Trump secoue l’ONU : “L’Occident récompense le terrorisme” – L’analyse choc de Douglas Murray
Lorsque Donald Trump monte à la tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies, le monde retient son souffle. On n’attend pas de lui les platitudes diplomatiques habituelles. On attend une déflagration. Et une fois de plus, il n’a pas déçu. Dans un discours d’une franchise brutale, l’ancien président américain a livré un réquisitoire implacable contre l’ordre mondialiste, ciblant trois points névralgiques : l’inutilité de l’ONU, la crise migratoire qui submerge l’Occident, et l’acte qu’il considère comme une trahison ultime : la reconnaissance de l’État de Palestine, qualifiée de “récompense pour le terrorisme”.
Analysant cette intervention incendiaire pour Sky News Australia, l’auteur et commentateur britannique Douglas Murray, connu pour son livre prémonitoire “La mort étrange de l’Europe”, n’a pas seulement validé les propos de Trump ; il les a amplifiés, décrivant le portrait d’un Occident en pleine crise existentielle, paralysé par des “politiques insensées” et une élite déconnectée.
Partie 1 : L’ONU, ce “forum de discussion pour dictateurs”
Le premier coup de bélier de Trump a visé l’institution hôte elle-même. Fustigeant le potentiel “formidable” mais gâché de l’organisation, il a dénoncé les “paroles creuses” qui ne résolvent aucune guerre. Pour Murray, cette critique est non seulement juste, mais essentielle. “Beaucoup de gens s’interrogent là-dessus depuis des décennies”, a-t-il rappelé.
L’auteur décrit un spectacle absurde où, systématiquement, “le nombre de démocraties dans le monde… ont tendance à se faire fustiger par les non-démocraties”. L’ONU est devenue, selon lui, un lieu où “les pays libres se font étriller par les pays non libres”, et où chacun doit prétendre qu’un “dirigeant élu dans une démocratie est sur un pied d’égalité avec un dictateur brutal”.
Loin d’être la cour suprême du monde, l’ONU ne serait qu’un “forum de discussion pour démagogues et dictateurs” venus “blanchir leur réputation à New York”. En ce sens, la prise de parole de Trump est saluée par Murray comme un acte de salubrité publique, un rappel nécessaire des “défaillances de l’ONU”.
Partie 2 : La submersion migratoire et “La mort étrange de l’Europe”

Le deuxième acte de l’offensive de Trump a touché le nerf le plus sensible de l’Occident : l’immigration. “Les nations fières doivent être autorisées à protéger leurs communautés et à empêcher leurs sociétés d’être submergées par des gens qu’elles n’ont jamais vus auparavant”, a-t-il lancé.
Ces mots résonnent directement avec l’œuvre maîtresse de Douglas Murray. “Il parle essentiellement de ce sur quoi j’ai écrit il y a tant d’années, la mort étrange de l’Europe”, a-t-il confirmé. Pour Murray, l’Occident (Europe, Amérique, Canada, Australie) subit depuis plus d’une génération des “politiques d’immigration insensées”, un problème dans lequel “des générations de politiciens de tous les partis politiques nous ont mis”.
Ce qui choque Murray, c’est le caractère unique de cette situation. “Pourquoi est-ce que ce sont seulement les démocraties occidentales qui doivent subir cela ?”, s’interroge-t-il. “Pourquoi ne sommes-nous pas autorisés à défendre nos propres frontières… nos propres coutumes et notre culture ?”. Il dénonce cette injonction à se définir uniquement par la “diversité”.
En cela, Trump n’est pas, selon Murray, une voix du passé. Au contraire, il pourrait être “la voix du futur”. Il est celui qui ose montrer que la “dissolution des cultures occidentales n’est pas inévitable”, qu’il est possible d’avoir des frontières et des lois, et de refuser que “quiconque entre illégalement dans votre pays ait le droit de rester”.
Partie 3 : Palestine, la “récompense” qui scandalise
Mais le point le plus explosif du discours, celui qui vise directement les alliés européens comme la France, la Grande-Bretagne, mais aussi l’Australie, est sans conteste la question palestinienne. Trump a été sans équivoque : reconnaître un État de Palestine aujourd’hui “récompense effectivement le terrorisme que nous avons vu le 7 octobre”.
