CE PASTEUR A ENTERRÉ 3 BÉBÉS VIVANTS POUR ATTIRÉ PLUS DE FIDÈLE 🔴Attention CHRÉTIENS

Le pasteur Ozubique était en train d’enterrer trois bébés sous les ordres d’un puissant marabou. Son but ? Attir encore plus de fidèles dans son église. Quelques semaines après son église fut bondé de fidèles et chaque fois où il prêchait la parole, l’esprit démoniaque avec lequel il avait fait le pacte, prenait possession de du pasteur.

 Et pourtant, aucun fidèle ne s’en rendait compte. Dans les rues animées d’Abouja, au milieu du tumulte des marchés et des claxons des voitures, se dressaient des églises à presque chaque coin de rue. Parmi elles, une église modeste dirigée par le pasteur Williams Ozwick peit à attirer des fidèles.

 Chaque dimanche, à peine quelques personnes, pour la plupart des membres de sa propre famille, occupaient les bancs poussiéreux. À quelques kilomètres de là, l’église du célèbre pasteur Johnson débordait de monde. Les fidèles faisaient la queue des heures pour entrer dans ce bâtiment imposant. équipé d’enceintes géantes qui projetaient les sermons sur tout le quartier.

 Johnson était connu dans toute la ville comme un homme béni, puissant et proche de Dieu. La jalousie rongeait Williams comme un feu qui refusait de s’éteindre. Il observait les autres pasteurs, leurs belles voitures, leurs maisons luxueuses et surtout leurs églises bondées. Il commença à douter de sa foi et à se demander si Dieu l’avait abandonné.

 Un jour, rongé par la frustration et l’envie, Williams décida de rendre visite à Johnson pour lui demander conseil. Après le dernier service de la journée, Williams se présenta devant l’imposante église de Johnson. Le pasteur, vêtu de son costume luxueux, l’accueillit chaleureusement. “Mon frère Williams, que puis-je faire pour toi ?” demanda Johnson avec un sourire bienveillant.

 Williams hésita, son regard fuyant. “Pasteur Johnson, je viens humblement chercher des conseils. Comment faites-vous pour avoir une église si pleine alors que la mienne est vide ? Avez-vous des connexions ? Des secrets spirituels que je ne connais pas ?” Johnson le regarda un moment en silence puis posa une main ferme sur son épaule.

 Mon frère, il n’y a pas de raccourci dans l’Å“uvre de Dieu. Cela demande du temps, de l’humilité et surtout une foi inébranlable. Mais surtout, cela demande de servir les gens sincèrement, sans jamais chercher la gloire pour soi-même. Ces paroles ne satisfirent pas Williams. En quittant l’église, il marmona pour lui-même. Humilité, foi, il doit cacher quelque chose.

 Personne n’atteint ce niveau de succès avec de simples prières. De retour à son église, le pasteur Williams trouva une femme influente, Mama Laila, l’attendant devant la porte. Mam Laila était connue pour ses généreux dons. Chaque dimanche, elle arrivait vêtue de vêtements coûteux, ses mains pleines de cadeaux pour l’église et déposait des liasses d’argent dans le panier des offrandes.

 Williams l’estimait beaucoup, pensant qu’elle était une véritable bénédiction pour son ministère. Ce jour-là, après un service particulièrement décourageant où à peine une dizaine de fidèles étaient à présent, Mam Layla s’approcha de Williams. Elle l’observa longuement, un sourire mystérieux aux lèvres puis parla à voix basse.

 Pasteur, vous travaillez si dur, mais vos efforts ne portent pas de fruits. Permettez-moi de vous donner un conseil. Il existe quelqu’un qui peut vous aider. Louzouzu, il a aidé de nombreux hommes de Dieu à prospérer ici à Abouja. Williams surprit, hésita. Mam Laïa, qui est cet homme ? Pourquoi n’i-je jamais entendu parler de lui dans nos cercles ? Elle rit doucement.

 Ceux qui réussissent ne crie pas sur tous les toits comment ils ont fait, mais croyez-moi, beaucoup de grands pasteurs que vous admirez ont trouvé leur force grâce à lui. Si vous voulez que votre église soit pleine, il est temps d’agir. Williams, tiraillé entre la curiosité et la méfiance, finit par céder. Mama Lailla l’emmena à travers les ruelles labyrintiques d’Abouja jusqu’à une vieille maison au mur fissuré.

recouverte de plantes grimpantes, un vieux homme maigre et mystérieux se tenait à l’entrée. Il avait des yeux perçants, presque surnaturels, qui semblaient lire dans l’âme. “Ah, pasteur Williams !” dit-il d’une voix grave. “J’attendais votre visite.” Le pasteur frissonna. “Comment cet homme connaissait-il son nom ?” Dans une pièce faiblement éclairée, remplie de statues mystiques et d’objets étranges, Louzou Louzou parla avec assurance : “Pasteur, je suis celui qui donne le succès aux hommes de Dieu à Abouja. Les églises que

vous voyez remplies, les pasteurs que vous admirez, tous sont passés par moi. Chaque succès a un prix. Mais si vous me faites confiance, votre église sera pleine. Vous aurez la reconnaissance que vous méritez. Williams, désespéré et rongé par l’envie, écoutez attentivement. Louzouzouu continua. Tout ce que vous avez à faire, c’est un petit sacrifice.

