que ce gouvernement nous a menti, que Macron n’a jamais eu l’intention de reculer et que la seule solution, c’est maintenant la grève générale illimitée. Ce matin du 14 octobre 2025, la France entière retient son souffle. Dans quelques heures à quinze heures précises, le premier ministre Sébastien Lecornu doit prononcer son discours de politique générale devant l’Assemblée nationale.
L’enjeu est colossal. Après deux semaines de tergiversation, le pays attend enfin des clarifications sur le sort de la réforme des retraites. L’histoire qui a mené à cette situation de crise est complexe. Tout a commencé avec l’annonce surprise du 3 octobre lorsque le cornu a déclaré vouloir suspendre la réforme jusqu’en 2027.
Cette concession majeure visait à apaiser la colère sociale qui montait depuis des semaines et à éviter une motion de censure contre son gouvernement. Mais l’intervention d’Emmanuel Macron dans le Figaro le octobre a rebattu les cartes. Sans désavouer ouvertement son premier ministre, le président a néanmoins émis de sérieuses réserves sur la suspension de la réforme.
Ce qui devait être une sortie de crise s’est transformé en un imbroglio politique et une crise de confiance. Macron a piégé son propre premier ministre, analyse Caroline Dufour, éditorialiste politique. En lui laissant annoncer cette suspension, puis en la s’abordant à moitié, il l’a placé dans une situation intenable. Soit le cornus se déjuge aujourd’hui et il perd toute crédibilité, soit il maintient sa position et c’est une crise institutionnelle.
Dès huïes ce matin, les premiers rassemblements spontanés ont commencé à se former dans plusieurs villes de France. À Paris, quelques milliers de personnes sont déjà massées aux abords de l’Assemblée nationale, tenues à distance par un important dispositif policier. Parmi eux, Josian Moretti, 63 ans, retraité depuis peu. J’ai eu de la chance. J’ai pu partir avant cette maudite réforme, mais je pense à mes enfants, à mes petits-enfants.
C’est leur avenir qu’on sacrifie. Alors, je suis là et je reviendrai autant de fois qu’il le faudra. À côté d’elle, Thomas Le Grand, 42 ans, enseignant, approuve. Ce n’est même plus une question de retraite, c’est une question de démocratie. Quand un gouvernement impose une réforme contre la vie de soixante-dients des Français puis fait semblant de la suspendre pour gagner du temps, c’est tout le système qui est malade.
Du côté des syndicats, la stratégie pour cette journée cruciale a été longuement débattue. Mar-Lise Léon, secrétaire général de la CFDT, a opté pour une approche mesurée. Nous attendons de voir ce que le Premier ministre va annoncer s’il confirme la suspension. Comme nous l’espérons, nous sommes prêts à reprendre le dialogue. S’il se déjuge, ce sera une toute autre histoire. Ce fie Binet de la CGT est plus offensive.
Nous ne croyons plus aux promesses de ce gouvernement. Nous demandons l’abrogation pure et simple de cette réforme. Pas une simple suspension. Et nous sommes prêts à poursuivre la mobilisation aussi longtemps que nécessaire. Mais c’est Frédéric Souot qui incarne désormais la ligne la plus dure. Ancien ouvrier devenu leader syndical, il s’est imposé comme la figure de prou de la contestation sociale.
Son slogan Macron ça suffit est devenu viral repris sur des milliers de pancartes et de comptes sur les réseaux sociaux. À onze heures précises, comme prévu, le secrétaire général de force ouvrière se présente devant la presse. La salle est comble. les caméras braquées sur lui. “Mes camarades”, commence-t-il d’une voix posée, “nous sommes à un moment de bascule de notre histoire sociale.
Ce qui se jouera aujourd’hui à l’assemblée n’est pas qu’une simple question technique sur les retraites. C’est une question fondamentale sur le type de société dans laquelle nous voulons vivre.” Il marque une pause, balaye la salle du regard puis reprend avec plus de force.
Selon nos informations, le président de la République a ordonné à son premier ministre de revenir sur sa promesse de suspension. Si cela se confirme dans quelques heures, ce sera la preuve ultime du mépris de ce pouvoir envers le peuple français et notre réponse sera à la hauteur de cette provocation. Un journaliste l’interpelle.
Monsieur Souyot, que voulez-vous dire exactement ? Appelez-vous à des actions violentes. Le leader syndical fronce les sourcils, visiblement contrarié par la question. La violence, c’est celle d’un pouvoir qui impose sa volonté contre celle du peuple. Ce que nous appelons, c’est à une mobilisation massive déterminée dans le cadre républicain.
Mais je vous le dis aujourd’hui, si Emmanuel Macron veut la confrontation, il l’aura. Ces déclarations se propagent immédiatement sur toutes les chaînes d’information en continu. À la bourse de Paris, le CAC 40 chute de 2,5 % en milieu de journée les investisseurs craignant une paralysie prolongée du pays.
