A quoi ressemble l’agence matrimoniale de Karine Le Marchand, qui promet l’amour sans swipe ni ghosting ?
Elle a formé des couples à la tété, elle veut désormais aider les cœurs perdus dans la vraie vie. Avec Le Club des Belles Âmes, Karine Le Marchand lance une agence matrimoniale en enquête d’un “amour sincère et durable“. On vous explique tout.

Et si Karine Le Marchand révolutionnait les applis de rencontres en 2025 ? Depuis 15 ans, elle fait pleurer, rire et vibrer la France avec L’Amour est dans le pré et des histoires d’amour simples et touchantes en plein cœur des campagnes. Mais aujourd’hui, elle ne veut plus se contenter de jouer les entremetteuses à la télé. L’animatrice veut réinventer la rencontre amoureuse, loin des clichés et des ratés du “dating digital”.
Avec son agence matrimoniale Le Club des Belles Âmes, Karine Le Marchand mise sur du vrai, “un club de célibataires, dédiés à ceux qui cherchent l’amour sincère et durable“ met-elle avant sur son compte Instagram. Un antidote au zapping permanent des applis où l’on swipe sans vraiment voir l’autre. Pourtant, derrière cette promesse d’authenticité, une question intrigue déjà : pour rejoindre ce club, faudra-t-il livrer non seulement son cœur, mais aussi quelques informations confidentielles ?
Un club “hors appli” pour les cœurs fatigués du digital
Officiellement lancé le 1er septembre 2025, Le Club des Belles Âmes, du même nom que sa ferme provençale, présente une alternative authentique aux applications de rencontre digitales. Le projet compte déjà plus à 1.100 célibataires, qui ont rejoint l’aventure pour des phases de tests. Un démarrage prometteur pour Karine Le Marchand, convaincue que la France et ses 18 millions de célibataires ont besoin d’un nouveau souffle pour trouver l’amour.
Adieu les bots et les profils fantômes. Ici, les célibataires s’engagent à prendre leur temps, à échanger avec sincérité. Le mot d’ordre est le slow dating. Contrairement aux plateformes où l’on swipe à toute vitesse, ici, l’objectif est de ralentir. L’animatrice souhaite remettre de l’humanité dans les relations et être inclusive. Elle parle justement d’un club et non pas d’une application.

Ces rencontres amoureuses entre 50 et 100 participants réunis autour de tables thématiques doivent encourager la spontanéité, loin de la froideur d’un premier rendez-vous organisé par un écran. Tous les trois quarts d’heure, les participants changent de table et discutent de thèmes liés à la vie de couple.
Pour s’inscrire, les célibataires intéressés devront répondre à une centaine de questions, et signer une charte d’engagement morale. Pas de ghosting, pas de double jeu, et une rupture qui se fait dans les règles de l’art : “Si un utilisateur veut rompre, il doit appeler la personne, lui expliquer. Pas question de disparaître sans un mot”, insiste Karine Le Marchand. Mais pour trouver l’amour, il faut payer un certain prix : il faudra débourser 200 € la demi-journée, en plus d’un abonnement annuel de 150 €. “Un effort pour éliminer ceux qui ne prendraient pas la démarche au sérieux, sans exclure les faibles revenus “, estime l’animatrice lors d’une interview pour Le Parisien parue le 1er septembre 2025.
Une inscription malgré tout très stricte
Mais cette quête de vérité se traduit aussi par un processus d’entrée particulièrement strict : identité, adresse, situation familiale, casier judiciaire et fiches de paie…détaillait L’Est républicain le 30 septembre dernier. Tout est passé au crible. Les candidats doivent répondre à un questionnaire de pas moins de 100 questions. Même des appels FaceTime sont réalisés pour vérifier l’authenticité des profils. L’objectif est d’éliminer les faux comptes, garantir la sécurité et affiner les mises en relation, y compris selon les revenus ou les aspirations sociales.
Une démarche assumée, mais qui interroge. Car derrière cette sélection se cache une collecte massive de données : orientation sexuelle, revenus, patrimoine, voire état de santé. Des informations très encadrées par le RGPD, qui impose un consentement libre et des règles strictes particulièrement quand il s’agit de données dites “sensibles. Reste à voir si ce projet, qui rassemble déjà 4.038 abonnés sur Instagram, réussira à tenir sa promesse : construire des relations “sincères et durables”, comme le souhaite Karine Le Marchand, mais tout en préservant la vie privée.
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