AFFAIRE JUBILLAR : La théorie glaçante de la “dalle de béton” relance l’espoir de retrouver le corps de Delphine

C’est une affaire qui hante la France depuis cette nuit glaciale de décembre 2020. La disparition de Delphine Jubillar, infirmière de 33 ans et mère de deux enfants, reste un mystère insondable, une blessure ouverte au cœur du Tarn. Mais alors que l’enquête semblait s’essouffler face à l’absence de preuves matérielles irréfutables, de nouveaux éléments surgis des tréfonds d’une prison et d’un chantier oublié viennent bouleverser la donne. Et si la vérité se trouvait, littéralement, sous nos pieds ?
Le parloir des secrets : quand les murs parlent
Tout commence loin des caméras, dans l’intimité sordide d’un parloir de la prison de Seysses. Cédric Jubillar, le mari et principal suspect, y est incarcéré depuis juin 2021. C’est là qu’un certain Salem, ancien codétenu, aurait recueilli des confidences troublantes. Selon cet homme, Cédric ne serait pas le simple artisan dépassé par les événements qu’il prétend être.
Les propos rapportés sont d’une précision effrayante. Il est question de complicités, de véhicules utilitaires pour brouiller les pistes et éviter que la voiture familiale ne soit tracée, et surtout, de connaissances techniques mises au service de la dissimulation d’un crime. Ces révélations ne sont pas anodines : elles dessinent le portrait d’un homme calculateur, capable d’organiser froidement l’après-drame. La justice prend ces éléments suffisamment au sérieux pour rouvrir partiellement le dossier en mars 2025, un geste rare qui témoigne de la crédibilité accordée à ces nouvelles pistes.
La pelleteuse fantôme et la dalle de béton
Mais l’élément le plus saisissant nous vient d’un témoin inattendu, sorti de l’ombre en mai 2025. Cet homme signale la disparition mystérieuse d’une mini-pelleteuse sur un chantier de maison en construction, situé à quelques kilomètres seulement du domicile des Jubillar, en décembre 2020.
Ce détail, qui pourrait sembler anodin dans un autre contexte, prend ici une dimension criminelle majeure. Cédric Jubillar est peintre-plaquiste, il connaît le bâtiment, les chantiers, le béton. Il sait que le meilleur moyen de cacher quelque chose, c’est de le fondre dans le paysage. L’hypothèse est glaçante : et si le corps de Delphine avait été enterré sur ce chantier, puis recouvert par une dalle de béton coulée dans la foulée ?
Cette théorie rappelle douloureusement l’affaire Aurélie Vaquier, retrouvée couverte de béton sous une estrade chez elle. Le mode opératoire est connu des criminels : il est efficace, durable, et rend les recherches par chiens ou drones inopérantes. Si Cédric a utilisé ce stratagème, il aurait commis le “crime parfait” aux yeux de la technique, ne laissant aucune odeur, aucune trace visible.
Une course contre la montre judiciaire
La justice se trouve aujourd’hui face à un dilemme cornélien. Faut-il détruire une maison, casser des dalles, sur la base de témoignages tardifs ? Le risque est immense, mais l’enjeu l’est encore plus. Si le corps est là, c’est la preuve matérielle qui manque cruellement à l’accusation. C’est la pièce manquante du puzzle qui ferait basculer Cédric Jubillar du statut de suspect présumé innocent à celui de coupable confondu.
L’instruction, qui devait être close, joue les prolongations. On vérifie les permis de construire, les dates de coulée de béton, les allées et venues sur ce chantier précis. Même les dires d’une voyante, ayant localisé le corps dans une zone similaire, sont versés au dossier, signe que les enquêteurs ne veulent négliger aucune piste, aussi ténue soit-elle.
Un procès sans corps ?

Alors que le procès se profile pour fin 2025, la pression est maximale. Juger un homme pour meurtre sans cadavre est possible, mais périlleux. Les jurés devront se forger une intime conviction sur un faisceau d’indices. La découverte du corps changerait tout. Elle offrirait des réponses techniques sur les causes de la mort, mais surtout, elle permettrait à une famille dévastée de faire son deuil.
Cédric Jubillar continue de clamer son innocence, muré dans ses dénégations et son attitude parfois provocatrice. Mais l’étau se resserre. La “piste du béton” n’est plus une simple rumeur, elle est devenue une hypothèse de travail sérieuse pour des magistrats déterminés à ne pas laisser le silence l’emporter.
Dans cette affaire où chaque pierre retournée semble cacher un nouveau mystère, la vérité est peut-être là, figée dans le ciment, attendant que la justice vienne enfin briser la chape de plomb qui pèse sur le sort de Delphine.
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