Scandale à Quelle époque : Philippe Caverivière choque la France entière

 

Salut à tous, si je vous disais qu’hier soir sur France 2, un humoriste a réussi à glacer tout le plateau en plaisant sur le Bataclan. Oui, quelques jours, quelques heures plutôt euh après la cérémonie dommage pour les 10 ans de ce véritable drame qui marque encore les Français aujourd’hui.

 Et quelques jours après encore une blague d’un autre humoriste qui expliquait que la police était Dacheh avec la sécurité dans le de l’emploi. On voit véritablement que les humoristes de gauche en ont rien à du respect en tout cas. Et oui donc ce samedi 15 novembre dans quelle époque Philippe Cave Rivière qui d’habitude est encore est quand même un petit peu meilleur que ce qu’il a été hier soir chroniqueur récurrent de l’émission a livré un billet d’humour noir sur les attentats des jouets de trois jeunes femmes radicalisées sur le 10e

anniversaire des attaques du 13 novembre mais cette fois la blague a dérapé. Tout commence avec une série de vanes sur les terroristes féministes. C’est un Girls Band, le Spice Girls du djihadisme, la branche Sephora d’Alqaïda. Au silence gêné sur le plateau, tout le monde se rend vite compte que cela ne va pas.

Thomas Sotto et Nora Malagré ne rit pas. Léa Salamé tent un sourire crispé. Désolé, je ne peux pas vous mettre d’extrait. Quelle époque est très compliquée ? pour les droits d’auteur. Et si je vous mets un extrait, cela va faire sauter la vidéo et cela ne servira à rien d’en parler. Donc, mais je vous mets le lien comme d’habitude quand c’est comme cela, je vous mets le lien de la vidéo et du passage de Philippe Cavrivière dans la description en dessous, mais allez voir après ma chronique évidemment. Cavrivière

continue les femmes avec le terrorisme. Qu’est-ce que vous êtes maladroite ? voir le DG de Daesh, on est payé 20 % de moins. Commencez par être efficace en attentat et on reparlera des salaires. Silence tout à fait normal sur le plateau. On voit bien qu’il y a un gros malaise. La salle reste figée. Aucun rire, pas un applaudissement.

 Froid total. Léa Salamé tente de couper. Non, Philippe, pas là, pas là-dessus. Mais le mal est fait sur les réseaux. La séquence fait l’effet d’une bombe si je peux dire. Certains dénoncent une insulte à la mémoire des victimes. D’autres parlent de liberté d’expression mal placé. Les proches de victimes du 13 novembre, déjà éprouvé par les commémorations, s’indignent.

 Le hashtag cavrière est en tête des tendances sur X. Même des humoristes Guillaume Meuris ou Blanche Gardin pourtant habitué à la provocation appelle à la on peut rire de tout mais pas avec tout le monde et surtout pas à chaud. Cavrivière lui ne s’est pas encore excusé. Il n’est pas encore revenu sur sa chronique.

 Il le fera mais avec humour en disant qu’il a bien fait de le faire. Il aurait confié à un proche qu’il ne voulait pas blesser. Juste souligner l’absurdité l’absurdité pardon du monde. C’est surtout sa chronique qui était complètement absurde. Mais pour beaucoup la limite est franchie. On ne rit pas des morts du Bataclan. Jamais.

 Ni aujourd’hui, ni demain, ni hier. Jamais. C’est un moment terrible pour l’histoire française. C’est des Français qui voulaient simplement, je vous le rappelle, s’amuser un vendredi soir sur le territoire français et qui ont été massacrés ce soir-là juste parce qu’ils étaient français ou qu’il ne pensaiit pas comme certains qu’on a accueilli sur le territoire.

 Alors aujourd’hui, 10 ans après, dans 10 ans, 20 ans après, on ne rigolera pas du Bataclan car il faut respecter la mémoire de ceux qui sont morts pour avoir voulu s’amuser sur le territoire français. M.