Orban Allume Zelenski, Macron Exclu du Jeu : L’Europe Se Fracture en Pleine Crise

Accrochez-vous. Une véritable bombe politique vient d’exploser au cœur de l’Europe, secouant les fondations déjà fragiles de l’unité continentale face à la guerre en Ukraine. Dans une attaque d’une rare violence, le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a pris pour cible directe le président ukrainien, Volodymyr Zelenski, et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. Mais le véritable séisme diplomatique se situe ailleurs : dans cette reconfiguration brutale, Emmanuel Macron se retrouve spectaculairement exclu des discussions, réduit au silence pendant que d’autres redessinent la carte géopolitique.
La France, qui se pose en défenseur indéfectible de Kiev et en moteur d’une Europe puissante, est aujourd’hui sur la touche. Un camouflet monumental qui soulève des questions vertigineuses sur l’influence réelle de Paris et la viabilité de la stratégie européenne. Que s’est-il passé pour qu’une telle fracture apparaisse au grand jour ?
Tout commence par une charge explosive de Viktor Orban, lancée le 17 octobre 2024. Avec le style provocateur qui le caractérise, le leader hongrois a utilisé sa plateforme Facebook pour pulvériser ce qu’il nomme le “soi-disant plan de victoire” de Zelenski. Ce plan, qui réclame plus d’armes, plus d’argent et des garanties de sécurité occidentales, est qualifié par Orban de “plus qu’effrayant”, et même, de “plan de défaite”.
Sans filtre, Orban accuse le président ukrainien de pousser l’Europe dans un conflit sans issue, une guerre d’usure qui épuise les ressources et divise mortellement le continent. Il ne s’arrête pas là. Il pointe du doigt Ursula von der Leyen, qu’il désigne comme la “principale responsable” de cette stratégie qu’il juge “désastreuse”. La solution, selon Budapest ? Un arrêt immédiat de l’envoi d’armes, un cessez-le-feu immédiat et des négociations directes avec Moscou.
C’est ici que le piège se referme sur la France. Car si Orban appelle théoriquement Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz à parler à Poutine au nom de l’UE, la réalité est tout autre. Dans les faits, les vrais acteurs de la décision, Donald Trump et Vladimir Poutine, négocient en Alaska. Sans la France. Sans l’Allemagne. Sans l’Union européenne. Macron est totalement snobé, lui qui rêvait d’être le chef d’orchestre d’une Europe souveraine.
La position d’Orban se veut pragmatique. “L’Europe perd cette guerre à cause d’une stratégie mal calculée”, a-t-il martelé sur Kossuth Radio. Il s’appuie sur une réalité militaire que l’Élysée semble refuser de voir : la Russie contrôle près de 20 % du territoire ukrainien et avance à un rythme alarmant, tandis que l’Ukraine, dévastée, dépend à 60 % de l’aide étrangère pour son simple budget. Orban voit ce que Macron ne veut pas admettre : militairement, l’Ukraine ne peut pas gagner.
Pendant que le président français parade avec ses grands discours sur “l’autonomie stratégique européenne”, l’avenir de l’Europe se décide donc à huis clos, en Alaska, entre Washington et Moscou. L’humiliation est totale.
Face à cette offensive, Volodymyr Zelenski n’est pas resté silencieux. La réplique fut tout aussi incendiaire. Dans une interview choc accordée à Valash Online, le président ukrainien a qualifié la politique hongroise d’”anti-ukrainienne et anti-européenne”. Il accuse Orban d’exploiter cyniquement la guerre pour des gains électoraux en Hongrie, n’hésitant pas à utiliser son image sur des affiches de campagne pour mobiliser son électorat. “C’est malhonnête et indigne”, a tonné Zelenski.
Puis, le leader ukrainien a lâché sa propre bombe, une accusation d’une gravité extrême qui pourrait mettre le feu aux relations diplomatiques : Kiev détiendrait des preuves formelles – photos, vidéos, correspondances interceptées – d’activités d’espionnage hongrois sur le sol ukrainien.

La réaction d’Orban à cette accusation explosive ? Le mépris et l’escalade. Sur X (anciennement Twitter), il a reposté les critiques de Zelenski, insistant sur sa demande de cessez-le-feu. Surtout, il a joint le geste à la parole en bloquant 6,6 milliards d’euros d’aide européenne cruciale pour l’Ukraine, provoquant la fureur de Bruxelles et de Paris.
