Michel Drucker, le regret d’une vie : “Elle n’a jamais accepté de venir sur mon canapé”
À 82 ans, Michel Drucker est une figure indétrônable du paysage audiovisuel français. Animé par des décennies d’hospitalité télévisuelle, il a vu défiler sur le célèbre canapé rouge de Vivement Dimanche les plus grands noms du cinéma, de la chanson, du sport, et de la politique. Mais dans son dernier livre “Avec le temps”, celui que l’on surnomme affectueusement le “papy du PAF” lève le voile sur une blessure restée vive : le refus catégorique d’une journaliste emblématique de participer à son émission.

Sans jamais la nommer directement dans cet extrait, le sous-entendu ne laisse guère de place au doute : il s’agit de Élise Lucet, figure respectée du journalisme d’investigation en France, connue pour ses émissions incisives comme Cash Investigation ou Envoyé Spécial. Drucker confie sobrement :
“Le seul regret que j’ai, c’est qu’elle n’a jamais accepté d’être sur mon canapé.”
Une phrase brève, mais chargée de tristesse et de sens.
Un refus qui l’a profondément marqué
Ce refus répété n’a jamais été justifié officiellement par la journaliste. Pour Michel Drucker, cette absence fait tâche, d’autant plus qu’il a toujours considéré Vivement Dimanche comme une “maison ouverte”, un lieu de convivialité, de respect et d’écoute. Il ne s’agissait pas d’un interrogatoire, mais d’un hommage tendre à la carrière et à la personne invitée. Que cette porte-là soit restée fermée l’attriste profondément.
Dans le livre, il oppose d’ailleurs cette attitude à celle d’autres personnalités du PAF, dont il dresse un véritable panthéon affectif. Il cite Jean-Pierre Foucault, Laurent Ruquier, ou encore Cyril Hanouna, qu’il salue pour être “restés humains malgré la célébrité”. Ce compliment, placé juste après l’allusion à l’absence d’Élise Lucet, résonne comme un sous-entendu douloureux : elle, selon lui, n’a pas joué le jeu de la bienveillance.
Deux visions irréconciliables de la télévision
Derrière cette anecdote se cache aussi un choc de cultures médiatiques. Michel Drucker incarne la télévision de l’échange, du dimanche après-midi en famille, de la douceur et de la mémoire. Élise Lucet, à l’inverse, représente une télévision de combat, de confrontation, de dénonciation.
Ce refus obstiné pourrait être perçu comme la volonté de Lucet de ne jamais apparaître dans une émission où la neutralité journalistique pourrait être brouillée par l’affect. Ou bien une manière de ne pas se prêter au jeu de la connivence médiatique. Mais pour Drucker, ce silence a eu des allures de mépris, ou du moins d’indifférence douloureuse.
“Elle a peut-être préféré rester fidèle à sa posture d’enquêtrice intransigeante, refusant les compromis,” écrit-il avec une certaine amertume.
Faut-il toujours dire oui aux invitations télé ?
Ce passage soulève une question plus large : les personnalités médiatiques ont-elles une forme de devoir moral d’honorer les invitations à des émissions patrimoniales comme Vivement Dimanche ? Pour Drucker, c’est une question d’élégance, de respect mutuel. Mais pour d’autres, comme Lucet, il s’agit peut-être de préserver une ligne éthique, voire une forme de cohérence professionnelle.
Derrière ce débat, la télévision d’hier et celle d’aujourd’hui se croisent, sans toujours se comprendre. Il y a ceux qui privilégient le lien humain, la chaleur du direct, les anecdotes partagées. Et il y a ceux qui placent la mission journalistique et la rigueur professionnelle au-dessus de toute personnalisation médiatique.
Un livre-testament, une télévision qu’on pleure déjà
Avec le temps, le livre de Michel Drucker, ne se contente pas de parler d’absence. Il est aussi une célébration de ses années de télévision, une lettre d’amour aux invités qui ont accepté de partager avec lui des morceaux de leur vie. Mais en creux, on sent que le présentateur sait que le temps est compté, que sa télévision, celle des visages familiers, de l’écoute sincère, s’efface peu à peu.

Et même si son cœur reste ouvert, il garde en lui les petites blessures, les “non” qu’il n’a jamais vraiment compris. Ce refus d’Élise Lucet en est un, et il le dit simplement, avec la pudeur de ceux qui ne réclament pas d’excuses, mais souhaitent seulement qu’on les reconnaisse.
Drucker, toujours debout, toujours vivant
Aujourd’hui, même s’il a ralenti le rythme, Michel Drucker continue d’animer, de sourire, de transmettre. Il est l’un des derniers géants du PAF, un trait d’union entre générations, entre les grandes heures de la télé de service public et un présent souvent plus éclaté.
Et même s’il regrette certaines absences, il n’en veut à personne. Il confie simplement. Et à sa manière, il laisse dans ce livre un dernier message : la télévision peut encore être un espace de tendresse, un lieu de rencontre vrai, à condition qu’on accepte d’y venir.
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