Quand le kiki de son mari a transformé l’amour en enfer

 

Le mariage, on l’imagine comme un refuge, un lieu d’amour, de tendresse et de respect. Mais pour moi, il est devenu une prison. Derrière les murs de ma maison, je ne trouve ni repos ni répis. Mon mari n’est jamais rassasié. Jour et nuit, il me réclame. Même malade, même brisé de fatigue, même quand mes forces m’abandonnent, il insiste encore.

 Ce que je vais te raconter, c’est l’histoire de Safiatou. Une femme qui croyait avoir trouvé l’amour de sa vie, mais qui a découvert au fil des jours que l’homme qu’elle aimait allait aussi devenir son plus grand tourment. Au cœur d’un petit village du Nigéria, bercé par le champ des oiseaux et l’ombre des grands arbres, vivaient deux âmes que tout le monde voyait déjà unies par le destin, Sfiatou et Moussa.

 Depuis l’enfance, il partageaient la même rue, la même église, les mêmes jeux d’innocence. Et déjà les voisins rient doucement en les taquinant. Voilà nos futurs mariés. Alors les deux enfants, les jou rouges de timidité baissaient les yeux, un sourire discret trahissant leurs sentiments. Même la mère de Moussa était mise.

 Elle appelait affectueusement Safiatum femme, ce qui n’était d’abord qu’une complicité d’enfants grandit doucement jusqu’à devenir un amour profond. Mais Moussa, lui restait prisonnier de sa timidité. Lorsque d’autres garçons tentaient de séduire Sfiatou, il restait silencieux, incapable de réagir. Pourtant, elle, d’un simple sourire, les repoussait tous.

 Désolé, mon cœur appartient déjà à quelqu’un. Elle attendait que Moussa fasse enfin le premier pas, mais il restait muet. Lassé d’attendre, Safia tout décida un jour de l’ignorer. Moussa ne comprenait pas. Son cœur se brisait, son âme s’inquiétait. Des semaines de silence passèrent jusqu’à ce qu’il réalise qu’il devait agir, sinon il la perdrait à jamais.

 Le jour des 18 ans de Kadiatou, il prit son courage à demain. Avec un peu d’argent emprunté à sa mère, il acheta un bouquet de rose. Il la trouva près du puit, tirant de l’eau. Quand elle le vit, s’éjou pour prère. Tremblant, il s’avança. Safiatou, je t’aime depuis toujours. Acceptes-tu d’être ma petite amie ? Il lui tendit les fleurs et dans ce moment suspendu, son sourire illumina le monde.\

 Oui, Moussa, ce fut le plus beau jour de sa vie. Dès lors, on les voyait partout, main dans la main, rougissant au moindre mot échangé. Beaucoup de filles enviaient Safiatou, mais Moussa n’avait Dieu que pour elle. Deux années s’écoulèrent. Moussa, travailleur acharné, avait ouvert trois boutiques de vêtements importés. Sa réussite était éclatante et son cœur plus impatient que jamais.

 Un soir, il se tint devant Safiatou, les yeux brillants de certitude. Safiatou, épouse-moi. Elle hésita. Le mariage, c’était un pas immense, un engagement qui lui faisait encore peur. Mais son amour pour Moussa était plus fort que ses doutes. Alors, le sourire aux lèvres, elle accepta. Moussa paya la dote sans discuter et leur union fut célébrée dans la joie du village entier.

 Ce jour-là, Safiatoun ne cessait de répéter le cœur gonflé de bonheur, j’épuse mon premier et unique amour. Elle emménagea alors dans la belle maison de son mari, prête à commencer une nouvelle vie. Les premiers jours furent idyliques. Moussa se montrait tendre, attentif, amoureux comme jamais. Leur complicité semblait invincible. Mais lors de la nuit de Nos Sia tout connu une douleur qu’elle n’avait jamais imaginé.

Le kiki de Moussa était trop imposant pour elle. Elle souffrit en silence mais accepta de supporter par amour. Ce soir-là, Moussa devint son premier homme et malgré la douleur, elle se sentit fière et lui aussi. Mais ce bonheur ne dura pas. Très vite, quelque chose changea en moussa. Son amour devint une obsession.

Dès le matin, à peine ses yeux ouverts, il la réclamait. La nuit, quand elle cherchait seulement le sommeil, il la tirait contre lui. Même en plein jour, alors qu’il aurait dû être à ses boutiques, il accourait à la maison uniquement pour la posséder encore. Pour Safiatou, ce n’était plus de l’amour. C’était devenu une prison.