Dans ce chaos, Emmanuel Macron apparaît comme un “figurant”. Lors d’une récente réunion du Conseil européen, sa proposition de créer une force européenne de maintien de la paix a été balayée par Orban, qui préfère s’aligner sur la vision pragmatique de Trump et Poutine : un accord pour arrêter la guerre, même au prix de concessions territoriales majeures comme la Crimée et le Donbas.
Cette bataille révèle une fracture béante au sein de l’UE. D’un côté, un bloc pragmatique mené par Orban et le Slovaque Robert Fico, qui reconnaît la défaite militaire imminente et appelle à négocier avec la Russie. De l’autre, Macron et Vonderleyen, qui s’accrochent à une vision qualifiée d’idéaliste d’une victoire ukrainienne, malgré les réalités du terrain. Sans l’appui de Trump, la France est marginalisée. Un rapport de l’International Institute for Strategic Studies (IISS) le confirme : l’Europe n’a tout simplement pas les capacités militaires, logistiques ou de renseignement pour peser seule face à la Russie.
Les conséquences de ce séisme sont déjà palpables et dessinent un avenir sombre. Premièrement, Volodymyr Zelenski est fragilisé comme jamais. Déjà en conflit ouvert avec Trump, il perd désormais des alliés clés en Europe à cause d’Orban. Ses accusations d’espionnage, si elles ne sont pas étayées de manière irréfutable, pourraient se retourner contre lui.
Deuxièmement, Emmanuel Macron est humilié. Incapable de contrer l’influence hongroise et totalement absent des négociations russo-américaines, son rêve d’une Europe unie et puissante s’effondre face aux divisions internes.
Enfin, l’Union européenne apparaît comme un “tigre de papier”. Divisée entre l’Est pragmatique et l’Ouest “englué dans l’idéologie”, elle est incapable d’agir de concert. “Orban dit tout haut ce que tout le monde pense : l’Ukraine ne peut pas gagner et Macron vit dans un monde parallèle”, résume un analyste sur X.
La prédiction qui émerge de cette crise est glaçante. Orban va continuer à jouer les trouble-fêtes, poussant Macron et Vonderleyen dans leurs derniers retranchements. Zelenski, sous une pression intenable, risque de devoir céder à un accord imposé par Trump et Poutine, incluant la perte définitive de territoires. S’il refuse, son propre parlement ou son armée pourraient se retourner contre lui.
Quant à Emmanuel Macron, il pourrait tenter un coup d’éclat, comme accélérer le projet d’une armée européenne ou durcir les sanctions contre la Hongrie. Mais sans l’appui américain, il restera dans l’ombre, condamné à regarder Trump et Poutine redessiner la carte géopolitique de l’Europe. La France, exclue du jeu, assiste, impuissante, à l’émergence d’un nouvel ordre mondial où sa voix ne porte plus.
News
Le Destin TRAGIQUE du Fils de Fernandel qui a Tout Essayé
Le Destin TRAGIQUE du Fils de Fernandel qui a Tout Essayé Dans le panthéon du cinéma français, le nom de…
Pascal Bataille : La douleur persiste lorsqu’on lui diagnostique une deuxième tumeur : des conséquences terribles dans sa vie quotidienne
Pascal Bataille : La douleur persiste lorsqu’on lui diagnostique une deuxième tumeur : des conséquences terribles dans sa vie quotidienne…
Affaire Missenard : ce médecin a-t-il empoisonné sa femme au cyanure ?
Affaire Missenard : ce médecin a-t-il empoisonné sa femme au cyanure ? Le 26 juillet 1999, Beatriz Vidaror décède brutalement…
L’enlèvement de Jessica Mullenberg : 104 jours d’horreur et la résilience d’une enfant brisée
L’enlèvement de Jessica Mullenberg : 104 jours d’horreur et la résilience d’une enfant brisée L’histoire de Jessica Mullenberg est un…
Pourquoi un tel acharnement sur une jeune femme à qui tout souriait ?
Pourquoi un tel acharnement sur une jeune femme à qui tout souriait ? Le 13 septembre 2014, le visage de…
Son mari est le dernier à l’avoir vue vivante | Affaire Missenard
Son mari est le dernier à l’avoir vue vivante | Affaire Missenard Le 26 juillet 1999, à la clinique d’Eich…
End of content
No more pages to load