 Enterrez trois bébés vivants au centre de votre église et récitez les paroles que je vais vous donner. C’est ainsi que les grandes églises prospères. Williams, sans réfléchir davantage, accepta de faire ce sacrifice. Ainsi, Louzoulouu l’indiqua où il pouvait trouver les bébés pour le sacrifice. Il sortit du sanctuaire du maître Louzouzouu avec un mélange de peur et d’excitation.

 Il croyait naïvement que ce pacte ferait de lui l’un des grands hommes d’Abouja. Ce que Williams ignorait, c’est que Mama Laila n’était pas la généreuse donatrice qu’elle prétendait être. Elle était une collaboratrice de Louzou Louu, envoyée pour piéger les âmes fragiles et les conduire à lui. Une fois les bébés trouvés, Williams ferma l’église à double tour une nuit et avec une pelle, il creusa un trou profond au centre de la salle.

 Il avait obtenu trois bébés, symboles de sacrifice ultime. Les bébés pleuraient faiblement, leur cris semblant supplier le pasteur de renoncer, mais Williams était déterminé. En suivant les instructions de Louzulou, il récita des incantations dans une langue qu’il ne comprenait pas. Il cella les sorts en enterrant les bébés vivants sous le sol sacré.

 Lorsque tout fut terminé, il sentit une étrange chaleur envahir l’église. Les murs semblaient à vibrer et une odeur nausée à bonde se répandit brièvement avant de disparaître. Dès le dimanche suivant, des foules commencèrent à affluer vers l’église de Williams. Les fidèles arrivaient sans savoir pourquoi, leurs pieds les menant presque contre leur volonté.

 Les bancs, autrefois vides, étaient maintenant pleins. Les chants et les prières raisonnaient si fort qu’on les entendait jusqu’à l’autre bout de la ville. Williams se réjouissait. Chaque semaine, les dons augmentaient et son nom commençait à circuler dans tout Abouja. Cependant, des événements étranges commencèrent à se produire.

 Les fidèles faisaient des rêves étranges. Certains voyaient des ombres les poursuivre dans des endroits sombres. Des pleurs d’enfants raisonnaient parfois dans l’église, même lorsque tout était silencieux. Une femme s’évanouit en pleine prière, criant qu’elle voyait des ombres rampées sur le sol et meutes de bébés en sang et en pleur qui la poursuivraient.

 Un jour, un jeune homme courageux du nom de Dotsé décida de découvrir la vérité. Fils d’un ancienne prophétesse. Il avait été élevé dans la foi et possédait une intuition spirituelle aiguisée. Lors d’une nuit orageuse, armée d’une lampe torche, il entra discrètement dans l’église déserte pour mener son enquête. Au centre de l’église, il sentit une odeur putride qui émanait du sol.

 Guidé par son instinct, il commença à creuser. À sa grande horreur, il découvrit les restes décomposés des trois bébés accompagnés de talisements étranges. Le choc et le dégoût laissèrent rapidement place à la détermination. “Cela doit s’arrêter. Les gens doivent connaître la vérité”, murmura-t-il en refermant le trou.

 Le lendemain, Dotsy se rendit directement chez Pasteur Johnson, un homme respecté et connu pour sa droiture. Lorsqu’il lui raconta ce qu’il avait découvert, Johnson écouta avec gravité, son visage s’assombrissant à chaque mot. “C’est plus grave que je ne le pensais”, dit Johnson. “Nous devons agir vite pour sauver cette église et ses fidèles des ténèbres qui l’ont envahi.

” Dès qu’il mit les pieds dans l’église, Johnson sentit une lourdeur spirituelle oppressante. Il confronta Williams en privé. Frère, qu’as-tu fait ici ? Je sens quelque chose de maléfique dans cette maison de Dieu. Pris de panique, Williams éclata en sanglot et avoua tout. Johnson, horrifié, alerta les grands pasteurs de la ville.

 Ils organisèrent une prière de délivrance collective pour purifier l’église. Cette nuit-là, un groupe de pasteurs accompagné de fidèles entra dans l’église avec des Bibles et des chants. Lorsqu’ils commencèrent à prier, le sol se mit à trembler. Une odeur insoutenable se répandit et des pleurs d’enfants terrifiants retentirent.

 En creusant, ils découvrirent les corps en décomposition des trois bébés. La nouvelle se répandit rapidement à Abouja. Williams fut dénoncé publiquement et chassé de la ville. Son église fut fermée et le bâtiment détruit pour ériger une nouvelle chapelle purifiée. Quant à Williams, il erra dans les rues d’Abouja, hanté par les esprits qu’il avait invoqué.

Chaque nuit, il entendait des pleurs d’enfants et sentait une présence sombre le suivre. Il finit par sombrer dans la folie, racontant son histoire à quiconque voulait l’entendre. Cette histoire devint une légende dans les quartiers d’Abouja. Un avertissement pour tous ceux qui voudraient mélanger la lumière et les ténèbres.

 Quand tu passes devant une église vide, prie pour le pasteur. Mais si tu vois une église pleine, ne sois pas trop rapide à l’envier. Tu ne sais pas quel prix a été payé pour ces âmes.