Von der Leyen DESTITUÉE : La lettre explosive des “patriotes” qui fait trembler l’UE et isole Macron

Un séisme secoue les fondements de Bruxelles. Le mot, autrefois impensable, est désormais lâché : “destitution”. La présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, est la cible d’une attaque politique sans précédent, orchestrée par une nouvelle et puissante alliance de “patriotes de l’UE”. Une lettre explosive, soutenue conjointement par des forces souverainistes en France, en Hongrie et en Slovaquie, a planté ce qui est décrit comme “le clou final dans le cercueil de la dictature de Bruxelles”.

Au cœur de la tempête, Emmanuel Macron est dépeint comme un “complice affaibli”, tentant désespérément de sauver les apparences alors que l’édifice s’effondre. L’Élysée et le siège de la Commission seraient en ébullition, les téléphones sonnant sans arrêt face à ce qui s’apparente à une déclaration de guerre interne.

L’onde de choc provient d’une initiative menée par le Rassemblement National en France, aux côtés du Fidesz de Viktor Orbán en Hongrie et du Smer de Robert Fico en Slovaquie. Le message de leur lettre ouverte à Von der Leyen est d’une clarté brutale : ils exigent sa “destitution immédiate”. L’accusation ? Avoir présidé à une “machine autoritaire” qui bafoue la souveraineté des peuples.

Cette alliance, que certains décrivent déjà comme le “bloc patriotique”, ne se contente pas de mots. Elle revendique une première victoire spectaculaire qui donne du poids à sa menace. Selon les informations qui circulent, ce nouveau front aurait forcé Bruxelles à une capitulation majeure : les flux de migrants seraient “massivement réduits” et, surtout, la Hongrie et la Slovaquie n’auraient plus à participer au “pacte migratoire forcé”. Les amendes colossales, comme le million d’euros par jour infligé à la Hongrie, seraient “annulées ou suspendues”.

C’est une brèche béante dans la politique commune de l’UE. Un “chantage pur” qui, selon les termes de la vidéo explosive révélant l’affaire, “est enfin terminé”. Les sales méthodes de Bruxelles seraient ainsi “arrêtées”, marquant un premier point décisif pour les peuples souverains.

Mais ce n’est qu’un début. La prochaine étape de ce bloc souverainiste est tout aussi ambitieuse et déstabilisatrice : la création d’un “nouveau bloc anti-guerre” en Ukraine. L’objectif est de coordonner leurs positions avant les sommets de l’UE pour “massivement entraver” les décisions de soutien financier et militaire à Kiev. Une politique que Macron, à l’inverse, “pousse à coup de milliards ponctionnés sur les Français”.

Cette nouvelle entente France-Hongrie-Slovaquie vient de fait remplacer l’ancien groupe de Visegrád, fracturé par la question ukrainienne. La Pologne de Donald Tusk, désormais “fervent partisan de l’Ukraine”, est exclue de cette nouvelle dynamique. Fico et Le Pen, partageant un “scepticisme sur l’aide illimitée à Kiev”, préfèrent un “dialogue avec Moscou plutôt qu’une pression économique suicidaire pour l’Europe”.

La panique à Bruxelles serait telle que même le PPE, le parti de centre-droit de Von der Leyen, pourrait se retourner contre elle. Affaiblie, elle ferait face à une opinion publique hostile, notamment en France où “six français sur dix veulent sa démission”, échaudés par des accords comme le Mercosur qui “ruine nos agriculteurs”.

La vidéo qui détaille ce plan de bataille décrit une véritable “guerre culturelle” et un “terrorisme financier”. Bruxelles est accusé de “strangulation financière” envers les pays qui résistent. Plus de 30 milliards d’euros seraient “gelés” pour la Hongrie, et la France subirait des “sanctions indirectes”. Le but ? “Forcer la France à abandonner son identité”, imposer les “règles de Bruxelles” à ses tribunaux, l’ “idéologie de Bruxelles” à ses écoles, et le “dictat de Bruxelles” à ses familles.

Face à ces attaques, la réponse des patriotes est la défiance. Loin d’être affaiblie, Marine Le Pen verrait ses “taux d’approbation” grimper, portée par un peuple qui “refuse de capituler”. Le “tir se retourne contre eux” : chaque sanction ne ferait que confirmer la thèse de l’UE comme “super état autoritaire”.

C’est dans ce contexte insurrectionnel que le mot tabou, “Frexit”, n’est “plus murmuré, il est discuté ouvertement”. La défiance française, qui irait jusqu’à ignorer des mandats d’arrêt internationaux, inspire d’autres nations. La vraie question n’est plus “la France quittera-t-elle l’UE ?”, mais “l’UE peut-elle survivre à cela ?”.

Cette révolte politique est, selon les auteurs de l’analyse, intimement liée au “chaos organisé” à l’intérieur même de la France. L’explosion des impôts (+127 milliards), la flambée du coût de la vie (+22% sur le panier moyen), et l’insécurité galopante (+7% de tentatives d’homicide, +7% de violences sexuelles) seraient la preuve d’un “système corrompu et pourri jusqu’à la moelle”. Les dirigeants sont accusés de “détruire la France de l’intérieur” pour “l’argent et le pouvoir absolu”, s’enrichissant via des “délits d’initié” et la “vente à la découpe du patrimoine national”.

Dans ce tableau apocalyptique, la lettre contre Von der Leyen n’est pas un simple acte politique. C’est le premier domino d’un “compte à rebours”. Les patriotes ont un plan, une alliance, et la volonté de “faire exploser le système”. La fin de l’UE et du macronisme, conclut l’analyse, “pourrait être plus proche que vous ne le pensez”.