Tổng thống Mỹ sẽ gặp người đồng cấp Ukraine vào rạng sáng 19-8

La nouvelle, d’une virulence sans précédent, frappe le monde comme un uppercut. Tandis que les médias mainstream s’efforcent, dans un silence complice et désespéré, d’étouffer l’onde de choc, une conspiration savamment orchestrée pour protéger le statu quo s’effondre. À Washington, à Moscou, mais surtout à Kiev, un scandale d’une ampleur colossale est en train de redessiner l’ordre géopolitique mondial. Au cœur de cette tempête, un sommet nocturne et historique en Alaska, entre Donald Trump et Vladimir Poutine, a accouché d’un accord qui pourrait tout changer pour l’Ukraine, désormais à un carrefour décisif.

Le 15 août 2025, dans la nuit glaciale de la base militaire John Base Elmendorf Richardson à Anchorage, le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine se sont rencontrés pour un tête-à-tête de plus de trois heures. Ce n’était pas un simple échange diplomatique, mais un véritable tremblement de terre, un « game changer » dont les répercussions se font sentir jusqu’à Kiev. L’accord dit « Alaska » a immédiatement dominé les manchettes mondiales, enflammant les réseaux sociaux avec le contraste saisissant d’un Trump accueillant chaleureusement Poutine, tout en semblant expulser symboliquement Volodimir Zelensky de la Maison Blanche.

Le Coup de Tonnerre de l’Alaska : Marginalisation et Menace de Retrait

Ce sommet s’est déroulé sans la présence de l’Ukraine, suscitant une indignation prévisible à Kiev. Zelensky, via son compte Telegram, avait pourtant dénoncé en amont ces « décisions mortes » si l’Ukraine n’était pas incluse, insistant sur l’intégrité territoriale du pays, un principe inscrit dans la Constitution. Mais l’exclusion de Kiev était un signal clair : l’Ukraine était marginalisée, et Zelensky, selon des sources proches du Kremlin relayées par RFI et France 24, était au bord du gouffre.

L’élément le plus dévastateur est venu directement de la bouche de Donald Trump. Dans une interview accordée à Fox News le 15 août 2025, le président américain a lâché une bombe : « Nous avons parlé de beaucoup de choses, y compris de l’OTAN. Il y a eu d’énormes progrès. » Ces mots ne sont pas anodins. Poutine a toujours considéré l’expansion de l’OTAN à l’Est, et notamment l’adhésion potentielle de l’Ukraine, comme une « ligne rouge » infranchissable. Si Trump venait à faire des concessions majeures – telles qu’un veto permanent sur l’adhésion de l’Ukraine ou un retrait des troupes américaines d’Europe – ce serait un coup fatal porté non seulement à l’Union européenne, mais surtout au leadership de Zelensky. Le président américain a d’ailleurs menacé, selon USA Today, de retirer tout soutien américain si l’Ukraine persiste dans des actions militaires pendant les pourparlers, une menace rendue d’autant plus crédible que Zelensky avait ordonné le plus grand assaut de drones sur la Russie juste avant le sommet.

L’accord « Alaska » représente donc un véritable hypercut au visage des citoyens ukrainiens et européens qui, lassés par un océan de désinformation, réclament désespérément la vérité. Le Rassemblement National (RN), première force aux élections européennes de 2024, n’a pas manqué de dénoncer l’effondrement du « mur antifasciste », cette construction artificielle qui, selon eux, marginalise les voix dissidentes pour protéger le statu quo des élites. Des figures comme Marine Le Pen, Jordan Bardella et Jean-Philippe Tanguy, défendant souveraineté nationale et retour au bon sens politique, trouvent un écho international auprès de conservateurs critiques de l’arrogance des élites européennes, tels qu’Orban, Meloni ou Candace Owens.

La Révolte Grondante à Kiev : Le Putsch est-il Imminent ?

Si l’accord Trump-Poutine a servi de catalyseur, le véritable drame se joue à Kiev, où la situation est devenue explosive. Tandis que les deux géants négociaient à Anchorage, des factions puissantes au sein du Parlement ukrainien (Verkhovna Rada) planifient sérieusement la destitution du président Zelensky. Les accusations sont lourdes : corruption, mauvaise gestion des ressources et, surtout, prolongation inutile de la guerre pour des raisons personnelles.

Selon des informations relayées par ZDFut, des figures clés du Parlement, comme Anagorocot, ont ouvertement évoqué trois scénarios qui font l’effet d’un séisme politique, rapportés par The Hill. Le premier serait que Zelensky accepte un cessez-le-feu et convoque des élections anticipées. Le second, plus audacieux, verrait le Président refuser, obligeant le président du Parlement à signer un accord de paix à sa place. Le troisième, le plus sombre, est l’éventualité d’un coup militaire qui renverserait le gouvernement, instaurant une période de transition.

