Le vent glacé de San Mamés soufflait déjà autour du stade lorsque la déclaration d’Ernesto Valverde fit l’effet d’une détonation dans tout le paysage footballistique européen.
On était à trois jours du match, un match que beaucoup considéraient comme l’un des plus intrigants du calendrier : l’Athletic Bilbao, fort de son caractère basque indomptable, contre un Paris Saint-Germain en pleine quête de respectabilité, encore sous le poids des critiques récurrentes sur son manque de constance et d’âme collective.
Mais personne, absolument personne, ne s’attendait à ce que Valverde, figure respectée de Liga depuis plus de deux décennies, s’exprime avec une telle virulence.« Parmi tous les géants européens, le PSG est l’équipe la plus faible que j’aie vue aujourd’hui. » Cette phrase avait traversé les réseaux sociaux comme un éclair. Certains y voyaient un coup psychologique, une tentative intelligente d’instaurer le doute dans l’esprit parisien.
D’autres, au contraire, la percevaient comme une provocation gratuite, un dédain assumé envers un club dont les attentes – et les contradictions – n’ont cessé d’alimenter les débats en Europe.
Mais Valverde n’en resta pas là . Avec son calme habituel, presque pédagogique, il ajouta : « Avec un pressing haut cohérent, nous pouvons les battre sans difficulté. » Un sourire léger, ni arrogant ni modeste, accompagna cette déclaration. Il savait ce qu’il faisait.
Et il savait que cette phrase allait secouer l’orgueil parisien au plus profond.
À Paris, l’effet fut immédiat. Le vestiaire bruissait de conversations, d’étonnement, parfois même de colère sourde. Certains joueurs, habitués aux critiques, haussèrent les épaules. D’autres sentirent une pointe d’humiliation. Mais personne ne réagit aussi vivement qu’Ousmane Dembélé.

Dembélé, souvent discret devant les caméras, parfois même trop mesuré à force de vouloir éviter la controverse, n’était pas resté insensible à ce qu’il considérait comme un manque de respect flagrant.
Pour lui, Valverde n’avait pas seulement attaqué le PSG : il avait nié l’essence d’une équipe en reconstruction, l’effort quotidien de dizaines d’hommes, et le travail acharné d’un collectif qui cherchait à se relever.
Ce n’est que tard dans la soirée que sa réaction tomba. Dix mots seulement, jetés comme une flèche, sans détour, sans filtre, sans place pour l’ambiguïté. Dix mots qui allaient déclencher un incendie médiatique et changer totalement l’atmosphère d’avant-match.
Personne ne s’attendait à ce que Dembélé réponde. Encore moins de cette manière. Son message fut partagé, renouvelé, détourné, analysé sous tous les angles en l’espace d’une heure. Les commentateurs s’arrachaient les cheveux pour tenter de prévoir l’impact psychologique que cela aurait sur les deux équipes.
Les supporters parisiens, eux, exultaient : enfin quelqu’un assumait d’être offensif, fier, piqué au vif. Ils voyaient dans cette sortie une étincelle, un signe de révolte.

San Mamés, de son côté, se préparait. Le stade n’a jamais eu besoin d’un prétexte pour vibrer plus fort, mais cette fois-ci, les ingrédients étaient explosifs. Une provocation d’un côté. Une contre-attaque verbale de l’autre.
Deux atmosphères qui se rejoignaient pour faire monter la tension à un niveau rarement observé en Ligue des Champions ou en Ligue Europa.
Les rues de Bilbao étaient déjà animées par les discussions, et dans les bars, l’on débattait sans fin : Valverde avait-il raison ? Dembélé avait-il franchi une ligne rouge ? On entendait souvent : « Ce match ne sera pas seulement un affrontement sportif. C’est une question d’honneur. »
Au centre d’entraînement du PSG, Luis Enrique gardait un calme presque déroutant. En interne, il avait simplement demandé à l’équipe de transformer “les mots en carburant”.
Les séances d’entraînement des jours suivants furent d’une intensité inhabituelle, comme si chaque joueur avait trouvé une motivation nouvelle, une rage sourde née d’un besoin de prouver quelque chose.
Dembélé, lui, restait concentré. Il ne commentait rien publiquement, mais ses partenaires rapportaient qu’il semblait habité par une détermination farouche. « Il est silencieux, mais il brûle à l’intérieur », glissa un membre du staff technique.
Le joueur savait qu’il serait attendu au tournant : soit il ferait taire les critiques, soit il deviendrait la cible de toutes les émissions sportives d’Espagne et de France.
Le jour du match arriva enfin. San Mamés brillait sous les projecteurs, compact, bruyant, presque vivant. Les chants basques enveloppaient les tribunes comme une vague. À l’entrée des joueurs sur la pelouse, on sentait l’électricité dans l’air, une tension qui prenait le ventre et ne lâchait plus.
Le regard de Valverde croisa celui de Dembélé. Pas un mot, pas un geste. Deux hommes qui s’étaient défiés bien avant le coup de sifflet. Un duel invisible mais brûlant.
Les caméras se concentraient sur les expressions, les détails, chaque respiration. À Paris, des milliers de supporters retenaient leur souffle. À Bilbao, d’autres milliers préparaient déjà la fête ou la catastrophe.
On disait souvent que le football est un théâtre. Ce soir-là , San Mamés était une scène de gladiateurs. Une arène où chaque attaque serait vécue comme un acte de vengeance, où chaque erreur deviendrait un argument supplémentaire pour Valverde ou Dembélé.
Et au milieu de cette montée dramatique, une seule certitude persistait :
Les dix mots de Dembélé avaient transformé un simple match en un rendez-vous historique, une bataille d’orgueil, de fierté et de vérité.
Le football, parfois, n’a pas besoin de longues histoires pour devenir légende. Il suffit de dix mots… et d’un adversaire qui les prend personnellement.
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