Kendji Girac et Soraya font une grande annonce
Dans le fracas d’un “incident sombre” qui a secoué la France et plongé l’un de ses artistes préférés dans la tourmente, une voix est restée résolument discrète. Celle de Soraya Miranda, la compagne de Kendji Girac. Connue pour sa volonté farouche de protéger sa vie privée et celle de sa famille, elle se retrouve aujourd’hui propulsée au centre de l’arène médiatique, contrainte de prendre la parole. Non par désir de lumière, mais par nécessité. La nécessité de rétablir une vérité qu’elle estime bafouée et de défendre l’homme qu’elle aime, aujourd’hui en pleine convalescence.
La rumeur est un poison lent. Depuis le drame, elle s’est insinuée, déformant les faits, esquissant le portrait d’un homme violent, d’une relation toxique. C’en est trop pour Soraya. Dans une interview accordée à la presse, elle vide son sac, avec une colère froide et une détermination sans faille. “Des détails de ma vie privée ont été révélés sans mon consentement, voire altérés”, confie-t-elle, dénonçant une violation de son intimité. “Ils ne correspondent pas à la vérité. Je ne peux pas laisser cela arriver.”
Le ton est donné. Celle qui a toujours vécu dans l’ombre du phénomène Girac, s’efforçant de construire un “château imprenable” contre les tempêtes de la vie publique, a vu les murs de sa forteresse s’effondrer. Elle parle d’un sentiment de violation, d’informations déformées qui ont peint un tableau erroné de sa vie et de sa relation. Sa prise de parole est un acte de reconquête, une tentative de reprendre le contrôle d’un narratif qui lui a échappé.
Le cœur de sa déclaration est une réfutation, point par point, des allégations les plus graves. Avec une force tranquille, elle dément les rumeurs de violences psychologiques, ces murmures qui parlaient de chantage au suicide. Sa réponse est directe, sans ambiguïté. “Il ne m’a jamais fait chanter au point de me suicider,” martèle-t-elle, cherchant à anéantir cette image de manipulation qui commençait à coller à la peau du chanteur. “Soyons clairs. Cela n’a jamais existé. Je n’ai jamais subi la moindre violence de sa part.”
Les mots sont pesés, fermes. Ils sont destinés à clore un chapitre de spéculations qu’elle juge infâme. Pour elle, la situation est claire : les informations diffusées étaient “négatives et inexactes”, et elle ne pouvait supporter d’être “ainsi calomniée”. Ce n’est pas seulement un démenti ; c’est une défense passionnée de l’homme qui partage sa vie. “Il est incapable de faire ça”, affirme-t-elle avec force.
Mais alors, que s’est-il passé ? Si ce n’est pas l’acte d’un homme violent, qu’est-ce qui a pu pousser Kendji Girac à commettre ce geste qui aurait pu lui être fatal ? Soraya Miranda livre une autre lecture, plus intime et, selon elle, bien plus juste. Elle décrit un homme à l’opposé du monstre dépeint. Un homme qui, sous la pression, retourne sa souffrance contre lui-même. C’est la phrase clé de son témoignage, terrible et éclairante : “L’artiste n’est capable de faire de mal à personne, sauf à lui-même.”
Cette phrase-choc résonne comme l’aveu d’une longue détresse. Kendji Girac, le gendre idéal, le vainqueur solaire de “The Voice”, l’artiste aux millions d’albums vendus, serait en réalité un homme tourmenté. Sa compagne le confirme : “Il est dans une mauvaise situation depuis quelques mois. Nous en avons parlé.” Elle évoque une vérité indéniable, souvent invisible pour le grand public : le poids écrasant de la célébrité.
Elle décrit un homme “victime de la pression du travail et de la vie”. Une pression qui ne vient pas seulement de l’extérieur, des “attentes des fans”, mais aussi de l’intérieur, de sa “propre volonté de relever et de surmonter tous les défis”. C’est le portrait d’un artiste perfectionniste, peut-être, mais surtout d’un homme écrasé par “l’imposition de la vie d’artiste”. Elle parle de ces “exigences de performance”, de cette nécessité de “créativité” constante, de ces “admirations” qui “établissent des normes strictes”. Un cocktail explosif pour une personnalité qu’elle décrit comme sensible.
Le drame ne serait donc pas le symptôme d’une crise de couple, mais l’implosion d’un homme qui n’a pas su, ou pas pu, se “libérer et se renouveler”. Elle évoque “l’auto-responsabilité” et la “pression de [sa] part” comme un “obstacle majeur”. En d’autres termes, Kendji Girac se serait blessé “non seulement physiquement, mais aussi mentalement”, pris au piège de son propre succès.

Aujourd’hui, le chanteur est “sous le choc”. Un choc, selon Soraya, provoqué par sa propre prise de conscience : “il s’est fait tellement de mal”. C’est un homme blessé, non seulement dans sa chair mais aussi dans son esprit, qu’elle doit désormais accompagner.
Et c’est là l’autre message de sa prise de parole : son soutien indéfectible. Loin de l’image d’une femme brisée ou d’une victime, Soraya Miranda se présente comme un “mur solide contre les vents froids de la vie”. Elle n’est “pas seulement une épouse, mais aussi une amie et une compagne dans tous les hauts et les bas”. Sa priorité est claire : la guérison de l’homme qu’elle aime et la protection de leur enfant. Elle sera “toujours au côté de [s]a fille pour l’accompagner et la soutenir”, et par extension, au côté de Kendji.
Le chemin sera long. Elle ne le cache pas. “Pour lui, il faudra beaucoup de temps pour s’en remettre”, déclare-t-elle avec un calme teinté d’inquiétude. “Il a besoin de temps pour se calmer, se reposer et réfléchir à ce qui s’est passé.” C’est une reconstruction complète qui s’amorce, loin des scènes et des studios d’enregistrement. Son objectif est de “restaurer la vie privée qu’elle a toujours voulu protéger” et de retrouver la “paix et la stabilité” que le drame a fait voler en éclats.
“Je sais qu’il s’en sortira et je serai à ses côtés”, promet-elle. C’est la déclaration d’une femme qui, face à la tempête, a choisi de tenir bon. Elle croit en un avenir, en des “jours heureux et paisibles”. Mais avant cela, il y a une épreuve à surmonter, ensemble. Elle le sait, leur amour est un “point d’appui solide” pour Kendji.
En prenant la parole, Soraya Miranda a fait plus que démentir des rumeurs. Elle a tenté de reprendre le contrôle d’un récit qui leur avait échappé. Elle a humanisé un drame que beaucoup avaient simplifié à l’extrême, le réduisant à une sordide affaire de violence. Elle a rappelé au monde que derrière l’artiste public se cache un homme faillible, en proie à des démons intérieurs, et que derrière la “compagne de” se tient une femme de caractère, loyale et déterminée à protéger les siens. Le rideau est tiré. Le temps de la guérison, long et privé, a commencé.
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