La réaction de Douglas Murray est immédiate : “Oui, eh bien, il a complètement raison”. Il qualifie les déclarations de reconnaissance de Macron, Albanese et Starmer de “pure posture”, des déclarations “unilatérales… totalement vides de sens”.
Il énumère ensuite froidement les raisons pragmatiques. Il n’y a “pas d’État de Palestine convenu. Il n’y a pas de direction palestinienne convenue. Il n’y a pas de frontières convenues… pas de capitale convenue”. Plus grave encore, il n’y a “aucune preuve” que les dirigeants palestiniens, que ce soit le Hamas à Gaza ou l’Autorité palestinienne, soient “le moins du monde disposés à vivre en paix avec leurs voisins”.
Pour Murray, le timing est une insulte morale. Le Hamas “voit cela comme une victoire”. Moins de deux ans après avoir “massacré, violé et kidnappé”, les terroristes voient les gouvernements occidentaux céder. Ces mêmes gouvernements qui avaient promis de “se tenir aux côtés des victimes” n’ont “presque rien fait pour sortir les otages”. “Ils n’ont même pas pu tenir cette ligne” (exiger la libération des otages avant toute reconnaissance).
Alors, pourquoi le font-ils ? La réponse de Murray est cinglante : “pour des raisons de politique intérieure”. Des leaders comme Albanese “pensent qu’ils peuvent arrêter les manifestations et apaiser les palestinistes radicaux dans leurs propres pays”. C’est un acte de lâcheté, une tentative “d’apaiser les foules chez eux” qui, selon Murray, est vouée à l’échec.
Partie 4 : La violence comme symptôme d’un vide spirituel
Cette analyse d’un Occident faible et démissionnaire s’inscrit dans un contexte plus large de violence politique, un thème également abordé lors de l’interview à travers l’assassinat du militant conservateur Charlie Kirk. Murray souligne l’ironie tragique : “l’assassin… pensait qu’il allait le réduire au silence. Et c’est exactement le contraire”.
Il note “la prééminence du message chrétien” lors des funérailles, un message qu’il relie à la survie de l’Occident. Nos droits et libertés, insiste-t-il, “proviennent de nos racines judéo-chrétiennes”. La question, posée par le pape Benoît XVI, est de savoir si la civilisation occidentale “peut survivre si elle se coupe des racines qui lui ont donné naissance”.
Pour Murray, la réponse est “non”. En se coupant de ses racines, l’Occident crée un vide qui est rempli par de “nouvelles religions farfelues”, qu’il s’agisse du “palestinisme” ou du “transgenrisme”.
Cette déliquescence morale explique, selon lui, la tolérance de la gauche envers la violence. Il discute de la désignation d’Antifa comme organisation terroriste par Trump, et assène : “Ce n’est pas une organisation antifasciste. C’est une organisation fasciste”. Il dénonce un double standard flagrant : si un groupe de droite avait “passé des années à saccager des bâtiments fédéraux” et à “attaquer des policiers”, il “aurait été démantelé il y a des années”.
Il accuse la gauche de “vénérer” des figures ayant des antécédents de violence, non pas “malgré” cette violence, mais comme si elle faisait “partie du frisson”.
Conclusion : Le miroir brutal
Le discours de Donald Trump à l’ONU, décrypté par Douglas Murray, agit comme un miroir brutal. Il ne s’agit pas d’une simple provocation diplomatique, mais du diagnostic d’un Occident en crise. Une crise de ses frontières, de ses valeurs et de sa volonté de se défendre, que ce soit contre la migration de masse, le terrorisme ou la violence politique intérieure.
La question posée n’est plus de savoir si les propos de Trump sont “incroyablement arriérés”, comme le pensera l’élite mondiale. La vraie question, celle que Murray force l’Occident à se poser, est de savoir si, en refusant d’entendre ces vérités dérangeantes, nous ne sommes pas en train de choisir collectivement notre propre “mort étrange”.
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