Au même moment, Al Élysée, une réunion de crise se tient dans le bureau présidentiel. Emmanuel Macron a convoqué ses plus proches conseillers ainsi que plusieurs ministres clés. Selon des sources internes, l’atmosphère est tendue. Le président était furieux contre ce qu’il appelait le chantage des syndicat, raconte un participant sous couvert d’anonymat. Il répétait qu’il ne céderait pas, qu’il ne laisserait pas la rue dicter sa politique.
Pendant ce temps, Sébastien Lecnu est isolé à Matignon, pefinant les dernières modifications de son discours. Le premier ministre est pris en étu entre la pression présidentielle et celle de la rue. Plusieurs de ces conseillers l’ont imploré de ne pas revenir sur la suspension de la réforme, craignant une explosion sociale sans précédent.
Le corps nu était livide. rapporte un membre de son cabinet. Il savait qu’il jouait son poste, peut-être même plus, mais il était aussi conscient que le pays était au bord de l’embrasement. À 14h, 1 heure avant le début de la séance à l’Assemblée, une information inquiétante parvient au service de renseignement.
Des cortèges spontanés convergent de plusieurs quartiers de Paris vers le palais Bourbon. Plus de 50000 personnes seraient en mouvement. Le préfet de police décide immédiatement de renforcer le dispositif de sécurité. Des unités de CRS supplémentaires sont déployées autour de l’assemblée tandis que des barrières anti-émeutes sont installées à la hâte.
À l’intérieur de l’hémicycle, les députés prennent place dans une atmosphère électrique. Les través de gauche sont agités. Certains élus arborant des badges. Macron, ça suffit. À droite, on observe une certaine nervosité, même parmi les rangs de la majorité présidentielle. À 14h45, un murmure parcourt la salle. Sébastien Lecnu vient d’arriver.
Le premier ministre, l’air grave, s’installe au banc du gouvernement, entouré de plusieurs ministres. Son regard croise celui de Yael Brown Pivet, présidente de l’Assemblée nationale, qui lui adresse un signe de tête encourageant. Dans les tribunes du public, plusieurs personnalités ont pris place. Des leaders syndicaux, des représentants du patronat, des intellectuels.
Tous savent qu’ils assistent à un moment historique. À quinze précises, Yael Brown Pivet ouvre la séance et donne la parole au premier ministre. Un silence de plomb s’abat sur l’hémicycle. Sébastien Lecornus avance vers la tribune. Il ajuste son micro, prend une profonde inspiration et commence son discours. Monsieur le président, mesdames et messieurs les députés, françaises, français, notre pays traverse une période de tensions et d’incertitude.
Face à cette situation, le gouvernement que j’ai l’honneur de diriger a un devoir, celui de la clarté et de la responsabilité. Il marque une pause, parcourt l’assemblée du regard puis poursuit. La question des retraites cristallise aujourd’hui une grande partie des inquiétudes de nos concitoyens. J’entends ces préoccupations, je les comprends et c’est pourquoi j’ai proposé il y a quelques jours de suspendre la réforme de 2023. jusqu’à la prochaine élection présidentielle.
À ces mots, un brouas élève des bands de la gauche. Des applaudissements se font entendre, mais le Premier ministre lève la main pour réclamer le silence. Toutefois, cette suspension ne peut se faire sans condition. Elle doit s’accompagner de garanties solides pour assurer la pérennité de notre système de retraite par répartition. C’est pourquoi sa voix est soudain couverte par des protestations.
Des députés de la France insoumise se lèvent, brandissant des pancartes, non nos retraites à 64 ans. Yelle Brand Pivet intervient tapant du marteau pour rétablir l’ordre. Mes chers collègues, je vous demande de laisser parler monsieur le premier ministre. Le cornu reprend, haussant légèrement la voix. C’est pourquoi je vous propose aujourd’hui non pas une suspension totale mais une modification substantielle de la réforme.
Elle, âge légal de départ sera maintenue à 62 ans et 9 mois, soit son niveau actuel jusqu’à la fin du quinquena. En revanche, la durée de cotisation continuera d’augmenter progressivement conformément au calendrier initial. Cette fois, c’est une véritable tempête qui se déchaîne dans l’hémicycle. Des cris de trahison fusent des bans de la gauche. Plusieurs députés quittent ostensiblement la salle.
À droite, certains membres des républicains applaudissent tandis que d’autres restent de marbre. Au même moment, à l’extérieur, la nouvelle se répand comme une traînée de poudre parmi les manifestants. Le corn a cédé à Macron. Il nous a trahi. La tension monte d’un cran. Des premiers incidents éclatent aux abords de l’Assemblée.
