« C’est une enfant un peu difficile » : la mère de Jenifer se confie sur le tempérament instable de sa fille et révèle un côté peu connu qui pourrait choquer même ses fans les plus fidèles.

Dans le documentaire Jenifer : face à ma vie, diffusé sur NRJ12 jeudi 24 novembre, Christine, la maman de la chanteuse, s’est confiée sur son enfance. “Elle était peau de vache un peu”, a-t-elle avoué. Ce que n’a pas nié l’intéressée, confiant même avoir “beaucoup martyrisé” son frère quand elle était jeune.

lle a accepté de se livrer. Plutôt discrète, Jenifer ne parle pas souvent de son parcours, de sa carrière, encore moins de sa vie privée, de ses proches, de ses enfants. Mais pour le documentaire Jenifer : face à ma vie, diffusé jeudi 24 novembre sur NRJ12, elle a fait une exception et elle s’est racontée, en toute intimité. Ses proches également se sont confiés : sa famille, ses amis qui l’ont toujours soutenue… Mais aussi sa mère, Christine, qui est celle qui lui a transmis sa passion pour la chanson. Elle chantait dans les bals et autres évènements… et sa fille l’imitait. “Peut-être que mine de rien, je vis le rêve qu’elle n’a jamais réalisé“, a glissé Jenifer avec émotion dans ce documentaire, fière de sa réussite.

Les confidences inattendues de Christine sur Jenifer

“Nous, on chantait beaucoup à la maison, aux anniversaires, aux fêtes…”, a confié Christine, précisant que le talent naissant de Jenifer, ex-compagne de Maxim Nucci et Thierry Neuvic, n’était pas toujours au goût de son frère : “Des fois, elle chantait trop, son frère disait : ‘Tu me saoule arrête !’ Un jour, elle a déguisé son frère avec un costume de son papa, il pianotait un petit peu. Et quand il y a quelque chose qui n’allait pas, elle allait par derrière le pincer.“ Et la mère de Jenifer d’ajouter : “Elle était peau de vache un petit peu…“ Ce que la chanteuse, elle-même, a confirmé. “Oui parfois, j’étais un peu peau de vache… très peau de vache avec mon frère“, a avoué Jenifer, découvrant le témoignage de sa maman. Et de continuer : “Je l’ai beaucoup martyrisé même. Je le tapais quand il ne suivait pas au piano. J’étais un peu diktat…” Faute avouée, à moitié pardonnée ?

Un passé bien plus tumultueux que ce que l’on croyait

Jenifer, la chanteuse adulée par des millions de fans depuis sa victoire à la Star Academy, est connue pour sa discrétion, sa douceur et son sourire légendaire. Pourtant, derrière cette image policée, se cacherait une tout autre réalité. C’est ce que le grand public a découvert avec stupéfaction dans le documentaire « Jenifer : Face à ma vie », diffusé le jeudi 24 novembre sur NRJ12.

Dans ce portrait intimiste, la star a accepté de se livrer sans filtre comme rarement auparavant. Mais c’est surtout le témoignage de sa mère, Christine, qui a fait trembler les téléspectateurs.

Christine brise le silence : “Elle était peau de vache un peu…”

Interrogée sur l’enfance de sa fille, Christine ne passe pas par quatre chemins. « Elle était peau de vache un peu », lâche-t-elle avec une sincérité désarmante. Une phrase choc qui a immédiatement fait réagir les fans sur les réseaux sociaux.

Une accusation ? Une taquinerie ? Un aveu embarrassant ? Peut-être un peu des trois. Car loin de nier, Jenifer elle-même confirme avec franchise :

« Oui, parfois, j’étais un peu peau de vache… très peau de vache même avec mon frère », reconnaît-elle face caméra.

