Eurovision 2025 : Louane fond en larmes… son message secret à sa mère enfin dévoilé

Luan à l’Eurovision : une performance en hommage à sa mère, une victoire du cœur

Ce samedi 17 mai 2025, l’Arena de Bâle s’est figée dans un silence sacré avant d’exploser en applaudissements. Au cœur de cette scène gigantesque, face à l’Europe entière, une jeune femme a chanté non pas pour gagner, mais pour guérir, pour transmettre, pour se souvenir. Luan, chanteuse française au parcours déjà riche mais profondément marqué par l’absence, a offert une prestation bouleversante lors de l’Eurovision. Sa chanson, Maman, hommage direct à sa mère disparue en 2014, a conquis les cœurs bien au-delà du classement final.

Une scène comme un sanctuaire

Dès son apparition sur scène, pieds nus, au centre d’un décor épuré en forme de sablier, Luan impose un silence respectueux. Aucun artifice. Pas d’effets spectaculaires. Juste elle, sa voix, et cette douleur maîtrisée qui traverse chaque note. Maman n’est pas une simple ballade. C’est un cri d’amour, une lettre ouverte, un lien invisible entre les vivants et les absents. Un titre écrit comme une prière, une supplique, un acte de résilience.

« Je voulais que chaque mot la ramène un peu à moi. Qu’elle entende, là-haut, que je continue pour elle, avec elle. », a confié Luan en coulisses.

Un message chuchoté au ciel

La prestation touche à sa fin. Les dernières notes résonnent. Le public se lève, bouleversé. Juste avant que les applaudissements n’envahissent l’arène, Luan lève les yeux au ciel, pose les mains sur son cœur, et glisse quelques mots à peine audibles. Un murmure noyé dans le tumulte. Les caméras le captent, mais personne ne comprend vraiment ce qui est dit. Il faudra attendre le lendemain, grâce à une enquête du Parisien, pour que le secret soit levé.

« Maman, you are proud of me. Maman, j’espère que tu es fière de moi. »

Ces mots simples, lus sur ses lèvres par quelques internautes attentifs, sont devenus viraux. Une vague d’émotion s’est abattue sur les réseaux sociaux, faisant de cette déclaration intime un symbole universel. Le hashtag #MamanEurovision s’est hissé dans les tendances mondiales.

Une septième place, mais une première dans les cœurs

Sur le plan du classement, la France termine à une très honorable 7e place. Une des meilleures positions depuis des décennies. Mais le vrai triomphe est ailleurs. Luan n’a pas simplement chanté. Elle a ému, rassemblé, transcendé. Sa prestation est saluée par la presse internationale, qui souligne « la sincérité désarmante » et « la puissance douce » de son interprétation.

Les bookmakers, qui la voyaient dans le peloton de tête, ont hésité jusqu’au bout entre sa performance épurée et celle, beaucoup plus fantasque, du groupe suédois Kaji avec leur ovni musical Bara Badaabastu. Mais comme souvent à l’Eurovision, c’est l’imprévisible qui l’emporte. L’Autriche, représentée par la mystérieuse Gigi et sa chanson Wasted Love, décroche la victoire avec une mise en scène millimétrée et une intensité dramatique saluée par tous.

Une victoire partagée avec Esmé… et avec l’absence

Luan, mère d’une petite fille prénommée Esmé, a souvent évoqué le poids et la beauté de la transmission entre générations. C’est dans cette logique qu’elle avait construit sa chanson, pour relier sa mère à sa fille, faire passer un message d’amour et de mémoire.

« Je n’ai pas gagné l’Eurovision, mais j’ai gagné une paix intérieure. Et ce regard d’Esmé dans les coulisses, rempli de fierté… je ne l’oublierai jamais. »

Un symbole générationnel

Depuis la victoire de Marie Myriam en 1977 avec L’oiseau et l’enfant, la France attend chaque année le miracle Eurovision. Beaucoup de tentatives, peu de réussites. Mais cette édition 2025 pourrait bien marquer un tournant. Car au-delà du palmarès, c’est une jeune femme qui a redonné à la chanson française ses lettres de noblesse émotionnelle.

Son choix de chanter en français, son refus des effets spectaculaires, son message universel… tout a joué en sa faveur. Et si la victoire ne s’est pas matérialisée par un trophée, elle a été ressentie, profondément, par des millions de téléspectateurs.

Ce soir-là, Luan n’a peut-être pas gagné l’Eurovision. Mais elle a offert ce que l’on y voit trop rarement : un instant d’éternité.

Et dans cet instant, il y avait une mère, une fille, et une voix portée par l’amour.

VOIR LE : 

“Paul n’a pas supporté ma transformation physique” : Luana Belmondo vide son sac

Luana Belmondo, ancienne mannequin d’origine italienne, se souvient encore avec émotion de sa rencontre avec Paul Belmondo. Elle n’avait que 19 ans lorsqu’elle est arrivée à Paris pour tenter sa chance dans le monde de la mode. Hébergée en colocation avec des amies, elle croise la route d’Anthony Delon, alors compagnon d’une de ses colocataires.

C’est lui qui lui présente Paul, fils de l’illustre Jean-Paul Belmondo. Le coup de foudre est immédiat entre eux. Très vite, leur histoire prend un tournant sérieux : ils s’aiment, se marient, et fondent une famille. De cette union naîtront trois garçons : Alessandro, Victor et Giacomo. Pendant plus de trois décennies, Luana et Paul semblent former un couple solide, complice, uni par une vie de famille riche et des souvenirs partagés.

Mais en janvier 2024, après 33 ans de vie commune, tout s’effondre. Contre toute attente, Paul annonce à Luana qu’il souhaite divorcer. Bouleversée, elle apprend qu’il a rencontré une autre femme, prénommée Sandrine. Pour Luana, c’est une claque. Contrairement aux rumeurs qui circulent, elle affirme avec fermeté qu’ils ne menaient pas de vies séparées, du moins pas de son côté.

Ce qu’elle croyait être un couple soudé s’est transformé en silence glacial : après un dernier réveillon du Nouvel An passé ensemble, Paul s’éloigne et cesse tout contact. Depuis, elle reste sans nouvelles, avec le cœur meurtri, tentant de comprendre ce qui a pu briser ce qu’elle pensait être une vie à deux encore bien vivante. Une rupture brutale, inattendue, et terriblement douloureuse.