“Je suis obligé de vivre avec” : à peine remis de son cancer, Pascal Bataille (65 ans) dévoile l’autre maladie qui lui pourrit la vie

Festival du Livre de Paris 2025, France - 12 Apr 2025Pascal Bataille, célèbre animateur télé, partage son combat contre le cancer du poumon et révèle une autre maladie qui le tourmente depuis des décennies. Découvrez comment il gère cette situation complexe.

L’animateur et producteur Pascal Bataille, très populaire grâce à son duo formé à la télévision avec son comparse de toujours Laurent Fontaine, a ému tout le monde en confiant souffrir d’un cancer du poumon. A 65 ans, le présentateur télé des programmes devenus cultes Y’a que la vérité qui compte ou encore Y’a pas photo est aujourd’hui en rémission, comme il l’a récemment indiqué à la presse. Mais malheureusement, sa santé reste fragile et une autre pathologie lui rend la vie dure.

Pascal Bataille souffrant : cette maladie l’handicape depuis plus de 30 ans

À 65 ans, l'épouse de Pascal Bataille admet ENFIN la tragique vérité sur la  santé de son mari. - YouTube

Pascal Bataille a vaincu son cancer

C’est dans les colonnes du journal France Dimanche que Pascal Bataille s’est confié sur son état de santé, relaye Voici. En décembre 2024, l’animateur et vieil ami de Laurent Fontaine a déclaré : “Officiellement, je suis en rémission de ce cancer du poumon qui a été diagnostiqué l’an passé. Je dois néanmoins faire des examens réguliers, car cette maladie a la fâcheuse habitude de revenir vicieusement“. Le sexagénaire a ensuite ajouté ne pas vouloir crier victoire trop vite : “On dit qu’il faut à peu près cinq ans pour être vraiment tranquille. Il va donc falloir que je vive encore quelques années avec cette épée de Damoclès au-dessus de ma tête, mais ça n’empêche pas que je reste serein. D’autant que je suis surveillé comme le lait sur le feu par d’excellents médecins. Ça fait maintenant trois mois que j’ai été opéré, et je refais déjà du sport ! Je mène une vie tout à fait normale et malgré la fatigue, mon moral est excellent !”

Est-ce que Pascal Bataille était un fumeur ?

A l’instar de Jean-Pierre Pernaut et de Florent Pagny, Pascal Bataille était également un gros fumeur. Pendant une grande partie de sa vie, le présentateur a fumé, comme il l’expliquait il y a quelques mois, sur le plateau de Chez Jordan de Luxe. “J’ai été un gros fumeur pendant ma jeunesse. De l’âge de 15 ans à l’âge de 24 ans à peu près, j’ai beaucoup fumé. Ensuite, j’ai fait une pause et j’ai repris encore huit ou neuf ans intensément”, peut-on lire dans Closer.

Pendant près de 20 ans, Pascal Bataille fumait environ “un paquet et demi par jour”“On ne peut pas dire de façon certaine que ce cancer que j’ai développé en 2024 est dû à la cigarette, mais il y a de fortes présomptions sur le fait que ça y soit pour quelque chose”, concède-t-il. “J’ai été hospitalisé pendant trois semaines sans pouvoir bouger de mon lit (…) Et je me suis dit : ‘si tu refumes, t’es vraiment le roi des abrutis’. J’encourage les plus jeunes à ne pas succomber à ce vice qui est extrêmement prenant”.

À 64 ans, Pascal Bataille révèle comment il a appris son cancer : "J'ai  fait un

Pascal Bataille : cette autre pathologie qui lui mène la vie dure

Une source de tracas quotidiens

Pascal Bataille est également revenu, auprès de nos confrères, sur cette autre maladie dont il souffre en silence. Il s’agit d’un mal qui ne se voit pas et qui est très gênant. “J’entends des bruits parasites en permanence. Mais je suis obligé de vivre avec”, a-t-il expliqué à nos confrères de France Dimanche. En effet, Pascal Bataille souffre d’acouphènes et ce, depuis septembre 1993 ! L’animateur a confié entendre des bruits parasites incessants depuis de longues années “du jour au lendemain” après “une crise de surdité brusque”.

Une hygiène de vie irréprochable

Pascal Bataille explique s’être mis à la méditation et au yoga pour essayer de mieux vivre avec cette pathologie qui touche des millions de personnes en France dont 2 à 4 millions de façon permanente, selon une étude Ifop relayée par Laboratoires Unisson“À force, j’ai appris à les ‘dominer’. Au début, c’était bien plus dur. J’avais envie de me taper la tête contre le mur !”