Ces déclarations ne sont pas de simples rumeurs. Elles sont renforcées par des spéculations persistantes concernant un meeting secret qui aurait eu lieu le 8 août 2025 entre de hauts commandants ukrainiens, à l’insu de Zelensky, renforçant l’idée d’un putsch imminent. Plus troublant encore, Politico révélait que le Royaume-Uni aurait offert l’asile politique à Zelensky et à son cercle restreint. L’offre britannique est un signe indéniable que même les alliés les plus fidèles du président ukrainien doutent de sa capacité à rester en place et, par extension, de l’avenir du conflit.

La situation militaire ne fait qu’aggraver la pression. Reuters rapportait que les forces russes progressent inexorablement dans le Donbas, menaçant l’effondrement du front est ukrainien. Si Trump met sa menace à exécution et que les États-Unis se retirent, l’Ukraine se retrouverait seule face à une puissance nucléaire agressive. Un désastre stratégique que les factions parlementaires ne semblent plus disposées à accepter, faisant du vote de destitution une possibilité concrète dans les 48 heures.

L’Europe Humiliée : Spectatrice d’un Nouveau Monde

Le sommet d’Alaska est une humiliation publique et retentissante pour l’Union européenne. La panique s’est installée dans les capitales, d’autant plus que les leaders européens, à l’image du chancelier allemand Friedrich Mertz (selon ZDFut), ont critiqué l’exclusion de l’Ukraine tout en reconnaissant de facto que l’Europe était reléguée au rang de simple spectatrice. L’analyse est cinglante : l’Europe « n’a pas voix au chapitre », comme l’affirme le spécialiste en sécurité Peter Neemann, cité par Politico.

Le politologue Thomas Jeger va plus loin en déclarant que si les Européens ne jouent aucun rôle, c’est « parce qu’ils refusent d’en jouer un. » Au lieu de prendre des mesures stratégiques fortes – comme renforcer massivement les sanctions ou accélérer de manière significative la production d’armement – les États membres de l’UE se déchirent, selon Euroactiv. Le député CDU, Rodrich Kizevetter, a lancé un appel dramatique à une « révolution stratégique », soulignant l’alternative brutale : soit l’Europe soutient massivement l’Ukraine maintenant, soit elle abandonne la région à la sphère d’influence russe.

En France, la gestion de crise par Emmanuel Macron a viré à la catastrophe diplomatique. Alors que Bild dénonçait l’attitude de Trump déroulant le tapis rouge à Poutine, l’Élysée, par l’entremise du Figaro, a tenté de minimiser l’événement, le qualifiant de « simple échange exploratoire ». Une erreur colossale, cette minimisation n’a fait qu’attiser les spéculations et amplifier le sentiment d’humiliation ressentie par l’Europe. Macron, qui tentait de se poser en leader européen en organisant une vidéoconférence de coordination avec ses alliés (ZDFut), a vu sa diplomatie éclipsée par la brutale Realpolitik de Trump et Poutine.

Le président français est désormais dans une position intenable. Ses efforts pour sauver la face, soutenus par des chaînes comme BFM TV et France 2, sont perçus comme vains. Sur les réseaux sociaux, notamment X, les critiques fusent, dénonçant son incapacité à peser face à Trump et Poutine, l’accusant même de trahir les intérêts français en suivant aveuglément Bruxelles. Le soutien de Candace Owens au RN pour avoir « dénoncé l’hypocrisie de Macron face à ce fiasco » souligne la fragilité du président, révélant un leader aux abois, prêt à tout pour protéger son image, même au prix de la crédibilité et de l’influence européenne.

Après le sommet d'Anchorage, les Européens en force derrière Volodymyr  Zelensky face à Donald Trump

Le séisme géopolitique provoqué par l’accord d’Alaska et la révolte qui s’intensifie contre Zelensky à Kiev ne sont pas de la fiction hollywoodienne ; c’est la réalité crue qui menace de transformer l’Europe et le monde pour les générations à venir. L’ordre libéral est attaqué, l’autorité des élites est remise en cause, et les mensonges officiels s’effondrent face à une nouvelle alliance contre le statu quo. L’Europe, pour l’heure, n’a que le choix de regarder les deux géants débattre de son destin, tandis que l’Ukraine, désormais seule, se dirige vers l’implosion politique et militaire. Il est temps que l’Europe se réveille face à sa propre impuissance stratégique, ou qu’elle accepte de disparaître des tables de négociation pour de bon.