Star Academy 2025 : Coup de théâtre, Michael Goldman annule des évaluations !

Dimanche, 14h45. Le château de Dammarie-lès-Lys retient à peine son souffle. Les académiciens, encore sonnés par un débrief intense avec Marlène Schaff, pensent pouvoir enfin décompresser. L’air est lourd des critiques de la veille, des émotions du prime, du départ de leurs camarades. Ils sont fatigués, à vif. C’est le moment précis que choisit le destin, sous les traits de Michael Goldman, pour frapper. La porte de la salle de danse s’ouvre. Le directeur n’est pas seul. Il est flanqué de l’intégralité du corps professoral. Un silence de mort s’installe. Dans ces moments-là, les élèves le savent : une telle réunion impromptue n’annonce jamais rien de bon.
Les caméras du live TF1+, toujours impitoyables, captent la scène en gros plan. Les visages se ferment, les sourires s’effacent. Michael Goldman s’avance, un léger sourire en coin qui ne trompe personne. C’est le calme avant la tempête. Puis, il lâche la bombe, une phrase simple qui va faire imploser la journée : “Les surprises commencent maintenant… parce que les évaluations, c’est maintenant.”
Stupéfaction. Incrédulité. Puis la panique, pure et simple. C’est un “K.O. général”, comme le décrira un élève. Certains se prennent la tête entre les mains, d’autres échangent des regards effarés. “Quoi ?”, “Maintenant ?”. La pression, déjà palpable, monte d’un cran. C’est inhumain. Ils sortent à peine d’un marathon émotionnel et on leur impose un sprint. Mais le directeur de la Star Academy n’est pas un novice en matière de dramaturgie. Il sait que pour forger des artistes, il faut tester leurs limites. Et il a un deuxième coup de théâtre en réserve.
Car le titre de la vidéo, “Michael Goldman annule des évaluations”, est un piège sémantique aussi brillant que cruel. Non, les évaluations ne sont pas annulées pour tout le monde. Elles sont annulées pour… la majorité. Le directeur précise sa pensée : “Contrairement à ce que j’avais annoncé lors de l’After du prime, tous les élèves ne seront pas évalués aujourd’hui.” Soulagement ? Non. Juste un sursis pour certains, et un enfer immédiat pour les autres.
Cette fois, c’est l’ordre alphabétique qui décide du sort des académiciens. La règle est simple, implacable. Un premier groupe est appelé. Six noms résonnent dans la salle de danse : Ambre, Anou, Léa, Léan, Bostian et Jean. Pour eux, le jeu commence maintenant. Pour les autres, un autre rôle s’installe : celui de spectateur, de soutien… ou de témoin d’un potentiel naufrage. La psychologie du groupe vient de voler en éclats.
La suite s’enchaîne à une vitesse terrifiante. Au centre de la pièce, un bocal. À l’intérieur, des chansons. Les six “condamnés” doivent, un par un, plonger la main et tirer au sort le titre qui scellera leur destin pour les prochaines 24 heures. Pas de choix, pas de confort. Le hasard le plus total.
Et puis, la deuxième lame du couperet : “Ensuite, une seule heure de préparation. Pas une minute de plus.” Une heure. Soixante minutes. Pour apprendre une chanson, la comprendre, l’interpréter, gérer sa voix, sa présence, et se préparer à chanter devant l’équipe pédagogique au complet. C’est une mission impossible. Michael Goldman le sait, et il l’assume. La mission est claire, et il la formule avec une précision chirurgicale : “Faire illusion même quand vous êtes perdu.”
Cette phrase est peut-être la clé de toute cette “semaine des surprises”. Le directeur ne demande pas la perfection. Il demande la résilience. Il veut voir qui peut tenir debout dans la tempête, qui peut, tel un professionnel, assurer le spectacle même quand tout s’effondre à l’intérieur. C’est un test de mental, un crash-test artistique.
Pour “limiter le chaos total” – ou peut-être pour y ajouter une couche de stratégie perverse – une règle exceptionnelle est ajoutée. Les élèves peuvent échanger leur titre, mais “uniquement si les deux parties sont d’accord”. C’est un coup de génie. Soudain, ce n’est plus seulement un test vocal, c’est un test de négociation. Léa est-elle prête à échanger son “challenge ultime” contre le “classique puissant” d’Anou ? Bastien va-t-il garder sa chanson émotive ou tenter de récupérer le morceau pop d’Ambre ? Le stress vient de se doubler d’une couche de stratégie.

Et quelles chansons ! Le bocal n’a pas fait de cadeaux. Les titres qui sortent sont exigeants, redoutables. Pour Jean, c’est “Zombie” de The Cranberries. Une chanson emblématique, un cri, “portée par une intensité vocale rare”. Pour Ambre, “Greedy” de Tate McRae. Un “morceau dynamique, rythmé, exigeant en énergie et précision”. Une performance pop moderne où le souffle est roi. Pour Bastien, “Toutes les machines ont un cœur” de Maëlle. Une “interprétation très émotionnelle demandant douceur et sincérité”. Le piège de la fausse simplicité. Pour Anou, c’est un “classique puissant où chaque note compte”. La rumeur parle de “I Will Always Love You”. Aucune marge d’erreur. Pour Léan, ironie du sort après son débrief sur la simplification, elle hérite de “Parce que c’est toi” d’Axel Red. Une “chanson intime et délicate parfaite pour tester l’émotion”. Et pour Léa… le “challenge ultime”. “My Heart Will Go On”. L’une des chansons “les plus difficiles du répertoire international”.
Le niveau attendu est “extrêmement élevé”. La panique n’est plus une option, elle est un état de fait. Les six élèves se précipitent, s’éparpillent dans le château. La salle de danse, les couloirs, les chambres deviennent des bulles de révision frénétique. On imagine les scènes : l’un au bord des larmes, l’autre tentant de garder son calme, un troisième pestant contre le sort.
Pendant ce temps, les fans qui suivent le direct sur TF1+ assistent à tout, en temps réel. Les réseaux sociaux s’enflamment. La “séquence devient immédiatement virale”. C’est un coup de maître télévisuel. Michael Goldman a non seulement bousculé ses élèves, mais aussi le public.
Cette annonce surprise n’est pas un simple gadget de production. Elle “redistribue totalement les cartes”. Le stress, l’imprévu, la difficulté des chansons… tout est aligné pour pousser les candidats dans leurs retranchements. Ce n’est plus une évaluation, c’est un révélateur. Ces évaluations surprises pourraient “changer la trajectoire de plusieurs candidats”. Qui va craquer ? Qui va se révéler ? Et surtout, comme le conclut la voix-off, “ce n’est que le début de la semaine des surprises”. Le message est clair : au château de Dammarie-lès-Lys, le seul confort, c’est le chaos.
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