 Son mari n’était jamais rassasié. Elle s’épuisait, se vidait peu à peu, mais au fond d’elle, une voix murmurait : “C’est ton mari ? Tu dois l’aimer, tu dois supporter.” Alors, elle se taisait et endurait. Un soir, arrassé après une longue journée de ménage, elle s’allongea le corps brisé.

 Mais à peine avait-elle fermé les yeux que Moussa s’approcha, les siens brillant d’un désir insatiable. Exaspéré, elle se retourna brusquement. Moussa, tu ne me laisses jamais me reposer. Laisse-moi tranquille, je suis fatiguée. Il reste à calme, presque tendre. Mais Safiatou, quand je suis près de toi, je ne peux pas me retenir. Viens, je t’ai dit que je suis fatiguée ! Cria-t-elle avant de quitter la chambre, furieuse.

Le lendemain, rongée par les remords, elle baissa la tête. Pardon mon mari, j’étais juste épuisé hier soir. Il sourit doucement, la rassura. Tu veux dire qu’on doit limiter un peu ? D’accord, mais comprends-moi. Tu es la seule femme que j’ai. Je t’aime trop. Ces mots la firent rougir, mais loin de calmer son ardeur, il l’enflammèrent davantage.

Incapable de respirer dans cette maison devenue étouffante, Safiatou inventa une excuse. Maman est malade. Je vais rester chez elle quelques jours avant de revenir. Moussa lui donna de l’argent et accepta. Pour Safiatou, ce fut comme une libération. Chez sa mère, enfin, elle put dormir en paix.

 Elle reste à deux semaines, deux semaines de répis. Mais Moussa finit par venir la chercher. Et dès son retour, tout recommença. Dans la cuisine, au salon, dans la chambre, il la réclamait sans cesse. Elle avait l’impression de n’être plus une épouse, mais un simple corps à sa disposition. Un robot sans âme. Alors, elle se souvint des paroles de sa mère.

 Le mariage, ce n’est pas un lit de rose. Tiens bon ma fille, protège ton foyer. Elle serra les dents et endura. Mais au fond de son cœur, ce qui autrefois la faisait sourire commençait à se transformer en dégoût. Pour ses 24 ans, Moussa voulut marquer les esprits. Il offrit à Safiatou une voiture flambant neuve.

 Toute la famille l’applaudit avec admiration. Elle était la première de sa concession à posséder une telle richesse. Ce jour-là, elle rayonnait le cœur gonflé de fierté. Mais une fois la fête terminée, Moussa la conduisit dans une chambre décorée de roses et de lingerie fine. Sa fia tout soupira intérieurement. Elle avait espéré un dîner romantique, une surprise douce.

 Mais non, encore et toujours la même demande. Enfile ça pour moi, mon amour, dit-il. Le sourire large. Elle obéit. Mais cette nuit-là fut un supplice. Elle demanda des pauses. Il attendait puis recommençait encore et encore jusqu’au matin. Alors qu’elle pleurait en silence, vidé Moussa murmura simplement comme si de rien n’était.

 Bon, je suis un peu rassasié, mais ce soir on reprend. Safia tout ferma les yeux, le cœur serré. Elle aimait son mari, mais chaque jour, elle sentait son corps et son âme se briser davantage. Puis la maladie la frappa. Fièvre, vomissement, fatigue extrême. Moussa, en apparence bon mari, resta à ses côtés. Il fit le ménage, la cuisine, mit ses boutiques entre parenthèses pour veiller sur elle.

Mais même là, il ne pouvait pas se retenir. Entre deux soins, sa voix revenait obsédante. Safia tout juste un peu. Moussa, je suis malade. Je n’ai pas de force. Mais il insistait encore. Jusqu’à ce qu’un soir, à bout de larme et de douleur, elle explosa. Ton corps ne peut pas se calmer une seule fois.

 Moussa la fixa muait, les yeux pleins de honte. Les jours suivants, sa fiaat tout n’en pouvait plus. Un matin, elle fit ses bagages, claqua la porte et se réfugia chez sa mère, le cœur en feu. Mais cette fois, Moussa aussi laissa éclater sa colère. C’est à moi. Même la Bible dit que c’est à moi ! Cria-t-il, la voix tremblante de rage.

