L’amour est dans le pré : sexe, famille, ruptures… le portrait sans filtre du candidat de Normandie dévoilé

Le portrait de Gilles, agriculteur du Pays de Bray en Seine-Maritime, a enfin été diffusé dans l’émission L’amour est dans le pré sur M6 lundi 27 janvier 2025.

Les portraits tant attendus des participants de la saison 2025 de L’amour est dans le pré ont été diffusés lundi 27 janvier.

En particulier celui de Gilles, agriculteur céréalier installé à Sommery et Bradiancourt dans le Pays de Bray (Seine-Maritime).

L’occasion pour les téléspectateurs de découvrir le portrait haut en couleur d’un normand au grand cœur et à l’humour débordant.

Plusieurs échecs amoureux

Impossible de faire la présentation de ce normand de 58 ans, sans parler de sa vie sentimentale passée.

Père de trois grandes filles, Gilles revient sur ses différents échecs amoureux sans omettre de détails.

« Tu te faisais souvent larguer en fait ? » demande Karine Le Marchand, l’animatrice de l’émission. Réponse de Gilles : « Tout le temps ».

L’agriculteur se confie d’ailleurs sur sa première déception amoureuse, dont il mettra deux ans à se remettre.

« Je m’en souviens parfaitement, c’était à la sortie de  »Tout est fini entre nous » de Lara Fabian. Je pleurais dans le tracteur », se souvient-il encore aujourd’hui.

Mais celui qui « rêve de vivre le grand amour avec un grand A », a su se remettre en question et changer son quotidien.

Il arrête son activité avec les vaches pour avoir davantage de temps libre.

« Gentil, drôle, avec un grand cœur »

« Très famille », Gilles vit avec sa fille cadette, et ses deux plus grandes n’hésitent pas à passer régulièrement déguster les gaufres, crêpes et autres gâteaux que leur « Daddy chocolat » leur prépare.

Aucun doute pour elles que leur père « gentil, drôle, avec un grand cœur », ne puisse rencontrer quelqu’un avec qui partager sa vie.

Mais celui qui porte la boucle d’oreille pour se donner un « côté rebelle » a lui aussi quelques exigences.

Blonde, brune, rousse, peu importe, mais « pas moins d’1m60 ».

« J’aime danser, si elles font moins d’1m60 cela me fait mal aux cervicales quand je danse avec elles », confie-t-il.

Tout au long du portrait, on découvre une personne à l’autodérision marquée, qui n’hésite pas à se confier sur ses problématiques les plus intimes, mais toujours dans le rire et la bienveillance.

En plus d’aimer la danse, d’être sentimentale, attentionnée, souriante et douce, ses prétendantes devront avoir quelques appétences pour l’humour.

Une chose est sûre, elles ne vont pas s’ennuyer !

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