DIVORCE DE JESSICA ET THIBAULT : MAEVA, JAZZ, AD LAURENT, KÉVIN, MANON RÉAGISSENT ET BALANCENT ! 💥😱

L’annonce a fait l’effet d’une déflagration, pulvérisant l’image du couple en or de Dubaï. La séparation de Jessica Thivenin et Thibault Garcia, après neuf ans d’une relation ultra-médiatisée, deux enfants et un empire bâti à la vue de tous, n’est pas un simple fait divers people. C’est un séisme qui secoue l’ensemble de l’écosystème de la téléréalité française. Depuis l’officialisation, les réseaux sociaux sont en ébullition, transformant ce drame personnel en un véritable procès public où chacun, anonyme comme célébrité, se sent obligé de choisir son camp et de livrer son verdict.

Désormais, ce ne sont plus seulement les fans qui commentent. Ce sont leurs pairs, leurs anciens amis, leurs rivaux. De Maeva Ghennam à Kévin Guedj, en passant par Jazz ou AD Laurent, tout le “milieu” réagit. Et les réactions, allant de la compassion la plus profonde aux accusations les plus violentes, dessinent un paysage médiatique impitoyable, révélant au passage les fractures et les rancœurs qui couvaient sous les filtres Instagram.

La première vague de réactions a été celle de l’émotion pure, un torrent de tristesse face à la détresse de Jessica Thivenin. L’une des voix les plus fortes a été celle de Maeva Ghennam. L’ancienne Marseillaise n’a pas caché son bouleversement. “J’ai trop mal au cœur pour Jess. Je vous dis la vérité, j’ai ces stories aujourd’hui, j’ai pleuré”, a-t-elle confié, la voix brisée. Pour elle, comme pour beaucoup, la douleur de Jessica est palpable. “Je pense que la France entière elle a mal au cœur pour elle”, ajoute-t-elle, avant de conclure sur une note d’espoir : “Mais elle est forte, elle va se relever.”

Cette compassion est partagée par de nombreuses influenceuses, choquées par la rapidité de la chute. La vision de Jessica en larmes, racontant avoir “supplié” son mari de revenir, a touché une corde sensible. “C’est atroce”, commente une observatrice. “Je trouve que ça va tellement vite. Paf, divorce, maison vendue, il a déjà retrouvé une autre baraque… Je jure, ça m’a hyper touché.” Cette dernière souligne l’horreur de la situation : “Il n’y a rien de pire quand quelqu’un te dit ‘bah en fait, je t’aime plus’. C’est même pas qu’il y a forcément une tromperie, c’est que la personne ne t’aime plus. Mais c’est horrible.” Manon Tanti, plus réservée, a quant à elle souligné que le “vrai soutien” se faisait “en silence, dans la vraie vie”, admettant être “profondément attristée” par cette épreuve.

Mais dans ce monde où les amitiés sont complexes et les rancunes tenaces, même la compassion n’est pas simple. Jazz Correia, elle-même habituée des tempêtes conjugales, a admis avoir hésité à contacter Jessica. La raison ? Une vieille histoire. “Cet été, Jessica et Thibault m’ont fait un truc pas très cool. En fait, ils sont jamais passés au-dessus de nos histoires de gaminerie… Donc non, je ne lui ai pas écrit.” Elle avoue cependant que “le cœur y était”, car elle comprend intimement ce que traverse Jessica, “je suis passée par là”.

Face à ce déferlement d’émotions, une voix s’est élevée pour appeler à la prudence : celle de Kévin Guedj. Habitué lui aussi à voir sa vie privée disséquée sur la place publique, l’ex-mari de Carla Moreau a refusé de se joindre au procès. “Personne vit dans les couples”, a-t-il rappelé avec sagesse. “Ce qui se passe quand ils ferment la porte, quand ils ont pas les réseaux, ça, personne le sait.”