Au siège de force ouvrière, Frédéric Souot suit le discours en direct. Son visage se durcit à mesure que le Premier ministre détaille sa position. Lorsque le cornu annonce le maintien partiel de la réforme, il frappe du point sur la table. “Je l’avais prédit”, s’exclament-t-il. C’est exactement ce que nous craignons.
Il tenteent de nous enfumer avec des demi-mesures, des pseudoncessions, mais le cœur de la réforme reste intact. Il se tourne vers son équipe. Contactez immédiatement tous nos représentants départementaux. Nous passons au plan B, grève générale reconductible à partir de demain dans tous les secteurs. Et rassemblement national samedi à Paris. À l’Assemblée nationale, le cornu poursuit tant bien que mal son discours, régulièrement interrompu par les protestations, il aborde d’autres sujets : le budget 2026, la transition écologique, la sécurité, mais la messe est dite. Sa position sur les retraites a éclipsé tout le reste.
Au bout d’une heure et il conclut, dans ces temps troublés, la France a besoin d’unité et de stabilité. Ce gouvernement est prêt à tendre la main à toutes les forces de bonne volonté pour construire ensemble les solutions aux défis qui nous attend. Je vous remercie.
Les applaudissements sont timides, limités essentiellement aux députés renaissance et à une partie des centristes. L’atmosphère est lourde comme si chacun pressentait les conséquences de ce moment. La présidente suspend la séance pour une heure avant les réponses des groupes parlementaires. Dans les couloirs, les discussions sont animées. Plusieurs députés de la gauche annoncent déjà le dépôt imminent d’une motion de censure.
À l’extérieur, la situation se dégrade rapidement. Les forces de l’ordre tentent de contenir la foule de plus en plus agitée. Des premiers affrontements sont signalés place de la Concorde où plusieurs milliers de manifestants se sont rassemblés au QG de l’intersyndical.
Installé depuis le matin dans un local près de la gare de Lyon, une réunion d’urgence est convoquée. Les leaders des huit organisations représentatives s’y retrouvent. Le tonte rapidement. Ce discours est une gifle pour tous les travailleurs, s’emporte Sophie Binet de la CGT. Après nous avoir fait miroiter une suspension, ils reviennent à la case départ. C’est inacceptable.
Marie-lise Léon de la CFDT tente une position plus nuancée. Il y a quand même une avancée sur elle âge légal. Ce n’est pas rien de le geler à 62 ans et 9 mois jusqu’en 2027. Nous devrions peut-être Frédéric Souillot l’interrompt visiblement agacé une avancée tu appelles ça une avancé c’est un os à ronger qu’il nous jette pour nous faire terre.
Pendant ce temps, la durée de cotisation continue d’augmenter ce qui revient au même pour la majorité des travailleurs. Un représentant de solidaires intervient. Frédéric a raison. Le maintien de l’allongement de la durée de cotisation est un piège. Ça pousse mécaniquement les gens à partir plus tard pour éviter la décote. C’est une manœuvre cynique. Le débat se poursuit ou le finalement après presque 2 heures de discussion un consensus émerge.
L’intersyndical appellera à une journée de grève interprofessionnelle le 17 octobre. Mais sur la suite du mouvement des divergences persistent. Frédéric Souillot, inflexible, maintient sa position. Force ouvrière appelle dès maintenant à la grève reconductible dans tous les secteurs. Les demi-mesures ne suffisent plus. Ce gouvernement ne comprend que le rapport de force.
À 19h, les leaders syndicaux tiennent une conférence de presse commune. C’est Marie-Lise Léon qui prend la parole en premier au nom de l’intersyndical. Le discours du premier ministre est une grande déception. Il confirme ce que nous redoutions. Ce gouvernement n’a jamais eu l’intention de suspendre véritablement la réforme des retraites.
Nous appelons donc l’ensemble des travailleuses et travailleurs à une journée de grève interprofessionnelle le 17 octobre. Puis chaque dirigeant syndical exprime sa position. Lorsque vient le tour de Frédéric Souot, l’attention des journalistes est à son comble. Le secrétaire général de force ouvrière s’avance vers les micros, le visage grave.
Mes camarades ont exprimé notre position commune. Mais Force ouvrière va plus loin. Dès demain, nous appelons à la grève reconductible dans les secteurs stratégiques : énergie, transport, raffinerie. Et samedi, nous appelons à une mobilisation nationale massive à Paris. Un journaliste l’interroge. Monsieur Souot, certains vous accusent de radicaliser le mouvement. Que répondez-vous ? Le leader syndical fixe la caméra.
La radicalité, elle est du côté de ce pouvoir qui impose sa volonté contre celle du peuple. Nous ne demandons pas la lune. Nous demandons le respect de notre droit fondamental à une retraite digne après une vie de travail et nous ne reculerons pas. Macron a choisi la confrontation et bien il l’aura. Ces images font rapidement le tour des chaînes d’information. Al Élysée, Emmanuel Macron suit la situation en direct.