Et l’artiste d’ajouter, presque gênée :

« Je l’ai beaucoup martyrisé… Je le tapais quand il ne suivait pas au piano. J’étais un peu dictatrice, oui… »

Un témoignage brut, sans maquillage

Christine, la maman de Jenifer, raconte avec une tendresse teintée d’ironie comment sa fille, déjà très expressive dès le plus jeune âge, s’en prenait régulièrement à son petit frère. Entre blagues douteuses, pincements en douce et cris autoritaires, le tempérament volcanique de la petite Jenifer n’a rien d’une fiction.

« Des fois, elle chantait trop, son frère disait : ‘Tu me saoules, arrête !’ », se souvient Christine.
« Un jour, elle l’a déguisé avec un costume de son papa et quand il jouait du piano, elle le pinçait par derrière dès qu’il faisait une fausse note. »

Une anecdote savoureuse… qui en dit long sur le caractère bien trempé de la future star.

Une enfance marquée par la musique… et la compétition

Dans cette famille corse où la musique était omniprésente, chaque fête, anniversaire ou simple dîner était prétexte à chanter, jouer, vibrer ensemble. Jenifer, influencée par sa mère qui chantait dans les bals, développe très tôt un amour viscéral pour la scène.

« Peut-être que mine de rien, je vis le rêve qu’elle n’a jamais réalisé », confie-t-elle, les yeux embués d’émotion, en évoquant sa maman.

Mais avec cette passion naissante est venue aussi une exigence démesurée, un besoin de contrôle que Jenifer reconnaît sans détour. Elle voulait que tout soit parfait – quitte à devenir tyrannique avec son entourage… même à l’âge de 8 ans.

Les fans sous le choc : “On ne s’attendait pas à ça”

Sur les réseaux sociaux, les réactions n’ont pas tardé. Si certains ont salué la transparence courageuse de Jenifer, d’autres ont exprimé leur étonnement face à cette personnalité explosive que rien ne laissait présager.

« Je tombe des nues ! Jenifer tyrannique avec son frère ? Je ne l’aurais jamais cru… », écrit une internaute sur X (ex-Twitter).

« Finalement, elle est comme tout le monde. On a tous été un peu peau de vache avec nos frères et sœurs… », relativise une autre fan.

Le documentaire semble ainsi avoir humanisé davantage la star, en dévoilant une facette plus brute, imparfaite, mais aussi terriblement attachante.

Derrière le masque : une Jenifer vraie, entière, imparfaite

Ce qui frappe dans ce témoignage, c’est la sincérité sans détour. Pas de posture, pas de faux-semblants. Jenifer parle de son passé avec honnêteté, comme si elle ressentait enfin le besoin de réconcilier l’icône médiatique avec la petite fille rebelle qu’elle a été.

« J’étais dure… mais j’aimais profondément mon frère. Je pense que j’étais juste trop exigeante. », confesse-t-elle.

Un aveu qui sonne juste, et qui renforce l’attachement que son public lui porte depuis tant d’années.

Un portrait bouleversant, entre lumière et zones d’ombre

À travers ce documentaire, on découvre une Jenifer complexe, intense, qui a toujours ressenti la pression de “réussir”, peut-être pour deux. Pour elle et pour sa mère. Pour honorer un rêve transmis en héritage. Et dans cette quête de perfection, elle a parfois laissé exploser une colère intérieure, une frustration d’enfant qui se transforme avec le temps en force de caractère.

Aujourd’hui, celle que l’on pensait lisse et timide se révèle être une battante, une passionnée, une femme entière.

Conclusion : une star plus humaine que jamais

Avec « Jenifer : Face à ma vie », la chanteuse a offert bien plus qu’un documentaire. Elle a offert un miroir, dans lequel chacun peut reconnaître ses propres failles, ses contradictions, ses regrets… et sa vérité.

Et si certains resteront marqués par cette confession de “peau de vache”, d’autres y verront simplement le parcours normal d’une enfant vive, ambitieuse, parfois excessive… mais profondément humaine.