Refusant de parler sur des “suppositions”, Kévin a souligné le point le plus important, souvent oublié dans la frénésie médiatique : “Ça fait de la peine parce qu’il y a des enfants au milieu.” Concluant qu’il n’aurait pas aimé qu’on lui fasse ce genre de procès public, il s’est abstenu de tout jugement, souhaitant simplement “du bonheur à tous les deux”. Une position de neutralité devenue rare.

Car la neutralité n’est pas ce qui fait le plus de bruit. La véritable déflagration est venue d’ailleurs. D’une “théorie” lancée par un autre influenceur, AD Laurent, qui a décidé de prendre le contre-pied total de l’émotion ambiante.

S’excusant presque de sa réputation (“Vous allez me dire ‘Ouais mais frérot, tu fais que baiser, t’arrives pas à tenir une relation’”), AD Laurent a livré une analyse d’une violence inouïe, non pas contre Thibault, mais contre Jessica. “Je pense que Jessica est casse-couilles. Je pense que Jessica est très casse-couilles”, a-t-il lâché, avant d’enfoncer le clou. “Je pense que plus elle vieillit, plus elle devenait immonde. Mentalement, je parle.”

Selon lui, la cause de la rupture serait donc le comportement de la mère de famille, qu’il imagine “casser les couilles” à son mari pour des broutilles : “Juste pour un calebard placé sur le canapé, pour une tasse de café pas rangée… elle devait lui casser les…” Assumant ses propos face aux accusations de misogynie, il a conclu : “Je pense qu’elle devenait invivable, la sœur.”

Cette attaque frontale contre Jessica, qui inverse totalement le narratif de la femme éplorée et abandonnée, a provoqué une onde de choc. Elle fait écho au torrent de haine qui, en parallèle, s’abat sur Thibault. Depuis l’annonce, ce dernier se fait “terminer” sur les réseaux sociaux. D’anciennes vidéos refont surface, et il est dépeint comme le “red flag ambulant”, le manipulateur qui aurait “façonné” sa femme à son goût.

C’est là qu’intervient Bastos. Prenant la parole, il s’est dit “triste” de la séparation, mais surtout écœuré par “l’acharnement sur Thibault” qu’il trouve “vraiment dégueulasse”. Il a décidé de répondre directement à l’une des accusations les plus récurrentes : celle selon laquelle Thibault aurait “forcé” Jessica à faire de la chirurgie esthétique pour la “transformer”.

“Je pense que Jessica est assez mature”, a rétorqué Bastos. “Peu importe les opérations qu’elle a faites, je pense qu’elle l’a fait en âme et conscience et que c’était pas forcé par Thibault.” Il rappelle un fait crucial : “Je pense qu’elle a commencé la chirurgie avant qu’elle soit avec Thibault.” Pour lui, cette accusation est “très dure et très grave”. Il conclut en défendant le droit de Thibault à avoir ses préférences : “Il a toujours dit qu’il aimait bien, que c’est quelque chose qu’il aimait, et c’est son choix en fait. Il a le droit d’aimer que sa femme fasse ça, ça ou ça. C’est sa femme.”

En quelques jours, le divorce Thivenin-Garcia est devenu un miroir grossissant des névroses de notre époque. La douleur d’une femme est devenue un spectacle. La décision d’un homme est devenue un crime. Et la vie de deux enfants est devenue un détail. Entre la compassion excessive, les règlements de comptes déguisés, les accusations misogynes d’AD Laurent et la défense à contre-courant de Bastos, le tribunal populaire d’Internet, alimenté par les “amis” du couple, s’est emparé de l’affaire.

Il n’y a plus de place pour la nuance, pour le chagrin privé ou pour la complexité d’une relation de neuf ans. Il ne reste qu’un champ de bataille où les clans s’affrontent, où l’on cherche désespérément un coupable et une victime. Et dans ce bruit assourdissant, la seule vérité qui émerge, comme l’a tristement rappelé Kévin Guedj, est celle d’une famille qui se brise.