Selon son entourage, le président reste ferme sur sa position. Il est conscient de l’impopularité de cette décision, confie un proche. Mais il est convaincu que c’est la seule solution responsable pour l’avenir de notre système de retraite. À 20h, les journaux télévisés ouvrent tous sur la crise sociale qui s’annonce.
Les images d’affrontement à Paris et dans plusieurs grandes villes se multiplient. À Marseille, le port est bloqué. À Nant, la préfecture est encerclée par les manifestants. Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, annonce le déploiement de 10000 policiers et gendarmes supplémentaires pour les jours à venir. Il évoque une situation tendue mais sous contrôle.
Sur les réseaux sociaux, l’appel à la mobilisation lancée par Frédéric Souillot est massivement relayé. Le hashtag Macron suffit devient le plus utilisé sur plusieurs plateformes à 22h, alors que la nuit tombe sur une France en ébullition, une rumeur enfle. Selon plusieurs sources, Sébastien Lecnu envisagerait de démissionner, désavoué par le président et lâché par une partie de sa majorité. Cette information non confirmée officiellement ajoute encore à la confusion.
Les spéculations vont bon train sur l’identité d’un possible successeur et sur les conséquences institutionnelles d’une telle crise. À minuit, les derniers manifestants quittent les abords de l’Assemblée nationale. Mais des veillés s’organisent dans plusieurs quartiers de la capitale.
Des groupes de citoyens se rassemblent autour de Brazeros discutant de la suite à donner au mouvement. Parmi eux, des syndicalistes, des étudiants, des retraités. des travailleurs de tous horizons, unis par une même colère, une même détermination. “Demain sera un autre jour”, lance une jeune femme à la foule, “e ce sera le début d’un mouvement que ce gouvernement n’est pas prêt d’oublier.
Cette nuit, du 14 octobre 2025 marque un tournant dans la crise sociale française. Au petit matin, nul ne sait encore jusqu’où ira la confrontation entre un pouvoir déterminé à maintenir sa réforme et un mouvement social. prêt à tout pour la faire échouer. Mais une chose est certaine, Frédéric Souillot, l’ancien pâtissier confiseur devenu la voix de la colère populaire ne reculera pas et Emmanuel Macron, le président qui a fait de la réforme des retraites un symbole de son quinquena non plus.
Le octobre, quinze heures précises, Sébastien Lecornu monte à la tribune de l’Assemblée nationale. Son discours de politique générale est l’un des plus attendus depuis des années. La France entière retient son souffle particulièrement sur la question explosive des retraites.
La question des retraites cristallise aujourd’hui une grande partie des inquiétudes de nos concitoyens, commence le premier ministre. J’entends ces préoccupations. C’est pourquoi j’ai proposé il y a quelques jours de suspendre la réforme de 2023 jusque à la prochaine élection présidentielle. Des applaudissements s’élèvent, vite interrompus quand il poursuit.
Toutefois, cette suspension ne peut se faire sans conditions. Je vous propose aujourd’hui non pas une suspension totale, mais une modification substantielle. Elle, âge légal de départ sera maintenue à ans et mois jusqu’à la fin du quinquena. En revanche, la durée de cotisation continuera d’augmenter progressivement. L’hémicycle explose.
Des cris de trahison fusent des banss de la gauche. Plusieurs députés quittent la salle. Au même moment, dans les rues de Paris, la nouvelle se répand parmi les manifestants rassemblés. La colère monte instantanément. Au siège de force ouvrière, Frédéric Souillot suit le discours entouré de son équipe.
Son visage se durcit à chaque mot de le corn. “C’est exactement ce que nous craignons”, s’exclame-t-il. “Il tente de nous enfumer avec des demi-mesures, mais le cœur de la réforme reste intact.” À 17h30, Suyot tient une conférence de presse sur le parvis de la bourse du travail. Entouré de centaines de militants, il ne mâche pas ses mots. Ce que nous venons d’entendre est inacceptable. Le Premier ministre a menti français.
Elle, âge légal, reste au-delà des 62 ans d’avant la réforme et la durée de cotisation continue d’augmenter. Puis, fixant les caméras, il ajoute d’une voix vibrante “Le message que nous adressons aujourd’hui à Emmanuel Macron est simple, ça suffit. Ça suffit le mépris, ça suffit les mensonges, ça suffit les réformes imposées contre la volonté populaire.
La foule reprend en cœur, Macron, ça suffit. Ce slogan déjà présent dans les manifestations précédentes devient en quelques heures le cri de ralliment d’un mouvement social qui s’amplifie dans tout le pays. Yeah.
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