 Chez sa mère, Safia tout garda le silence. Mais la vieille femme, attentive perçut la douleur derrière les yeux fatigués de sa fille. Ma fille, qu’est-ce qui ne va pas dans ton foyer ? Elle appela son beau-fils. Viens chercher ta femme. Mais vexé, humilié, Moussa refusa. De longues semaines passèrent. Dans le village, les langues se délièrent.

 On murmurait que leur mariage était terminé. Certains disaient même qu’il avait déjà trouvé une autre femme. Safia tout, elle se taisait mais au fond de son cœur, elle était au bord de l’abîme. Un soir, alors que la douleur l’arrongeait en silence, sa mère la força à parler. Face à l’insistance, Safia tout craqua. Les mots jaillirent, brisés, tremblants.

Elle raconta tout. Les nuits interminables, lesements, les larmes versées dans l’ombre. La vieille femme resta silencieuse longtemps puis poussa un profond soupir. Ma fille, ton mari n’est pas amoureux. Ton mari est malade. Ce n’est pas du désir, c’est une dépendance qui va finir par te détruire. Elle n’attendit pas.

Elle appela Moussa et lui parla avec la fermeté d’une mère protectrice. Moussa, écoute-moi bien. Si tu continue ainsi, tu vas tuer ma fille. Va consulter un médecin, cherche de l’aide. Mais Moussa éclata catégorique. Moi malade jamais. Je n’ai aucun problème. Je suis un homme normal. C’est ma femme qui doit supporter.

 C’est son rôle d’épouse. Ses mots furent comme un poignard dans le cœur de Safiatou. Elle baissa les yeux plus seule que jamais. Quelques jours plus tard, alors qu’elle se sentait déjà faible, son corps s’éda. Elle s’effondra au sol, inconsciente. Sa mère, affolée, l’emmena d’urgence à l’hôpital. Après des examens, le médecin revint avec un léger sourire.

Madame, vous êtes enceinte de 2 mois. La vieille femme leva les yeux au ciel, soulagée. Peut-être qu’avec cette grossesse, il va enfin changer. Mais Satou, elle détourna la tête. Des larmes silencieuses roulèrent sur ses joues. Dans son cœur, elle savait la vérité. Rien ne changerait. La prison allait simplement s’élargir et désormais une vie innocente allait y être entraînée.

La grossesse apporta un léger répraculeux dans la vie de Safiatou. Pour la première fois depuis longtemps, Moussa ralentit un peu. Il préparait les repas, veillait sur elle avec douceur, couvrait sa femme d’attention. Il semblait plus tendre, plus prévenant. Mais à l’intérieur, la tempête continuait de gronder.

 Chaque jour, il se répétait comme un mantra désespéré : “Patience, Moussa, c’est pour le bien de ton enfant.” Les nuits, cependant s’allongeait et devenaient insupportable. Ses pensées étaient sombres, obsédantes. Au bout de quelques semaines, il ne put plus se maîtriser. Un soir, presque à voix basse, il supplia : “Safia tout, juste une fois, 5 minutes, je t’en prie.

” Elle le fixa froidement, les yeux durent comme de l’acier. “Tu veux que je retourne chez ma mère ?” Immédiatement, Moussa recula honteux et frustré, mais son désir le rongeait comme un feu intérieur impossible à éteindre. Les jours suivants, il passa son temps à ruminer, le regard vide, l’esprit obsédé.

 Et puis un soir, incapable de résister à la tentation, il sortit en courant dans la rue à la recherche d’une autre femme. C’est à ce moment précis que tout allait basculer et que la fragile sécurité de Safiatou serait mise à l’épreuve comme jamais. Et maintenant, tout bascule. Moussa, incapable de maîtriser son désir, s’apprête à franchir une ligne qu’il n’aurait jamais dû approcher.

 Que va-t-il se passer ? Va-t-il trahir Safiatou et briser leur mariage pour toujours ? Leur amour pourra-t-il survivre à cette épreuve terrible ? Je veux savoir ce que tu en penses. Selon toi, Safia, tout doit-elle continuer à supporter cette souffrance ou mettre à terme à ce mariage avant qu’il ne soit trop tard ? Et surtout n’oublie pas de t’abonner pour ne rien manquer de la suite car ceci n’est que le début de cette histoire bouleversante.

Si tu veux soutenir Sfiatou et suivre son combat, laisse un like et un cœur en commentaire. [Musique]