Biyouna : La vérité qu’elle a cachée jusqu’à son dernier souffle (Choc)

Un silence lourd s’est abattu sur Alger le 25 novembre 2025, un jour où une nouvelle tragique a secoué l’Algérie et la France. La disparition de Biyouna, l’icône incontournable de la Casbah, a plongé les deux rives de la Méditerranée dans un chagrin profond. L’annonce de sa mort, à 73 ans, a mis fin à l’espoir fragile que cette légende vivante, qui semblait indestructible, puisse échapper à l’inévitable. Cette annonce a d’abord été un murmure dans les couloirs de l’hôpital Bénimessous, avant de se répandre sur les réseaux sociaux et de faire l’effet d’une onde de choc dans le monde entier.
Mais la véritable histoire qui se cache derrière cette disparition choquante n’a été révélée que bien après le décès de l’artiste. Biyouna, qui avait tant aimé la scène et les projecteurs, avait mené une guerre secrète contre le cancer, une maladie qu’elle avait choisie de dissimuler à ses fans et au public. L’artiste qui incarna la joie, la liberté et la résistance à travers ses rôles inoubliables, avait choisi de garder son combat personnel pour elle-même. Ses proches et son entourage, fermés comme un rempart autour d’elle, ont respecté son vœu de discrétion totale.
Pourquoi cette décision ? Pourquoi ce silence ? La réponse à ces questions révèle le courage exceptionnel d’une femme qui, jusqu’à son dernier souffle, a refusé d’être perçue comme une victime. La maladie était un secret, une épreuve qu’elle voulait tenir loin de l’image publique qu’elle s’était construite, celle d’une femme forte, exubérante et inébranlable. Biyouna ne voulait pas que son public la voie affaissée dans un lit d’hôpital. Elle voulait que l’image qu’on garde d’elle soit celle d’une figure maternelle, invincible et pleine de vie.
Les dernières années de sa vie ont été marquées par un contraste déchirant : d’un côté, la Biyouna qui faisait rire et enflammait les scènes avec sa verve légendaire, et de l’autre, la Biyouna qui luttait quotidiennement contre la douleur et la fatigue. Le public n’a rien vu de cette souffrance. L’artiste a mené son dernier acte avec la même intensité et la même énergie qu’elle mettait sur scène, refusant de se laisser submerger par la maladie. C’est un véritable exploit qu’elle a accompli, celui de maintenir le sourire, d’offrir des interviews, et même d’envisager de nouveaux projets alors que son corps se battait contre l’épuisement total.

Le personnel médical de l’hôpital Bénimessous a témoigné de la dignité avec laquelle Biyouna a affronté la mort. Loin de l’image d’une diva capricieuse, c’est une patiente lucide et courageuse qu’ils ont accompagnée. Les derniers jours de sa vie furent éprouvants, mais selon ceux qui l’ont côtoyée, son regard n’a jamais perdu cette lueur unique, cette énergie indomptable qui la caractérisait. Elle savait que la fin était proche, mais elle refusait de se laisser abattre.
Aujourd’hui, alors que son départ a fait l’objet de nombreux hommages sur les réseaux sociaux et dans les médias, c’est un vide immense qui s’est installé. Mais au-delà de cette perte, c’est l’héritage qu’elle laisse qui doit être célébré. Biyouna ne se contentait pas d’être une comédienne ou une chanteuse. Elle était un symbole de liberté, une artiste qui a su naviguer entre les cultures, entre l’Algérie et la France, et qui a marqué l’histoire du cinéma et de la musique avec son authenticité brute.
Elle n’était pas simplement une star, elle était une figure maternelle pour toute une génération, une référence, une icône de la culture algérienne moderne. Mais plus encore, elle incarnait la possibilité de vivre pleinement, sans concessions, sans crainte d’être jugée ou d’être réduite à une étiquette. Elle a prouvé que l’on peut être une femme maghrébine, moderne et libre, tout en restant fidèle à ses racines.
Le départ de Biyouna est aussi la fin d’une époque. Cette époque où les artistes étaient proches de leur public, où la frontière entre la célébrité et la vie réelle était floue, où les icônes comme Biyouna savaient comment maintenir l’illusion de la vie tout en luttant contre la réalité de la maladie. Aujourd’hui, alors que les projecteurs se sont éteints, il reste son héritage, son art, et surtout, son exemple de résilience et de courage. Elle nous a donné la plus belle des leçons : celle de vivre pleinement, sans jamais se laisser abattre par les obstacles.
Biyouna a marqué l’histoire de son empreinte indélébile. Elle n’était pas simplement une artiste, elle était un modèle de courage et de liberté. Sa perte est irréparable, mais son héritage continuera de vivre à travers ses œuvres, ses rires, et l’amour qu’elle a semé autour d’elle. Adieu l’artiste, mais ton esprit, ta voix, ton rire, ne s’éteindront jamais.
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